bon ben voici un autre petit poème, juste comme ça.... En espérant qu'il vous plaise.

Douleurs insurmontables, pourquoi me faite vous tant souffrir, qu’ai-je donc fait pour vous mériter? Par votre faute des larmes coulent sans cesse.  Des larmes qui ne sont rien d’autre que les mienne, mais sache qu’il n’y a pas que celle-ci et toutes ne vienne pas que de moi.

Pourquoi la mort me paraît-elle si belle? Pourquoi un ange doit-il avoir des ailes? L’origine à elle-même une origine, qui en a une à elle et ainsi de suite. Rien, le vide. Il s’acharne sur moi. Mais pourquoi je réagis comme cela? Pourquoi Ma mauvaise humeur est-elle si présente? Des larmes coulent, mais pour quelles raisons? Silence, nuit noire, insomnie. Les cauchemars me hantent. Pourquoi, pourquoi mon cœur se fait toujours une raison de pleurer? Pourquoi sa me fait toujours aussi mal? Pourquoi ne suis-je tout simplement pas normal. Tant de questions, qui ne font que torturer mon âme. Ah amour stupide. Qui ne sert à rien mise à part faire du mal. Laisse-moi, lâche-moi !! Pourquoi tu t’accroche à moi? Pourquoi ne puis-penser qu’a toi? Mais surtout pourquoi tu m’ignores? J’en ai marre de toi, j’en ai marre de tout, marre de cette souffrance, de cette douleur permanente. A quoi bon t’attendre, si de tout façon je serais déçue. Et il n’y pas plus grande déception pour moi que de me retrouver seule, perdue, abandonnée encore une fois. Seule, je le suis. Abandonnée de tous, loin de tout sauf de la mort qui m’attire, m’envoute et prend. Mon sang et mes larme coulent, elles se mêlent, pour atterrir dans un bain de boue. Ils forment une masse poisseuse, et sale dans laquelle je marche, et tente vainement d’avancer. Je veux trouver l’oubli pour ne plus te trouver, cette couleur blanche si pure, qui m’aidera. Du moins je le crois… Je ne sais plus ou j’en suis comment dois-je interpréter ton comportement ? Comment puis-je te déchiffrer ?  Comment faire pour que tu me regarde, et que tu m’aimes ? Ainsi, je marche dans les dédales bien durs de la vie. Un labyrinthe de tour et de détour, qui n’as au final que pour issue la mort. Chemin incongru parsemés d’obstacles, et de rayons de soleil. Des pleurs ou du bonheur les deux se côtoient toujours. Un bon jour, ou un mauvais jour peut importe ils se succèdent tous. Mais je préfère  sourire…. Et continuer de toute façon il y’en a bien d’autre, qui me regarderons. J’ai toute une vie devant moi-même si éphémère soit-elle. Profiter c’est le mot clé.

à Peluche!!! les gens merci de m'avoir lue