manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Comment détruire toutes les bonnes bases de Disney
Par Colbie Caprice
Harry Potter  -  Humour/Action/Aventure  -  fr
3 chapitres - Rating : K+ (10ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 3     Les chapitres     3 Reviews    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Chapitre 3

Comment détruire toutes les bonnes bases de Disney

Oyé, oyé! Me revoici avec le troisième chapitre : j'avoue que la pression était très haute et j'espère que ce chapitre aspira à vos attentes!

Bon, trêve de bavardage et plongeons dans l'horrible forêt des Malheurs!

Colbie –xxx-

P-S : Désolée pour le retard et je vous offre (bien que je sois assez en retard, je le reconnais) mes meilleurs vœux pour la nouvelle année et le temps des Fêtes!

Chapitre 3

Un carrosse en forme de citrouille n'étant pas le summum de la discrétion, Marietta se vit obliger de débarquer, avec son prisonn... euh, ami Dumby, à la douane qui séparait Fort Fort Lointain. En effet, depuis que le Prince Charmant avait causé un attentat, les autorités se trouvaient beaucoup plus pointilleuses quant aux véhicules bizarres...

Tandis que leur chauffeur contrebandier (information qu'apprit Dumby lorsqu'il tomba tête première dans un sac de cocaïne) foutait le camp, Marietta, s'essuyant le front du revers de la main, le regarda et dit :

- Et là, on fait quoi?

Les dents serrées, Dumby retint un soupir d'exaspération : pendant les trois heures durant lesquelles ils s'étaient fait secouer dans ce carrosse qui ne connaissait manifestement pas les freins de suspension, il lui avait expliqué le plan sans faille qu'il avait élaboré. Bon, sans faille, il faut se comprendre... Disons qu'il était aussi sans faille que pouvait l'être un plan confectionné à la va-vite lorsque vous êtes pris en otage par un monstre d'avarice qui se fout manifestement de l'issue de la mission. Néanmoins, le lutin avait une stratégie; une stratégie remaniée à plusieurs reprises, mais une excellente stratégie quand même.

Êtes-vous prêts?

Il s'agissait tout simplement de faire tout lui-même et d'empêcher Marietta de foutre le bordel en faisant un truc étrange et relativement inutile, par exemple insulter un vigile armé ou encore uriner contre un château centenaire.

Entendons-nous tout de suite pour dire que ce n'est pas avec ce genre de plan que les Grecs auraient gagné Troie mais compte tenu de sa coéquipière et du fait que la première version du plan consistait à sacrifier la jeune fille aux Dieux, ce plan n'aurait sans doute pas pu être mieux.

Donc, Dumby prit une grande inspiration et s'exclama :

- N'ayez craintes, Marietta. Sachez que je suis là pour vous protéger!

- Le jour où tu arriveras à me débarrasser de cette tache verte et à briser ce satané bocal de qualité nettement inférieure, on reparlera de «protection», Will Smith! s'exclama assez sèchement notre cruche adorée qui se la pètait un peu trop.

Les deux s'engagèrent donc dans l'immense forêt, une forêt autrefois verdoyante, chaleureuse et emplit d'animaux tous plus beaux les uns que les autres et qui s'amusaient gaiment entre eux. Aujourd'hui, la biche se faisait bouffer par l'ours qui lui était rongé par les puces et les branches mortes jonchaient le sol.

Un accueil chaleureux et pas du tout inquiétant, quoi.

- Je sens que tu t'inquiétais vraiment trop, Dumby. Il me semble évident qu'aucun évènement troublant et hors du commun ne pourra nous arriver dans cette forêt détruite par la pollution, s'exclama Marietta d'un air confiant.

Dumby, pour sa part, appuya son front contre la paroi du bocal : il ne pouvait que croiser les doigts, ou encore sa barbe.

Une trentaine de mètres plus loin, Dumby recommença enfin à respirer : rien de dangereux ne s'était encore manifesté et avec Marietta, on pouvait s'estimer heureux qu'ils n'aillent pas explosés.

Toutefois, Marietta, qui gambadait joyeusement au travers des charognes éventrées, s'arrêta brusquement, secouant le bocal de Dumby.

Pour la troisième fois en deux jours, Dumby s'était encore trompé : à savoir qu'un Marietta était plus dangereuse qu'un chauffard drogué revenant d'un réveillon de Noël et qui refuse de passer par le barrage de police.

- Qu'y a-t-il, cette fois, mam'zelle Marietta? demanda-t-il de sa petite voix flûtée.

Un escadron de bourdons? Non, ça, c'était arrivé tout à l'heure...

Une rencontre avec ces foutus sept nains? Il n'aurait plus manqué que cela : qu'il rencontre ses vieux ennemis, ceux qui avaient gagné la bourse d'étude à Lutin Académie!

Manifestement, ce n'est pas ce qui troublait sa compagne...

- UNE FEMME AU VISAGE VERT NOUS ATTAQUE! AHAAAAAHHHAAAAA!

- Vous n'auriez pas pu le dire avant, pauvre innocente! gronda Dumby, ses poils de barbe tout retroussés, fait que ne manqua pas Marietta qui eut quand même la sagesse d'esprit de se retenir de le traiter d'hérisson dans un moment si grave.

En effet, le lutin, les yeux fermés, était dans une sorte de transe. Il semblait très concentré, probablement en train de réunir ce qui lui restait d'énergie pour buter cette connasse verte.

Le fait qu'il était emprisonné dans le bocal de cornichon n'aidait pas non plus.

Marietta décida tout de même d'ajouter son grain de sel :

- Mais fais quelque chose, Dumby! s'écria-t-elle en secouant le bocal tandis que Pansy, qui aurait eut le temps de les buter au moins vingt fois, riait d'une manière machiavélique.

- Mouahahahahaaa! Je vais tous vous tuer! Hihihiihiiiiii...

- Cessez, Marietta, cessez! hurla le pauvre Dumby, tout bossé.

On pouvait s'inquiéter de savoir que l'avenir des commerces internationaux reposait sur une incompétente de 4 pi 8 et d'un nain emprisonné dans un bocal. Néanmoins, comme l'a déjà dit une sage personne, l'espoir fait vivre, aussi petit soit-il.

Et pour Dumby, le manque flagrant de délicatesse de la jeune couseuse de boutons fut pour lui une véritable bénédiction.

En effet, Marietta, qui avait fait huit ans de balle molle et qui avait par conséquent une poigne assez impressionnante, secoua tellement le bocal que celui-ci éclata. Un morceau de bocal fonça droit dans l'œil de Pansy qui poussa un cri strident :

- AAAH! Sales vermines! Je reviendrai pour te pourrir la vie, Marietta! RHAARG!

Et elle disparut dans un nuage de fumée rouge, laissant la pauvre Marietta désorientée mais tout de même peu illusoire :

- C'est clair qu'elle reviendra, hein, Dumby? s'exclama-t-elle en regardant l'endroit où s'était tenue la sorcière.

Elle hocha la tête puis se tourna vers lui :

- D'ici là, ça te donnera le temps de te pratiquer! C'était franchement nul comme sortilège. On a faillit tous crever! Oh, et tu me dois un bocal! Je... Dumby? Dumby?

Elle regarda tout autour d'elle, sans parvenir à voir où était son copain de lutin. Seuls les bris de verre, à ses pieds, jonchaient le sol.

C'est à ce moment qu'elle réalisa la situation. Elle était seule, dans une forêt terriblement opaque, sombre, avec des charognes ensanglantées tout autour d'elle. Dumby n'était plus là (probablement était-il allé intenter un procès contre elle) et elle aurait beau hurler, les branches mortes ne ferait que lui renvoyer son cri.

Donc, seule, mis à part le lapin qui se faisait bouffer à quelques mètres d'elle, Marietta dit la seule chose qui lui vint en tête en ce moment périlleux de sa jeune existence :

- Zut.

BOUM!

Ce fut le bruit que fit Dumby en arrivant tête première dans un tronc d'arbre.

- Aïe aïe aïe! fit-il en se tenant la tête. (J'avoue que j'ai eu l'image de Psyduck, vous savez, des Pokémon, à ce moment-là! XD Celui qui avait toujours mal à la tête?)

Soudain, il regarda autour de lui : mais où était l'effrayante forêt? Elle était toujours là mais plus verdoyante et un chemin de briques jaunes (XD Non, je n'ai pas vu le Magicien d'Oz... Cessez vos allusions!) la traversait.

Assis en tailleur, Dumby n'osait pas bouger : où était Calamity Jane? Sa crinière blonde n'était nulle part en vue et rien n'était détruit. Elle ne pouvait donc pas avoir passée ici...

Lentement mais sûrement, un immense sourire éclaira son visage : il était enfin libre!

Il écouterait désormais son copain Flitwick! Au diable les autres!

Alors qu'il se préparait à réserver une chambre à Acapulco, il s'assena mentalement une bonne gifle : l'avenir du monde des affaires était entre ses petites menottes et lui pensait seulement au plaisir! Quelle honte!

Il se remit sur ses pieds, une expression déterminée sur le visage : bon, la phase un de son plan génial (faire tout lui-même) était, sans qu'il ait fait exprès, enclenchée. Il pourrait donc aller voir le grand Scrimgeour, faire enfermer Marietta et retourner à Poudl...

- Ouh, ouh! Des bonbons à l'ananas! J'adore!

Et il partit en se dandinant les ramasser au sol, alors qu'ils se suivaient tous sur le chemin dallé.

C'est ainsi que Dumby oublia momentanément sa mission d'une importance capital pour satisfaire son péché mignon.

Le petit cordonnier Neville arpentait la forêt, son fusil la main. Il bouillonnait littéralement de rage. Comment cette pauvre couseuse de boutons avait-elle pu lui voler Dumby? C'était SON Dumby, SA propriété! Il allait la tuer et reprendre Dumby avec lui.

Repoussant les carcasses pourries et butant tout ce qui osait bouger, Neville avançait entre les arbres, plutôt écorchés. Ses parents, chasseurs professionnels, lui avaient montré cette technique infaillible : tuer avant et examiner après. Il comptait bien leur faire honneur.

Alors qu'il marchait silencieusement, il aperçut un truc bouger au loin : c'était un truc vert qui se frottait le visage. Il allait s'approcher lorsqu'il se rappela ses parents : il prit donc tout bonnement son fusil et lui en tira un bon coup dans le crâne. La bestiole s'effondra dans une flaque, raide morte.

Sans un regard pour elle, Neville, tout content de l'avoir buté avant qu'elle ne le bute, reprit sa route en sifflotant, sans se douter qu'il venait de tuer la redoutable et redoutée Pansy, responsable de milliers de faillites personnelles et de suicides.

Le plus drôle? Neville s'apprêtait à aller tuer les deux qui tentaient d'arrêter Pansy.

Ça s'appelle l'ironie, mes enfants.

Dans le Magicien d'Oz, il existe des petits êtres tout mignons, tout gentils qui vivent dans les fleurs. Ces adorables petites créatures sont les amis de la gentille fée Gilda.

Ce fut ces créatures qu'écrasa sans s'en rendre compte Marietta alors qu'elle coupait dans un champ de fleurs, le visage et les genoux écorchés. Elle ignorait comment elle avait fait pour sortir de cette maudite forêt, mais elle en avait officiellement sa claque : pourquoi avait-elle accepté de suivre ce maudit Dumby. Elle aurait du suivre son idée initiale et mettre le feu à la maison! Mais non, il avait fallut qu'elle essaie d'exterminer une sorcière maléfique. Oh, Seigneur!

Épuisée et désespérée, elle s'appuya contre un arbre : où était ce satané Dumby? Il lui avait lâchement tourné le dos! Elle avait faillit crever!

Occupée dans ses ruminations plus que noires, elle n'entendit pas arriver le truc rouge qui s'approcha derrière elle...

- Miam! Ouh, ouh! Miam!

Pendant que Marietta s'apprêtait à avoir la plus grosse peur de sa vie, Dumby, lui, s'occupait à engraisser. En effet, la lignée de bonbons s'avérait inépuisable! Il ne se rendit même pas compte que le chemin avait débouché dans une allée.

Finalement, il se redressa lorsque les bonbons furent épuisé et resta bouche bée : il se tenait devant une énorme maison en pain d'épices. Des friandises comme habitation, miam!

Alors qu'il s'apprêtait à aller la dévorer, il se rappela un truc qu'avait dit l'un de ses professeurs au collège de Lutin Académie. Pris d'un sérieux doute, il alla vérifier l'information dans son bouquin «Trucs étranges et peu morals volume 3» et vit ses doutes confirmés : il s'agissait bel et bien de la Maison en pain d'épices...

Les yeux fixés dessus, il recula tranquillement. Il se dit que ce n'était pas sa journée lorsqu'il sentit un filet s'abattre sur sa tête.

Et on est partit pour un autre tour, se dit-il sombrement.

Marietta essuyait son eye-liner dégoulinant lorsqu'elle sentit quelque chose de frais et de petit se poser sur son épaule.

Apeurée, elle tourna lentement la tête pour voir une petite fille, toute de rouge vêtue, la regarder avec un gentil sourire.

L'effet de surprise fut quand même très grand.

- Bordel de... hurla-t-elle en la repoussant.

Le Petit Chaperon, car tel était son nom, fit un bond et se retrouva pile sur un hérisson (navrée, j'avais envie de faire des rimes :p).

- Désolée, mais tu m'as fichu la trouille! s'exclama Marietta en ne l'aidant pas à se relever (elle avait apprit qu'il ne fallait jamais parler aux inconnus).

- Ce n'est pas grave, fit le Chaperon en ignorant l'hérisson fou de rage qui essayait de la mordre.

Elle s'épousseta et fit un sourire à Marietta :

- Je ne t'ai jamais vu dans le coin. Moi, je me nomme Chaperon rouge, et toi?

- Marietta, et c'est quoi ce nom de...

Marietta n'eut pas le temps de finir car un loup sortit des bois. Oui, je vous annonce ça comme ça.

- Moi, c'est Lunard, fit-il en se léchant les babines.

Marietta se dit qu'il n'avait franchement pas l'air net.

- Tu ne devrais peut-être pas lui parler, Joe, fit-elle.

Fallait absolument renommer cette pauvre fille.

- Mais de quoi parles-tu, Marietta? fit le Chaperon en serrant la patte du loup. Enchantée, ajouta-t-elle à son adresse.

- Fais toi violer si ça te chante, moi, je m'en vais, fit Marietta en s'éclipsant.

- Je t'ai enfin retrouvé, Dumby, fit le cordonnier en le serrant contre lui.

Neville avait officiellement perdu la tête, constata le lutin en l'observant bien : les mains couvertes de sang et les yeux hagards, le cordonnier faisait fichtrement peur.

- Plus rien ne nous séparera! assura-t-il à Dumby. Je vais te fabriquer une belle cage et ma femme te fera une belle paillasse.

Dumby commençait à regretter Marietta, tout d'un coup.

Enfin, plus tellement lorsqu'il la vit arriver en gesticulant, suivit de près par une gamine rouge à qui il manquait un bras. Le bras qui semblait être dans la bouche d'un immense loup qui les poursuivait. Immanquablement.

- Je n'en peux plus, marmonna Dumby en fermant les yeux.

Neville, qui chargeait son arme, fit manifestement une erreur en interprétant la phrase de Dumby :

- Moi non plus, je ne les endure plus, fit-il, les yeux fous, en visant Marietta de sa carabine.

Essayer de viser quelqu'un qui coure avec des yeux fous, vous.

Ce qui devait arriver arriva, bien sûr : la balle atteignit le Chaperon en pleine tête, ce qui ne perturba manifestement pas une Marietta occupée à hurler «C'est sa faute à elle s'il me coure après!». Avec leur chance habituelle, le loup décida de courir encore et ne s'occupa pas du Chaperon.

- Marietta! hurla Dumby en gesticulant. Essaie de lui lancer quelque chose!

Bon, ce n'était pas le meilleur conseil de sa vie, mais avec Neville et sa carabine, on ne pouvait faire mieux.

- Je vais la tuer! hurla Neville en se mettant à tirer partout.

Une balle atteignit le filet et délivra Dumby, une autre arriva dans la tête de la Sorcière aux bonbons qui sortait de la maison pour ajouter son grain de sel (en fait, elle voulait seulement leur demander d'aller se battre ailleurs) et une atteignit le loup en plein cœur.

- Merde, marmonna Neville. Cette fois, je vais l'avoir...

Marietta, tout essouffla, se planta devant eux en soufflant bruyamment. Elle tremblait comme une feuille.

- Fait tes prières, connasse, dit le cordonnier Neville en levant son arme qu'il pointa sur Marietta.

- Dumby, fais quelque chose! cria-t-elle au lutin.

Celui-ci, tout ballonné, ne pouvait rien pour elle : il avait un peu trop mangé, comme qui dirait.

Et Neville appuya sur la gachette (merci à Kate pour la correction ;))

- Quelle chance! T'as plus de balle! dit Marietta en lui balançant un bon coup sur le nez.

Dumby, qui en profita pour se libérer, se dépêcha de voler (quoique que ce fût un peu difficile) et s'apprêta à poursuivre la route vers le château du grand Scrimgeour suivit du boulet qu'était Marietta lorsque celle-ci s'exclama tristement :

- Ils sont tous morts!

Ce à quoi Dumby répondit :

- Bonne constatation, Einstein.

Voilà voilou! Était-ce à votre goût? Dites moi ce que vous en avez pensé! En tout cas, j'ai adoré faire de Neville un fou furieux!

De plus, j'ai une petite question à vous poser, va falloir être honnête ;)!

Qui sont ceux, lorsque j'ai parlé de l'allée pleine de bonbons qui ont pensé à la maison en pain d'épices?

De plus, qui sont ceux, lorsque j'ai parlé du truc rouge derrière Marietta, qui ont pensé au Chaperon rouge?

Merci de me répondre (je vous avoue que c'est juste par curiosité ;))!

Alors, je vous dis au prochain chapitre et j'adorerais avoir vos suggestions de contes pour le prochain chapitre!

Colbie qui vous aime fort fort.

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>