manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
les déviants
Par maxen
EXO  -  Action/Aventure/S-F  -  fr
2 chapitres - Rating : T (13ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 2     Les chapitres     0 Review    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Chapitre 1

 

Chapitre 1

Je suis né à Goyang, en Corée du sud. Malheureusement, je n’ai pas beaucoup de souvenir de mon enfance. Tout est si confus! Parfois, je rêvais d’un homme me portant fièrement sur ses épaules d’où je pouvais observer le monde de haut. J’étais si jeune, peut-être trois ou quatre ans. Je me souviens du bien être que je ressentais, comme si rien ni personne ne pouvaient m’enlever ce moment. J’ai aussi souvenir d’une femme, belle, énergique mais surtout, toujours souriante. Lorsqu’elle apparaissait dans mes rêves, je me sentais apaisé aussitôt. Elle me prenait dans ses bras, me faisait tournoyer et juste ces petits gestes faisaient de moi le plus heureux des bambins. Je voyais aussi a travers mes songes, un autre garçon, un peu plus grand que moi. Je lui tendais la main mais je sentais bien que quelque chose n’allait pas. il était si flou, je n’arrivais pas à l’apercevoir clairement! Nous étions tellement prêt l’un de l’autre, à peine un pied nous séparais mais une autre présence le retenais. Tout étais noir autour de nous et j’avais peur. Je lui tendis la main plus vivement encore et je lui criais de faire un effort, juste un tout petit effort... Mais l’autre enfant glissais lentement dans l’ombre comme tiré vers l’arrière. Il essayait tant bien que mal de résister mais il n’était pas assez fort... Je le voyais s’éloigner, impuissant, moi-même dans l’incapacité de bouger. Puis, le garçon glissa complètement dans les ténèbres...

L’alarme sonna et je me réveillai un peu hébété. Rêve ou réalité? Me demandai-je. Je jettai un coup d’oeil autour de moi. Toujours les même décords, jour après jour, une grande pièce de béton, de la dimension d’un  gymnase ou 20 lits superposés étaient tous aussi blanc les uns que les autres. Mes compagnons se levêrent en même temps que moi et commencèrent a faire leurs corvées du matin. Je ne me souviens pas d’avoir déjà ressentis un quelconque ennuie en effectuant mes tâches matinales. Nous étions tous conditionné a cette époque et la rébellion était absolument hors de question. Nous n’aimions pas particulièrement nos supérieurs hiérarchiques mais je dirais que nous avions une reconnaissance aveugle. Les autres et moi étions orphelins, tous sans exception. Ils nous avaient recueillis, ils nous avaient logé, nourris et certains, dont moi, depuis tellement longtemps que nous n’avions plus aucun souvenirs d’avoir connu autre chose! À un rythme régulier, je fis mon lit, mis mon uniforme vert kaki que je devai m’assurer à chaque matin, qu’il était bien propre. J’enfilai ma ceinture, ajusta ma cravate et mes épaulettes rouge sombre. Avec une légère dose de fierté, je bombai le torse devant le miroir et mis mon képi. Une dernière inspection et satisfait, je rejoignis mes compagnons à l’entrée du dortoir.

La porte était close et nous avions consigne de nous poster en file indienne, en silence, deux rangées de 20 fantassins bien droits, du plus haut gradé jusqu’au simple soldat. En ce temps, j’avais 16 ans, nous étions tous adolescents mais cela faisais déjà 10 ans que nous étudiions l’art de la guerre. Physiquement, nous étions au top! Je n’avais pas l’habitude de me vanter mais de toutes les divisions militaires, je crois bien que nous étions les meilleurs! Bref, maintenant en position, le déclic de la serrure automatique ce fit entendre. Le lieutenant de peloton (le plus gradé d’entre nous) ouvrit celle-ci. Nous le suivâmes tous, sans rompre les rangs, règlement obligeais. Nous passions dans des couloirs, certains vitré, d’autre fais de mur de béton épais mais tous étaient filmé. Nous savions que nos moindre faits et gestes étaient épié. Pour le commun des mortels, c’était immoral! C’était une flagrante atteinte à la liberté! Pour nous, c’était normal. Nous avions grandi avec ces caméras elle faisaient parties de notre environnement et jamais nous avions pensez que cela pouvait déranger outre mesure. La liberté était ici un concept qui n’existait pas. Pour le moment, nous marchions machinalement, sans un mot, balançant les bras en rythme en direction de la cafétéria.

Arrivé a celle-ci, nous devions attendre le long d’un comptoir que l’on nous remettrent chacun tour-à-tour notre plateau. Ce que à l’époque nous ne savions pas, c’était que dans notre déjeuner comme dans notre souper, ils ajoutaient une dose de méthylophénidate et une autre de clomipranine chlorhydrate qui nous gardais dans un état semi-catatonique en plus de prévenir la dépression. Je vous épargnes ici les détails techniques car je n’en finirais plus. Aujourd’hui, je peux dire qu’ils se donnaient beaucoup de mal pour nous garder sous contrôle. 

Nous mangions, tous silencieusement et après avoir ramener notre plateau, nous devions aller se rassoir à nos places attitrée, en attendant les consignes de nos supérieur. C’était notre quotidien a chaque matin de notre vie depuis, je ne sais combien de temps. Le capitaine entra et automatiquement, nous nous levâmes et nous mirent au garde-à-vous. Un autre soldat entra prestement. Il n’était pas très grand, je vis ses gallons, c’était un général. Il portait fièrement La médaille de la bravoure épinglée sur sa poitrine. Je jaugea rapidement le petit homme. Selon les rides de son cou, les traits profonds de son visage et ses lunettes a foyer qui le vieillissait, je lui donnai dans la soixantaine, par contre, l’homme dégageait une prestance solennelle qui commandait le respect. Il nous regarda tour à tour et sortit un papier de la poche de son veston. Il se racla la gorge et commença:

-les personnes que je nommerai, dit-il, devront ce rendrent au local AO-29. 

Interieurement, je me demandais pourquoi un général, médaillé de plus, venais lui même nous donner nos assignation? Il y avait anguille sous roche. Je forçai cette pensée à me quitter car je leur devait ma vie et l’obéissance. Ce genre de question n’était pas tolérée. J’attendai patiemment que le dirigeant ajuste ses lunettes sur le bout de son nez. 

-Byun Baek Hyun.

-Do Kyung Soo. (En entendant mon nom, j’eus un petit moment d’appréhension, qui se dissipa aussi vite qu’il était venu).

-Kim Jun Myeon.

Kim Jong On

-Oh Se Hun

Park Chan Yeol

Le général continua:

-Soldat...rompez!!

 

 

 

 

 

 

 

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>