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au 31 Mai 21 :
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Conte d'un amour manqué
Par Vicodin
Harry Potter  -  Romance/Général  -  fr
5 chapitres - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 5     Les chapitres     17 Reviews    
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Deux pièces du puzzle.

Disclamer : Les personnages ne m’appartiennent toujours pas, une chance pour vous ! C’est tout de JKR :D

Note : Merci pour toutes vos reviews. Elles me font tellement plaisir que des fois j’en pleurerais >< Oui, je suis faible Uu. J’essaye de tenir compte de vos conseils. Encore merci (j’crois que j’le dirai jamais assez !)

Note II : La lettre du début de chapitre est vieille, je voulais la placer là, pour que vous sachiez le pourquoi du comment, du moins, un bout, et ce avant notre cher Draco ;)

Sur ce, Bonne lecture !

.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+

 

Chapitre V : Deux pièces du puzzle.

Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer.

[Théophile Gautier]

 

.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+

 

Harry,

Si tu lis cette lettre, c’est que je ne suis plus en mesure de te dire ce que je dois t’annoncer en face. C’est dommage, j’aurais aimé  te voir grandir encore un peu, mais je ne m’inquiète pas, j’ai confiance en l’avenir, et j’ai confiance en toi.

 Je sais qu’à un moment il faut savoir partir, je souhaite seulement que lorsque ce moment est arrivé, j’avais fini mon paquet de bonbons au citron… J’aurai eu une belle vie.

Enfin bref, revenons-en à nos scroutt à pétards. J’ai des choses à te dire Harry, ainsi que deux requêtes, et je veux que tu lises cette lettre avec attention.

Il y a plusieurs années, lorsque j’ai compris qu’il existait un lien psychique entre Voldemort et toi, j’ai entamé des recherches. J’ai découvert que si vous êtes liés dans la vie, vous l’êtes également dans la mort. Je sais que tu vaincras Harry, tu es l’un des garçons les plus doué que je n’ai jamais rencontré, tu es destiné à faire de grandes choses.

J’aimerais que tu saches que si j’avais pu, j’aurai tout fait pour  que l’avenir qui t’est destiné ne se réalise pas. Voldemort t’a volé ton enfance et t’a plongé dans un monde que tu n’aurais jamais dû connaître.

 

Tu n’étais qu’un enfant, déguisé en soldat, enchainé à un destin morbide et condamné à mener une guerre qui n’aurait pas dû naitre. À te voir te battre et t’entrainer comme tu le fais aujourd’hui, j’ai parfois oublié que tu n’as que seize ans. C’est ma première requête : Pardonne-moi.

Lorsque tu auras affronté et détruit Voldemort, car tu vaincras Harry, tu vaincras, tu devras entreprendre un long voyage. Seul. Ce sera un voyage autant psychique que physique.  Personne ne devra savoir avant qu’il ne s’achève. Et voila ma deuxième requête : Vas dans mon bureau dès que tu auras lu cette lettre. Dans l’armoire blanche à côté du perchoir de Fumseck, il y a un livre. J’y ai retranscrit toutes mes recherches. Il y a à l’intérieur les consignes de ton voyage.

Je suis désolé de ne pas être là pour t’expliquer mieux ces choses.

Je suis fier de toi Harry.

Bonne chance.

Dumbledor.

Ps : Ne t’inquiète pas pour lui, il comprendra.

 

 

----------------------------------------------------------------------------------------

 

La porte claqua derrière Draco. À peine eut-il accroché son manteau que sa fille se précipita dans ses bras. Après leurs bisous rituels, il reposa Alice par terre et la suivit dans le salon. Il s’assit sur le canapé et la petite blonde grimpa immédiatement sur ses genoux, pour lui faire le résumé complet de sa journée. Lorsqu’elle eût terminé de mimer John qui avait fait la roue sur une seule main et de grimacer au souvenir de William mangeant des fourmis, elle lui raconta en détail comment sa nouvelle copine, Lilly, lui avait appris à dessiner un tigre. Toute fière de son nouvel apprentissage, elle se leva avec agilité courut dans sa chambre et en revint quelques minutes plus tard, armée de crayons et d’une feuille. Elle s’assit par terre, posa son matériel de fortune sur la table basse et s’attela à son ouvrage sous l’œil attentif de son père. Il regarda amusé sa fille tracer des traits jaunes et noirs sur une page blanche, totalement absorbée par sa tâche. Draco ne gardait que très peu de souvenirs de la mère d’Alice mais lorsqu’il la voyait comme cela, les souvenirs de cette femme pâle aux yeux rongés par les cernes se rappelaient à lui avec une clarté étonnante.

Lorsqu’elle eût fini son œuvre d’art elle se tourna vers son père, un sourire éclatant figé aux lèvres et lui tendit la feuille de papier où s’étalait sa nouvelle acquisition. Draco examina le dessin et sourit. Alice était douée pour bien des choses, mais le dessin n’était décidément pas sa tasse de thé.

- Je l’accrocherai dans ma chambre, au dessus du rhinocéros que tu m’as fait la dernière fois !

- Papaaaaa ! C’était un éléphant gémit Alice en faisant mine de frapper le genou de son père.

- Excuse-moi ma puce, c’est à cause de la corne sur son museau…

- C’était une trompe.

- Vraiment ? Ça explique touuut ! s’exclama Draco en souriant.

Alice lui lança un regard noir avant d’éclater de rire.

- Bon c’est vrai qu’il était un peu étrange. Mais mon écureuil lui il était bien hein ?!

- Parce que c’était un écureuil ??

Alice lui tira la langue avant de s’enfuir dans sa chambre, faisant mine de bouder.

La nourrice de sa fille traversa alors le salon.

- Monsieur Malfoy, j’ai fini de ranger la cuisine, les restes de ce midi sont dans le réfrigérateur si vous avez faim. Je rends mon tablier pour aujourd’hui !

- Bien Marie, merci. Passez une bonne après-midi ! s’exclama le jeune journaliste tout en se levant pour raccompagner la vieille femme à la porte.

- Merci monsieur, vous aussi !

 

Elle passa la porte qui se referma derrière elle tandis que Draco retournait dans le salon. Il s’assît sur le canapé qu’il venait de quitter et ferma les yeux quelques secondes. Il les rouvrit presque immédiatement en entendant de petits coups frappés à la fenêtre. Il se leva en maudissant sur dix générations celui qui lui envoyait un hibou et laissa l’animal pénétrer dans son salon. Il décrocha le parchemin qui lui était destiné, caressa légèrement la tête de la chouette en signe de remerciement et la laissa partir. Le message venait de ED.

«  Draco, je viens de voir l’article que tu m’as donné ce matin. Il manque le témoignage du vendeur de la boutique. Où as-tu la tête en ce moment ?! J’espère que tu n’as pas de problèmes. Je veux la fin de l’article demain matin au plus tard ! »

- Et merde.

Draco regarda sa montre. 14h30. Il se dirigea d’un pas lent vers les escaliers et commença son ascension vers l’étage tout en réfléchissant. Arrivé devant la porte de la chambre de sa fille, il frappa deux légers coups et attendit. Alice ouvrit lentement la porte et sortit la tête par l’entrebâillement.

- Oui ?

- Chérie, il faut que nous allions quelque part. Mais ensuite, si tu veux, nous pouvons aller au vide grenier dont tu m’as parlé hier.

- Je vais chercher mon manteau, j’arrive.

- Attends-moi en bas chérie, je vais me changer et je te rejoins.

Il se dirigea vers sa propre chambre, se déshabilla en vitesse et enfila un pull noir et un jean. Il ouvrit ensuite le placard accolé au mur, attrapa  une cape assortie à son pull et redescendit. Sa fille l’attendait dans le salon, concentrée à faire descendre et remonter un petit objet rond le long d’un fil. Lorsqu’elle s’aperçut de sa présence dans la pièce, elle rangea son yoyo dans sa poche et se précipita vers la porte.

15h, chemin de Traverse. Boutique de l’apothicaire.

Il faisait froid dans cette boutique à l’aspect  lugubre. Il flottait dans l’air une odeur de renfermé et de plantes séchées. Le mur de gauche était à moitié caché par d’étranges étagères aux formes plus ou moins logiques où s’étalaient toutes sortes d’ingrédients pour potions. Des bocaux vides s’alternaient avec d’autres, remplis de substances non-identifiées dans lesquels flottaient des organismes qui furent un jour vivant. À l’opposé de l’unique pièce qui constituait la boutique, du moins, à première vue, on pouvait observer des tables accolées aux murs. Elles étaient surchargées de petits paniers tressés en osier dans lesquels on trouvait toutes sortes de plantes, de la racine à la feuille, sèches ou non, magiques ou pas.

Fascinée par un univers auquel elle n’avait pas encore accès, Alice se précipita vers les étagères pour les observer de plus près. Draco lui assena l’ordre de faire attention et de ne rien toucher avant de se diriger vers le comptoir derrière lequel un vieil homme semblait somnoler.

- Excusez-moi.

L’homme ne réagit pas.

Draco toussa bruyamment et réitéra sa phrase, un peu plus fort.  L’homme sursauta et manqua de peu de tomber de sa chaise.

- Nom d’un Veracrasse en soupe ! Toutes mes excuses monsieur, je crois que je me suis assoupi.

- Je n’avais rien remarqué ironisa Draco.

- Que puis-je faire pour vous ?

- Voila, je m’appelle Draco Malfoy, je suis journaliste et…

- DRACO MALFOY ? C’est bien toi ?!

Le blond sursauta devant l’élan soudain du vieux vendeur.

- Il me semble que c’est ce que je viens de dire, en effet.

- Merlin, la dernière fois que je t’ai vu, tu marchais à peine, c’était au manoir, tes parents donnaient une réception et tu avais dévalé les escaliers sur les fesses après avoir réussi à échapper aux barreaux de ton lit ! Tu as bien grandi dis moi ! Laisse-moi te regarder.

Il farfouilla quelques secondes avant de sortir d’étranges lunettes ovales qu’il posa sur son nez. Draco recula légèrement devant l’enthousiasme de l’homme.  Lorsque ce dernier l'eut observé sous toutes les coutures, il reposa ses lunettes et le regarda dans les yeux.

- Excuse moi mon garçon, c’est pas souvent que j’ai l’occasion de revoir de vieilles connaissances par ici. En quoi puis-je t’aider ?

 

- Voila, il y a quelques jours, un garçon qui devait ressembler à Harry Potter est venu dans votre boutique. J’aimerais savoir ce qu’il y cherchait.

- Tu as bien de la chance d’être le fils Malfoy mon garçon, dans d’autres cas, je ne pourrais rien pour toi. Mais j’ai une dette envers ton père et malheureusement, la où il est, je ne puis la lui rendre. Ce jeune homme que tu cherches, Harry Potter, je ne sais pas si c’était lui mais en tout cas, je peux te dire ce qu’il a acheté.

Après lui avoir fait la liste complète de tous les ingrédients qu’avait acheté celui qui semblait être le sauveur, il se mit à réfléchir.

- Tiens, c’est étrange, sur le coup, je n’avais pas fait attention mais maintenant que j’y pense, je ne vois qu’une seule potion qui pourrait correspondre à la totalité des ingrédients achetés.

-  Laquelle ? Demanda Draco, un peu trop vite.

Le vendeur lui jeta un coup d’œil suspicieux avant de répondre.

- La potion de vieillissement. C’est vraiment étrange. Enfin bref, je suis désolé mais je dois fermer boutique, ma femme m’attend, nous partons en Irlande, pour notre Lune d’argent !

- Bien, merci pour tout monsieur. Bonne Lune d’Argent ! Alice, tu viens chérie, on y va !

Il sortit du magasin à l’atmosphère oppressante suivi de sa fille et remonta dans sa voiture, direction Le Surrey, un petit comté du sud-est de l’Angleterre.

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- Papa, Papa ! Viens cria Alice en tirant sur un pan de la chemise de son père. Légèrement déséquilibré par cette brusque attraction, Draco poussa un grognement de mécontentement digne d’un dinosaure mais Alice l’ignora et pointa du doigt une table un peu plus loin, avant de s’y diriger, emportant avec elle, son colis à tête blonde.

- Regarde Papa ! L’éléphant violet ! Il est trop mignooooon ! Je peux l’avoir diiiiiiiiit ?

Draco jeta un coup d’œil horrifié à l’énorme éléphant qui prenait les trois quarts de la table sur laquelle il était installé.

- Euuh, chérie, t’as vu la taille de cette chose ?

- Justement, c’est super ! S’il te plaît Papa. Supplia l’enfant avec un regard digne du chat potté de Shrek.

- Ah non ! Pas ces yeux là !

Alice réitéra son regard suppliant tout en battant légèrement des cils.

- Bon d’accord, mais à une seule condition !

- Tout c’que tu voudras affirma Alice avec un sourire de victoire de moins en moins dissimulé.

- Tu ranges ta chambre dès qu’on rentre. Je ne veux plus voir un seul jouet traîner !

 

Alice grimaça devant l’ultimatum qui lui était ainsi posé, lança un regard signifiant – TRAITRE – à son père puis accepta le marché.

- Bien.

Draco se tourna vers le vendeur qui semblait avoir suivi la discussion sans oser intervenir. Il détailla l’individu. C’était un garçon d’une vingtaine d’années, peut-être un peu plus, difficile à dire, aussi long que large et dont les yeux calculateurs semblaient rentrer dans leurs orbites. Les yeux du journaliste passèrent du vendeur, à l’éléphant puis re au vendeur et Draco se mordit férocement l’intérieur de la joue pour ne pas exploser de rire.

- Il est à combien ? Demanda-t-il le plus sérieusement possible, tout en faisant un geste du menton vers la peluche géante.

- 45 livres monsieur ! Vous faites le bon choix ! C’est un souvenir de famille ! Mes parents me l’ont offert quand j’avais trois ans, j’y tenais beaucoup !

Draco lança un regard de total désintérêt  vers l’homme qui semblait être plus le géniteur de la peluche que son propriétaire et  sortit son portefeuille pendant qu’Alice, toutes les dents à l’air, prenait l’énorme éléphant entre ses bras, disparaissant ainsi sous le tas de poils synthétiques. Il tendit le compte exact au garçon et s’apprêta à partir lorsque celui-ci l’interpella.

- Excusez-moi de vous demander ça, mais votre visage ne me semble pas inconnu, nous serions nous déjà rencontré ?

Le blond leva un sourcil de surprise.

- Je ne pense pas non, mais peut-être que je me trompe. Vous vous appelez… ?

- Dursley, Duddley Dursley. Répondit l’intéressé, les sourcils froncés par la concentration.

- Et bien désolé, Monsieur Dursley , votre nom ne me dit rien. Vous devez confondre, répondit le blond avec un ton qui mettait poliment fin à la conversation. Bonne journée !

Il se tourna vers sa fille au trois quart cachée par l’horrible monstre qu’elle tenait entre les yeux et se remit à marcher en direction de la voiture, Alice sur ses talons.

Il était 18h30 lorsqu’ils rentrèrent enfin à la maison.

- Très bien, tu as une heure pour ranger ta chambre, je vais préparer le dîner.

Alice fit mine de se mettre au garde à vous et s’écria « Oui mon général ! » avant de s’éloigner d’un pas rapide vers l’escalier tout en trainant son éléphant derrière elle.

 

 

Draco vérifia la cuisson de son omelette. Pendant que le mélange jaunâtre frémissait dans la poêle, il ouvrit la porte du placard à sa gauche  pour en sortir deux assiettes pour les poser sur un plateau. Il fit de même avec les verres et les couverts et amena le tout sur la table du salon. Il commença à mettre la table lorsque sa fille descendit les escaliers en courant.

- Alice gronda-t-il, je t’ai déjà dit de ne pas courir dans les escaliers ! Surtout en chaussons !

- Désolée Pa ! J’vais chercher l’eau.

Elle se dirigea vers la cuisine, suivie de son père, et attrapa un pichet posé sur la table pour le remplir pendant que son père reportait son attention sur la préparation du dîner.

- J’ai rangé ma chambre et j’ai installé Bardi ! s’exclama joyeusement la fillette tout en tournant avidement le robinet pour stopper l’écoulement de l’eau.

- Très bien ma puce, va apporter l’eau sur la table et lave toi les ma… Attends, comment tu l’as appelé ?

- Qui ? Demanda Alice, surprise par le brusque changement de conversation de son père.

- Ton éléphant, comment tu l’as appelé ? répondit le blond, un léger agacement perçant dans sa voix.

- Aaah ! Lui ?! Bardi ! Enfin, c’est le nom qui était écrit sous sa patte arrière en tout cas !

- D’accord, vas te laver les mains chérie. Tiens, avant prend la poêle et amène-la sur la table, et fais attention. Je dois vérifier quelque chose.

Ravie de cette nouvelle mission potentiellement dangereuse, Alice attrapa la poêle et emmena l’omelette brûlante dans le salon.

Draco, quant à lui, se précipita vers son bureau. Arrivé à destination, il fouilla avidement dans ses tiroirs. Lorsqu’il trouva enfin le carnet qu’il cherchait, celui de son interview d’Evan Darcy, il l’ouvrit avec vigueur et en tourna énergiquement les pages.  Il suivit fébrilement du doigt les lignes non retranscrites et s’arrêta net sur l’une des phrases.

« Ainsi, accroupi entre le coffre à jouets honteusement rempli de mon " frère " et Bardi, l'énorme éléphant violet en peluche, j'ai passé les meilleurs moments de ma vie d'enfant. »

Il y a des matins ou vous vous réveillez et ou vous avez la certitude que cette journée sera la bonne. Ou au contraire, celle qui fallait éviter. Vous ne savez pas comment, ni pourquoi, mais vous avez cette certitude soudaine, gravée en vous, comme une promesse secrète inscrite au couteau sur l’écorce d’un arbre. Appelez ça comme vous voulez, une intuition, un pressentiment, l’instinct ou même une prémonition si cela peux vous aider. Quelque soit le nom que vous lui attribuez, c’est en vous pour le reste de la journée.

Ce sentiment aux multiples facettes, Draco Malfoy était en train de l’explorer. Appuyé contre son bureau, les yeux clos, le jeune journaliste réfléchissait. Il y avait quelque chose qui clochait dans cette histoire. Depuis qu’il était parti de Poudlard, il ne croyait plus aux coïncidences. Cet éléphant en peluche était le même que celui du souvenir d’Evan et en son fort intérieur, du plus profond de son âme, il la sentait. Cette étrange intuition, basée sur du vide, qui lui disait que tout cela était lié, d’une manière ou d’une autre, à Harry Potter.

 

Il n’aurait pas su dire pourquoi et encore moins comment. Mais les pièces du puzzle qui s’étalaient sous ses yeux seraient bientôt remises dans un bon ordre, un ordre qui lui donnerait le tableau complet. L’image finale. La vérité.

 

 

J’espère que ça vous à plu !

Encore toutes mes excuses d’avoir mis autant de temps. Je ne sais pas si je pourrai publier la suite avant mon départ en vacances (vous savez, là ou les ordis, ça existe pas ><). Si non, je m’appliquerai à ce que la suite arrive dès mon retour ( fin août ). Sur ce, je vous souhaite d’excellentes vacances.

A bientôt !

 
 
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