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Fin tragique d'un Yahourt à la fraise
Par Chichi
Naruto  -  Romance/Tragédie  -  fr
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    Chapitre 1     0 Review    
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Je rentre dans ta chambre, cette chambre qui me rappelle tant de souvenir, je hume cet odeur, ce parfum de fraise bon marché, c’est écœurant tant ça sent le yaourt à la fraise, mais je renifle plus intensément pour essayer de retrouver un peu de ta présence dans cet arôme presque nauséabonde, je m’assois sur ton fauteuil, tu sais celui que tu aime tant, ce vieux rocking-chair surmonté de deux vieux coussin et un plaid mauve pour cacher le tout. Je me rappelle notre première rencontre, on s’était battu jusqu'à  l’épuisement, Iwa et Konoha voulaient ce parchemin, je n’avais pas vu ton visage caché sous ton masque d’anbu, mais j’étais déjà tombé amoureux de toi, de ta fougue de ton ardeur au combat, de tes gestes, ton fouet m’avais lacéré le dos, j’en ai encore les marques, et puis ce parfum de fraise m’avais enivré, j’avais besoin de le sentir encore et encore. Puis on s’était revu, tu sais… Tu avais sorti Naruto-Kun des sables mouvant, puis toi et ton équipe l’avais soigné, quand nous vous avions retrouvé j’étais sur que c’était toi, ton parfum parcourait mes narines et me donnait milles frissons, vous aviez mis à sec vos réserves pour nous offrir un repas et quand Yamato-San à demandé pourquoi tu lui avais répliqué que nous avions beau être de village différents nous sommes tous des shinobis, ton coéquipier souffrait de cécité, plus il grandissait plus il perdait la vue, Sakura-chan à proposé en échange de votre gentillesse, de nous emmener à Konoha pour que la grande Tsunade opère Tetsuya , nous avons passé du temps ensemble, tu avais réveillé en moi les instinct que je n’aurais pas du avoir chez les anbus-nés, tu m’avais raconté ton histoire.16ème enfant du quatrième Tsuchikage et de sa douzième épouse, tu faisais tout pour plaire à ton père, ta promotion au grade d’anbu à 15 ans l’avais rempli de bonheur, chaque jour j’étais de plus en plus dépendant à ta présence, te rappelles tu de notre premier baiser ? C’était aux portes du village, tu devais rentrer à Iwa car l’opération avait réussi, ce jour là j’avais passé ma main dans tes longues boucles châtains, tes yeux de chats roses me fixaient avec insistance, comme pour me provoquer, et tes effluves de chewing-gum fraise me faisaient tourner la tête, j’étais paniqué, je ne savais plus du tout quoi faire, alors j’avais pris ton visage entre mes mains et j’avais posé un baiser sur tes lèvres, j’espère que la ou tu est tu t’en souviens. Les mois suivant tu me faisais parvenir des lettres, de ton écriture illisible, je voyais bien que tu faisais un effort pour bien écrire. Te souviens-tu de notre première fois ? J’étais arrivé à Iwa en surprise, Tsunade-Sama avais un message d’alliance à faire passer à ton père, j’en avais profité pour venir te voir, je n’avais jamais vu Iwa mais je regrettais de ne pas l’avoir vue plus tôt , c’était une ville distinguée, avec de belle maison en pierre grise ou blanche, de longues avenues, des magasins, des demeures immenses, des fontaines travaillés. L’assistante de ton père m’avait indiqué ta maison, enfin un immense hôtel particulier, tu m’avais expliqué que ton père avait 17 femmes et 21 enfants, ce genre de mœurs est assez mal vu à Konoha. Une servante m’avais indiqué ta chambre, en chemin je voyais beaucoup de femme, les enfants étaient surement partis depuis longtemps vu que tu étais la seizième. Je fis coulisser la paroi de ta chambre, tu grognas un «Fiche moi la paix Koïchi, demain je te promets je t’apprends le « fendeur de pierre » mais pas maintenant. J’analysais ta chambre, les murs étaient chocolat et les boiseries rouges .Sur le côté une grande bibliothèque, au milieu de la pièce un lit deux place assez confortable à vu d’œil, au milieu un tapis brun ou tu t’étais assise dos à moi et face à la fenêtre plongée dans un immense ouvrage, tes cheveux cascadaient librement le long de ton dos, ce jour la tu avais revêtu un yukata framboise orné de fleurs et d’oiseaux, dans la pièce des dizaines de bibelots en forme de chats siégeaient un peu partout . Tu étais presque un chat, sorti de ce besoin d’affection intense, je m’étais approché doucement et avais mis mes mains sur tes yeux. Je m’étais agenouillé et ton essence emplissait mes sens, j’avais murmuré un  «  Devine qui c’est ? » Tu t’étais retourné et t’étais exclamée « Saï !!! Que fais tu là » Et tu m’avais embrassé à pleine bouche, je ne contrôlais plus mon corps, il obéissait docilement au démon nommé Désir. Quand je m’étais réveillé le lendemain matin nu dans ton lit, j’avais cru que tout ceci n’était qu’un rêve, et pourtant. Puis j’avais du repartir, Konoha et Iwa étaient devenus alliés, pendant les voyages officiel tu accompagnais ton père, de ce fait nous nous voyions plus souvent , pendant tes venues tu t’était lié d’une très forte amitié avec Hinata Hyûga l’héritière du célèbre clan expert en taijutsu, tu la respectait beaucoup car comme son élément l’eau elle te fascinait et tu la craignait à la fois, elle s’était fiancé à son cousin Neji qui l’aimait certainement plus qu’elle, tout le monde n’as pas le choix d’épouser qui il veut, tes sœurs aînée ont été mariée de force dans tout le pays. Tout ce passait bien, un an à passé puis tu es partie en mission à Kuso No Kuni à priori rien de bien méchant, mais quand au bout de deux mois tu n’es pas revenu, ton père à envoyé toutes les ressources disponible à ta recherche, beaucoup de gens de Konoha se sont mobilisé aussi, moi en premier, Hinata et son équipe , Ino et Sakura t’ont cherché avec beaucoup d’ardeur, mais ce fut Naruto au bout de maint efforts qui à trouvé ton corps, tu étais dans un coma profond, endormie dans une rivière. Hinata, Ino et Sakura t’on soigné sans relâche, Tsunade-Sama est même venue pour te sauver. Tu n’étais pas morte mais pas vivante non plus, quand l’Hokage nous à expliqué qu’il est impossible pour un humain de survivre cinq heure dans l’eau, j’ai pleuré, oui moi Saï l’Inexpressif, j’étais en larme je venais de perdre la femme que j’aimais, je me sentais vide, ton père ,Takeshi Tachikawa était inconsolable même avec 20 autres enfants ta mort l’attristait comme si tu avais été la seule, il répétait à longueur de temps la même phrase : «  Jin, ma pauvre Jin, mon enfant, pourquoi ? »La décision fut rude pour nous, mais nous ne pouvions pas te laisser vivre comme ça, j’aurais tant aimé te garder. Je me retrouve dans ta chambre, j’ai demandé à ton père si je pouvais prendre ton flacon de parfum, j’en ai embaumé mon écharpe et mon lit comme pour t’avoir encore près de moi, c’est le jour de ton enterrement, seulement tes proches sont là les invités ne sont pas nombreux : Tes parents, tes coéquipiers, quelques uns un de tes amis d’Iwa, deux ou trois autres femmes de ton père qui semblait t’apprécier, ton Senseï bouleversé, Hinata, Ino et Sakura en robe de deuil des larmes coulant de leurs joues serrées les unes contre les autres, Naruto, Neji , Moi et l’Hokage, Naruto pleure les poings fermés, il t’aimais beaucoup lui aussi, il murmure entre ces dents qu’il te vengera, Neji ne comprend pas trop ce qui passe et moi je ne suis plus rien, je ne suis plus qu’une coquille, ma décision est prise, j’ai décidé de revenir chez les anbus, redevenir une machine à tuer, mes sentiments sont partis avec toi, quand on porte le cercueil en terre chacun dépose une rose, les rouges tes préférées…La pluie cache mes larmes, plus jamais ma vie ne serra pareille…
Adieu mon amour…
 
     
     
 
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