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The Only Hope For Me Is You
Par JayMalfoy
Harry Potter  -  Romance/Bisounours  -  fr
One Shot - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     2 Reviews    
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Disclaimer: Les personnages sont de J.K. Rowling bien sur. :)

Couple: Harry Potter & Draco Malfoy. Vous êtes prévenus.

Post-it: Je vous présente mon coté bisounours. On a tous un coté bisounours, non ?

__________________________________________________________________________

Il était beau dans son costume trois pièces à la mode Moldue. Jamais je n’aurais pensé le voir habillé ainsi, pour moi, il portait toujours des vêtements sorciers, histoire que l’on n’oublie pas son rang et son sang. Mais ce soir là, il avait décidé d’en mettre plein les yeux et aux sorciers et à la famille du Premier Moldu.

 - Ry, lança la voix de Ron à mon oreille, tu as l’air de t’amuser comme un petit fou…!

- Comme tu peux le voir Ron-Ron, il n’y a pas eu une seule seconde de cette petite sauterie qui m’ait ennuyé. 

- Je suis heureux que tu sois venu, lança le rouquin en nous attrapant deux verres d’un drôle de liquide beige pétillant. Mione est encore au Ministère, je ne sais même pas quand elle va débarquer. Sans toi je me serais ennuyer mortellement. Que penses-tu du champagne ?

- Hum, c’est rafraichissant mais l’alcool transparait pas mal. Dis moi, il n’y a pas de jus de citrouille ? Murmurai-je à son oreille.

Ron Weasley éclata de rire puis nous tourna en direction de quelques photographes. Nous prîmes quelques poses devant l’objectif, nous attirant les rires du photographe de la Gazette.  Quand nous fûmes lassés, nous nous dirigeâmes nonchalamment vers le buffet où nous remplîmes allègrement deux assiettes que nous allâmes dévorer installés dans un coin de la pièce. Je picorai dans mes pommes de terre, le regardant distraitement du coin de l’œil. Il était beau le chef des Aurors, évoluant dans la foule avec un sourire au coin des lèvres, un compliment pour les dames, un jeu de mots pour les hommes, distribuant des poignets de mains et des clins d’œil à ses collègues. La guerre changeait les gens, où était le salaud dont j’étais tombé amoureux ?

- C’est toujours lui n’est-ce pas ? Souffla Ron.

- Ce sera toujours lui, répondis-je laconiquement en tournant la tête. Je suis stupide. C’est con hein ?

- Non, sourit Weasley, il te regarde !…

- Qu’est-ce que tu es viril Ron ! Me moquai-je.

- Que veux-tu ! Répliqua-t-il en jouant avec ses sourcils.

- D’ailleurs, comment--

L’instant d’après, de longs doigts pâles et froids se posèrent sur mon épaule. Même si Ron m’avait prévenu, je sursautai et me retournai pour le regarder, ses yeux étaient sur mon ami - les yeux de mon meilleur ennemi.

- Weasley, lança-t-il de sa voix froide.

- Malfoy, répondit mon ami.

- Potter, lançai-je d’une drôle de voix.

A notre grand étonnement à tous, nous nous esclaffâmes tous les trois. Je n’arrêtai de rire que quand je me rendis compte qu’une main était toujours sur mon épaule. 

- Allons faire une tour dehors, lança-t-il.

Allons faire un tour dehors, raisonna sa voix dans mon crâne.

J’interrogeais Ron du regard mais il était déjà pencher sur un téléphone portable flambant neuf, cadeau d’Arthur Weasley, et me faisait signe de déguerpir.

- Jolie robe ce soir Potter, tu as fait des efforts, dit-il affablement en nous faisant traverser la salle.

- Tu es très élégant aussi.

- Merci, dit-il en penchant légèrement la tête en avant.

- Je ne sais pas si je ne préfère pas quand tu es plus vulgaire, Malfoy.

- Je ne fais que ce que tu me demandes, Potter.

Il me tint la porte et nous nous retrouvâmes dans une rue déserte. Malfoy sortit son paquet de cigarettes et m’en tendit une. Je l’allumai et pris appui contre un mur. Du bout des doigts, il caressa le col de mon robe de soirée en soie puis sa caresse, légère comme une plume, remonta doucement jusqu’à mes lèvres. Je sursautai et rougis légèrement.

- Ne fais pas ça… soufflai-je.

Il leva un sourcil et prit appui à coté de moi. Nous restâmes un très long moment ainsi, nous perdant dans le silence. Je le sentais perdu dans ses pensées, j’étais perdu dans la contemplation de ses traits parfaits.

- A quoi tu penses, Malfoy ?

Il sursauta légèrement, cela m’amusa et mes lèvres s’étirèrent dans un fin sourire. Il reprit appui complètement sur ses jambes et se mit en face de moi, chacune de ses mains sur le mur, entourant mon visage. Il savait pertinemment que sa proximité me faisait perdre les pédales et il ne fallait absolument pas que l’on craque. Nous n’en avions plus le droit.

- Alors, lançai-je d’une voix faible, dis moi ce qui te trotte dans la tête.

Et ne me dis pas si tu penses à elle, je t’en pris.

- Tu ne veux pas le savoir, souffla-t-il.

Son haleine était toujours délicieuse et son souffle, perdu sur mes lèvres, avait fait battre mon cœur d’une manière désordonnée, trop désordonnée, j’allais mourir d’une crise cardiaque.

- Tu pensais à elle, murmurai-je enfin, c’est normal.

- Elle, toi. Toi surtout.

Je levai les yeux et tombai dans son regard d’orage. Il brillait, j’en eus envie de pleurer, de me recroqueviller dans un coin et de pleurer, de lui demander de m’aimer, comme il m’avait déjà aimé. 

- J’étais en train de penser que j’étais tout simplement amoureux de toi.

- Ne dis pas ça, soufflai-je en baissant le visage.

Ses long doigts pâles comme la neige se refermèrent autour de mon menton puis il me fit lever la tête pour que je le regarde, lui, mon amour impossible. Lui, mon seul espoir. 

- Ne me laisse pas seul avec mon froid, continues de panser mes meurtrissures. Aide moi à être vivant, aide moi à sourire, aide moi à être heureux. Rends moi ta chaleur, rends moi ton sourire, rends moi ta joie. Je t’en pris Harry, ne me laisse pas seul. J’ai peur, je souffre, je suis brisé sans toi. J’ai froid, je meurs sans toi. 

- Ne dis pas ça, répétai-je une nouvelle fois.

- Il faut que je le dise. Tout ça me ronge, mon erreur me ronge, mes parents me rongent, ton absence me ronge, sa présence me ronge. Tu comprends ? Dis-moi que tu comprends, s’il-te-plaît…

- Tu m’empoisonne Draco.

Ses mains me lâchèrent, ses bras allèrent claquer contre ses cuisses.

- Chaque cellules de mon corps te réclament, j’ai trop chaud sans ton froid. Mon cœur brûle car tu n’es plus là pour en éteindre l’incendie. Tu n’es plus là, tu es là-bas, avec elle. Tu lui fais l’amour, tu lui caresse le visage, tu remets ses mèches folles en place. Et elle, elle regarde sa bague avec les yeux brillants, elle te regarde avec les yeux de l’amour. Pas l’amour interdit, celui qu’elle à le droit de vivre. Celui qu’elle vit à tes cotés. Et toi, tu n’es pas là, tu es là-bas, avec elle. C’est sa chaleur qui te réchauffe, ce n’est pas la mienne. Ce n’est plus la mienne alors ça m’empoisonne. Ca m’empoisonne d’être sur le bas-côté à mourir de chaud. 

- Je ne lui fais pas l’amour, murmura-t-il tout bas.

- Peu importe Draco, c’est avec elle que te passe tes nuits.

En l’espace d’une seconde, ses bras étaient autour de ma taille et j’étais cambré contre lui. Je sentais son cœur battre à travers le tissu de nos vêtements et je ne pus m’empêcher de me sentir chez moi. Oui, ma place c’était où Draco était, à ses cotés, contre lui. Mais il y avait l’autre, sa fiancée. Celle que ses parents avaient choisie pour être la nouvelle Madame Malfoy. Il ne l’aimait pas, je le savais mais il aimait son nom et sa famille plus qu’autre chose. Et l’autre chose, c’était moi.

- Je ne me suis pas battu, murmura-t-il, son front contre le mien. J’étais las de me battre Potter, je n’avais rien compris. Je pensai pouvoir vivre sans toi, je me suis trompé. Je n’aime pas Astoria, tu le sais bien. 

A ce moment là, je ne pus m’empêcher de le vouloir. Il était tellement beau tout à son désespoir, les yeux brillants de tristesse, les joues ravagées de larmes. Et ses lèvres, berceau de son souffle, si proches des miennes. Son cœur, tellement près du mien. Ses mains contre mon corps. Ses cheveux de Lune sur mon visage. Je n’étais en vie que pour être auprès de lui. Je le savais. Il le savait. Ron, Hermione, George, Pansy, Blaise le savaient. Astoria le savait. Lucius et Narcissa le savaient. 

- Dis-moi que tu le sais, implora-t-il. Dis-moi que tu sais que nous sommes réels. Sauve-moi de ceux qui me hantent la nuit. Je me battrai contre tout, contre mes parents, contre le monde entier si seulement tu pouvais seulement partager mon fol espoir. Ce n’est pas dans mes habitudes de m’ouvrir ainsi mais c’est grâce à toi que j’ai changé. Dis-moi que tu veux encore de moi, que tu ne m’en veux pas, que tu n’as pas oublié ce jour où j’ai promis de toujours revenir auprès de toi. Dis-moi que tu sais qu’il n’y a qu’entre tes bras que je suis chez moi…

- Moi aussi je t’aime toujours Draco, avouai-je à demi-mots.

La Terre aurait pu arrêter de tourner, Voldemort aurait pu revenir d’entre les morts, je n’en aurais eu que faire. Draco Malfoy souriait, Draco Malfoy me souriait. Alors, la grâce nous toucha et nos lèvres se soudèrent. Notre baiser était salé et doux. Un flot de souvenir remonta à mon cerveau et m’électrocuta. Tous ces baisers fiévreux, doux, sauvages, amoureux, tous nos moments volés à Poudlard. Nos nuits dans la Salle sur Demande, dans sa chambre de préfet, nos vacances de Noël perdus dans la Salle, sa déclaration durant la dernière bataille, nos promesses, nos meurtrissures, le besoin viscérale de nous retrouver quand la guerre fut finit, nos nuits, nos conversations, nos regards, nos caresses, nos serments, nos déclarations, nos rires, nos fous-rires. Notre fin. Notre commencement. 

La valse de nos langues, ses mains dans mes cheveux, les miennes m’agrippant à sa veste, notre désespoir. Cela ne faisait pas partie du passé. C’était le présent, c’était la vérité pure. Ses gémissements, le goût de ses larmes, la pression de ses lèvres sur les miennes, son corps tout contre le mien. Nos cœurs battant à l’unisson. Ma certitude de l’aimer plus que de raison. Ma certitude que son amour pour moi valait ce que je ressentais.L’espace d’un instant, je nous vis tous les deux vieux, ensemble jusqu’à la toute fin. Haletant, je posai mes mains sur son torse et le poussai le plus doucement possible. Il embrassa une dernière fois mes lèvres et son front se posa une nouvelle fois contre le mien. Ses yeux brillaient un peu plus, ses lèvres étaient rougies, ses joues rosées. Je lui avais transmis mon feu, il m’avait donné sa glace. Le monde était en équilibre, notre monde était enfin en ordre.

- Je t’aime Harry, dit-il d’une drôle de voix cassée. Pour toujours.

- Tu tournes Poufsouffle, souris-je.

- C’est vrai, dit-il en fronçant les sourcils. J’ai, comment dire ?, un peu perdu le contrôle de mon cerveau.

- Draco Malfoy, dis-je en posant mes doigts sur ses sourcils pour les remettre en place, le Prince des Poufsouffles. 

Il s’esclaffa et je ne pus que me ravir de voir le Prince Glacé rire, réchauffant ses traits et mon cœur. Un léger raclement de gorge se fit entendre, nous nous rendîmes tout à coup compte que nous n’étions pas seuls au monde mais bien dans une rue. Je me rendis également compte que Draco n’était pas seulement mon Draco mais bien Draco Malfoy le chef des Aurors, le chef des Aurors fiancé. Alors, les joues rouges nous nous séparâmes et, d’un même mouvement, nous tournâmes la tête pour voir à qui nous allions être obligé de lancer un Oubliettes

Astoria Greengrass était là, devant nous, dans sa belle robe fourreau blanche. Ses longs cheveux tombant en une cascade parfaite sur ses épaules. Elle était là, à nous regarder, les yeux brillants de larmes, les doigts refermés sur le solitaire à son annulaire gauche.Sans réfléchir, je posai ma main sur ma baguette, coincée dans mon dos mais elle me regarda, l’air peiné et secoua doucement la tête. Elle paraissait faible, triste et elle frémissait. L’air de la fin Novembre était froid et elle n’avait pas son fiancé pour la réchauffer. Draco ouvrit la bouche mais avec le même regard, elle le fit taire. Elle s’avança de quelques pas, attrapa la main de Draco et glissai quelques chose entre ses doigts.

- Je… Je me demandai quand tout cela allait finir, lança-t-elle d’une voix brisée. Je savais que notre mascarade allait finir, je l’ai su dès la première nuit, quand tu ne m’as pas touché et que tu as cauchemardé Draco. Cette nuit là, tu pleurais dans ton sommeil, tu voulais mourir parce que tu avais froid et que Harry n’était pas là. Cette nuit là, j’ai pris ta main et je me suis fait le serment de ne pas me mettre entre vous mais je voulais tout de même profiter un peu de toi. Aujourd’hui, quand nous sommes entrés dans cette réception et que vos regards se sont croisés, j’ai su que c’était finit, que mon tour était passé. Je vous ai regardé sortir, je vous ai écouté, je t’ai entendu dire des choses qui n’ont jamais franchies tes lèvres lorsque nous étions tous les deux. J’ai aperçu ce qu’était l’amour alors je me suis rappelé de mon serment et je l’ai tenu. Toutes les personnes à l’intérieur m’ont oubliée et pour eux, rien ne serait plus normal que de voir Draco Malfoy au bras de Harry Potter. C’était simple, la force du désespoir on appelle ça. J’ai espéré que tu finirais par m’apprécier Draco mais tu ne peux aimer qu’une seule personne et c’est à Potter que tu as donné ton cœur. Prends en soin Harry.

Draco ouvrit la bouche mais Astoria transplana accompagnée de l’habituel « pop » et nous nous retrouvâmes de nouveau seuls. La donne avait changé mais je n’arrivais pas à en être heureux. Draco ne disait rien, il avait seulement ouvert ses doigts sur la bague qu’il avait offerte à Astoria. Je n’arrivais pas à saisir ce qu’il se passait en lui, après tout, les traits et les pensées de Malfoy n’avaient jamais été claires pour moi. L’espace d’un instant, je vis le Draco de Poudlard. Celui à l’air froid, distant et méprisant.

Celui qui ne ressentait pas.

Et j’eus peur, je fus viscéralement effrayé. Mon Draco avait disparu. Dans un grognement rageur, il jeta la bague de Astoria et tomba à genoux devant moi. Il enfouit sa tête dans mon giron et fus secoué de sanglots. Je ne compris plus ce qu’il se passait, me contenant de laisser trainer les doigts dans ses cheveux. Je ne pus m’empêcher de penser que cette Astoria l’aimait vraiment beaucoup, elle n’avait pensé qu’à son bonheur là où moi j’étais salement égoïste.

- Tu m’aideras hein ? Sanglota-t-il comme un enfant.

- Toujours, répondis-je la voix cassée.

- Tu me supporteras n’est-ce pas ? Toutes les facettes de mon être hein ?

- Toujours, répétai-je.

- Tu m’aimeras toujours ? Lança-t-il d’une petite voix.

- Toujours, assurai-je la voix brisé par un sanglot.

Il sortit une chaine de sous sa chemise, la détacha et attrapa la bague qui s’y trouvait. C’était une petite bague à dix Gallions d’or qu’il avait acheté sur un coup de tête lors d’une de nos journées à Prés-Au-Lard. « Pour le jour où on sera assez vieux pour pas avoir l’air con en se fiançant. » m’avait-il dit en la rangeant dans la poche de sa robe de sorcier. Il me regarda hésitant. J’hochai timidement la tête et éprouvai une douce chaleur quand il la passa à mon annulaire gauche. Il se releva, m’embrassa tendrement puis m’offrit son bras, se recomposant le visage de Monsieur Malfoy, le chef des Aurors.

Ensuite, nous retournâmes dans la salle où rien ne semblait avoir changé. Le Premier Moldu parlait avec le Premier Ministre, le drôle de liquide Moldu circulait dans la salle et Ron jouait toujours avec son portable.

- Monsieur Malfoy, lança le premier Ministre, laissez moi présenter votre charmant fiancé au Premier Ministre Moldu.

- Avec plaisir, lança affablement Draco. Monsieur, voici Harry Potter, mon seul espoir dans la vie.

- C’est donc vous le garçon qui à survécu , souffla le Premier Moldu. Que faites-vous dans la vie maintenant que la guerre est belle et bien terminée ?

- Je suis professeur de Défense contre les Forces du Mal, lançai-je avec un sourire, sentant la main de Draco toujours sur la mienne. 

- Un professeur ! Lança-t-il avec un sourire. Oh, excusez-moi mes chers, ma femme me fais signe. Et comme vous le savez sûrement, on ne laisse pas attendre celle qui partage votre vie. Je suis ravi de vous avoir rencontrez Monsieur Potter. Monsieur le Premier Sorcier, Monsieur Malfoy, salua-t-il avant de prendre congé. 

Nous saluâmes également le Premier Ministre puis, d’un commun accord, nous nous dirigeâmes vers Ron. Il n’était plus seul à la table, Hermione était assise à ses cotés, une petite boule de cheveux engoncée dans une petite robe de sorcière avec un petit lion sur le cœur. Je souris. Ron, Hermione et Rose étaient beaux et heureux.

- Salut Mione, lançai-je en m’installant le plus naturellement du monde sur les genoux de Draco. Rose, tu es tellement belle habillée comme ça…! Mione s’est enfin décidé à te faire sortir.

- Que veux-tu Ry, répliqua Hermione, va savoir pourquoi mais Astoria Greengrass m’a fait promettre d’être heureuse et de toujours profiter de ma famille au maximum, maintenant que toi et Draco êtes officiellement ensemble et que vous être ce que l’on peut nommer le début d’une famille. 

Je souris et enfouis mon visage dans le cou de mon… fiancé. L’égoïsme avait un doux goût et je me mis à prier pour que Astoria finisse elle aussi par être heureuse, elle avait une grande âme. Mais le Destin avait décidé que mon seul espoir de bonheur soit Draco Malfoy et j’avais toujours cru à la Destinée.

Je croirais toujours à mon fol espoir et à nos battements de cœur. 

Toujours.

 
     
     
 
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