manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Une année fort éprouvante pour le jeune survivant
Par skealia
Harry Potter  -  Romance  -  fr
One Shot - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     2 Reviews    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger



disclamé: le monde et les perso ne son pas de moi sauf l'histoire comme tel

note: j'espèr qu'il n'y aura pas trop de faute d'ortoghraphe et soyer indulgent ceci est ma première fic gay et c'est aussi la première fois que je me met a parlé de sexe dans mes fic... je sais pas si jai mis le bon rated...

enfin bonne lecture!

 

Ps : Je dis que Draco à de la difficulté en métamorphose, j’espère ne pas me tromper de cours.

XXXX

Dans un des compartiments du Poudlard express, deux hommes s’y trouvaient, ils leur restaient peu de temps avant qu’ils arrivent en gare pour les vacances d’été. Personne ne sait qu’ils sont là, d’ailleurs, ils ne devraient même pas se parler.

           – Tu vas me manquer Bébé! Murmure le blond, serrant son ami.

            – Toi aussi, mais dès que j'atteindrai ma majorité, je pars de chez moi et l'on pourra se voir à nouveau.

            – Je sais, mais c’est long, deux mois… Je viendrais te rendre visite de temps à autre jusqu'à ce que tu puisses vider les lieux. Se plaignit un peu l’androgyne.

            – C’est vrai? Lui répondit le brun, surpris et avec une lueur d’espoir et de joie dans les yeux.

            – Oui et puis à tes 17 ans, tu pourras t'installer chez moi en patientant pour la rentrée… Enfin, si tu veux. Ajouta-t-il un peu mal à l’aise.

            – J’adorerais… J’espère que mon oncle prendra moins de temps que la dernière fois pour arriver. Rétorqua Harry, car il s’agit bien de lui, avec un soupçon de tristesse dans la voix en apercevant la tempête qui faisait rage dehors et en se collant à son amant.

            – Tu as dû attendre longtemps? Demanda-t-il en le serrant dans ses bras.

            – Deux heures sous une chaleur accablante.

Stupéfait, l’androgyne ouvrit la bouche, mais aucune parole en sortie.

            – Faut y aller… A bientôt. Souffla le brun tout en l’embrassant, déçu de s’éloigner des bras réconfortants, protecteurs et aimants de son compagnon.

            – Ouais… Part en premier. Mentionne le jeune homme tout aussi désappointer de devoir le laisser filer et se promettant de ne pas tarder à lui rendre visite.

          

            – Ce que j’ai hâte de rencontrer Harry! S’enthousiasma Ron, à l’idée de revoir son meilleur ami, toujours chez lui, alors qu’il restait qu’une heure avant que Poudlard express parte. J’espère qu’il se porte bien, il ne nous a pas écrit cet été.

            – Tu t'inquiètes pour rien, Ron, Dumbledore a dit que tout était pour le mieux, il semblait savoir où Harry se trouvait. Répondit Hermione, qui avait rejoint le Terrier une semaine plus tôt, essayant de le calmer et lui faire terminer sa valise pour éviter de se mettre encore à la dernière minute, le train n’acceptait aucun retard.

            – Ry? Hey, Harry! Qu’est-ce que tu as? Demanda le jeune homme blond au matin du départ pour une nouvelle année scolaire.

            – Je n’ai pas hâte de parvenir à la gare, ça sera impossible de se voir et ça va être la même chose à l'école… Rechigna-t-il tristement.

            – Je sais, mais je te rappelle que je suis préfet, j’ai donc ma propre chambre, on pourra se retrouver sans être dérangés. Bon, on ne se croisera pas autant qu’à la maison, mais c’est mieux que rien.

            – Une chance, soupira le brun… J’aimerais tellement qu’on arrête de se cacher!

            – Moi de même, Harry, mais avec Voldemort dans le coin et les mangemorts et futurs mangemorts dans Poudlard, c’est trop risqué… On est arrivés… N’oublie pas que je t’aime, Ry. Dit il, capturant son visage dans ses mains et l’embrassa avant de partir de son côté.

            – Moi aussi…

 

            – Hey, Harry, par ici!!! Cria Hermione, le remarquant.

            – Bon sang, mec, tu as changé cet été! En tout cas, content de te voir.

            – Moi avec, Ron!

            – Wow! Tes cheveux jusqu’aux épaules et tes vêtements te vont vraiment bien! Oh! Là! Là!… Ça parait que tu as laissé les Dursley, sans vouloir te vexer. S’exclama Hermione impressionnée.

            – C’est pas grave Mione et tu as raison, j'ai enfin quitté chez les Dursley…

 

Plus que deux semaines avant les vacances de Noël et les préfets se retrouvent déjà avec plus de surveillances, les élèves s’étant un peu relâchés. Dans ce corridor, l'un d'eux effectuait sa ronde, l’ayant rallongé, repassant une dernière fois pour ensuite profiter de son lit, la nuit avait été plutôt calme. Le préfet, un peu dans la lune, se dirigeait vers sa chambre, cherchant des idées pour quelques cadeaux de dernières minutes, sans se rendre compte qu'on le prenait en filature. Trois ombres lui sautèrent dessus, le surprenant et l’empêchant de faire le moindre mouvement. Le préfet, rapidement maîtrisé et soulevé, disparu dans les dédales de couloirs aussi vite et silencieusement que ses agresseurs étaient arrivés, tout ce que l’on put apercevoir fut quelques mèches blondes alors qu’ils tournaient un coin.

            – Hey, Harry! Tu vas bien? Interroge Hermione inquiète, le voyant s'installer à côté d'eux au petit déjeuner.

            – Tu étais passé où cette nuit? S'informe Ron, sans réaliser la mine décomposée de son ami et ignora la question de Hermione. Tu aurais dû nous le dire que tu avais quitté le célibat, pourquoi nous l’avoir caché? Est-ce qu’on la connaît? C’est Gin? Cho? Aller ne te fait pas prier!

Entendant sa phrase, Harry blêmit encore plus qu’il ne l’était déjà et se retenait à grande peine de pleurer. Cette nuit-là, comme Ron venait de le faire remarquer, il était parti rejoindre son amant dans la salle sur demande, ne l’ayant pas localisé à leur endroit habituel. Constatant le retard de plus en plus prolongé de son compagnon, Harry s’était mis à sa recherche, regardant où il avait l’habitude de se trouver, y compris des lieux insolites avant de finalement se rappeler qu’il avait la carte des maraudeurs. Le brun chercha minutieusement sa signature magique dans tout Poudlard et même quelques zones absents de la carte et qu’il n’avait pas vérifié auparavant. Rien, aucune trace de lui, inquiétant Harry. S’assoyant sur le bord du mur, essayant de réfléchir, un tableau, le repéra et commença à discuter avec lui, allant jusqu'à l’informer, que d’autre de ses semblables avait aperçu des gens kidnappés un préfet et qu’à l’heure actuelle le directeur en était au courant.

            – Je… Je dois voir Dumbledore… Ne m’attendez pas.

            – Mais, Harry, on a cours avec Snape! Tu ne comptes quand même pas le manquer! Déjà que tu es assez médiocre en potions. Le réprimanda Hermione mécontente en constatant que Harry ne prenait pas ses études au sérieux.

            – Et après? De toute façon, je serais incapable de suivre ce qu'il enseignera, alors que j’y aille ou non, ça reviendra au même : perte de points et retenues… Je dois y aller. S’emporta Harry excédé.

Harry se rendit au bureau Dumbledore comme il l’avait mentionné, mais sauta tous ses cours de la journée. Malgré son abattement, il décida de s’entraîner avec sa nouvelle magie, il voulait en finir au plus vite, aspirant enfin à une vie paisible et heureuse, s’il s’en sortait vivant. Le brun remarqua vite qu’essayer de contrôler sa magie dans un état de tristesse, d’inquiétude et de colère s'avérait très dur, mais il fit de son mieux, demandant même à Dobby de lui apporter son repas. Quand il eut terminé de s’exercer, l'épuisement se faisait sentir et l’heure du couvre-feu approchait.

Le lendemain, Harry ne fut pas en meilleure forme, il déprimait, se nourrissait peu, ses amis et le reste des Griffondor persévéraient pour lui décrocher un rire ou lui changer les idées, sans succès. Personne ne savait ce qu’il lui arrivait et il s’éclipsait souvent, en fait, dès que Harry se retrouvait avec un moment de libre, il se dérobait pour se pratiquer.

            – Hey, Harry, on a une excellente nouvelle pour toi, avec ça, tu vas regagner ta bonne humeur! Lui dit Ron enthousiaste rendu à proximité de lui, en soirée, dans leur salle commune.

            – Et c’est quoi? Demanda Harry curieux, en relevant la tête de ses devoirs, qu’il essayait d'accomplir.

            – Eh bien, la rumeur court que la fouine se serait fait kidnapper! Sourit Ron sans remarquer l’expression des yeux de Harry ni le fait qu’il avait blêmi, mais Hermione si, et elle tenta de comprendre pourquoi Harry réagissait de la sorte… En tout cas, bon débarras! On ne l’aura plus sur le dos, bien que ce n'est pas très rassurant d'apprendre que l’on peut entrer dans Poudlard.

Malheureusement, Harry n’eut pas la réaction qu’il espérait, en fait il n’eût aucune réaction.

            – Harry, tu dois te nourrir et dormir plus! S’alarma Hermione près d’une semaine et demie plus tard. Parle nous, Harry, nous pourrions t’aider.

            – Ne t’inquiète pas, Mione, ça va aller. Dit lassement Harry avec un semi-sourire, faisant de son mieux pour la tranquilliser.

            – Ne pas m’inquiéter? Cria presque Hermione proche de la crise de nerfs… Bon sang, Harry, tu as pratiquement arrêté de manger… Enfin, sur ce point c’est un peu mieux, mais tu sembles passer des nuits blanches, tu as des cernes de trois kilomètres sous les yeux!

            – Écoute Hermione, je vais bien, laisse-moi du temps. Lui répondit Harry, se levant pour se rendre en cours et se dire qu’il lui en faudra énormément pour être à nouveau heureux, mais un hibou se dirigea vers lui avant qu'il ait le temps de quitter sa table.

Harry

Nous l’avons retrouvé hier, dans la matinée, nous avons préféré te laisser dans l'ignorance, le temps de le soigner, d'autant plus qu'il était sans connaissance et en mauvais état, mais maintenant il vient de se réveiller et veut te voir, il se trouve à l’infirmerie.

Dumbledore

 

Au fur et à mesure qu’il lisait Harry se sentit soulagé, ressentant le poids lourd qui avait élu domicile dans son estomac se dissiper, et son cœur devenir plus léger. La joie de vivre à nouveau présente en lui. A la fin de sa lecture, un vrai sourire orna son visage et il partit de ce pas, sans rien dire à ses deux meilleurs amis. Amis qui furent surpris et qui tentèrent de l'imité, mais ils furent stoppé par Dumbledore.

Hermione n’y comprenait plus rien, Harry agissait bizarrement depuis quelques jours et elle n’arrivait pas à savoir ce qu’il avait, surtout à disparaître comme il le faisait et paraissait vouloir s’éloigner d’eux depuis près de deux semaines, elle essaya de réunir les rares indices qu’elle avait dénichés, mais tout revenait à Voldemort. Hermione crut qu’il s’inquiétait du fait que des mangemorts étaient entrés ici facilement, que les élèves étaient moins en sécurité qu’il le croyait, mais pourquoi ne pas leur en parler et les éviter? Et maintenant le directeur qui les empêchait de le suivre… Il y avait anguille sous roche et foi de Granger, elle découvrirait ce qu’il se tramait et puis que contenait cette lettre, qui avait l'air de lui avoir redonné des couleurs à son meilleur ami?

Ron, lui n’avait pas remarqué tout ça, seulement que son presque frère paraissait moins heureux depuis plusieurs jours, qu’il leur parlait moins et les fuyait, sûrement qu’il souhaitait être seul pour se remettre de sa peine de cœur ou qu’il ne savait pas comment leur annoncé sa mise en couple et se souciait de leur réaction. Ron se promit de le rassurer à ce sujet le soir même s’il pouvait le croiser. Cependant, lui non plus ne comprenait pas pourquoi Dumbledore les avait arrêtés et à voir la tête de la surdouée, elle n’en savait pas plus que lui.

Dès qu’il entra dans son champ de vision, Harry resta figé et sa respiration se coupa quelques instants comme si le temps s’était suspendu. Les yeux du brun pétillèrent de bonheur, comblé de le revoir bien que ce fût dans une infirmerie.

            – Draco!!! Murmura Harry de contentement et de soulagement en l'apercevant, une boule dans la gorge.

Ce dernier, qui le fixait aussi lui fit signe de le rejoindre. Une fois fait, il le serra fort dans ce bras et huma son odeur. Harry en profita pour l'imiter et se nicher entre ses jambes…

            – Je suis heureux que l’on ait pu te retrouver et constater que tu vas bien! Brisa le doux silence qui régnait depuis plusieurs minutes Harry.

            – Et moi, je suis ravi d’être rentré! Et je m’en veux de mettre fin à ce bon moment. Soupira Draco.

            – Mais??? Questionna Harry, qui eut l’impression qu’une brique venait à nouveau de se loger dans son estomac.

            – Voldemort est au courant pour nous deux.

Voilà, c’était dit, la bombe venait d’être larguée.

            – Oh! Dit Harry anxieux. C’est pour ça le kidnapping?

            – Oui, il croyait que je lui parlerais de toi… Au moins, la bonne nouvelle, c'est que l'on pourra enfin arrêter de se cacher et de simuler.

            – Mais à quel prix? Questionna Harry malheureux et inquiet, se séparant de lui pour le regarder. Je refuse de revivre l’enfer de cette semaine… Je ne veux pas te perdre Draco, je ne le supporterais pas…La gorge nouée, pleurant presque avant de se recoller sur lui.

            – Oh, Harry! Le serra plus fort dans ses bras Draco, en ressentant un pincement au cœur de le voir comme ça.

Préférant changer de sujet pour éviter de s’effondrer, Harry lui raconta sa semaine, de son héritage qu’il arrivait à mieux contrôler, d’où son air fatigué, malgré qu’il dormait bien. Draco dut le sermonner à ce sujet, lui disant de se modérer.

            – Je sais Dray, mais je souhaite que tout ça se termine rapidement pour pouvoir avoir une vie normale, sans craindre de perdre un être cher… Je n’ai jamais demandé à être le survivant… Tout ce que je désirais, c’était d’avoir une famille aimante où j’aurais pu être heureux, ce n’est pourtant pas la lune, mais même ça, Voldemort me l’enlève un à un. Finis par mentionner peu fort Harry, pleurant silencieusement.

            – Ne t’en fais pas Ry, tu l’auras ta famille et tu seras heureux. Dit Draco triste que le destin s’acharne autant sur son compagnon.

Après l’avoir un peu réconforté, ils parlèrent de leur avenir, et aussi de la façon d’annoncer leur relation surtout à Ron et Hermione. Un peu plus tard, Morphée les trouva endormis, tous les deux enlacés. Pomfresh, qui avait discuté avec le directeur, les laissa tous les deux tranquilles.

Ron et Hermione, inquiets et voulant voir Harry, placèrent la cape d’invisibilité de ce dernier et partirent à l’infirmerie une heure avant le couvre-feu, malgré l’interdiction. Arrivé tous deux se figèrent sous le choc quand ils aperçurent leur meilleur ami dormir avec le Serpentard et avant qu’ils se remettent de leur stupeur, Harry et Draco se réveillèrent presque en même temps. Évidemment, ne les remarquant pas, le survivant, après s'être redressé, se positionna adéquatement en face de Draco, sans trop s'en éloigner. Ils parlèrent encore un peu à mi-voix et lorsque le brun embrassa son compagnon, le blond s’était tendu et regardait derrière lui, ce qui le fit se retourner pour découvrir, Ron et Hermione, dont la cape avait glissé.

Ron était rouge et paraissait furieux, quant à Hermione, elle avait l’air de quelqu’un qui venait de trouver la pièce manquante d’un puzzle.

            – Malfoy, qu’est-ce que tu fais ici? T’aurais été mieux de rester là-bas. Ils ne voulaient pas de toi chez les mangemorts? Tu n’as pas assez de cran pour être avec eux, sale lâche? Dit un Ron colérique et quelque peu arrogant.

            – Calme-toi, Weasley!

            – Toi! Qu’est-ce que tu lui as fait? Pesta Ron envers Draco.

             – Je ne lui ai rien fait.

             – Ben ouais, c’est ça, comme si je vais te croire, mangemort.

             – Ron, ça suffit! Gronda Harry. Il n’est pas plus mangemort que toi et moi, il dit la vérité… Et range ta baguette.

            – Mais, Harry, comment peux-tu… C’est ton pire ennemi. Se plaignit Ron surprit que Harry le protège.

            – Ça fait longtemps que ce statut a changé, Ron. Se déplaça confortablement à côté de Draco, Harry.

            – Écoutez! Demain, on sera sorti, ça sera mieux pour discuter parce que j’ai l’impression que ce sera long et nous avons cours alors... Proposa Draco, se forçant à être aimable.

            – D’accord, après les cours, à la salle sur demande. Fixa le lieu et l'heure Hermione plus compréhensive, entraînant Ron vers la sortie avant que ce dernier commence une bagarre.

            – Parfait. Conclut Harry.

Quand ils furent partis, Harry continua à l’adresse de Draco.

             – Je sens que ça va être interminable.

            – Oui… Et est-ce que l’on se montre ou que l’on se cache jusqu'à ce que l’on parle à tes amis? Questionne Draco incertain de la marche à suivre.

            – On peut s'afficher ensemble, de toute façon Ron et Mione nous ont remarqués et puis nos maisons ont pratiquement tous les mêmes cours demain… Autant en profiter. Dit Harry malicieusement.

            – OK!

Ron resta muet jusqu'à leur salle commune pour ne pas être pris par un responsable avant de se mettre à rouspéter contre Hermione, qui lui avait coupé la parole et semblait même du côté de leur ami qui avait dû perdre la tête. Le rouquin ne savait pas comment Harry pouvait ne serait-ce qu’être ami avec la fouine alors sortir avec, c’était impensable. La journée d'après, tous demeurèrent surpris de revoir Draco et encore plus quand ils l'aperçurent discuter aimablement et échanger des regards complices avec Harry, qui se retrouvait souvent avec un sourire, bien que Draco gardait son masque de froideur. Quant à Ron, il observait beaucoup le Serpentard, ruminant en silence en attendant avec impatience le soir venu, quoique parfois il s’emportait lorsque les Griffondor croisaient le Serpentard avec sa clique, faisant soupirer Harry, qui essayait de contrôler son ami, le trouvant très puéril.

En soirée, salle sur demande.

La pièce était joliment décorée, chaleureuse, relaxante, confortable et d’un ton bleu avec un sofa vert pâle aux teintes de jaune, une table avec nourriture et boisson, un feu de foyer et une petite bibliothèque. Quand Ron et Hermione débarquèrent dans la salle, Harry et Draco étaient déjà présents, allongés, l’un sur l’autre, sur le canapé. Harry sur le ventre, face à Draco, arrêta de parler et les scruta, un peu mal à l’aise de la posture dans laquelle il se trouva. Le blond, remarquant sa tension, se contorsionna légèrement pour regarder derrière lui.

            – Pour une fois, y a fallu qu’ils arrivent à l’heure. Dommage. Murmura Draco. Se replaçant dans sa position initial, pendant que Ron, lui, ronchonnait dans sa barbe inexistante.

            – Qu’est-ce qu’il fait ici, lui? Grommela Ron après quelques instants et que tous furent bien assis.

            – Je lui ai proposé de se joindre à nous! C'est trop te demander d'essayer d’être plus aimable? Bon sang, je n'exige pas que vous soyez amis, juste de ne pas déclencher une émeute chaque fois que vous êtes dans la même pièce! S’emporta Harry, vers la fin, déçu que Ron ne fasse aucun effort.

            – Ronald, ça suffit! Le coupa sévèrement Hermione. Nous sommes venus pour obtenir des explications, pas provoquer une bagarre… Alors Harry, si tu nous disais comment vous en êtes arrivés là.

            – Eum… Eh bien… Vous vous souvenez des vacances de Noël l’an passé? Commença Harry, gigotant sur le sofa, mal à l’aise.

            – Bien sûr, seulement un petit nombre d'élèves restaient et pour ta sécurité à cause des mangemorts, Dumbledore a préféré que tu loges ici au lieu du Terrier, prétextant que nos protections ne sont pas assez fortes et il voulait aussi que tu t’entraînes, mais je ne vois pas le rapport. Dit Ron, qui avait décidé d’oublier Draco.

            – J’y arrive… La première journée s’est avérée tranquille, c'était facile de découvrir qui résidait à Poudlard et Draco se trouvait dans le lot.

            – La première semaine. Poursuivit Draco, lui-même embarrassé, mais demeurant impassible… A chaque fois qu’on s'apercevait, on se bagarrait, rendu au week-end, nous nous sommes tannés de seulement faire ça, alors nous avons opté pour établir une trêve qui devait se terminer à la rentrée… Evidemment ça ne sait pas déroulé comme prévu, pendant le reste des vacances on s’était mis à discuter et on a même réussi à dénicher quelque chose à faire tous les deux, pour passer le temps… Après le congé, on a continué de se voir, on devait cacher notre amitié en raison des mangemorts dans Poudlard. Harry avait assez de problèmes comme ça sans avoir à rajouter ma disparition ou ma mort… Fin mai, on a commencé à sortir ensemble. On avait l'intention d'attendre de finir nos études pour en parler, Harry craignait votre réaction et moi, celle de ma maison…Il marqua une pause… On a dû faire comme si l'on se détestait toujours, ce qui s’est révélé le plus dur. Avant de quitter l’école pour les vacances d’été, Dumbledore a demandé à s'entretenir avec nous et nous féliciter. Il savait pour nous depuis un bout de temps, mais il a préféré nous laisser tranquille de peur qu'on redevienne ennemi à cause de son intervention, il était trop content qu’on s’entende enfin et que les bagarres deviennent moins nombreuses.

            – Et tu lui fais confiance? Interroge par la suite Ron à Harry.

            – Oui.

            – Harry!!! C’est de Malfoy qu’on parle, comment peux-tu le croire? Il doit être en contact avec Vol… Voldemort. Questionna Ron, frissonnant à la mention du nom.

            – Parce qu’il a refusé de recevoir la marque à ses 17 ans, et qu’il aurait eu maintes chances de me tuer, m’apporter à Voldemort ou lui parler de moi, ce qu’il n’a pas fait. Reprit Harry doucement, ne voulant pas renforcer la colère de Ron, c’était assez difficile comme ça, sans avoir besoin d’en ajouter.

            – Pourquoi dis-tu qu’il a eu beaucoup d'occasions de te nuire? Interrogea Hermione.

            – Ry, vu que tu vas leur raconter, étant donné que je ne suis pas certain qu’ils m’écoutent et me croient… J’aimerais me transformer, je peux ou tu préfères que tes amis l'ignorent? Murmura Draco si bas que seul Harry peut l'entendre, après la question de Hermione, les deux autres pensant que le blond l’embrassait.

            – Hum! Hum! Vas-y! Dit Harry sur le même ton, le regardant.

            – Merci! Chuchote Draco avant de se métamorphoser en reptile ophidien et se placer sur Harry, qui le caressa amoureusement et continua son récit.

            – C’est un animagus? Dit Hermione surprise.

            – Oui.

            – Il est venimeux?

            – Non, pas pour l’instant.

            – Comment ça : "pas pour l’instant"? Demanda cette fois Ron étonné.

            – Comme son potentiel de magie se trouve très élevé, il peut se changer en n’importe quel serpent. Lui répondit Harry avant d'ajouter fermement. Et l'on en reparlera plus tard!

            – Tu promets? Supplia Hermione.

            – Oui, mais gardez ça pour vous! On a décidé de s’afficher seulement parce que Voldemort est au courant, sinon vous n’auriez rien su, du moins, tant qu’on aurait résidé à Poudlard, c'était trop dangereux, pour moi ou lui et je…. Je n’aurais pas supporté que quelque chose lui arrive. Dit Harry sur un ton triste à la fin, son estomac se tordant douloureusement.

           – Ry, je suis là maintenant!

           – Je sais, mais ce n’est pas pour ça que j’aime revenir dessus. D'autant plus que c’est récent.Parla en fourchelang Harry avant de retourner à ses amis. Bien, je vais essayer de faire vite, sinon on risque d’y être jusqu'à demain… L’été passé, rendu à la gare, je dois attendre cinq heures sous la pluie, quelques jours plus tard, Draco se pointe chez moi à Privet Drive. Comme je suis malade, il m’emmène dans sa maison et j’y reste toutes les vacances. À mes 17 ans, je reçois mon héritage magique, Dumbledore s'était arrangé pour que je l'obtienne seulement à ma majorité.

Revivant un souvenir.

            – Potter, va voir qui c’est! S’écria une voix bourrue qui provenait du salon.

            – Bien, oncle Vernon! Lui répondit ledit Potter de la cuisine, finissant de laver la vaisselle. 

Quand Harry ouvrit, il s'étonna de découvrir celui qui se tenait au pied de sa porte.

            – Harry!?!? S'exclame l’intrus lui aussi surpris, mais pas pour les mêmes raisons. Mais qu’est-ce qui s’est passé pour que tu sois dans cet état?

            – Mon oncle est arrivé en retard à Kingcross. Dit Harry un peu roque comme si ça pouvait expliquer son teint blême et maladif. Ce qui était effectivement le cas.

Son interlocuteur commença à se fâcher contre les Dursley, notamment en remarquant que les Dursley avaient préféré ignorer l'existence Harry, s'en servant d'esclave, en santé ou non.

            – Combien de temps es-tu resté cette fois?

            – Près de cinq heures. Marmonna Harry, qui avait un mal de gorge.

            – QUOI? Éleva un peu la voix Draco abasourdit. Non mais, ils exagèrent, surtout avec le temps qu’il faisait cette journée là!

            – Chhhhhhhhhhh, calme toi, beau blond, sinon tu vas faire venir mon tuteur! Souffla Harry, toussotant en s’approchant plus et plaçant sa main gauche sur son torse.

            – Désolé! Murmura le Serpentard en le prenant dans ses bras heureux de sentir à nouveau Harry tout comme ce dernier, malheureusement pour eux, ce petit moment de bonheur fut de courte durée et ils durent se séparer rapidement.

            – POTTER!!! Hurla Vernon, arrivant à proximité de la porte et remarquant l'intrus, il continua sur sa lancée. Qui êtes-vous?

            – Un ami de votre neveu.

            – Un sorcier? Demanda Vernon avec dédain, sachant qu’il pourrait s’en tirer par une pirouette, si cela n’était pas le cas, en prétendant un jeu de rôle.

            – Exact.

            – Potter! Ne t’avise surtout pas de le laisser… POTTER! TU M’ÉCOUTES SALE MOME? Cria Vernon, en le regardant et rouge de colère.

            – Harry??? Dit à son tour Draco inquiet, l'observant lui aussi, le rattrapant de justesse avant qu’il tombe.

Le blond en déduisit que c’était sûrement dû à une trop grosse dose d’émotion pour son état maladif et fiévreux. Draco pivota vers Vernon et commença à le gronder et le menacer. Après quoi, il se dirigea dans la chambre du survivant avec ce dernier, pris ses bagages, lança un sort pour les réduire et diminuer le poids pour ensuite transplaner chez lui, du moins dans son quartier à Londres à cause de l'anti-transplanage sur son terrain. Rendu chez lui, il monta au deuxième étage et déposa Harry dans son lit. Par la suite, il essaya de lui faire baisser sa température et le remettre sur pied rapidement.

           – Salut beau brun! Chuchota Drago en lui appliquant une lingette humide sur le front.

            – Hey! Lui répondit faiblement et endormit, Harry. Je suis où?

            – Chez moi et ce jusqu'à la rentrée… A moins que tu préfères aller ailleurs et ne t'inquiètes pas pour les Dursley, ils ne te feront rien et j’ai apporté tes affaires ici, il est hors de question que tu retournes à Privet Drive. Susurra Draco en lui caressant la joue.

            – Merci! Je veux bien rester, mes amis, je peux les voir à Poudlard, mais, avec toi, ça va être compliqué, mais tu es sûr que je ne te dérange pas?

            – T’en fais pas, je suis content de te loger.

Deux jours passa avant que Harry se retrouve sur pied et très heureux d’être là, avec quelqu’un qui tient à lui et où il ne se sent pas prisonnier.

            – Bonjour mon cœur! Ça va?

            – Salut, Bébé! Oui et toi, bien dormi?

            – A merveille, surtout dans tes bras! Ronronna Harry avant de l’embrasser.

            – Content de l’apprendre!

            – Dis, Dray, tu restes ici depuis longtemps? Depuis quand tu connais les choses moldus?

            – Pour les moldus, ça doit bien faire un an peut-être plus que j’essaie d’en assimiler plus sur eux. Pour la maison, eh bien, après m’être créé un compte sans que mes géniteurs le sachent je me la suis achetée en janvier.

            – Et tu as fait comment pour leur cacher ça? Demanda Harry curieux, préparant son petit déjeuner.

            – Polynectar, mon cher polynectar! Dit Draco et il continua, voyant son expression. Avant les vacances de Noël, quand nous sommes allés à Pré-au-Lard, j’ai réussi à me rendre sur le chemin de traverse, sans qu'on me remarque. A Gringotte, j’ai utilisé l’apparence de mon père, ensuite j’ai ouvert ce compte ou mes parents n'auraient eu aucun droit, même si j'avais 17 ans qu’en juin.

Leur vacance se déroula paisiblement, se promenant le plus souvent dans le monde moldu pour plus de tranquillité, Draco insistant pour refaire une garde-robe à son petit ami. Par la suite, ils passèrent du temps à la plage ou Drago appris à Harry à nager comme un poisson, ils en profitèrent aussi pour effectuer un peu de rattrapage dans des matières difficiles comme potions, occlumenci et métamorphose et purent même trouver de la documentation pour la transformation en animagus.

 

            – Bonjour, Ry! Murmura Draco quand le survivant se réveilla.

            – Salut!

            – Bonne fête! Lui susurra Draco avant de ravir ses lèvres.

            – Merci! Chuchota à son tour Harry avant de répondre à son baiser et de placer ses mains autour de son cou.

Le baiser finit par se faire plus ardent et passionné, chacun affairé à la tâche de faire plaisir à l’autre, leurs caresses devenant plus précises. Après quelques instants, Draco prit les devants et installa une de ses jambes entre celles de Harry et lui embrassa le torse en y allant lentement, bien content que son compagnon dorme sans chandail. Draco en profita pour lui lécher et mordiller ses tétons, adorant écouter les sons que Harry produisait sous l’effet du désir. Il poursuivit son exploration pour se retrouver au nombril ou il se mit à mimer l’acte, mais, avant que Drago puisse faire quoi que ce soit d’autre, le brun réussit à sortir un peu des limbes du plaisir et changea de position avec Draco, le trouvant trop vêtu. Le rouge et or entreprit à son tour de lui enlever son haut et de lui faire vivre le même supplice que son futur amant lui avait infligé, Harry voulait l’entendre gémir.

 Draco, revenu au dessus, interrogea du regard Harry pour pouvoir continuer, permission qui lui fut accordée. Après être nu, ils reprirent leurs caresses, avant que Draco lui présente trois doigts, qu’il s’empressa de sucer. Par après, Draco écarta un peu plus les jambes de Harry et le préparer.

Le reste de la journée se passa au lit, inversant, de temps à autre de posture, n’ayant aucune préférence. Au repas du soir, Draco lui fit remarquer qu’il avait quelque chose de différent, sans parler de sa perte de contrôle magique dans la douche. Harry lui expliqua donc qu'il s'agissait de son héritage, habituellement reçu à 15 ans, mais, vu la famille qu’il avait, c’était mieux à 17 ans lorsqu’il pourrait les quitter, et Dumbledore avait réussi à repousser la date.

Fin du souvenir

            – Draco m’a aidé à contrôler ma nouvelle magie, ce qu’il a su très bien faire. Le 31 octobre, il m’a soutenu pour les visions que Voldemort m’envoyait de la mort de mes parents et sir…Draco, ça va?Demanda Harry en fourchelang, le voyant s’agiter et descendre de lui.

           – Non… Si… En fait, je n’en sais rien, c’est comme un pressentiment, un peu comme les chiens qui détectent les tremblements de terre avant qu’ils arrivent.Siffla Draco, d’un ton qui dictait son incrédulité, se retrouvant par terre, pour reprendre forme humaine.

Dès qu'il se retransforma, Harry se leva et plaça sa main droite sur le bras gauche de Draco tout en le regardant voulant le détendre ou l’inciter à se confier, sans résulta puisque comme Draco s'apprêta à parler, Harry lui serra le bras avant de déposer son autre main sur sa cicatrice qui commençait à lui faire mal.

 

            – Harry??? S'inquiète Draco en l’entourant de son bras libre pour le coller sur lui.

           – Mais qu’est-ce qu’il lui prend? Demanda Hermione sans voir Harry mettre sa main sur son front.

            – Vision. Annonça simplement Draco en reportant son attention sur son compagnon.

            – Harry? Harry, écoute-moi, essaie de te concentrer sur ma voix Harry, tu dois recourir à l’occlumenci, focalise toi sur moi ou autre chose… Utilise la même méthode que la dernière fois, ça avait bien marché… C’est à ça que tu aurais dû t’exercer, mon ange! Se moqua gentiment Drago à la fin de sa phrase, mais d’un débit calme et rassurant, d’un ton pas trop fort, mais pas tout à fait un murmure, lui caressant le dos… Pendant les vacances, on s’entraînera là-dessus en plus du reste, hein? Te connaissant, tu ne voudras pas arrêter de t’exercer avec ta nouvelle magie.

Peu de temps après Harry desserra sa prise et Draco l’aida à se rendre au canapé, puisque ses jambes avaient des difficultés à le tenir.

            – Ça va mieux? Questionne Draco en se plaçant à côté de lui, quand même légèrement inquiet.

            – Oui… Merci! Soupira Harry de contentement, ayant horreur de ses prémonitions.

            – Harry, tu es sûr que ça va? Interroge Ron une fois assis sur le sofa.

            – Oui, Ron.

            – Qu’est-ce que tu as vu? Exigea Hermione.

            – Par Merlin, laissez-le souffler! Dit Draco qui n’en revenait pas que ses amis s’intéressaient plus à sa vision qu’à son état.

            – Désolée. Se sentit honteuse la châtaine prenant conscience de son comportement.

            – Maintenant que vous avez terminé de nous expliquer le pourquoi du comment, on s'occupe de lui, alors dégage Malfoy! Grogna Ron, qui ne pouvait le supporter plus longtemps.

            – Non mais, ça va pas? C'est hors de question! Rétorqua Drago.

            – Malfoy! Gronda Ron en signe d’avertissement.

            – Fais ce qu’il demande. Consentit Harry, exerçant une faible pression sur le bras pour détourner son attention de Ron.

            – Quoi? S'exclame Draco abasourdi en le dévisageant, pendant que Ron affichait un sourire vainqueur.

            – Mais, tu devras m'aider un peu, je ne suis pas certain que je puisse marcher pour l’instant, c’était tellement…

            – Aucun problème. Répondit Draco, le regardant avec tendresse avant de se faire embrasser par son amant.

Tandis que le sourire de Ron se fana pour bouillir de rage, ne comprenant pas le brun. Hermione, quant à elle, était contente pour lui, de le voir si épanoui et heureux, même si c’était dans les bras de Draco. Après plusieurs jours, Ron finit par se faire une raison et se rendre à l’évidence : son meilleur ami et la fouine étaient amoureux l’un de l’autre. Il décida donc de faire un effort pour Harry… et Hermione qui lui parlait très peu à cause de ça…

Sauf, peut-être pour le disputer.

 

Fin



laisser des commentaire,  et si je dois amélioré des chose laisser moi savoir je veux m'amméliorer pour les prochaines.

j'espère que c'est plus agréable a lire que la première fois



 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>