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Les chroniques du Sota
Par Ryuko
Les Royaumes Oubliés  -  Action/Aventure/Fantastique  -  fr
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Ryükô

Chapitre zéro : Ryükô...

 

Au-dessus d'une forêt immense, non loin de la frontière de l'empire de Naars et Dardarom dans le continent de Fedoraland, la pluie tombé comme une cascade, à cause des nuages qui cachait le soleil, il faisait comme nuit. Les feuilles des arbres était mouillé ainsi que leur tronc, des flaques d'eau apparaissaient, tous de tailles et de formes différentes. Sur les branches, il y avait une personne, très jeune avec une grande épée dans le dos, qui sauter de branche en branche. Il avait des cheveux bruns foncés en « pique », assez long,  des yeux noirs ainsi qu'une cicatrice au niveau de la joue gauche en forme de croix. Des larmes de sang coulaient de son œil droit fermé. Son bras gauche était recouvert de sang, ses veines avaient explosé. Le jeune aux cheveux noirs se faisait poursuivre par deux grandes personnes, c'était des soldats de l'empire de Naars, reconnu grâce à leurs tenues.

 

–        J'y suis presque... Pensa le jeune, les cheveux mouillé à cause de la pluie.

 

Il remarqua la barrière de la frontière en face de lui, d'autres soldats y faisaient la garde. Un des soldats de derrière lui cria :

 

–        Arrêtez-le, c'est Ryükô Iroh !!

 

Ryükô arrêta de sauter de branche en branche et atterrit sur le sol. Sur le choc du saut, sa cheville droite se craqua mais il prit appui sur ses jambes, il se fléchit et courut vers la frontière. Les gardes ayant entendu le cri du soldat derrière lui, se mirent devant la barrière pour arrêter le dénommée Ryükô. Le jeune ferma les yeux et s'arrêta, nette, devant un des gardes. Le garde prit de l'élan pour donner un coup de poing, il écarta ses jambes pour être sur ses appuis mais Ryükô se pencha vers l'avant, évita le coup de poing et passa entre les jambes du garde et se remit à courir pour dépasser la frontière. Les gardes se mirent à courir derrière lui mais au moment où Ryükô dépassa la frontière, ils s'arrêtèrent. Les deux soldats poursuivants ne s'arrêtèrent pas et passèrent la frontière. Un des gardes de la limite de l'empire cria :

 

–        N'y allez pas !!

 

Les deux soldats ne l'entendirent pas et poursuivirent Ryükô. Ryükô arrivait dans un village, il arrêta de courir et marcha se tenant le bras gauche et boitillant. Il rentra dans le village, à cause de la pluie, il n'y avait personne dans les rues. Il vit non loin de la une taverne, illuminait par les lumières à l'intérieur. Il se retourna pour voir s’il y avait des poursuivants et il vit les deux soldats. Il tourna la tête pour trouver une ruelle sombre, il en trouva une et s'y faufila dedans. Les deux gardes s'arrêtèrent et regardèrent autour d'eux.

 

–        Il est passé où ?! Dit l'un des gardes, il reprit son souffle à cause de la course et cria. Où tu te caches, on te trouvera !!

 

Ryükô avala sa salive, il avait déjà trop souffert. Il glissa contre le mur, l'épée se planta dans le sol, comme-ci le sol était du fromage. Ryükô s'assit, leva la tête vers le haut et regarda la pluie tombé. Les larmes de sang de son œil droit, arrêtèrent de couler et l'eau de pluie étala le sang sur son visage. Il entendit le cri d'une petite fille venant de la taverne. Il se leva et regarda vers la lumière. Il vit les deux silhouettes des soldats criaient sur une petite fille. Tout le monde sortirent de la taverne et regardèrent les deux soldats, maltraitaient la petite fille. Ryükô s'approcha difficilement en traînant sa jambe droite.

 

–        Tu ne peux pas faire attention... Sale petite ! Dit un des gardes.

 

Les personnes du village ne bougèrent pas, il savait que s'étaient des soldats de l'empire de Naars et avait peur, c'était la première fois qui voyait des soldats de Naars venir ici. Un des gardes donna un coup de pied sur les jambes de la fille, elle était brune, ses cheveux cachait son visage. Ryükô était dans la foule à ce moment-là et il eut un choc au cœur, il se teint la poitrine avec le bras qu'il pouvait bouger.

 

–        Tu m'as menti... Vous êtes les pires... Pensa-t-il.

 

L'autre soldat regarda les personnes présentes autour d'eux, il avait l'air plus mature et plus vieux que l'autre soldat. Les gens chuchotaient. Le jeune soldat frappa encore la petite fille mais une voix de femme se leva.

 

–        Arrêtez ! Ne touchez pas à ma fille !

 

La femme qui cria se mit devant sa fille comme une protectrice, elle était brune, les yeux vert comme le feuillage. Le soldat sourit et prit la femme par la gorge.

 

–        Tu vas mourir pour la peine de m'avoir arrêtez... Dit-il.

 

Au moment où il serra la gorge de la femme pour l'étrangler, le vent souffla à sa direction. Sa jambe se craqua et se trouva en avant à la place de derrière. L’œil gauche de Ryükô était devenu rouge éclatant et noire, il venait de mettre un grand coup d'épaule sur la jambe du soldat. Le jeune soldat cria de douleur, il lâcha la femme et se roula par terre. Ryükô sortit l'épée de son dos et la planta dans le ventre du soldat, des cris de peur se fit entendre. Il ressortit l'épée du corps du soldat et la remit dans son dos. Le vieux soldat regarda Ryükô, qui était de dos, en tremblant. Il savait que quand Ryükô avait les yeux rouges éclatant et noirs s'était fini. Le jeune se retourna et avait le regard vide, sans émotions. La femme qui s'était fait étrangler, prit sa fille dans ses bras, elle regardait le jeune garçon comme un sauveur et comme un monstre. Ryükô pencha la tête vers la droite mais fut cogné à l'arrière de la tête par une personne du village. Il se cogna, la tête en avant, sur le sol. Cette personne regarda la femme qui s'était fait étrangler puis attrapa avec une grande facilité l'autre soldat et le prit par la gorge. Le villageois serra la gorge du soldat qui succomba après quelque seconde. Il lâcha le soldat mort et regarda Ryükô, il s'approche de lui, tranquillement mais la fille s'enleva des bras de sa mère et se mit devant Ryükô, les bras tendu vers les côtés. Le villageois mit sa main sur la tête de la petite fille, se baissa pour être en face de son visage, avec le sourire.

 

–        Écarte-toi, je ne vais rien lui faire... Dit-il.

 

La fille ne bougea pas et commença à pleurer.

 

–        Il a sauvé ma maman, ce n’est pas un soldat ! Cria-t-elle en larmes.

 

Le villageois regarda la mère de la fille, la femme détourna le regard. Le villageois se leva et alla la voir, s’accroupit devant elle.

 

–        Ce n’est pas le deuxième soldat ? Demanda-t-il, inquiet du coup qu'il lui avait mis à la tête.

 

La femme fit « non » de la tête. Le villageois était chauve avec des yeux noirs, il se toucha le crâne.

 

–        Je fais toujours une gaffe... Je me disais qu'il était petit pour être un soldat...

 

Il regarda autour de lui et vit l'autre soldat mort, transperçait au niveau du ventre. Il regarda Ryükô couchait sur le sol puis regarda la fille qui était en train de le retourner, difficilement. Puis son regard revint vers la femme.

 

–        Il a 1ans de plus que ta fille, je veux que tu le soigne et que tu l'élève comme ton fils... Je dois repartir mais je reviendrais l'entraîner... Il est jeune mais il a un très grand potentiel...

 

Le villageois se leva et partit dans le village en courant. Les personnes présentent vint vers Ryükô pour l'amener dans la taverne, au chaud. Un des hommes enleva l'épée du fourreau de Ryükô mais ses mains brûlèrent et il lâcha l'épée qui revint dans le fourreau du jeune garçon. Les personnes furent stupéfaite mais ne touchèrent plus l'épée et amena le garçon dans la taverne. La femme et la petite fille suivirent. Un villageois avec des cheveux et une barbe blanche s'approcha de la femme.

 

–        Que t'as dit, Akiya ? Dit-il à la femme.

 

–        Il a dit que je le soigne et que je l'élève comme mon fils.

 

Elle dit ça avec l'envie d'aider ce garçon. Le vieux monsieur regarda Ryükô, qui était couché sur une des tables de la taverne, comme un docteur. Il observa tout son corps puis il dit, tranquillement :

 

–        Il doit avoir environ 10ans. Il a la cheville droite cassé, l'os de talon ses brisés. Son bras gauche est en compote, ses veines ont éclatés quelques-unes à l'intérieur, d'autres à l'extérieur. Son œil droit a pris un violent choque. Et il commence à avoir de la fièvre. Allez me cherchez une serviette chaude.

 

Tout le monde était surpris qu'un si jeune garçon soit dans cet état. Un garçon travaillant à la taverne ramena une serviette mouillé, chaude. Le vieux mit la serviette sur le front du jeune garçon. Les villageois regardèrent encore Ryükô puis ils reprirent leurs activités d'avant. Le vieux regarda la femme et la petite avec le sourire.

 

–        J'espère qu'il sera bien avec vous.

 

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4ans plus tard :

 

Le soleil était au plus haut du ciel, le vent soufflait doucement dans le village. On entendait des bruits de musique, de chanteurs et de danseurs. Le village était en fête, il fêtait les 100ans du village cette année. Sur la place du village, il y avait beaucoup de monde du village qui dansait, on remarqua facilement une jeune fille d'environ treize ans dansait au centre. Elle était brune, les yeux vers comme le feuillage, un nez et une bouche marié avec son visage. Elle dansait avec un garçon, il avait juste un an de plus qu'elle. Il avait les yeux rouges sombres et noirs, les cheveux bruns foncés ainsi qu'une cicatrice à la joue gauche en forme de croix. Suivant la musique, le jeune garçon aux cheveux noirs prit la fille par la main et la fit danser avec lui. La musique de style rock (à la Elvis Presley), faisait augmenter vite les pas de danse mais le jeune garçon et le jeune fille arrivait à suivre. Les personnes s'écartèrent pour les regardait danser mais ceux que tout le monde regardait c'était le meneur, le jeune garçon qui n'arrêtait pas de bougé, la jeune fille s'arrêta à la fin de la chanson à bout de souffle. Le jeune garçon quant à lui continué toujours, faisant le spectacle mais il s'arrêta car une femme l'appeler.

 

–        Ryükô ! Viens nous aider !

 

Il vint en riant, sans même avoir perdu son souffle. Il se gratta la tête.

 

–        Tu peux nous aider à porter la table jusqu'ici. Demanda la femme.

 

–        Je vais la porter tout seul, je peux y arriver facilement, maman. Dit-il avec le sourire.

 

Il se mit en bout de table et prit appui sur ses jambes pour soulever la table et la mettre où sa mère l'avait demandé. La jeune fille avec qui il avait dansé vint voir la femme, la ressemblance était frappante entre les deux.

 

–        Maman, tu sais que Ryükô vient à peine de finir de soigner son bras...

 

–        Je sais mais il est beaucoup plus fort que nous et il sait soigné plus vite que la normal.

 

La jeune fille croisa ses bras. Ryükô éclata de rire.

 

–        Je vais très bien, Akimi ! Vient danser plus tôt à la place de faire la boudeuse.

 

Elle lui tira langue mais elle sourit. Elle vint danser avec lui-même si elle ne le suivrait pas très longtemps. Une personne chauve avec une cicatrice en forme de lune sur son crâne arriva sur la place du village et remarqua directement Ryükô et Akimi dansaient. Il vit la femme à qui il voulait à tout prit parler. Il s'approcha doucement d'elle avec le sourire, la femme le remarqua et ouvrit grand ses yeux.

 

–        Akiya ?! Demanda-t-elle.

 

Il sourit en guise de réponse puis la femme lui sauta dessus. Elle commença à pleurer.

 

–        Ne pleure pas, je ne suis pas mort... Dit-il en souriant.

 

Elle lui donna un coup puis sécha ses larmes.

 

–        Tu aurais pu revenir plus tôt... Dit-elle.

 

–        Non, je ne pouvais pas...

 

La femme comprit qu'il avait fait des choses assez horribles pour ne pas en parler. Elle sourit à la place et embrassa le chauve. Ryükô avait arrêté de danser et manger une cuisse de poulet. Il se mit entre les deux amoureux, ce qu'il les fait arrêté de s'embrasser. Ryükô était assez grand pour son âge mais il arrivait à peine à la poitrine d'Akiya.

 

–        Maman, c'est qui ce mec... ? Demanda-t-il en regardant la personne concerné dans les yeux.

 

Elle sourit puis fit un petit baiser sur la joue de Ryükô.

 

–        C'est ton père... Enfin tu comprends... Dit-elle.

 

La jeune fille avec qui, il dansait précédemment, sauta sur son père. Akiya la prit dans ses bras.

 

–        Je comprends maman, mais il me rappelle quelqu'un d'autre... Dit Ryükô en penchant la tête sur le côté en se grattant l'arrière du crâne.

 

La femme perdit un peu son sourire, se rappelant de ce qui avait eu. Elle s'approcha d'Akiya, qui avait posé Akimi et lui dit doucement :

 

–        Il a perdu la mémoire après ton coup, il ne sait pas son enfance...

 

Akiya ouvrit grand les yeux puis regarda son poing, il s'accroupit un peu pour être en face de Ryükô.

 

–        Je m'appelle Akiya et je suis le père d'Akimi et le mari d'Etsu, ta mère... Dit-il se rappelant de ce qu'il avait fait.

 

Ryükô pencha la tête, finissant son poulet.

 

–        Et alors ? Ta tête ne me revient pas... Dit-il, ses yeux virant aux rouges éclatant et noirs.

 

Akiya se rappela de ce qu'on lui avait raconté sur les Iroh mais il remarque que Ryükô gardait toujours ses yeux mais ils étaient plus sombres, avant.

 

–        Je sais un peu sur son passé mais pas tout et je ne sais pas si je vais lui dire... Pensa Akiya.

 

Ryükô jeta son os de poulet, qu'il venait de finir puis tendit le bras vers le visage d'Akiya. Akiya évita le poing qui arrivait vers lui, à la dernière seconde. Le jeune garçon s'était baissé pour tourner sur lui-même, la jambe droite tendu. Il fit tomber Akiya, qui se releva directement pour éviter le coup de pied qui arrivait sur ses côtes.

 

–        Ryükô arrête ! Cria Akimi.

 

Akiya fonça vers Ryükô mais il disparut du champ de vision du jeune garçon. Akiya était derrière Ryükô, il lui prit le bras droit et le bloqua, mettant le visage du jeune garçon sur le sol.

 

–        J'ai gagné, Ryükô... C'est ce que tu voulais savoir, ma puissance ? Demanda Akiya.

 

Ryükô sourit, ses yeux s'assombrirent. Akiya le lâcha puis l'aida à se relever.

 

–        T'es un sacré type... Dit Ryükô, sincère.

 

Akiya sourit puis la fête recommença dans la bonne humeur et la joie. Le soir venu, Etsu et Akimi était rentrait un peu plus tôt car elles étaient fatigués. Ryükô et Akiya était resté sur la place pour aider à ranger. Ryükô déplacé les tables facilement ainsi qu'Akiya. Après avoir tout ranger, Ryükô et Akiya se dirigèrent vers leur maison. Ryükô souriait toujours et Akiya riait en le regardant.

 

–        Quoi ?! Demanda Ryükô.

 

–        Rien... Juste que tu souris tout le temps, tu es le premier que je vois qui est comme ça...

 

Ryükô rit à son tour.

 

–        Et moi, c'est la première fois que je vois quelqu'un rire pour rien.

 

Akiya arrêta de rire mais garda son sourire.

 

–        T'es marrant comme garçon, tu as l'air d'avoir peur de rien n'y de personne. De plus, tu donnes de la joie à tout le monde. Je te le jure. Dit Akiya avec un grand sourire.

 

Ryükô sourit, ayant un compliment d'Akiya. Il rajouta :

                                                  

–        Merci. Mais dit-moi, j'ai senti que tu es là pour revoir ta famille mais aussi pour m'entraîner à devenir plus fort, je me trompe ?

 

Akiya fut surpris car il avait vu tout juste.

 

–        Oui, tu as raison. Tu analyse vite, plus vite que moi du moins.

 

Ils éclatèrent de rire. Ryükô se gratta la tête puis Akiya devint sérieux et demanda :

 

–        Je veux savoir une chose... Quelle est ton rêve dans la vie ?

 

–        Je veux que le monde soit un seul et même pays où il n'y a pas de guerre mais je veux aussi savoir mon passé, je sais juste que je trouverais les réponses à l'endroit où j'ai horreur d'y aller mais avant il faut que je vois entièrement le pays où je suis actuellement. Dit-il, avec une telle facilité.

 

Akiya sourit, voyant que son rêve n'est pas du tout banal. Ryükô se gratta la tête avec le sourire, voyant Akiya sourire. Akiya regarda Ryükô puis se rappela de ce qui s'était passé précédemment.

 

–        Dit-moi... N’es-tu pas amoureux de ma fille ? Demanda-t-il.

 

Ryükô ouvrit grand les yeux et rougit un peu.

 

–        J'ai raison, je suis trop fort. Tu as baissé ta force, tout à l'heure, quand Akimi a crié. Dit Akiya, Ryükô se gratta la tête, gêné. Mais je préfère qu'elle soit avec toi, qu'avec un autre.

 

Ryükô sourit puis ils arrivèrent chez eux, une petite maison non loin du village, l'épée était resté contre le mur de la maison. Ryükô alla se couchait directement, il dormait dans la même chambre qu'Akimi. Il la regarda avec le sourire.

 

–        Akiya a raison, je suis amoureux d'elle. Pensa-t-il.

 

 

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2ans plus tard :

 

Il faisait très chaud, le soleil était même pas encore au plus haut point du ciel. Un jeune homme, grand, musclé était sur le toit d'une maison, il regardait le ciel, les yeux rouges sombres et noires.

 

–        Je vais réaliser mon rêve, je vais partir à la rechercher de mon passé et rendre ce monde meilleur. Merci Akiya de m'avoir aidé, c'est l'heure que je parte. Regarde-moi bien, d'en haut. Pensa-t-il.

 

Il sauta du toit et prit son sac qui était devant la porte d'entrer ainsi que son épée. Il fit un cercle avec puis la rentra  dans son fourreau, dans son dos. Il se dirigea doucement vers le village. Tous les villageois et villageoises lui disaient « au revoir ». Une voix de fille se fit entendre dans son dos, il se retourna et  fut enlaçait par une brune, il mit ses deux mains derrière le dos de celle-ci.

 

–        Ryükô, tu reviendras ? Demanda-t-elle.

 

–        Mais bien sûr, Akimi !

 

Il sourit à la jeune femme. Elle lui fit un baiser sur la joue puis le lâcha. Il venait un peu de rougir et la lâcha en se grattant la tête.

 

–        Ryükô, tu sais que tu ne peux pas cacher tes sentiments, n'y tes mensonges alors fait attention à toi... Dit-elle.

 

Ryükô lui sourit puis elle enleva un collier qui était autour de son cou, il avait la forme d'un aigle, chevauché par un singe. Elle le mit autour du coup de Ryükô qui se baissa un peu. Elle garda ses mains autour du cou de celui-ci.

 

–        Je te prête mon collier en guise de promesse que tu reviendras. Dit-elle.

 

Ryükô sourit.

 

–        Garde-le, il était à Akiya.

 

Elle dit « non » de la tête puis enleva ses mains de derrière son cou. Ryükô voulut l'embrasser mais se retint car il ne savait pas ce qu'elle ressentait pour lui. Il se retourna vers la direction du village voisin.

 

–        Dit au revoir à maman pour moi, si je vais la voir elle ne voudra pas que je parte... Dit-il.

 

Akimi lui prit la main, ce qui l'arrêta. Elle se mit en face de lui et l'embrassa en fermant les yeux, elle mit ses mains derrière son cou pour ne pas l'arrêter. Ryükô fût surpris mais il ferma les yeux et le prolongea avec un petit sourire. Il arrêta le baiser avec mécontentement, Akimi le lâcha. Il commença à marchait puis mit son visage de profil en marchant.

 

–        Je t'aime Akimi, je reviendrais ! Je tiens toujours mes promesses ! Dit-il.

 

–        Je t'aime aussi. Reviens-vite. Dit-elle.

 

Ryükô sourit puis s'arrêta prit une grande inspiration et cria :

 

–        C'EST PARTIT !!!

 

Il recommença à marcher et disparut dans la forêt menant au village voisin pour après se dirigeait directement vers la capitale de Dardarom.

 
 
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