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au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Pari gagnant
Par Narcheska
Placebo  -  Romance  -  fr
One Shot - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     3 Reviews    
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J'ai hésité pour la cathégorie, entre Placebo et 30 seconds to mars, puisqu'il y a un membre de chaque groupe dans cette fic. Finalement placebo à gagné.

Alors, me revoila avec un OS

Paring: Shannon Leto/ Brian Molko ( ceux qui aurait des problèmes avec les slash, ou le rps, je ne vous montre pas le chemin :) )

Rating: Plus que PG-13 sans doute, et moins que NC-17

Disclaimer: Chacun des personnages de cette fic n'appartiens qu'a lui meme, et ceci ne prétant pas raconter la moindre vérité sur leur vie.

Note: J'espere que certain d'entre vous lirons, et qu'ils aimerons ( et qu'ils me le dirons surtout, meme si ce n'est pas le cas )

 

 

 

Si j’avais du parier sur la personne qui prendrait mon cœur un jour… j’aurais perdu assurément. Perdu et ris au nez de celui qui aurait suggéré cela, qui l’aurait suggéré lui.
Je ne le comprenais pas, et je n’avais jamais cherché à le faire… après tout je ne le connaissais pas. Je savais seulement qu’il était tout ce que je n’étais pas.
Je n’ai pas eu d’enfance dorée, je ne me suis jamais drogué, je ne me suis jamais fait de mal à moi-même, je n’en ai jamais eu envie. Et surtout je n’avais jamais aimé d’homme… Jamais même pensé à le faire.
A le regarder au travers l’écran de ma télévision, je le trouvais trop ambigu, pas tout à fait vrai. Les cheveux trop longs, le corps trop fin, presque éthéré. Une présence indiscutable, mais qui ne me touchait pas, pas vraiment. Une musique écoutable, parfois même entêtante… mais sur laquelle je ne m’attardais pas.

Et je l’ai rencontré…
Rencontre banale, sans strass et sans paillettes. Il était tranquillement assis, sur le canapé de mon salon, face à mon frère, une cigarette entre les lèvres. Je suis entré dans la maison sans y prendre garde, j’ai posé mon casque de moto sur la table de la salle et j’ai entendu leur conversation. Je ne sais pas comment ils en étaient arrivés-là. Ils parlaient de la scène, de leurs habitudes. Jared a plaisanté sur le fait que Brian était parfois très proche des autres musiciens. J’entends encore son timbre, son ton, quand il a répondu :

- Tu ne crains rien Jared. Mais je crois que je serai l’homme le plus heureux de la Terre si ton frère décidait de poser ses lèvres sur les miennes un jour !

Elle a quelque chose d’étrange sa voix…. Quelque chose qui se répand dans l’air entre vous et lui, quelque chose qui fait serrer le ventre et frissonner les reins. Quelque chose qui s'estompe à travers l’écran de la télévision ou les fréquences radio. Quelque chose qui m’a surpris, qui m’a retenu.
Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, je crois que je ne le saurais jamais. J’ai fait du bruit avec mes clés en les lâchant sur le bois verni et ils ont tous les deux tournés la tête. Il n’a pas eu l’air de regretter ses paroles, il n’a pas rougi, il s’est contenté de me regarder, avec des yeux presque effrontés. C’est sans doute pour cela que je l’ai fait, parce qu’il ne reniait pas ses mots, parce que quelque part, il me défiait.
Je me suis avancé, j’ai pris son visage entre mes paumes et je me suis penché sur ses lèvres. Je les ai frôlées, d’abord un peu, puis un peu plus encore. Je l’ai embrassé, vraiment embrassé. Pas juste sa chair qui touche la mienne et qui s’en va, non, ma bouche qui prend contact avec la sienne, nos souffles qui se mêlent, nos langues qui dansent. C’était différent et étrange, et surtout étrangement entêtant. J’ai continué assez longtemps pour sentir sa respiration s’affoler, mon cœur battre trop vite. J’ai fini par rompre le baiser, ma main sur sa nuque, mon front sur le sien, j’ai ouvert les paupières.
Il y avait ses yeux maquillés face à moi, sa mâchoire fine, ses cheveux longs, mais il n’avait plus rien d’androgyne, c’était simplement un homme. Et je le désirais… comme je n’avais jamais désiré personne. D’une façon brutale et incompréhensible, d’une façon intense et fiévreuse. Je m’étais approché trop près de lui sans prendre de précautions et je m’étais brûlé.
Quand ma voix m’a semblée assez sûre pour parler, j’ai dit :

- Rendre les gens heureux est l’un de mes passe-temps favoris…
Son rire grave m’a surpris et ses doigts se sont glissés en douceur sous mon t-shirt pour s’ancrer à ma taille.
- Alors je crois que tu pourrais me rendre très heureux ! avait-il répondu avec un sourire franc.

Je n’ai pas eu à chercher quoi répondre. La toux horrifiée de mon frère m’en a dispensé. Il avait l’air d’un poisson hors de l’eau et j’aurais pu en rire si mon esprit n’avait pas était si occupé ailleurs.
Nous nous sommes alors écartés, comme si de rien n’était, comme si tout ça n’avait été qu’une blague, un jeu sans conséquence.
Mais il y avait ses yeux sur moi, ses phrases à double sens, son ton. Toutes ces choses qui m’ont empêchées d’oublier, de faire passer tout ça pour de la folie passagère. Il y avait cette envie aussi, celle qui refusait de lâcher mes reins, celle qui flambait chaque fois que nos regards se croisaient. Lui et Jared ont parlés un long moment, aussi intarissables l’un que l’autre sur leurs futurs projets, sur les prochaines tournées. Parlé aussi d’une collaboration possible sur l’une des dates. C’est à ce moment-là que je me suis aperçu que je ne m’étais même pas demandé pourquoi je l’avais trouvé là, dans mon salon, trop occupé à surprendre leur conversation.
J’ai fini par essayer de suivre sérieusement, m’impliquer un peu, puisque cela concernait le groupe. Pourtant quand ils ont convenu de se rappeler pour en reparler, cela ne m’a pas empêché de me précipiter au devant de mon frère pour proposer de le raccompagner. Lui, il a sourit, un peu ironique, un peu heureux, définitivement moqueur.
Dans le couloir, il a frôlé ma main, il a mêlé le bout de nos doigts, comme pour me tester, savoir si j’allais accepter ça. Près de la porte, il s’est arrêté, tout son corps transmettait une question, alors même que ses lèvres ne formaient aucun mot. Il a ouvert le battant, laissant entrevoir le monde extérieur et sa voiture de location garée près de celle de Jared. Laissant entrevoir la fin. Puis ses yeux se sont levés sur moi et son regard a semblé me demander si je serai assez lâche pour le laisser partir sans rien dire, ou si j’aurai un peu plus de courage. Il m’avait défié une fois de trop, réveillé le Shannimal qui sommeillait toujours. Je me suis tourné vers lui, les paumes appuyé sur les os de son bassin, je l’ai plaqué au mur de l’entrée, mon sourire contre le sien, je l’ai embrassé à nouveau. Ses lèvres avaient toujours le même goût, sa bouche la même saveur.
J’ai glissé ma main sous sa cuisse pour remonter son genou le long de ma hanche, pour pouvoir passer ma jambe entre les siennes. Il a hoqueté de surprise contre ma bouche, il m’a mordu la lèvre. Je dois dire que je ne savais pas du tout où j’allais, je ne savais rien de tout ça, j’avais l’impression de tout redécouvrir, depuis son torse plat contre le mien, à la sensation trouble de son érection appuyée près de ma hanche. Mais je savais que cela me plaisais, je savais que c’était ce que je voulais, que je le voulais lui. Lui étendu sous mon corps gémissant mon prénom, lui perdu dans mes bras, lui dans mon lit….
Pourtant il a su quitter mon étreinte, me laissant à bout de souffle, l’esprit criant de frustration.

- Pas tous les bonheurs d’un coup, a-t-il soufflé, ce serait dommage.

Je ne pouvais qu’hocher la tête, il avait raison tout allait trop vite. Une heure plus tôt je ne le connaissais pas et maintenant mon esprit me murmurait de ne pas le laisser partir. Je me suis demandé pendant une seconde avec angoisse ce qu’il m’avait fait. Comment est-ce qu’il pouvait avoir ce pouvoir-là sur moi. Puis ses lèvres ont frôlé les miennes encore une fois, juste un instant et je me suis dit que cela n’avait pas vraiment d’importance, qu’il fallait bien vivre un peu.

- Je suis au Custom Hotel chambre 307, je peux compter sur toi ce soir ?
J’ai dut hésiter un moment, parce qu’il a repris.
- On ne montre pas à quelqu’un le chemin du bonheur pour l’abandonner dans un gouffre froid.

Il avait dit ça sur le ton de la plaisanterie, jouant encore un peu sur le thème de notre premier échange. Et pourtant ses yeux avaient quelque chose de sérieux qui m’a fait frissonner. Qui m’aurait décidé plus que tout ce qu’il aurait pu dire d’autre, si j’avais encore eu besoin d’être persuadé.
Alors je lui ai dit que je serais là et je l’ai regardé partir. Je suis resté un moment, à suivre du regard sa voiture qui disparaissait au loin.
Ce jour-là, quand j’ai fini par fermer la porte derrière lui, ma main sur la poignée tremblait avec violence et j’étais incapable de dire si c’était l’excitation, la frustration, ou l’angoisse de réaliser ce qu’il venait de se passer.

J’aurais pu faire marche arrière, abandonner, revenir à la raison. J’aurais simplement eu à écouter mon frère, ses opinions sur la questions.
Peut-être que je pourrais alors encore rire aujourd’hui de celui qui aurait misé sur Brian Molko pour kidnapper mon cœur.
Mais je ne l’ai pas fait et je ne peux plus le faire, parce qu’il a pris mon âme. Oh oui, il l’a pris, ce soir-là… Et maintenant j’embrasserais volontiers celui qui aurait parié sur lui, parce que même si c’est la chose la plus improbable, c’est aussi la meilleure qu’il me soit arrivé.

Je me revois, pas si courageux que ça, entrer dans son hôtel, le cœur battant et le ventre noué. J’avais réfléchi tout l’après-midi et je me sentais comme un adolescent à son premier rencard, la tête remplie de beaucoup trop de questions.
Il m’était déjà arrivé de coucher avec une fille sans même savoir son nom, pas très souvent cela dit. Mais avant lui, je n’avais même jamais embrassé un homme.
Le désir m’a repris à la seconde où il a ouvert la porte. Il avait attaché ses cheveux avec un catogan, le maquillage de ses yeux, qui me semblait plus sombre encore, faisait ressortir la force de son regard. Je me suis demandé si le mien lui faisait autant d’effet, j’avais volontairement forcé sur le crayon, essayant sans doute de l’égaler un peu.
Il m’a fait entrer. Étrangement il n’a pas cherché à m’approcher, au contraire, il s’est éloigné de moi. Il s’est posté devant la fenêtre, me tournant le dos il a allumé une cigarette.
Il avait un air paisible, pas l’air que je m’étais attendu à trouver en tous cas, pas l’air de quelqu’un qui s’apprête à coucher avec un presque inconnu. Il semblait attendre quelque chose et être sûr que cela arriverait. Il n’avait pas peur et je me suis dit que pour lui ce n’était pas une nouveauté. Je me suis demandé si je serai comme les autres à ses yeux. A peine quelques heures et déjà mon cœur se pinçait à cette idée.
Il n’a pas fait le premier pas, comme si il attendait que je le fasse, comme si il savait que pour moi, ce serait beaucoup plus dur que pour lui, comme si il voulait être sûr de ne pas me forcer.
J’ai fini par m’approcher. Je suis venu me placer derrière lui, assez près pour sentir sa chaleur, assez près pour me rappeler pourquoi j’étais venu. Pour laisser son odeur me tourner la tête à nouveau, pour sentir l’envie grandir en moi et commencer à embrouiller mon esprit. J’ai fait un pas en avant, presque malgré moi, j’ai posé mon menton dans son cou, enroulé mon bras autour de sa taille. J’ai regardé le soleil se coucher par dessus son épaule, sans comprendre pourquoi aucun de nous ne bougeait.
Il a tiré une dernière fois sur son mégot et il a levé le visage vers moi, soufflant sa fumée presque dans ma direction. Il y avait de nouveau cette lueur dans son regard. Un défi un peu froid, comme sa voix quand elle est venue briser le silence.
Il m’a expliqué d’un ton clair qu’il n’avait pas pour habitude de faire découvrir de nouvelles choses à des hétéros en manque de changement, qu’il me faudrait aller chercher ailleurs si je voulais juste ne pas mourir idiot.
Et c’est-là que j’ai vu, les blessures qu’il cachait, les failles, les incertitudes. Malgré ses bravades malgré son assurance. Là que j’ai compris que lui aussi avait peur d’y laisser son cœur.
D’abord je n’ai pas répondu, j’ai passé ma main sur sa gorge, j’ai relevé son menton encore un peu plus et j’ai baisé sa bouche. Mes lèvres se sont posées sur les siennes, aussi douces que dans mon souvenir, aussi fermes, aussi différentes de tout ce que j’avais connu.
Je l’ai embrassé jusqu'à ce qu’il abandonne, jusqu'à ce qu’il baisse sa garde, jusqu'à ce que sa langue vienne demander la mienne. Faible victoire, mais qui faisait chanter mon cœur.
Seulement après, j’ai répondu, quelque chose comme ‘Je préfèrerais mourir idiot que de figurer sur ton tableau de chasse’. Son sourire s’est fait carnassier, le mien l'était tout autant. Il s’est retourné entre mes bras, son regard posé dans le mien. Toujours ses mêmes défis. Je n’ai pas cédé, ses iris dans les miennes, je lui ai fait comprendre que je voulais une place à part. J’ai appuyé mon corps contre le sien et il c’est retrouvé acculé contre le mur près de la vitre. Ses bras se sont croisés sur mes épaules, alors que ses jambes se nouaient autour de ma taille, me faisant supporter tout son poids. Mes paumes se sont posées d’elles-mêmes sur ses fesses, pour empêcher sa chute. Il était content de lui, je le lisais dans ses yeux, il m’aurait presque fait rougir.
Je l’ai ramené un peu plus contre moi, frottant d’un même mouvement mon bassin contre le sien. Il s’est mordu la lèvre en se retenant de gémir. Devenu impatient, il a glissé ses doigts dans mes cheveux en murmurant à mon oreille qu’il n’y avait plus de place disponible dans la liste de ses conquêtes. Ce à quoi j’ai répondu que j’en étais ravi.
Après ça, tout s’est accéléré, mon envie de lui devenait si forte que j’avais l’impression de l’avoir toujours tenu dans mes bras. Le désir me vrillait les reins et nous n’avons pas mis longtemps à chuter sur son lit, nos mains bataillant pour savoir qui se débarrasseraient au plus vite des vêtements qui nous encombraient.
J’ai découvert son corps avec une exaltation inconnue, posant mes lèvres sur chaque morceau de peau dévoilé, sur chaque petite chose en lui qui me criait qu’il était homme. De la plante de ses pieds, à son torse plat, en passant par son aine. J’ai touché pour la première fois un sexe qui n’était pas le mien et quand je l’ai vu renverser la tête en arrière en fermant les paupières, je me suis senti important, je me suis senti bien, à ma place.
Tout a été trop vite et trop lentement à la fois, mon corps tremblait de passion et d’impatience, mon esprit voulait que cela dure encore. Il était beau sous mes mains, le dos cambré dans l’attende de mes caresses, les lèvres entrouvertes appelant mon nom. Ses paumes me retenaient contre lui, ses ongles marquaient mon dos.
Peut-être a-t-il perçu mes dernières hésitations, mes derniers scrupules absurdes alors que nos respirations affolées se mêlaient, que mon sang battait très fort contre mes tempes, alors que j’attendais, à la frontière de son intimité. Il a posé ses doigts le long de ma mâchoire, il a forcé mon regard à plonger dans ses yeux trop verts. Il m’a embrassé avec une ferveur qui a brûlé mes veines et a murmuré contre mes lèvres :

- Viens… je veux que tu viennes en moi, maintenant. Je veux que tu oublies tout, la morale, les autres. Qu’il ne reste plus que moi. Je veux sentir ta présence.
- Il ne reste déjà plus que toi.

J’ai eu peur de lui faire mal, de ne pas savoir. Peur que ce soit différent. Et cela l’a été, mais ça a été tellement d’autre chose encore. Un plaisir difficile à décrire, une vague qui monte et qui refuse de se briser, une force brute et trouble. Un souvenir qui restera toujours en moi. Comme l’expression qu’il a eu quand il s’est contracté autour de moi, quand il a touché les étoiles. J’ai volé tellement haut avec lui ce soir-là, je crois que je n’ai jamais retouché vraiment Terre.
Il m’a serré contre lui ensuite, le regard encore assombri de désir, il m’a embrassé chastement sur les lèvres. J’ai passé mon pouce sur ses joues, sur son front humide de sueur, rougi de plaisir.
J’ai souris, son maquillage était brouillé, il avait l’air plus jeune que son âge, il avait cet air fragile que j’avais vu à la télé et que je n’avais pas trouvé assez vrai. J’avais eu tord, dans mes bras, après l’amour, il avait l’air d’un être trop sensible pour ce monde, si fort, et pourtant pas assez. C'est seulement là, avec ses yeux dans les miens, avec mon corps dans le sien, que j’ai compris que ce que j’avais murmuré été vrai. Il n’y avait déjà plus que lui.

Cela fait trois ans maintenant que je l’ai vu pour la première fois, trois ans que mes lèvres se sont posées sur les siennes alors que je ne le connaissais pas encore. Et même si je ne n’aurais jamais cru cela possible, même si les autres ne le croirons sans doute pas tous, en fin de compte, il ne pouvait pas en être autrement. Parce qu’il est ce que je ne suis pas, parce qu’il me ressemble étrangement. Parce qu’il a les faiblesses que je n’ai pas et les forces que j’ignore. Parce qu’il est l’autre partie de moi même.

C’est un pari que je n’aurais pas lancé, absurde et incroyable. Mais un pari gagnant.

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