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Le bohneur un mot ephémère ou éternel ?
Par Hikary
Naruto  -  Action/Aventure/Fantastique  -  fr
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Chapitre un

-         -          -         SAKURAAA !! 

Hum… je croirais entendre quelqu’un crier mon magnifique prénom.

 -         -          -         Mademoiselle Haruno !!

 Oui, en effet,  on était en train de m’appeler. D’ailleurs, en me concentrant, je remarquais que c’était une voix Ô combien mélodieuse et douce !

Cette  voix de velours devait sûrement appartenir à un très beau jeune homme !

 J’ouvris alors délicatement mes yeux pour ne pas être agressé par la lumière vive du jour.

Ce que je vis me laissa pantoise et dubitative… Ahhh ! Vision d’horreur !  

Je vous explique :

 là où se trouvait normalement la divine apparition qui m’appelait de sa voix paradisiaque, se tenait en réalité mon repoussant et détestable professeur de physique-chimie, le grand Orochimaru-sensei, plus communément nommé «  le serpent, la momie,  tronche de snake », et encore de bien d’autres façons par mes aimables camarades de classe.

Bien sûr, ce genre de sobriquet ridicule n’était utilisé qu’en dehors des cours. Personne ne se risquerait à l’appeler comme cela en  classe, ce qui était totalement compréhensible.

 Parce qu’avec son teint jaunâtre, ses dents pointues et ses énormes yeux perçants, il me ferait  presque peur !!

 Bon d’accord, j’avoue. Il me faisait peur et encore c’était  un euphémisme:

 il me terrorisait tout bonnement. Franchement dans le genre misanthrope, tyrannique et sadique y’avait pas mieux. C'était le grand gagnant, le winner intersidéral.

Mise à part sont physique abject, je remarquais que cela faisait à peu près cinq minutes qu’il essayait de communiquer avec moi.  Enfin, communiquer c’était vite dit, il me hurlait plutôt dessus en lâchant quelques postillons de temps à autre.

 Quand je vous dis que c’était  un homme charmant ! Plus raffiné et glamour que lui y’avait pas !!  

 Après un énorme effort de concentration, je parvenais à sortir de mon ébahissement pour enfin comprendre ce qu’il me voulait. Il me demandait de répondre à la formule inscrite au tableau

Whaaa ! Mais c’est quoi cette formule ? Pensais-je, je ne connais pas la réponse moi ! 

 -         -          -         Mademoiselle Haruno, j’attends. Répondez et dépêchez-vous, je commence à perdre patience !

 Et bien là mon coco, tu vas attendre longtemps ! Je ne suis pas Einstein moi !  

Bon apparemment mon vénérable professeur ne connaissait pas la définition du mot patience. Je pris alors mon courage à deux mains et je lui affirmai :  

-         -          -         Je suis navrée sensei, mais je ne connais pas la réponse. 

-         -          -         je m’en serais douté ! Quand on passe son temps avachi sur sa table à dormir, c’est logique que l’on ne connaisse pas la réponse mademoiselle Haruno.

 Là, il n’avait pas tord.

 -         -          -         Puisque vous vous trouvez assez intelligente pour ne pas suivre mon cours,  Mademoiselle Haruno, allez donc faire un tour dans le bureau de notre directrice. Vous pourrez lui expliquer que vous êtes trop brillante pour mes cours de seconde catégorie !!

 Euh, c’était vraiment attentionné de sa part mais je préfèrerais encore rester dans son cours plutôt que d’aller faire un petit coucou à la directrice.

 Elle allait encore me traumatiser.

Franchement plus hystérique qu’elle y’avait pas.

 Même si ma vie était minable, j’aimerais bien vivre encore un peu.

 Mais apparemment mon petit sensei adoré n’était pas du même avis que moi !

 Pourquoi le monde était si cruel avec moi ? 

Alors,  avec une douceur sans nom,  il me dégagea littéralement de sa salle de cours sous les moqueries des élèves présents !

  Génial. C’est absolument génial ! De toute façon,  je n’irais pas dans le bureau de la directrice, j’irais plutôt aux toilettes pour me rafraîchir un peu parce que lorsque que j’étais dans les bras de Morphée, j’avais encore fait un cauchemar. 

 J’en faisais tout les soirs généralement, ça devenait lassant et inquiétant.

  Pourtant, dans mon enfance, je n’étais pas sujette à ce genre de tourment.  Et maintenant tous les soirs c’était le même calvaire, la même obsession. J’aimerais tellement dormir d’un sommeil sans rêve.

 Ce genre d‘événement s’était manifesté le jour où ma mère était tombée gravement malade. 

 Ma mère, mon pilier, mon attache dans cette vie ou la pitié et la compassion n’ont pas leur place.

Ce fut grâce à elle que j’arrivais encore à vivre. Autrement, je serais tombée dans les méandres des ténèbres il y’a bien longtemps. Je secouai la tête brusquement et me fis violence pour m’empêcher de songer à ces choses douloureuses. 

 Pour éviter de retomber dans les catacombes de mes pensées,  je me concentrai sur le triste paysage de mon lycée. 

A droite et à gauche, il y’avait des casiers en métal délabrés et ravagés par le temps.Le carrelage sous mes pieds n ‘était plus immaculé comme autrefois, il était couvert de crasse et d’immondices en tout genre. Cela me répugnait. Malgré le fait que le lycée ait des moyens financiers limités, il pourrait tout de même faire un minimum d‘efforts pour rendre cet endroit un peu plus attrayant. 

Je bifurquai à gauche pour me retrouver dans le couloir menant aux toilettes. Sur la route, je croisai un groupe de personnes puant la coloration et le maquillage à plein nez. 

C’était les reines du lycée, des poupées sans cervelle qui possédaient plus de défauts que de qualités.

La liste était longue : narcissiques, égocentriques, prétentieuses, présomptueuses, hautaines…  

Ce genre de filles, je les évitais comme la peste. Pas pour leurs défauts, non. Elles se donnaient seulement un rôle pour se faire remarquer. Elles aimaient se faire idolâtrer et aduler, chacun sa méthode pour sortir un peu du lot ! 

 Non, moi je les évitais simplement parce que ma sœur faisait partie de leur clan.

  Ma sœur, Kira Haruno, était de deux ans mon aînée.

Elle avait donc dix-neuf ans et c’était le contraire de moi aussi bien physiquement que mentalement. Elle avait de magnifiques et soyeux cheveux longs et ondulés d’un bruns cuivré ; des yeux bleus nuit en amande, une peau halée et scintillante, ainsi qu’une taille élancée et avantageuse.  Et pour ne rien gâcher, elle était filiforme et gracieuse. 

Alors que moi, je n’avais rien d’atypique.  J’avais des cheveux roses, des yeux couleur émeraude, j’étais petite et pulpeuse. Pour finir, j’avais le teint blafard et blême. J’étais tout de même jolie,  mais je n’arrivais pas à la cheville de Kira qui tenait de  ma mère. Je ne leur ressemblais en aucuns points. Je m’étais toujours demandée pourquoi d’ailleurs.  

Elle me lança un regard méprisant et continua sa route avec ses amies.  

Au lycée, elle m’adressait très peu la parole,  sauf pour me rabaisser. Sinon elle m’ignorait. Cette insuffisance ne me touchait guère, au contraire. Elle ne m’aimait pas, moi non plus, c’était aussi simple que ça

.  Sinon, mentalement, ma sœur vivait plutôt dans le monde de Barbie. Elle croyait que Ken allait tomber du ciel et l’amener loin. Elle pensait  aussi naïvement que, plus tard, elle serait une grande actrice ou une chanteuse. Elle vivait dans un monde chimérique et irréel.

 Moi, j’étais  plus terre-à-terre, plus réaliste.  J’avais comme ambition de travailler dans le journalisme, l’écriture ou le social.  

Même si pour l’instant mes notes ne suivaient pas mon ambition, dues à mon travail du soir,  au bar, pour payer les médicaments de ma mère et subvenir aux besoins de ma famille, je m’accrochais et persévérais pour réussir.

 En pensant au travail,  je devrais me dépêcher,  je devais rentrer m’occuper de ma mère pour  ensuite aller travailler.

 Je passai donc vite aux toilettes et me dirigeai vers mon arrêt de bus.

  En l’attendant (il passait toutes les demies heures),  je m’abandonnai  à passion favorite : l’écriture.  

J’aimais m’imaginer dans des mondes fantastiques peuplés de vampires et de dangers.  

Mais ce que je ne savais pas encore c’est que parfois,  la fiction rejoint la réalité.  

Et cela, j’allais l’apprendre a mes dépends !  

 

 Fin du 1er Chapitre. J’espère que ce chapitre vous a plu !  

Un petit commentaire est toujours le bienvenue =). 

Merci d’avoir pris le temps de lire, 

Bisous à tous.

 
 
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