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Fall in love, or in the stairs ...
Par In-Your-Head
Harry Potter  -  Romance  -  fr
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Chapitre 1 : Arrivée au chateau, ou comment regretter ses choix !

Suite, au cas ou cela aurait le mérite, l'honneur, de vous plaire =D

*Croise les doigts* Bon, soyez pas trop durs, hein. Je précise que c'est toujours la première que je publie :))

Bonne lecture !


Chapitre 1 : Arrivée au chateau, ou comment regretter ses choix !

Pourquoi avait-il accepté cet emploi, au fait ? Il savait que voir tous ces gamins avec de grands sourires ne lui remonterait pas le morale. C’était pourtant ce qu’il avait pensé, quand le Professeur Mc Gonagall était venu lui proposer le poste de potions. En plus, après y avoir plus amplement réfléchi, il se dit qu’il offrait à la vieille Chauve-Souris geigneuse ce qu’elle voulait depuis toujours, et sur un coussin de velours. En prenant le poste de potions de Rogue (il ne supportait plus son travail à la boutique, mais celui-ci avait au moins eut le mérite de le faire passer avant pas l’académie spécialisée en mixtures en tous genres, et lui faire ainsi décrocher le diplôme nécessaire pour devenir professeur), il pouvait être sur que celui-ci irait droit vers la salle de classe des Défenses contre les Forces du Mal. Tant pis, il lui suffirait d’être insupportable, pour que les élèves n’est pas la moindre envie de rire, ou même d’esquisser un rictus, et ainsi, tout irait bien.

 

Il regarda sa malle, pleine à ras-bord malgré le sortilège d’agrandissement qu’il lui avait lancé, attrapa sur la commode une photo, qui représentait deux rouquins, absolument identiques, en train de faire de grands signes de la main, un grand sourire aux lèvres. Depuis les trois dernières années passées, il n’avait cessé de se dire que jamais il ne serait à nouveau joyeux comme il l’avait été ce jour-là. En fait, il ne se souvenait même plus avoir rit depuis le mois de mai 1998.

 

Il ferma la malle d’un coup de baguette magique, avant d’aller s’appuyer contre la vitre de l’appartement qu’il allait bientôt quitter, pour peut-être une année entière, et voir plus. Il avait décidé, qu’à part ses vêtements et ses photos, ainsi que quelques objets personnels, et tout son nécessaire à potions, rien ne bougerait d’ici. En se retournant et en allant jusqu’à l’armoire cadenassée, s’il l’ouvrait d’un simple sort, il le savait, il tomberait sur un flot d’affaires ayant appartenues à son frère. Il n’avait pas eu la force de les jeter, de se débarrasser des seules traces qui le reliait à un passé, pas si lointain que cela. Il laisserait tout cela dans cet appartement qu’il avait partagé avec son jumeau défunt, et ne reviendrait ouvrir cette armoire que le jour où l’écharpe s’envolerait.

 

D’un sortilège de Lévitation, il fit venir sa malle avec lui, et se dirigea vers la sortie. Il n’avait prévenu personne de sa nomination en tant qu’enseignant. Il n’avait pas envie d’entendre leurs félicitations, et tout ce qui allait avec. Il savait très bien à quoi s’attendre, et ne voulait pas sentir la main de Ron dans son dos, quand il lui dirait « Bravo, vieux frère », ou encore d’entendre Hermione sautiller sur place, en déclarant qu’elle était ravie qu’il est enfin choisie une « bonne voie » sous les hochements de tête de sa mère. Aussi avait-il décider qu’il enverrait une lettre à son père lorsqu’il serait arrivé à Poudlard, en lui demandant de prévenir tout le monde.

 

Il posa la main sur la poignée en même temps qu’il laissait sa malle choir lourdement sur le sol. Les voisins, moldus pour la plupart, aurait peut-être été légèrement étonnés de voir une malle, et bien … « se faire la malle (NdA Excusez-moi pour la [très] faible qualité du jeu de mot) ». Il sortit doucement, et ferma la porte avant de glisser la clé dans la poche de son blouson, et de descendre l’escalier, non sans difficulté, car même si la valise avait été agrandit uniquement de l’intérieur, sa taille réelle était, à l’origine, déjà encombrante.

 

Il se dirigea vers le taxi qu’il avait appelé une demi-heure plus tôt et qui, vu la tête du chauffeur, semblait être là depuis un moment déjà. Il lui confia sa valise, avant d’aller s’installer sur le siège arrière. Lorsque le conducteur se remit à sa place et l’interrogea d’un vague coup d’œil, il murmura un vague « King Cross » avant de se replonger dans ses pensées. Si le voyage ne dura qu’une demi-heure, il eut l’impression que ce fut le triple. Il donna au chauffeur exactement ce qu’il lui devait, en le voyant se renfrogner devant l’absence de pourboire. Il ne demanda rien, et prit sa valise avant de se diriger vers la gare.

 

Il regarda autour de lui, et vérifia rapidement sa montre. Il était juste à l’heure. Dans dix minutes, le train partirait. Cela lui faisait vraiment étrange de prendre le train le premier aout. Habituellement, c’était le premier septembre, qu’il se retrouvait dans l’un des compartiments. Et il y était toujours allé avec F… avec des amis. Cette fois, il se retrouverais seul, avec les autres professeur. S’il avait bien compris, peu d’entre eux avaient changés depuis sa scolarité. Il savait cependant que le professeur Trelawney était parti courir le monde, afin de trouver une personne avec un minimum de talent, capable de sentir la puissance de son troisième œil. Il y avait aussi Charity Burbage, qui enseignait l’Etude des Moldus, et qui était décédée de la main de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Il y aurait surement un nouveau professeur de Métamorphoses, sachant que le professeur Mc Gonagall était devenue directeur, et, enfin, il avait appris il y a peu que la professeur d’astronomie avait décidé d’aller travailler à Beauxbâtons, lorsque le poste s’était libéré, sachant que c’était là-bas qu’elle avait étudié, et que son école lui était chère.

 

Il passa le mur de briques qui menait à la voie 9 ¾ et se retrouva sur le quai, le train rouge bordeaux à sa gauche. Il avança lentement. Le quai lui semblait immense, sans la présence de centaines d’élèves. Il avait la sensation d’être … seul. Il vit le professeur Mc Gonagall venir vers lui, et le saluer.

 

« Bonjour, Professeur Weasley.

-Bonjour, madame la Directrice.

- Oh, vous savez, professeur Mc Gonagall suffira. »

 

Elle lui intima d’un geste de la main de le suivre. Il était assez décontenancé. Il était vrai qu’il n’avait pas pensé que tout le monde, désormais, ne l’appellerait plus George, mais professeur Weasley. C’était étrange, il fallait l’avouer. Il se lança à la suite de son ancien professeur de Métamorphoses, en ayant pris soin de faire, par un léger mouvement circulaire, suivre sa malle.

 

Il monta dans le train par l’avant, ce qu’il n’avait jamais fait avant car ces places là étaient toujours prises. Mais cette fois-ci, personne n’était là pour rendre le train bruyant. Il n’y avait dedans que des professeurs. Il entra directement dans un compartiment qu’il n’avait jamais vu, placé juste à côté de celui des préfets. En entrant, il fut surpris. Le compartiment, qu’il ne s’attendait pas à voir faire plus e deux fois la taille des autres, avait en fait la taille d’une salles de cours de Poudlard. Au moins ! Il posa ses affaires, dans un coin, où se trouvaient celles des autres professeur, et se dirigea vers la table où étaient installés les autres professeurs. Il les salua d’un signe de tête, avant de s’asseoir entre Hagrid, et quelqu’un qu’il ne connaissait pas. Il serra la main de Hagrid, avec un grand sourire qui semblait très bien cacher la souffrance qu’endurait ses doigts sous la poigne monstrueuse du demi-géant.

 

On entendit alors un grand vrombissement, et un léger soubresaut se fit sentir. Le train démarrait. Dans plusieurs heures, il serait de nouveau à Poudlard. En avait-il réellement envie ? Il n’en état pas sur. Mais il était trop tard, beaucoup trop tard, pour dire que, finalement, il s’en allait, que le poste ne l’intéressait plus. Non, il devrait assurément remplir les fonctions pour lesquelles ils s’étaient engagées durant un an.

 

Il regarda vaguement l’emploi du temps posé devant lui, et vit que, pour les autres comme pour lui, très peu de repos était accordé. Il n’avait, sur les cinq jours de travail, entre huit heures et dix-sept heures trente qu’une heure de cours libérée. Bon, il devait admettre que les récréations lui permettaient de se reposer, et l’heure et demi du midi aussi. Et puis, après tout, en comptant bien, ça ne faisait que trente-quatre heures par semaine. Trente-quatre heures, mon Dieu. C’était tout simplement énorme. Il ne savait absolument pas comment il ferait pour tenir trente-six semaines. Ils bénissaient déjà les vacances étant élève, il les chérissait encore plus maintenant qu’il était devenu professeur.

 

Après le discours de bienvenue aux nouveaux membres du l’équipe enseignante de la part de Mc Gonagall, George sut que l’homme à sa gauche s’appelait Laurent Morley, et était le nouveau professeur de Métamorphose, ainsi que directeur de la maison Gryffondor. Il était à moitié français -par sa mère- et avait sept ans de plus que George, ce qui expliquait pourquoi ils ne s’étaient jamais vu avant. Il appris aussi que deux autres nouveaux professeurs étaient parmi eux : Maélia Dantson, qui enseignerait l’astronomie, et Jessica Rowling, qui s’occuperait de l’étude des moldus. Ils purent ensuite tous se rendre où ils souhaitaient, faire huit fois le tour du wagon sur les mains si cela leur plaisait.

 

George décida d’aller s’installer près d’une fenêtre, dans un compartiment vide, où il espérait pouvoir être tranquille pour le restant du voyage. Vers la moitié du trajet, il vit passer près de la porte le professeur Morley. Il posa la main sur la porte, près à entrer, mais quand il vit Fred se renfrogner, il stoppa son geste, esquissa un léger sourire, avant de repartir, afin de le laisser tranquille. Le rouquin le remercia intérieurement, avant de se replonger dans ses rêveries.

 

Lorsqu’ils arrivèrent à destination, George s’était endormi. Il fut réveiller par une voix roque et grave, appuyée par un fort accent de sarcasme, que le Weasley connaissait plutôt bien, pour l’avoir subit pendant sept longues années.

 

« Et bien, Monsieur Weasley. Ou devrais-je dire professeur. On n’a pas l’air pressé d’exercer ses fonctions. Vous feriez bien de vous dépêchez, personne ne serait plus déçu que moi si vous repartiez pour Londres.

-En effet, tout le monde serait extrêmement déçu, si vous étiez forcé de reprendre votre place en potions. Et moi en premier, soyez en sur. Mais plutôt que de me rabaisser, peut-être devriez-vous tenter de me remercier. »

Snape fit semblant de se concentrer quelques instants, puis, dans une mimique d’abandon parfaitement réaliste, déclara :

« Pardonnez si je vous semble malpoli, mais je n’y parvient pas. »

 

Et, sans un mot supplémentaire, il repartit dans le couloir, avant de descendre du train pour rejoindre le château. George fut contraint de faire de même, bien que l’idée de rentrer à Londres ne lui sembla pas des plus déplaisantes. Il se dirigea vers la dernière calèche encore restante. Au lieu de monter directement dedans et de se faire transporter tranquillement, il s’approcha de plus près, et tendit la main. Face à lui se tenait, il se savait pour l’avoir appris en cours avec Hagrid, bien qu’il n’en ai jamais vu, un Sombral. Il s’approcha un peu plus, et sa main se posa sur son encolure. Si, de loin, il semblait squelettique, avec une peau presque mouillé, en posant la main dessus, et en fermant les yeux, il n’était pas dur d’imaginer un pelage abondant et chaleureux. Il rouvrit les yeux après quelques minutes, et alla s’installer dans la calèche. Le voyage fut rapide, et il ne se passa que peu de temps entre le moment ou il s’assit et celui ou il entra dans la grande salle pour manger.

 

Mais une fois dedans, il s’aperçut immédiatement que personne n’y était. Après tout, il fallait peut-être qu’il aille voir Mc Gonagall. Les autres professeurs, en l’absence d’élèves, devaient surement mangés dans leur bureau. Il prit alors sur sa gauche, afin de se trouver au pieds du grand escalier. Il grimpa jusqu’à l’étage du bureau du directeur, et alla jusqu’au pieds de la grande statue. Il se demanda alors comment il ferait pour rentrer, n’ayant absolument aucune idée du mot de passe. Heureusement, l’escalier était grand ouvert, et il n’eut aucun mal  monter. Il toqua deux légers coups à la porte, et n’eut pas longtemps à attendre. En effet, la porte s’ouvrit, laissant sortir, juste devant lui les quatre directeurs de maison. Trois d’entre eux lui adressèrent un grand sourire, le quatrième, Snape, passa devant lui en l’ignorant royalement. Il aurait semblé plus aimable en se trouvant face à un Scrout de Hagrid.

 

La directrice l’invita à entrer et à s’asseoir, tout en lui tendant une boite de petits gâteaux, que George ne refusa pas, en sentant son ventre gargouillé. Le décors, autour de lui, n’avait que peu changé depuis Dumbledore. D’ailleurs, le grand portrait, juste derrière le siège de Mc Gonagall, le représentait dans toute sa splendeur. Il lui fit un grand sourire, tout en le saluant de la main. Les objets, tout autour de lui, était les mêmes qu’autrefois. Le seul détail qui changeait était qu’à la place où on pouvait autrefois voir Fumseck, le phénix de Dumbledore, se trouvait désormais une petite maquette de Poudlard. En s’approchant, le rouquin put voir de minuscules représentations des professeurs se diriger vers leur lieu de vie pour l’année. Il sourit légèrement en se voyant assis, dans le bureau de Mc Gonagall, l’air fière, avec un grand sourire. Non, ce n’était pas vraiment lui.

 

« Superbe, cette représentation, n’est-ce pas ? »

Il n’avait pas fait attention à l’arrivée de la directrice, qui lui avait demandé d’attendre quelques instants ici.

 

« C’est … comme la carte des Maraudeurs, mais en relief ?

-Au non, c’est beaucoup moins utile. Cette imitation réduite représente le château tel que j’aimerais le voir. Ainsi, lorsque tous les élèves seront là, je ne verrais absolument pas ceux qui choisissent de sortir dans les couloirs, ou d’autres choses comme ça. Sachant qu’il me tiendrait énormément à cœur de les voir tous couchés, c’est-ce que je verrait. Cependant, si un grand danger plane sur Poudlard, le château deviendrait lumineux. C’est là, la grande magie de cet objet.

-C’est … amusant. »

 

A vrai dire, il trouvait très gentil de la part de son ancien professeur de souhaiter le voir heureux, mais cela n’avait pas le pouvoir de lui remonter le moral. Il ne se sentait pas beaucoup mieux qu’au moment où il était entré dans le train, un bon nombre d’heures plus tôt.

 

« Euh, pourriez-vous m’indiquer ma salle de classe, ainsi que mon bureau, s’il vous plait ? Et, pour manger, comment faire ?

-Pour manger, il vous suffit de prendre votre fourchette, mettre de la nourriture dessus, et la porter à votre bouche. »

 

La voix lui fit le même effet que quand il l’avait entendu dans le train. Il se retourna vivement, pour voir, appuyer contre la porte du bureau, le professeur Snape. Il lui lança un regard haineux, avant de se retourner vers Mc Gonagall.

 

« Severus, je vous avait demandé d’attendre dans le hall, pour vous indiquer quand reprendrait les cours de Duel.

- A vrai dire, c’est-ce que je comptait faire quand, en descendant, je suis tombé sur ce très cher Peeves qui ne se gênait pas pour dessiner des obscénités sur les sabliers. Bien que je l’en ai rapidement empêché, et ai tout nettoyé, je me suis dit qu’il serait judicieux de vous faire part de ce que j’ai vu, afin que vous puissiez faire en sorte que cela ne se reproduise plus.

-Très bien Severus, je prendrais les mesures nécessaires. »

 

George se tourna pour la deuxième fois, et vit la cape de Snape disparaitre dans l’escalier. Il remit face à la directrice, et attendit pour les réponses à ses questions.

 

« Sachant que Severus souhaite garder son bureau dans les cachots, je vous laisse celui du troisième étage, qui a appartenu à plusieurs professeurs que vous connaissez bien, comme ce regretté Lupin, ou cette chère Ombrage. Vous connaissez le chemin. Et pour manger, un elfe de maison a été mis à votre disposition. Il vous suffira de l’appeler pour qu’il vienne. Il vous prépara tout ce dont vous aurez besoin. Bien sur, dès que les élèves seront arrivés, vous mangerez comme les autres dans la Grande Salle. L’Elfe de Maison vous attendra dans votre chambre, directement relié à votre bureau. Je vous souhaite une bonne nuit, professeur. »

 

Sachant que cette dernière phrase le congédiait, il qu’il n’avait aucune question à poser, il se leva, quitta le bureau, et se dirigea vers le troisième étage, afin de s’installer.

 

OoO

Ca vous plait ? O.O

Si voui, vous n'èm' <3 Sinon ... bon, j'aime tout le monde, alors vous aussi !

Amis lecteurs ... Review ? ^^

 
 
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