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au 31 Mai 21 :
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Conte d'un amour manqué
Par Vicodin
Harry Potter  -  Romance/Général  -  fr
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    Chapitre 4     Les chapitres     17 Reviews    
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Parle-moi de Lui

Note : Et voila le chapitre 4. Un énorme merciii a tous ! Je ne répond pas aux reviews, j’ai déjà assez de retard :D   Desoulée :$ Peut-être que j’le ferai au prochain chapitre. Bonne lecture !

 

 

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Chapitre IV : Parle-moi de Lui

 

 

 

Ainsi fini notre histoire car notre amour en fait
Brûlait ses dernières heures de gloire
Maintenant s'envole avec toi sept ans de mon passé
De mon âme et de ma mémoire

 Nuttea – Trop peu de temps

 

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Assis à son bureau, Draco relisait une dernière fois l’article sur «  l’affaire Potter  » lorsque son téléphone portable vibra dans la poche intérieure de sa veste. Il jeta un coup d’œil aux alentours et se dit qu’après une matinée de travail, il pouvait bien s’accorder une petite pause. Il sortit sur la terrasse de l’immeuble tout en regardant son téléphone. Le numéro qui s’affichait sur le petit écran n’était pas répertorié dans sa mémoire. Il fronça les sourcils. Très peu de monde avait son numéro et toutes les personnes qui avaient la chance – selon lui – de l’avoir étaient eux-mêmes dans son répertoire.

Il porta à son oreille l’objet vibrant qui semblait s’impatienter et décrocha en fouillant en même temps dans les poches de sa veste. Il trouva son paquet de cigarettes et en alluma une grâce à sa baguette magique.

 

- Allô ? 

- Draco ? Draco Malfoy ?? J’ai du mal à croire que c’est toi ! Et au téléphone en plus ! S’enthousiasma son interlocutrice.

 - Certes. Puis-je savoir à qui j’ai l’honneur de faire cette surprise, bien malgré moi ? répondit l’intéressé, d’une voix traînante.

 - C’est Hermione ! Hermione Granger, tu te souviens ?

 - Hermione.. Non ça ne me dit rien.

 - Mais si, la fille très intelligente qui te battait toujours à Poudlard, la gryffondor courageuse et héroïque !

 - Désolé mademoiselle, je ne vois pas du tout !

 - Bon d’accord, tu as gagné. La sang-de-bourbe aux dents de lapin intenable quand les profs posaient une question….

 - Haaaaaaa ! Hermione ! C’est bon, je situe !

 

Il entendit la jeune femme rire à l’autre bout de la ligne. C’était une sorte de jeu entre eux et Draco fut heureux de voir que les années ne changeaient rien aux vieilles habitudes.

 - C’est fou comme on a gagné en maturité depuis la dernière fois qu’on s’est vus ! J’ai croisé Luna récemment, c’est elle qui m’a donné ton numéro. Comme tu n’as jamais répondu aux lettres que je t’avais envoyé, je me disais que les hiboux n’avaient pas pu te trouver.  Je n’avais plus de nouvelles, je me suis inquiétée. Je suis heureuse de savoir que tu vas bien ! Alors, que deviens-tu ??

 - Et bien, figure toi que je suis journaliste pour le Magic Express, répondit le blond avec une certaine fierté dans la voix

 - Merlin ! C’est génial ! Il faudrait vraiment que tu viennes manger à la maison un soir ! J’ai tellement à te raconter, et tellement à apprendre !

 Draco sourit en voyant que la soif de connaissances de son ancienne camarade  ne concernait pas seulement les choses que l’on pouvait apprendre à l’école. Puis grimaça en se rappelant qui était le mari de son amie.

 - Promis ! Quand est-ce que Ron ne dîne pas chez vous ?

 -Draco ! s’exclama Hermione en faisant semblant d’être outrée. Puis elle prit un ton autoritaire et ajouta : Draco Malfoy, tu vas me faire le plaisir de venir dîner chez Ron et moi après-demain et tu feras un effort pour te montrer aimable envers mon mari !

 - Oui maman !

 - Bien ! Alors à bientôt Dray !

 - C’est ça, à plus Mione.

 

A peine eut-il raccroché que son téléphone se mit de nouveau à vibrer. C’était Luna. Draco s’empressa de répondre.

 - Luna ! Comment vas-tu ?

 - Très bien merci ! Je voudrais m’excuser pour la dernière fois, je suis partie si précipitamment, j’avais un rendez-vous important qu’il ne fallait pas que je loupe et….

 - C’est bon Luna, la coupa l’ancien Serpentard, tu n’as pas à t’excuser, ni à te justifier d’ailleurs. Il n’y à pas de problème.

 - Merci. Dis-moi, qu’est-ce que tu fais cet après-midi ?  Je travaille chez Evan jusqu'à 13 heures, il est partit, il ne rentrera que ce soir. Si tu veux venir, on pourra continuer notre conversation !

 - C’est d’accord. A tout à l’heure alors !

 

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12h45, quelque part dans Londres.

 Draco marchait les mains dans les poches en se rendant chez Evan. Il était étonné des changements brusques qui apparaissaient dans sa vie. Le passé revenait frapper à sa porte et quelque part, cela l’effrayait. Cela lui semblait étrange de passer tant de temps avec Luna, lui qui ne voyait en général personne. Il était heureux de revoir Hermione même si cette rencontre risquait de faire remonter des souvenirs douloureux. Sa vie actuelle se trouvait au milieu d’un cercle de Gryfindor. Lui, l’ancien Prince des Serpentard. Difficile à croire, et pourtant bien vrai.

 Arrivé sur le palier du numéro 21, Draco frappa deux coups à la porte et la réponse fut presque immédiate. Luna lui ouvrit avec un grand sourire et l’invita à entrer.

 Ils s’assirent dans les fauteuils du salon et reprirent leur conversation de la dernière fois. Luna venait de l’informer que Ginny était fiancée à un sorcier du nom d’Arthur Glenrick quand un étrange silence s’installa dans la pièce. L’issue fatale de la conversation approchait dangereusement. Ils avaient fait le tour de leurs connaissances communes. Il ne restait qu’une personne.

 - Tu sais Draco, tu peux m’en parler si tu veux…

 - Te parler de quoi répondît le blond, légèrement surpris.

 - De Harry. Depuis combien de temps gardes-tu le silence ? En as-tu déjà au moins une fois parlé à quelqu’un ? Je saurai t’écouter si tu en à besoin. Je crois que tu à besoin de vider ton sac, une fois pour toutes.

 Draco lâcha son verre sans même sans rendre compte.

 - Que... Pourquoi me dis tu ça ? Harry Potter ? Pourquoi aurais-je envie d’en parler ?

 - Excuse-moi ! s’exclama précipitamment Luna. Cela ne me regarde pas. Oublie mes dernières paroles.

 Un silence gêné s’installa dans la pièce. Draco inspira profondément, tiraillé par la peur et l’envie. Il avait imaginé vingt fois cette conversation. Il demandait à Luna si elle savait quelque chose a propos du Survivant et point final. Il n’avait jamais pensé que Luna pourrait être au courant et que ce soit elle, qui engage la conversation. Il savait qu’un jour, il aurait à en parler. Il savait qu’il fallait qu’il le fasse. Mais ce qu’il ignorait, c’est s’il y était prêt.

 - Et puis merde. Pourquoi continuer à cacher la vérité ? J’aimai Harry comme jamais il ne m’a été accordé d’aimer ainsi. Quand je m’en suis rend compte, je me suis haï d’avoir des sentiments aussi puissants pour celui qu’on m’avait appris à détester. Mais la réalité était là et on a beau la fuir, un jour on se réveille et on se rend compte qu’elle nous a rattrapé t qu’il faut faire avec. Inéluctable. Par la suite j’ai appris à accepter l’inéluctable et mieux, à l’aimer. Cette prise de conscience m’a permis de passer les meilleurs moments de ma courte existence. Grâce à lui, j’ai appris à faire attentions aux petites choses oubliées, j’ai appris à sourire et je crois que quelque part, j’ai appris à vivre.

 

Le journaliste s’interrompit quelques instants, un léger sourire plein de mélancolie ornant ses lèvres. Un léger sourire qui se transforma bien vite en une expression froide et amère.

 - Et  puis la bataille finale est arrivée.

Je croyais que ce jour là, la peur serait dans tous les regards. Qu’elle s’insinuerait dans chacun et ferai trembler les plus braves. Mais je me trompais. En observant le monde qui m’entourait, j’ai lu dans les yeux de mes alliés des sentiments que je croyais disparus. De l’amour, de la haine, du courage, de l’espoir mais surtout, une volonté féroce de vaincre. Chacun affrontait le futur comme il le pouvait mais personne ne semblait vouloir laisser la peur les subjuguer. Le désir de vengeance avait transformé ceux qui avaient perdu des êtres chers en guerriers impitoyables. Les amants sétaient découvert un désir de se battre pour ceux qu’ils aimaient ; quand aux autres, ils se battaient seulement pour avoir la possibilité d’un avenir qu’ils se seraient choisi.

A ce moment précis, alors que tant de sentiments contradictoires avec ce poison qu’était la guerre coulaient dans les veines de chacun de ces héros improvisés, j’ai compris que l’espoir n’était pas mort et qu’il perdurerait, jusqu'à ce que l’issue du combat soit précisée. Je me suis alors lancé corps et âme dans la bataille. Pour vaincre, pour que le bien triomphe, pour cette cause devenue mienne. J’ai jeté des sorts sans savoir s’ils atteignaient leur cible, j’ai couru sans savoir ou j’allais réellement, j’ai combattu pour la liberté et pour Harry.

Après ce qui m’a semblé cent heures, j’ai aperçu ce garçon aux cheveux corbeaux, le visage ensanglanté, debout au milieu d’un champ macabre de corps et de sang. Il avait l’air perdu et semblait chercher quelque chose.  Son regard vert reflétait l’inquiétude et la douleur en se posant sur chaque cadavre. Et puis ses yeux se sont posés sur moi et j’y aie lu du soulagement qui fût de suite remplacé par une onde de honte.

En le voyant ainsi, j’ai compris. Il s'est approché de moi en boitant et j’ai su qu’il avait vaincu. Le Lord noir avait succombé. La guerre serait bientôt terminée.

Arrivé à ma hauteur, un faible sourire a fleuri sur ses lèvres et il m’a embrassé avec une passion dont j’ignorais jusqu’alors l’existence. J’ai été surpris par ce geste, si déplacé sur ce terrain de boue et de sang. Autour de nous, les combats continuaient et il fallait encore se battre. Je ne comprenais pas pourquoi il agissait ainsi. Ce n’est que deux jours plus tard que j’ai saisie l’atroce signification de ce baiser.  Un baiser d’adieu, tout simplement.

Quand nos lèvres se sont détachées, il s’est reculé, comme pour mieux me voir, une dernière fois, m’a souri d’un sourire plein de tristesse et s’est enfuit rejoindre les autres pour mettre enfin un terme à cette guerre qui n’aurait jamais dû commencer. C’est la dernière fois que je l’ai vu.

 Draco prononça cette dernière phrase dans un souffle, le regard perdu dans le vide. Il sentit des larmes brulantes affluer dans ses yeux mais s’interdit de pleurer. Cette période était révolue. Le passé oublié. Il c’était promis de faire une croix dessus, d’avancer vers un autre futur. Un futur sans éclats verts, sans cheveux rebelles, sans amour. Oui, un passé révolu ! Ou peut-être pas tant que ça…

 Harry me manque. Il était la lumière dans l'obscurité qu'était mon univers. Mais ce rayon de soleil à disparu après la guerre, plongeant mon existence dans un brouillard opaque. Mon monde s’est écroulé comme un château de cartes sous une brise d’été. La disparition d’Harry à été cette brise.

La lumière avait disparu et à cette époque, j'aurai donné n'importe quoi pour avoir ne serait-ce qu'une heure d'oubli.

 

Pour ne plus voir deux émeraudes dès que mes paupières se fermaient, sous le poids de la douleur.

Pour ne plus sentir mon cœur battre plus fort lorsqu'une personne lui ressemblant croisait mon chemin.

Pour ne plus me rendre compte que ce n'était pas lui.

 

Et pour que tout cela cesse, je me suis mis à boire, parce que chaque migraine valait bien un fragment de bien être. J'ai gouté au plaisir de l'oubli et l’alcool est devenu mon salut.  

L’alcool… le suicide des lâches. En buvant, je croyais fermer ma porte à cet ennemi qu’était la solitude sans comprendre que je ne faisais que l’installer un peu plus chez moi.

Pendant quelques heures, je n’étais plus ce jeune aristocrate amoureux d'un fantôme. J'étais un homme comme un autre, perdu dans un monde bien trop grand pour lui et dont aucune pensé ne pénétrait l’esprit.

J’ai assisté à ma déchéance comme un spectateur devant une pièce de théâtre. J’ai observé sans réagir. Et j’ai coulé. Et puis quelque mois plus tard, ces heures sont devenues des jours. J’avais perdu le contrôle mon monde.

J'ai connu des femmes, jamais plus d'une nuit jamais plus d'un soir. Je leur ai fait l'amour comme si ce n'étaient pas elles. Je ne sentais pas leurs mains sur mon corps mais les siennes. J'ai eu des multitudes d'aventures d'un soir mais jamais, au grand jamais, je n'ai trouvé de peaux plus douces que la sienne. Jamais je n'ai senti de mains aussi habiles que les siennes, et  je n’ai jamais senti de plaisir aussi puissant que celui qu'il me procurait....

Draco fît une pause dans son récit. Ses mains tremblaient et son visage semblait plus pâle que d’habitude. Luna l’observa quelques secondes sans rien dire. Le chagrin du blond transperçait chacun de ses membres comme la lame d’un couteau. Chaque parole prononcée la brisait pour une raison qu’elle ne pouvait exprimer. L’homme qui lui faisait face semblait si fragile qu’elle eût soudain l’envi de le prendre dans ses bras pour lui dire que tout irait bien, que ça allait s’arranger. Mais elle n’en fît rien et garda le silence pour laisser à Draco le choix de continuer ou de s’arrêter.  Celui-ci releva la tête, lui fît un triste sourire et poursuit le récit de son passé.

Un an plus tard, on a sonné à ma porte. J’étais dans un état second et je n'ai pas répondu. Mais la personne à insisté et les paroles très peu charmantes que j'ai eu a son égard ne l'ont pas découragé. Alors je me suis levé et j'ai titubé vers la personne, dans la seule intention d'envoyé s’faire voir cet individu. Lorsque j'ai ouvert la porte, il y avait cette femme sur le perron. Je n'ai eu à la regarder qu'une seconde pour comprendre que nous avions le même problème. Que nous étions tout deux tourmentés par les démons d'un passé encore bien trop vivant. Elle avait un tas de couvertures dans les bras. Elle m'a regardé d'un air fragile et j'ai vu une lueur dans ses yeux. J'avais l'impression d'être l'ange qui vient annoncer la fin du diable. Elle m'a mis son paquet entre les bras et c'est enfuit en courant. Je ne sais pas combien de minutes je suis resté là, sur le perron de la ruine qui me servait d'abri, sans réagir. Dix minutes ? Peut-être plus. Et puis soudain, je me suis rendu compte que le paquet que j'avais pris pour un tas de chiffon remuait.

 Alice venait d'entrer dans ma vie pour ne plus jamais en ressortir. Ce qui aurait du être une erreur de plus est devenu ma plus grande fierté. Je n'ai eu qu’à la regarder cinq secondes pour savoir que c'était mon enfant, que je tenais dans mes bras. Je n’aie eu qu’à la regarder cinq secondes pour comprendre que mon monde allait enfin changer. Je n'ai eu qu’à la regarder cinq secondes pour savoir que la lumière était revenue…

 

Silence. Un verre se brise et une porte claque.

Luna releva la tête d’un geste brusque et se leva comme un automate, l’air paniqué.

- Merlin, faîtes que ce ne soit pas…

- Qu’est-ce qu’il se passe ? Evan est rentré ? demanda Draco sans comprendre toute l’horreur qui pouvait se cacher derrière cette simple vérité.

Il suivit Luna des yeux alors qu’elle accourait vers la cuisine sans pouvoir faire le moindre geste.

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Luna entra précipitamment dans la pièce pour voir Evan, appuyé contre un mur, le visage étrangement blanc, une expression d’horreur plaquée sur la figure. Il glissa le long du mur et rabattit ses jambes contre son corps.

- Evan ! s’écria la jeune fille. Comment ce fait-il que tu sois déjà rentré ? Depuis combien de temps tu es là ? Depuis combien de temps tu nous écoutes ?

Evan leva un regard empli de douleur vers celle qu’il aimait comme sa propre sœur et lui répondit d’une voix faible et tremblante.

- J’ai tout entendu Luna. Tout. Qu’est-ce que j’ai fait ? Mon dieu, Draco…

- Draco ! s’exclama soudain la jeune femme avant de se composer un visage neutre et de ressortir de la cuisine.

Elle le trouva à la même place. Assis sur le canapé rouge l’air ailleurs, comme perdu dans ses souvenirs.

- Dray ! Je suis désolée mais il faut que tu t’en ailles.

Surpris, le blond la regarda avec une lueur d’incompréhension dans le regard et se leva pour être à sa hauteur.

- Tout va bien Luna ? Qu’est-ce qu’il se passe ? C’était Evan dans la cuisine ?

- Oui… Enfin non. Excuse-moi, il faut que tu partes.

Malgré l’inquiétude grandissante qui perçait à l’intérieur du  journaliste, le ton suppliant de Luna fît comprendre à Draco qu’il devait partir. Il fît la bise à la jeune blonde et se dirigea vers la porte d’entrée, s’empêchant de justesse de passer la tête dans la cuisine pour voir lui-même ce qui s’y passait. Il lui sembla y entendre des pleurs mais il se dit que  l’étrangeté de la situation lui jouait sans doute des tours. Il ouvrit la porte, la passa puis la referma, un peu plus brusquement qu’il ne l’aurait voulu.

Quelque chose n’allait pas. Cette maison recelait des secrets trop bien protégés et ses reflexes Malfoyen reprirent soudainement le dessus. Il fallait qu’il sache ce qui se passait. Quelque chose clochait et il comptait bien découvrir quoi. Dès demain, il interrogerait Luna.

Il rentra chez lui, des dizaines de questions surfant sur la vague de son incompréhension. Il devait réfléchir à tout ca l’esprit au calme.

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Chapitre terminé :D J’espère que ça vous plaît toujours. Une tite review pour la route ? 8) A bientôt !

 
 
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