De l’ordre des minipousses. 

Base : Harry Potter plus défis d’Umbre 77.  
Genre : Slash Yaoi HPDM, oui, je ne change pas mes habitudes. Par contre j’ai d’autres idées de couples, mais pour le moment je ne sais pas trop. Un peu d’angoisse et puis de l’aventure et de la romance, ouais.  
Notes de l’auteur barge : Je  relève le défi de Umbre77, trop sympathique et donnant plein d’idées. En espérant que ça te plaira Umbre parce que n’ayant pas ton talent, j’essaye de faire quelque chose qui te fera plaisir comme tu le fais pour nous en écrivant ces somptueuses histoires.  
Disclamers : Les persos relatifs au monde de Harry Potter ne m’appartiennent pas. L’idée de cette histoire non plus. Par contre sa rédaction et ce qui en découle si.
Miffi à Lily.B et Louvegrise pour leur relecture et à Umbre77 pour son avis sur le chapitre.  
Résumé du défi : Suite à une confrontation musclée dans les couloirs, Draco et Harry se retrouvent rétrécis à la modeste taille d’une prune! Sauront-ils s'associer pour se sortir de ce mauvais pas et survivre dans un Poudlard plus gigantesque que jamais? 

Le monde sorcier était en guerre depuis combien de temps? Ça avait été officiellement annoncé par le Ministre C.Fudge, cela allait faire un peu plus d’un an, sachant que dans l’ombre cela durait depuis plus longtemps. L’Ordre du Phénix était reconnu légalement, était très actif et comptait un nombre important de membres.
Les affrontements entre Mangemorts et Aurors augmentaient, mais restaient tout de même éparses, à savoir qu’il ne fallait pas non plus perdre des unités d’hommes inutilement. Seulement même si la guerre faisait rage, un établissement restait hors d’atteinte des sorts et autres menaces.
Poudlard, école de sorcellerie de Grande Bretagne, protégée par de nombreux sortilèges de protection et dirigée par celui qui était considéré comme l’un des plus grands mages de tous les temps. La mort ne parvenait donc pas aux portes de l’école qui continuait sa vie en essayant d’oublier un moment ce qui se passait de l’autre côté de la grille.

Du moins, c’est ce que tout le monde espérait…

- Potter, tu vas crever pour ce que tu viens de faire ! 

La voix résonna dans tout le couloir, les tableaux, qui assistaient à la scène, restaient assez perplexes, se demandant ce qui allait se passer et pourquoi on venait de hurler ? 

- Ah ouais et que vas-tu me faire Malfoy ?

La voix, cette fois-ci, était taquine, on sentait que la personne se moquait allégrement de son vis-à-vis.

- Ce que je vais te faire Potter, tu le sauras bien assez tôt !

- Draco, arrête et laisse tomber.
- Fiche-moi la paix Pansy, il m’a cherché et il va me trouver.
- Mais Draco… 

Il fit un mouvement rapide et la jeune fille fut obligée de lâcher prise, elle fut rattrapée in extremis par un jeune homme au visage doux, aux yeux normalement rieurs bleu nuit mais qui en ce moment même était plutôt froid et sérieux.   

- Ca va aller Pansy ?
- Oui, mais il faut arrêter Draco.  

Il hocha la tête puis alla s’interposer entre son ami et le Gryffondor, seulement, la querelle s’amplifia de nouveau mais cette fois, cela vint de l’autre côté.  

- Allons Malfoy, je n’ai pas peur de toi, surtout quand on voit ton petit jeu.
- Fais attention à ce que tu vas dire Potter ! Siffla le Serpentard.
- Oh mais je n’en vois pas l’intérêt vu que ça t’est destiné, seulement, je me disais juste que je trouvais ça bas de faire croire que tes amis te retiennent pour éviter de montrer que tu n’as pas de couilles.  

Le brun sourit à la fin de sa phrase, elle avait touché son but et le blond en face de lui était de plus en plus en colère.  

- Je vais le tuer ! 

Draco se rua sur Harry alors que Blaise le tenait par le bras et de l’autre côté, Ron tentait de calmer le jeu en demandant à son meilleur ami de l’accompagner à la bibliothèque pour retrouver Hermione car ils étaient déjà en retard. Mais cela n’avait pas l’air de fonctionner, Hermione allait les tuer, c’était sûr, surtout lorsqu’elle apprendrait que c’était parce qu’Harry s’était une fois de plus mis en colère contre Draco Malfoy.  

- Viens, je t’attends espèce de sale fouine.
- Mais je ne vais pas te faire attendre balafré.

Le blond fit un mouvement vif du bras et Blaise fut obligé de la lâcher, Harry de l’autre côté fit de même avec Ron qui tombait le cul au sol, gémissant avant de faire un signe négatif de la tête et de voir les deux garçons se ruer l’un sur l’autre. Le poing de Draco arriva dans la mâchoire d’Harry alors que le genou du brun arrivait dans le ventre du blond. 

Ils reculèrent de concert pour masser l’endroit endolori et repartirent dans un nouvel assaut mais ne purent échanger que quelques coups car Blaise et Ron s’étaient interposés en en attrapant chacun un par le dessous des aisselles, la chance étant que l’un comme l’autre, ils faisaient une bonne tête de plus que leur camarade.

- C’est pas bientôt fini, merde, vous n’êtes plus des gamins. Hurla Ron.
- Pour une fois que je suis d’accord avec Weasley, ça ne peut plus continuer comme ça.  

Harry et Draco ne firent pas attention à ce que disaient leurs amis, continuant de se darder du regard, si celui-ci avait d’ailleurs pu tuer, cela aurait été fait depuis longtemps, pour le bien de tout le monde sûrement, car ils ne devraient plus supporter cette guérilla constante entre eux deux.  

- Attends qu’il me lâche et ça va être ta fête.
- Je t’aurai fait griller avant le lionceau.  

Harry fit un pas en avant mais Ron le retint fermement, à partir de quoi ce stupide combat avait-il commencer ? Il ne savait même pas. Il avait fallu que ces deux-là se rencontrent pour s’insulter et vouloir se ruer l’un sur l’autre afin de s’entre massacrer. C’était comme ça depuis un moment, depuis le début de l’année d’ailleurs.

Leur septième année venait de commencer et la lutte entre les deux garçons avait débuté aussi. L’année d’avant s’était pourtant à peu près bien passée si on oubliait le fait que Voldemort était devenu plus fort, qu’il avait fait évader la moitié des prisonniers d’Azkaban, qu’Harry avait été pendant trois mois en dépression à cause de la mort de Sirius Black mais qu’il avait quand même remonté la pente d’une drôle de façon, oui, très drôle, il était devenu plus sérieux et s’entraînait souvent le soir, il ne parlait plus beaucoup et semblait avoir pratiquement perdu sa naïveté d’autrefois, celle qui le caractérisait si bien.

On parlait beaucoup de lui, il était beau, son corps s’était bien musclé, ses yeux brillaient d’une lueur que personne n’arrivait à déchiffrer et il parlait avec un certain détachement.

Ron avait eu du mal à reconnaître son meilleur ami après son passage chez les Dursley pendant deux mois, deux longs mois où il n’avait pas eu le droit de sortir, ordre de Dumbledore. Seulement pendant ce temps, il s’en était effroyablement voulu de n’avoir rien pu faire pour aider les gens qui étaient passés de l’autre côté de la rive à cause de Voldemort.

C’est pour cela, qu’à présent, il était en train de retenir Harry pour que celui-ci ne fasse pas un  nouvel aller-retour à l’infirmerie accompagné de Malfoy sur qui il remettait toute sa haine du moment.

Il se demandait aussi ce qui avait bien pu changer le blond. Lorsqu’il était plus jeune, il était con, arrogant, c’était un serpentard et comble de tout, le fils d’un mangemort, futur mangemort lui-même. Mais jamais il n’avait été assez courageux pour se confronter en combat ainsi avec Harry, jamais. Il se demandait bien ce qui pouvait se cacher derrière tout ça, et plus il se le demandait, plus il avait envie de le savoir.

Pendant que Ron rêvassait, Blaise faisait de même essayant de comprendre le pourquoi de l’attitude de son meilleur ami. Il savait que quelque chose de spécial s’était produit cet été, mais Draco n’avait pas voulu lui en parler. L’année dernière avec la libération des prisonniers d’Azkaban, Draco avait été soulagé de voir son père sortir de prison même si c’était pour être dans l’illégalité, il avait beaucoup étudié afin de battre Potter pour continuer à honorer sa famille, mais n’avait nullement réussi.

Seulement, cela ne l’avait pas plus démoralisé qu’à son habitude. C’était depuis la rentrée que quelque chose avait changé. Son comportement était bien trop agressif envers un certain brun, sa façon de se battre aussi, cherchant toujours le duel, le contact alors qu’avant, il ne se serait jamais approché de quelqu’un qui pouvait avoir le dessus sur lui.

Mais ce n’était plus le cas, il se laissait envahir par la colère et alors il ne contrôlait plus rien. Il voulait juste se défouler et il semblait que le meilleur punching-ball qu’il pouvait trouver était Harry Potter.

Pansy, qui était en retrait, regarda son ami retenir le petit prince et en face, Weasley faire de même avec Potter. Elle avait déjà envoyé Crabbe et Goyle chercher de l’aide, mais elle se doutait bien qu’elle ne viendrait pas tout de suite, après tout, c’était de Crabbe et Goyle dont on parlait. Ils avaient beau avoir grandi, ils n’avaient pas plus de cerveau qu’avant.
Passant sa langue sur sa lèvre pour l’humecter, elle regarda la scène et cria.

Blaise et Ron sursautèrent au cri mais n’eurent pas le temps de réagir. Harry et Draco avaient réussi à bouger leur main et faire un petit mouvement. Lançant deux sorts différents consécutivement, ils se rencontrèrent à égale distance de l’un comme de l’autre, se mélangèrent et continuèrent leur course pour heurter de plein fouet l’un et l’autre des deux garçons.

Une fois le sort reçu, une épaisse fumée vert gris se répandit dans le couloir, enveloppant toutes les personnes s’y trouvant.

- Mais c’est quoi ce bordel ? Fit la voix grave d’un professeur.
- Vous m’avez dit que Monsieur Potter et Monsieur Malfoy se battaient ici ? Demanda cette fois-ci une voix féminine assez dure.
- Oui professeurs.

Severus Snape et Minerva McGonagall regardèrent l’épaisse fumée se répandre encore un peu avant de complètement disparaître. Ils purent apercevoir deux garçons ainsi qu’une jeune fille assise dans le couloir.

- Mademoiselle Parkinson, Monsieur Weasley et Monsieur Zabini, peut-on savoir ce qui se passe ?

La voix du professeur de Potions les fit les regarder vivement avant de reporter leur regard là où auraient dû se trouver deux personnes bien connues, mais justement, l’endroit se trouvait être vide.

- Par Salazar, c’est quoi ce délire ? Dit Blaise en tournant sur lui-même.
- Où est passé Harry ? S’étonna le rouquin.

Pansy avait adopté un air catastrophé, se mettant debout, elle se jeta sur les professeurs.

- Où est Draco ?
- Calmez-vous Mademoiselle Parkinson, il ne doit pas être bien loin.
- Mais ce n’est pas possible…elle tourna la tête à droite puis à gauche avant de revenir vers ses professeurs. Ils étaient là, juste là. Blaise et Weasley les tenaient, ils n’ont pas pu se volatiliser.

Devant l’air complètement affolée de la jeune fille, Minerva lui posa une main rassurante.

-  On va les retrouver, mais si vous nous expliquiez plutôt ce qu’était cette fumée. Dit-elle prenant un air sérieux.

Ron et Blaise cessèrent de bouger à la demande, ils ne savaient pas vraiment comment débuter l’explication. Severus voyant que tout ne bougeait pas reformula la question.

- Monsieur Crabbe et Monsieur Goyle sont venus nous prévenir que Monsieur Potter et Monsieur Malfoy avaient une discussion plutôt animée qu’en a-t-il découlé ?
- C’est ça le problème Professeur, nous ne le savons pas.

Blaise fit un grand geste las pour bien montrer son ignorance. Il n’avait pas compris du tout ce qui c’était passé et comment d’un coup, Draco avait disparu de son étreinte.

- Nous tentions de faire en sorte que Draco et Potter ne se tapent pas dessus mais ils ont lancé tous les deux un sort qui au lieu d’exploser en se rencontrant, se sont mélangés et pouf plus personne.
- Merci Monsieur Zabini pour se résumer plus qu’expressif. 

Blaise rougit quelque peu. Tout le monde le lui disait, il avait la fâcheuse tendance à parler avec les mains et donc à faire de grands gestes accompagnés de très sympathiques bruitages.

- C’est ce qu’il s’est passé, c’est tout. Maugréa-t-il.
- C’est vrai Professeur, et depuis l’épaisse fumée, Harry et Malfoy ont disparu.

Minerva regarda le rouquin, puis le jeune homme et finit sur la brunette qui avait les larmes aux yeux. Elle ne voyait pas trop comment ils avaient pu disparaître comme ça, surtout s’ils étaient retenus fermement. Et à la vue de la taille des deux garçons par rapport à leur ami, ils n’avaient aucune chance de pouvoir s’échapper comme ça, sans que l’un ou l’autre ne s’en rende compte.

- Professeurs, il faut les retrouver. L’implora-t-elle.
- Bien sûr que nous allons les retrouver, il manquerait plus qu’ils s’entre tuent dans un coin de l’école. Grogna le maître des potions.

Le professeur de potions avait toujours son calme légendaire et son détachement de tout. Seulement, il n’avait pas tord, ils avaient intérêt à les retrouver avant qu’ils ne fassent une bêtise. Il y eut un tout petit silence, puis Severus regarda Blaise.

- Monsieur Zabini et Mademoiselle Parkinson, nous allons chercher par là, Minerva allez de ce côté avec Monsieur Weasley. Il faut les retrouver avant qu’ils ne détruisent une partie du château avec leurs bêtises.

Dans un mouvement de cape, le professeur quitta le couloir accompagné des deux Serpentards, les deux Gryffondors firent de même dans l’autre sens, bien déterminés à retrouver les deux portés disparus.
Aucun ne comprenait comment les deux garçons avaient pu disparaître, mais s’ils ne les retrouvaient pas, il allait falloir prévenir Dumbledore. Ces deux-là, de toute façon, commençaient à être un peu trop dangereux pour les élèves et leur haine un peu trop violente parfois.

Parcourant les couloirs, demandant de l’aide aux tableaux, le petit groupe se retrouva devant la gargouille menant au bureau du directeur. Rien, ils étaient introuvables. Ce n’était que le début des ennuis.

oOo

Il avait mal, tout son corps lui faisait souffrance et, il sentait le sol dans son dos. Il voulu se relever, mais sa tête le faisait atrocement souffrir. Que venait-il de se passer ? Il entendait des voix au loin, mais ses oreilles bourdonnaient horriblement. Il passa une main sur son visage pour essayer de voir s’il était toujours entier. Il gémit de douleur mais il semblait bien vivant.

Se relevant doucement, il chercha à tâtons ses lunettes sans les trouver. Jurant en continuant de chercher, il entendit un autre bruit étouffé qui provenait de quelques pas devant lui.
Comment en était-il arrivé là, comment diable avait-il réussi ce coup-là ?

De l’autre côté, un gémissement se fit de nouveau entendre. Celui qui reprenait totalement conscience avait un mal de tête énorme et surtout, il avait l’impression d’avoir été piétiné par un troupeau d’hippogriffes en chaleur. Passant sa main dans ses cheveux puis sur ses yeux, il se remémora le pourquoi du comment il était dans cet état.

ls étaient face à face, Blaise le retenant, Weasley faisant de même avec Potter. Ils s’étaient toisés du regard, l’un comme l’autre, se laissant guider par la haine, ne pensant à rien d’autre que cette haine qui leur grisait le cœur, qui les rendait ivre. Il avait pu lire quelque chose dans les prunelles émeraude qui hantaient toutes ses nuits et dans lesquelles, il prenait un malin plaisir à voir briller cette lueur de colère, de haine.

Ils avaient échangé quelque chose et d’un mouvement commun ainsi que d’une même voix, le sort était parti. Quel sort avait-il lancé ? Il s’en souvenait plus, sa tête lui faisait tellement mal que ça l’empêchait de réfléchir correctement, et puis on criait dans ses oreilles.

- Mais ce n’est pas possible...Ils étaient là, juste là. Blaise et Weasley les tenaient, ils n’ont pas pu se volatiliser.

Mais qu’est-ce qu’elle racontait ? C’était Pansy qui parlait, pourquoi hurlait-elle comme ça ? Il avait envie de lui dire de se taire, mais rien à faire, il n’arrivait pas à émettre le moindre son cohérent.

- On va les retrouver, mais si vous nous expliquiez plutôt ce qu’était cette fumée.

Le professeur McGonagall, ils étaient dans la merde, cette fois-ci, ils allaient vraiment être collés pour un long, très long moment. Mais il ne comprenait toujours pas pourquoi elle disait ces mots-là. Elle parlait d’une fumée, ça devait être celle qui était apparue lors du choc des sorts.

- Monsieur Crabbe et Monsieur Goyle sont venus nous prévenir que Monsieur Potter et Monsieur Malfoy avaient une discussion plutôt animée qu’en a-t-il découlé ?
- C’est ça le problème Professeur, nous ne le savons pas.

Ça pour être animée, elle l’avait été, mais pourquoi parlaient-ils comme s’ils n’étaient pas là ? Et ce mal de tête qui le prenait de plus en plus. Il entendit un gémissement en face de lui et voulu ouvrir les yeux mais, il n’y arrivait pas.

En face Harry ne comprenait pas non plus le pourquoi de la discussion, cherchant toujours ses lunettes, il continuait d’écouter sans comprendre.

- Nous tentions de faire en sorte que Draco et Potter ne se tapent pas dessus mais ils ont lancé tous les deux un sort qui au lieu d’exploser en se rencontrant, se sont mélangés et pouf plus personne.
- Merci Monsieur Zabini pour se résumer plus qu’expressif.

Mais qu’est-ce qu’il racontait cet abruti de Serpentard, il était bien là et son ouïe lui avait fait par que le blond devait être là aussi, alors pourquoi parlait-il comme s’ils avaient disparu ?

- C’est ce qu’il s’est passé, c’est tout.
- C’est vrai Professeur, et depuis l’épaisse fumée, Harry et Malfoy ont disparu.

Mais c’était pas vrai, même Ron affirmait qu’ils avaient disparu, ce n’était pas possible, quelque chose devait clocher et en plus de ça il ne trouvait pas ces p****n de lunettes.

- Professeurs, il faut les retrouver.
- Bien sûr que nous allons les retrouver, il manquerait plus qu’ils s’entre tuent dans un coin de l’école.

Mais c’était quoi ce bordel ? Sa main heurta un objet qui ressemblait à ses lunettes, il les attrapa et les passa et là, il resta sous le choc.

Draco ne comprenait pas ce qu'il se passait, sa tête le lançait toujours mais il voulait voir, pourquoi parlait-on de lui et de Potter alors qu’ils devaient être bien présents?

- Monsieur Zabini et Mademoiselle Parkinson, nous allons chercher par là, Minerva allez de ce côté avec Monsieur Weasley. Il faut les retrouver avant qu’ils ne détruisent une partie du château avec leurs bêtises.

Draco ouvrit les yeux pour crier qu’ils étaient là, mais à la place, tout ce qu’il put faire, c’est effectuer un geste rapide pour échapper à un objet énorme qui allait l’écraser. Il ouvrit de grands yeux une fois ça fait pour voir ce qu’il lui était arrivé.

D’une voix commune, Harry et Draco poussèrent un énorme « merde ».

A suivre…

Voici donc le petit prologue de cette superbe histoire de Umbre. L’écrire sera vraiment une aventure intéressante, j’espère qu’elle le sera tout autant pour vous chers lecteurs.  

Kisu