-Salut à tous ! Nous sommes de retour!! Pour vous jouez un mauvais tour…

-Ehhh tu vas bien ?

-C’est bon j’arrête, si on ne peut même plus déconner !

-T’es sur ? Tu ne veux pas que j’appelle les très gentils messieurs en blanc pour qu’ils t’emmènent dans un endroit charmant qui se nomme asile psychiatrique et où la nourriture est …

-Bon blague à part, la review de Poo nous ont beaucoup touché et pour te remercier nous avons décidé, (d’un commun accord), de te répondre donc... Ne t'inquiète pas pour les fautes d'orthographe et pour la vise en valeur des dialogues, on a réglé ces petits problèmes. Nous (oui nous et non je) espérons la suite va te plaire.

-Voici donc la première partie du chapitre 2.

Je tenais à préciser qu’il était coupé en deux parce qu'il était trop long et que ma coopératrice veut que les chapitres soient bien équilibrés. Il faut la comprendre, elle est perfectionniste !

-C’est faux !!

-Oui elle a raison, elle est énormément perfectionniste et en plus soupe au lait !

-Expression choqué, aucun mot ne peut refléter le sentiment qui s’empare de moi…

-Ça serait bien si ça arrivé souvent (murmure).

-J’AI ENTENDU !!

-J'ai dû l'acheter avec des paquets de bonbons pour obtenir qu'on poste plus tôt la suite. Alors voilà!

--Ah au fait, Bonne lecture à tous!!

2 : Décente aux enfers - Première partie

Cet horrible tas de ferrailles de couleur criarde, qu'ils osent appeler un train, s'arrête avec perte et fracas, ce qui a pour conséquence et pour ultime sacrilège de me réveiller. Tout ceci est suivit de cris d’indignation et s’accompagne d’une secousse qui en temps normal m'aurait encore fait tomber comme chaque année. Mais étant donné que je suis vautrée sur la banquette et au bord de l'indigestion (tout cela est dû bien entendu à toutes ces petites merveilles de la gastronomie magique), je n’échappe qu’un piètre gémissement et ne bouge même pas d’un centimètre. Ne vous moquez pas je vous prie. Je vous signale qu’en une journée, mes camarades et moi-même avons dévoré un tas de friandises qui rassemblées devaient au moins faire notre poids à toutes les trois et je vous jure que même si Maud est mince et petite, elle pèse beaucoup plus que Laora et moi qui sommes beaucoup plus grandes qu’elle. Mais ne lui dîtes que je vous les dis, cette information est confidentielle et si elle apprenait que je vous ai révélé son sombre secret, elle m’arracherait les yeux.

Mes revenons à mon ennemie numéro un, en tout cas pour c’est trois ou quatre minutes. Je vous parle bien entendu des merveilles de la gastronomie magique. Ne me regarder pas comme ça, ce sont les mots de Maud, moi je dirais que ces choses ne sont qu’un truc sournois qui vous donne envie et qui vous donne des envies de régurgiter ces merveilles quand elles sont avalées!

Je dois me lever. Je concentre mes dernières forces à faire cette action héroïque. Il faut que je le fasse pour montrer l’exemple car si je le fais, elles le feront aussi. Belzebuth est allongé sur le rebord de la fenêtre. Je me demande ce qu’il fait là d’ailleurs, lui qui a d’habitude des goûts de luxe. Il me regarde avec son petit air sournois de d’habitude et chose étrange avec une étincelle dans les yeux. On dirait qu’elle oscille entre la pitié et la moquerie. Même cet ingrat petit quadrupède qui dépend entièrement de moi, je vous signale que je dois servir à monsieur une sardine et du saumon à chaque repas dans son écuelle en argent (c’est très important l’écuelle sinon il ne mange pas, monsieur se prend pour une diva), il ressemble d’ailleurs sur certains points à Maud quand il s’agit de nourriture. Enfin bref, ce matou ose se moquer de moi et en plus je lui fais pitié. Vous imaginez, je fais pitié à MON CHAT ! Je suis tombé bien bas.

Tiens, Laora me dis que la force est avec moi, qu’est-ce qu’elle baragouine encore ? Toujours aussi allumée celle-là, mais c’est pour ça que je l’adore ! La force, qu’elle force ? Elle parle peut-être de celle qui me permettra de ratatiner Black, ensuite quand je l’aurais réduit en cendre, je m’occuperais du vieux fou que l’on a pour directeur puis ça sera au tour du Ministre de la Magie et enfin je pourrais diriger le mon… Pendant que j’élucubre dans mon coin des plans machiavéliques pour faire la conquête du monde, Maud, par contre, a tout pigé (comme elle dit) et se vautre un peu plus sur la banquette en éclatant de rire. Je lui dis de refermer la bouche avant que ces merveilles ne viennent nous dire le bonjour et qu’elles refassent la tapisserie du compartiment.

Dès fois, je ne comprends rien à ce qu’elles disent, c’est sans dû au fait qu’elles viennent d’un monde différent voir diamétralement opposé au mien. Le monde des moldus comme pour Laora ou encore le monde où c’est moitié-moitié comme pour Maud où l’un des parents est sorcier et d’origine moldu. Moi, je viens d’une lignée de sang-pur où sont encrées depuis des générations des traditions, des superstitions et des idéologies toutes plus absurdes les une que les autres. La caractéristique dominante chez ses membres est un caractère hautain et froid. Vous vous demandez sans doute pourquoi je reste avec les détritus du monde magique selon mes parents qui prônent par dessus tout la pureté du sang. Je vous réponds que ces détritus comme ils disent sont mes amies, mon univers… Mais arrêtons de parler de cela ou sinon on va plonger dans le mélo.

Je suis enfin debout et je me dirige vers la fenêtre pour avoir une vue d’ensemble du compartiment. Ce je vois me laisse ébahie et pourrait faire faire une crise cardiaque à la réincarnation d’Attila, je parle bien sûr de ma nurse tiré par quatre épingles, Miss Winkle.

Note: Penser à mettre ma chambre dans un état similaire pour me débarrasser de ce boulet que je traine depuis que je suis née. (tentatives n°114)

Globalement, j’hésite à comparer le compartiment à une pièce qui a accueillie une orgie romaine puis qui a été dévastée par des barbares ou encore à une bassecour mélangeant gorets et gallinacée (les poules) en tout genre. Quand je pense que je suis restée dedans Ça pendant toute une journée, j’en ai des frissons. Je ne sais même pas si ce sont des frissons d’horreur ou de dégoût.

-Debout, on est arrivée!

Pas de réponse, sauf si on considère les grognements produit par Maud, ce qui est son seul moyen de communication quand elle dort. Le problème est que je ne sais pas parler la langue des êtres inferieurs du troisième stade. Attendez une seconde, combien de temps j’ai mis pour me lever, parce que là j’ai peur. Elles étaient réveillées quand j’ai commencé et elles se sont rendormies pendant que je me levais !

-Debout!

Cette fois, on entend un bruit assez important qui sonne creux, je pense qu’il vient du fait que je l'ai tapée sur sa tête, je déteste me répéter.

-Aieee, merde Morgane! Ça fait mal !

Ah, elle parle enfin la même langue que moi!

-Peux-tu bouger ton arrière train et te lever je te prie. Regarde dans quel état c’est ! dis-je au bord de la crise de nerf en désignant le compartiment.

-On a fait pire.

Elle a raison en plus, bon de toute façon ce n’est pas mon affaire. Il existe des gens qui sont assez stupide pour nettoyer à notre place. Je me tourne et réveille Laora.

-Ouais je me lève, gémit-elle

Soupir. Dites moi pourquoi ces filles sont mes amies elles se plaignent tout le temps comme des gamines. Mais bon, c'est peut-être parce que ce sont les seules avec qui je m’entends ... Stop je deviens normale.

-Merde, fais chier! Y a presque plus personne dans le tas de ferrailles! S’exclame la belle et mélodieuse voix de Laora.

On se précipite vers l'une des sorties en laissant Belzebuth, qui est le dernier témoin de ce capharnaüm, seul dans le compartiment. On le retrouvera comme d’habitude dans notre dortoir tout à l’heure. Evidemment les gens qui ont fait ce train n'ont pas compris que la magie permet aussi d'agrandir les portes et non pas pris en compte le fait que dans la précipitation trois filles essaieraient en même temps de passer par la même porte. Puis de toute manière ce ne sont que des incultes.

-Ouf descendu!

-Morgane surtout ne te retourne pas tout de suite, me dit-elle avec surprise et effroi.

Je me retourne quand même, ce jour là j'aurai dû écouter Laora, jamais dans toute ma vie la descente du train ne fut si abominable. Et pourtant ce macaque et le têtard à lunettes, appelé plus communément Black et Potter, m’en n’ont fait voir de toutes les couleurs. L’année dernière, ces sals petits cloportes m’ont jetée un sort pour que tous les vêtements que je porte disparaissent à l’exception de mes sous vêtements. J’ai donc dû descendre du train dans ce simple appareil. Même si à l’extérieur j’avais l’air décontractée et sereine, à l’intérieur je jouais le remake de l’éruption du Vésuve qui a dévasté Pompéi. J’ai appris plus tard que c’était l’idée de cet immonde ouistiti, cette année sera donc son exécution en place public. Il me paiera ça.

Mais revenons dans l’un des pires cauchemars de ma vie, car là devant nous se trouver …

Fin de la première partie du chapitre 2

-Hihi, la fin doit vous laisser sur votre faim, c'est le but rechercher, vous vous dites sûrement « Quelle bande sadique! », en plus la suite est déjà écrite.

-La suite le plus vite possible.

-Et n'oubliez pas de laisser des reviews, je veux pleins de reviews (snif)

-Sèche tes larmes ma didi, ils vont en laisser pleins.

-Tu crois? (je sèche mes larmes dignes d'une actrice hollywoodienne)

-Mais oui. (autant bien rentrer dans son jeu.)

-Allez à plus et n'oubliez pas toutes les reviews sont les bienvenu que se soit positif ou négatif, à près tout « le phœnix renaît de ses cendres »

-Ça, c’était trop pourri comme réplique (mdr).

-Jalouse va…