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au 31 Mai 21 :
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C'est le mien
Par EliH
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
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Chapitre 1

Me voilà avec la suite! Je dois vous avouer que sans ma lectrice expérimentée (phenixmiyavi) et sa bêta, ce chapitre serait... ignoble. En tout cas, voilà le résultat de presque une semaine d'échange et de labeur, je vous pris d'apprécier =) Il n'y a pas beaucoup d'action et l'histoire est surtout centré sur Artémis pour le moment. Bonne lecture, et Manon0511, merci encore de me suite =)

Ne gagatise pas trop sur Artémis!

Tout est toujours à JKR et je ne sais pas si le rating va virer M ou pas.

*************

 

Il regarda autour de lui. Et sourit. Des chariots, des trains, de la fumée, des cris, des gens. Beaucoup de gens.

Il regarda son père, derrière lui, rouspété contre son chariot et plaignit presque sa chouette hulotte qui se trouvait dessus. Il tenait la main de sa grand-mère et se sentait un peu agité. Peur et excitation s'affrontaient. Il avait onze ans. Il allait partir. Il allait passer une année entière à Poudlard!

- Regarde, Artémis, lui intima sa grand-mère en se baissant un peu vers lui. C'est la voie 9 ¾. C'est par là que tous les petits sorciers passent pour prendre le Poudlard Express. Je me rappelle encore quand ton père a pris son train pour la première fois. Je devais le rassurer et lui promettre de lui envoyer des bonbons tous les jours…

- Maman ! protesta le sujet de leur conversation. Ne mets pas des bêtises pareilles dans la tête de mon fils !

- Il est gêné, traduit-elle à son petit-fils avec un petit sourire.

Artémis répondit à son sourire et ils traversèrent tous deux le mur. Il écarquilla les yeux d'un coup. Un mur les séparait du territoire moldu et pourtant, rien à voir ! Des balais, des hiboux, des sorciers, des robes de toutes les couleurs. Il ne pouvait retenir ses yeux de tourner encore et encore pour tout voir. C'était la première fois qu'il voyait un tel débordement de magie. Bon, le Chemin de Traverse en était aussi un bon exemple mais ici, ce n'était pas le Chemin de Traverse !

- Mon chéri, lui intima sa grand-mère en se redressant fièrement. Caractère digne d'un Malfoy.

Artémis tenta de se redresser un peu aussi et afficha un visage fermé, même si ses yeux échappaient à son contrôle de temps en temps et observaient plus longuement un groupe d'adolescents en robe d'école ou en tenue de Quidditch.

Il remarqua aussi qu'on s'écartait d'eux et que le silence se faisait sur leur passage. Il s'en préoccupa peu, se rappelant ce que son père lui avait dit un jour.

- « Ils sont jaloux de notre prestance, ignores-les et ne les écoutes pas ».

Son père l'aida à trouver un compartiment vide et il rangea Ducray (1), sa chouette, avec sa malle, dans les filets pendant que sa grand-mère les attendait sur le quai, puis ils la rejoignirent.

Artémis sourit courageusement à sa famille. Il savait qu'il devait rester digne et fier en public. Il était un Malfoy après tout. Mais il ne put résister. Il sauta dans les bras de son père, retenant une ou deux larmes de couler. Il allait lui manquer. Il prit ensuite sa grand-mère dans ses bras et lui fit une bise sur la joue. Son regard bleu se fit plus doux et il se dit que, malgré son âge, elle n'avait rien perdu de sa beauté mais c'était normal, c'était une Malfoy aussi !

Le Poudlard Express siffla. Ce fut le départ. Draco Malfoy craqua et lui fit plein de recommandations de dernière minute : ne pas aller dans les toilettes pour filles du deuxième étage, s'il voit Peeves, s'enfuir le plus vite possible, être le meilleur dans sa classe, les prévenir en cas de problème, lui envoyer un hibou tous les jours, l'informer tout de suite dès qu'il saurait dans quelle maison il serait.

Artémis savait que toute sa famille était allée à Serpentard, même sa défunte mère. Et donc théoriquement, il suivrait le chemin de tous ses ancêtres sauf qu'il avait un plan et il comptait s'y tenir. Il acquiesça quand même, pour faire plaisir à son père. Ce dernier ne savait pas qu'il avait un compte à rendre avec son grand-père et il savait encore moins que son fils comptait le faire enrager pendant un très long moment.

Le brun monta dans le train et salua sa famille par le hublot. Il appréhendait un peu cette scolarité. Il allait vivre de longs mois loin de son père et de sa grand-mère, avec des adolescents de son âge, des inconnus. Il regarda autour de lui et eut l'impression que tout le monde se connaissait. Il respira profondément, pour cacher son inquiétude et décida de se poser tout de suite dans son compartiment et attendre l'arrivée. Il avait de la lecture dans son sac. C'est, en tout cas, ce qu'il aurait fait s'il n'avait pas retrouvé SES affaires dans le couloir, sa chouette hululant à tout va. Interloqué, il regarda par la vitre du compartiment et se sentit tout petit. Un groupe d'élèves s'y trouvait, sans doute des quatrièmes années ou plus. À la vue de la cravate verte, il comprit qu'ils étaient de Serpentard. Il prit une inspiration et ouvrit la porte coulissante. Les rires se turent et on le dévisagea. Qui était ce môme ?

- Excusez-moi, fit-il d'une petite voix tout sauf digne des Malfoy. Mais c'est mon compartiment.

Il sentit les larmes lui monter aux yeux quand les rires reprirent, cette fois-ci, contre lui. Ne pas pleurer. Ce n'est pas digne d'un Malfoy. Un Malfoy ne pleure pas. Non.

- T'es qui minus ? demanda celui qui semblait être le chef du groupe.

- Art… Artémis Malfoy.

Le silence se fit à nouveau. On le regardait méchamment à présent. Super.

- Le fils d'un Mangemort, siffla le chef. Un paria de la société donc.

Qu'est-ce que cela voulait dire ? Il n'était pas un paria de la société !

- J'ai entendu dire que sa famille avait été sauvé grâce à Harry Potter, déclara un autre garçon près de lui. Ils ont dû le payer cher pour avoir leur liberté.

- Maintenant, ils sortent de chez eux la queue entre les jambes.

Les rires reprirent. Artémis ne comprit rien du tout. Il savait juste qu'ils disaient du mal de sa famille. Intérieurement, il trouva cela cruel. Son père lui avait dit de se montrer ouvert mais de rester prudent. Il n'aurait pas dû donner son nom aussi facilement.

On le poussa hors du compartiment et la porte coulissa devant son nez. Il prit une respiration profonde et prit la cage de Ducray. Ne pas se laisser abattre, rester calme et se trouver un nouveau compartiment. Il avait tellement envie de retrouver le manoir et sa chambre…

Finalement, il en trouva un où se trouvait un garçon de son âge. Il regarda autour de lui. On l'ignorait. Bon.

Il frappa à la porte. Aucune réaction du garçon. Pourtant, l'autre ne dormait pas. Il devait être concentré sur la vue. Il ouvrit quand même la porte et y fit entrer ses affaires.

- Je peux m'installer ? demanda-t-il d'une petite voix.

Si son père l'entendait ! Merlin, il aurait honte de lui…

L'autre l'ignora. Il prit cela pour une réponse positive et installa Ducray sur la banquette. Il s'assit à son tour et sortit son livre.

Le reste du voyage se déroula tranquillement. Le chariot à friandises passa et Artémis prit un peu de tout. Une provision pour l'école. Il en proposa à l'autre mais ce dernier ne fit que lui jeter un coup d'œil avant de repartir dans sa contemplation. Bon, pas très amical lui.

Des préfets passèrent plus tard dans la journée, leur proposant de mettre tout de suite leur robe de sorcier, ce qu'il fit prestement. L'autre sortit avec son sac quelques instants plus tard et il ne le revit que sur le quai de Pré-au-lard, vêtu de sa robe de sorcier.

Un homme gigantesque appelait les premières années. Il se dirigea vers lui, comme les autres, et il dut lever très haut les yeux pour voir sa barbe.

- Bien, déclara-t-il en se retournant, je m'appelle Hagrid, je suis le professeur de Soins aux Créatures Magiques. Les présentations sont faites alors suivez-moi et faites attention où vous mettez les pieds !

Artémis regarda tout autour de lui. Son père ne lui avait pas dit comment se passerait la répartition, ni ce qui allait se passer maintenant. Il se retrouva derrière deux filles qui chuchotaient des choses perturbantes.

- Mon frère m'a dit que nous allions tester notre magie devant toute l'école pour déterminer notre maison, expliqua la brunette.

- J'ai entendu dire qu'il fallait tuer un dragon ! répliqua son amie châtain.

- Quoi ? Mais je ne sais même pas à quoi ça ressemble en vrai !

Il n'était pas le seul à ne rien savoir… son père lui avait juste certifié, en le voyant trembler de peur devant sa lettre d'admission, que ce n'était pas très pénible. Alors tuer un dragon… ça devait être une blague. Il espérait.

Le chemin se faisait de plus en plus étroit et escarpé. L'obscurité les enveloppait et Artémis pensa qu'ils devaient être en plein cœur d'une épaisse forêt.

- Vous allez bientôt apercevoir Poudlard, annonça Hagrid en se retournant légèrement. Après le prochain tournant.

Et comme devait l'attendre le géant, ils poussèrent un « Oooooh! » surpris qui le fit s'esclaffer.

L'étroit chemin avait débouché sur la rive d'un grand lac noir. De l'autre côté, perché sur le sommet d'une montagne, un immense château hérissé de tours pointues étincelait de toutes ses fenêtres dans le ciel étoilé. Poudlard se tenait là, immense, puissant, vrai monument à la gloire de la magie. La lune se reflétait sur le lac et Artémis sut qu'il n'était pas le seul à être impressionné. C'était une belle image qu'il garderait dans ses souvenirs.

- Mettez-vous par quatre sur les barques, ordonna le géant.

Le petit garçon regarda autour de lui. Il s'installa sur une des barques au hasard et attendit qu'on se mette avec lui. Avec un peu de chance, il n'était pas le seul à être perdu…

Très rapidement, trois garçons se mirent avec lui dont un asiatique. Pas un mot ne fut échangé. Mais il ne s'en préoccupa pas. Ils étaient tous un peu stressés. Faites qu'il n'y ait pas de Dragon au bout du chemin !

Ils atteignirent une crique souterraine qui devait sûrement se trouver sous le château, où ils débarquèrent sur un sol couvert de galets.

Ils marchèrent encore un moment jusqu'à arriver à la surface, puis Hagrid leur fit traverser une vaste pelouse qui s'étendait à l'ombre du château. Ils montèrent une volée de marches en pierre et se pressèrent devant une immense porte en chêne massif.

- Bon, les enfants, annonça Hagrid. Mon rôle s'arrête là. On vous attend derrière cette porte. Bonne chance.

Il donna trois coups à la porte du château et on l'ouvrit en grommelant. Un homme se tenait devant eux, l'air sévère, tout de noir vêtu.

- Pas la peine de frapper comme un sauvage, grogna-t-il en les faisant entrer.

- Marcus voyons, soupira le géant comme si cette discussion revenait chaque année. Tu sais très bien que je dois faire ça pour prévenir tout le monde !

Artémis regarda autour de lui pendant que les deux hommes se disputaient. Il savait que la Bataille Finale de Poudlard avait brisé l'école en mille morceaux. Une année n'avait pas été suffisante pour la rendre comme neuve mais les élèves avaient pu revenir étudier dès la rentrée. Quand il voyait les murs, les colonnes et les statues, il avait du mal à croire qu'une guerre avait eu lieu ici même, quatorze ans auparavant.

- Par Salazar, grogna le professeur, parce que ça devait être un professeur, encore plus de mioches que l'année dernière. Et on parle de l'extinction des sorciers ? Pff.

Le brun remarqua que le géant avait disparu et que le professeur les fixait dédaigneusement. Les premières années n'osèrent rien dire. Il n'avait pas l'air très commode.

- Bon, soupira le professeur. Je me présente, professeur Flint (2). J'enseigne la métamorphose. Et je n'hésiterais pas à vous transformer si vous faites une quelconque bêtise. Bien sûr, ça reste entre nous. Sinon, on a dû vous le dire ou vous l'avez lu, je m'en fiche : Poudlard possède quatre maisons. Serpentard dont je suis l'actuel directeur, Gryffondor, les têtes brûlées, Serdaigle pour les grosses têtes et Poufsouffle pour les petites têtes. Pour le reste, lisez « L'Histoire de Poudlard ». Bon. Qu'est-ce que je dois dire encore… oui, je vais vous emmener quelque part et vous serez répartis. C'est clair ?

Hochement de tête collectif.

- Je n'ai pas entendu ! rugit-t-il, faisant sursauter tout le monde.

- OUI !

- Bien. Suivez-moi.

Artémis espéra vraiment, de tout cœur même, à ne pas être envoyé à Serpentard. Déjà à cause de son plan, ensuite à cause de ce groupe de Serpentard qui l'avait renvoyé de son compartiment et qui lui avait fait très mauvaise impression et enfin afin d'éviter ce directeur effrayant. Il déglutit. Il devrait faire beaucoup d'efforts pour ne pas attirer les foudres du professeur de métamorphose dans les jours qui suivraient.

Guidés par le professeur Flint, ils traversèrent l'immense Hall et entrèrent dans une petite salle réservée aux élèves de première année. De là, ils pouvaient entendre le bruit des conversations à travers une porte à leur droite. Artémis se sentit vraiment serré dans cette pièce où ils étaient une bonne quarantaine à attendre d'être répartis.

Le professeur jeta un coup d'œil dans l'interstice de la porte, ne cessant de grommeler.

- Bon, ils ont fini ou pas ? Ah !

Puis il rouvrit les portes qu'il avait fermé d'un mouvement de baguette. Il leur demanda de se mettre en file et ils retraversèrent le Grand Hall pour franchir une double porte qui ouvrait sur la Grande Salle.

Artémis se sentit impressionné. Des milliers de chandelles suspendues dans les airs éclairaient quatre longues tables autour desquelles les autres élèves étaient déjà assis, chacune représentant une maison.

Il se sentit aussi minuscule quand il remarqua tous les regards posés sur eux. Certains chuchotaient à l'oreille de leur voisin en les dévisageant, d'autres leur souriaient gentiment et Artémis eut peur. Il n'était pas habitué à un endroit pareil. Il n'avait jamais quitté le manoir à part pour faire certaines courses avec son père. Il avait appris à lire et à écrire auprès de sa grand-mère et le parc lui suffisait amplement comme terrain de jeu. Il se demanda brièvement s'il avait le droit de retourner chez lui et il se le demanda sérieusement quand il remarqua avec panique, que le professeur Flint avait dit quelques mots mais qu'il ne les avait pas entendus. Qu'est-ce qui allait se passer ? Il avait posé un tabouret à côté de lui et tenait un chapeau tout rapiécé entre ses doigts.

- Abercrombie, Mia.

La jeune fille brune qui avait parlé de lancer des sorts pour déterminer sa maison, s'avança, hésitante, et s'installa sur le tabouret. Le professeur Flint posa le chapeau sur sa tête et il lui sembla qu'il bougeait.

- Serdaigle !

Les cris et applaudissements se firent entendre sur la deuxième table à gauche.

Les noms passèrent, les élèves se dirigèrent vers leur table. Artémis perdait confiance. Si c'était ce chapeau qui choisissait, il ne savait pas s'il aurait une chance de finir ailleurs qu'à Serpentard. Pourtant, certains restaient plus longtemps sur le tabouret, comme avait été le cas d'Ethan Huang, l'asiatique qui avait partagé sa barque, avant de finir à Gryffondor.

Les « L » passèrent rapidement et…

- Malfoy, Artémis.

Il déglutit. C'était son tour.

Il s'avança dignement, comme son père lui avait appris, et s'installa sur la chaise. Le chapeau fut mis sur sa tête.

« - Tiens, tiens, tiens » fit une voix ancienne dans sa tête. « Ai-je bien entendu ? Un Malfoy ? Pourtant, je reconnaîtrais un Potter dans n'importe quelle tête… »

« - Monsieur le chapeau » pensa-t-il très fort pendant que son cœur battait d'un espoir renouveau. « Ne me mettez pas chez Serpentard, s'il vous plaît. »

« - Oh ? Voudrais-tu suivre la voie de ton père ? Amusant tout ça… es-tu sûr ? Tu as été élevé par les Malfoy. Je le sens, je le vois dans ta tête. Tu as beaucoup d'intelligence, de la ruse à revendre ! Serpentard pourrait pourtant t'être bénéfique. Tu pourrais te faire une place de choix là-bas. »

« - Je vous en supplie, non. Tout sauf Serpentard! »

« - Bien, bien… alors je vais prendre la même décision qu'il y a vingt ans… »

- GRYFFONDOR !

Des chuchotements étonnés, choqués, amusés, mauvais se firent entendre partout dans la Grande Salle. Un Malfoy ? À Gryffondor ?

Pourtant, la mine satisfaite du gamin devant eux leur fit comprendre qu'il n'était pas du tout abattu par la décision du Choixpeau.

Il s'avança vers la table la plus à gauche et quelques applaudissement se firent entendre, suivis d'autres.

Il se sentit soulagé. Au moins, ils semblaient l'accepter. Ethan Huang fit une place à côté de lui et ils suivirent de nouveau la répartition.

Artémis découvrit que le garçon qui avait partagé son compartiment se prénommait Alexandre Nott. Mais il découvrit aussi que cet Alexandre Nott, qui avait été envoyé à Serpentard, soit dit en passant, possédait un jumeau, Paul, qui fut envoyé à Poufsouffle.

Lequel avait partagé son compartiment ?

La répartition se termina sur Victoire Weasley, une rousse, à Serdaigle.

La directrice McGonagall se leva et posa sa baguette contre son cou.

- Mes chers élèves, commença-t-elle avec un air sérieux. Vous voilà pour une nouvelle année à Poudlard. Je tenais à présenter votre nouveau professeur de potions, étant donné que le professeur Slughorn nous a quittés l'année dernière pour une retraite bien méritée, Pierre.

Un homme se leva, tout de noir vêtu. Il fit un mouvement de tête et se rassit sous les applaudissements.

- Merci, professeur Fowl. Ensuite, votre nouveau professeur de défense contre les forces du Mal. Comme vous le savez, le professeur Lake est tombée enceinte l'année dernière et a décidé d'arrêter l'enseignement. Il se trouve… que votre nouveau professeur a un peu de retard, suite à un rendez-vous urgent à Sainte Mangouste. Vous le verrez donc en cours. Je pense que vous avez faim alors je continuerai tout à l'heure. Bon appétit.

Les plats apparurent sur la table dans un clignement d'yeux. Artémis fut impressionné. Il réalisa aussi qu'il avait très faim et se mit à manger tout ce qui se trouvait près de lui, rapidement imité par Ethan.

La peur et le soulagement l'avaient vidé mais il ne le remarqua vraiment qu'en posant la tête sur l'oreiller de son nouveau lit plus tard dans la soirée.

*************

(1) Je ne sais pas si vous connaissez la marque de crème Ducray. Mais je l'ai vu à côté de ma table. Je me suis dit: super le nom! Adjugé vendu! Donc ça n'a pas de signification particulière.

(2) si vous avez lu « Qu'est-ce que l'amour » vous retrouverez Marcus Flint comme apprenti prof! Je cherchais un bon prof de métamorphose et son nom m'est apparu.

J'ai l'impression de réécrire le tome 1 d' « Harry Potter » mais ce n'est pas vrai! C'est juste… une façon de vous mettre dans le bain. Le prochain chapitre sera surement plus intéressant. Mais je ne vous promets pas une fiction à mourir de rire ou où tout le monde meurt à la fin sauf moi. Merci encore de me suivre =)

 
 
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