Dédicace à Roblochon (Camille). Parce qu’elle m’a mise au défit de la plus belle des manière… En me disant que mon écrit l’inspirerait pour écrire à son tour. Je m’excuse donc par avance de mon texte qui je l’avoue ne ressemble en rien à ce qui était prévu. (Je ne sais pas ce que tu pourras tirer de ça roblochon è_é) Dédicace à Mimi. Parce qu’elle a rattrapé ma catastrophe et qu’elle a su m’inspirer cette lettre. J'espère que le résultat est bien meilleur que l'autre xD^^ Dédicasse à Sean(Conneraille). Parce qu'elle a partagé quelques moments d'écritures avec moi (Et parce que je l'ai accusé de me couper mon inspiration è_é) OOoOoOoOoOoOo Lettre à Toi Il y a tant de choses à dire que je ne saurais prononcer. J’ai au fond de la bouche un goût amer, un goût d’inachevé. Je ne sais pas quoi dire. Je ne sais que penser de tout cela. Je suis perturbée au plus au point et je ne sais même pas si tu te doutes de ce que tu me fais endurer. J’ai l’impression d’être un pantin entre tes mains. Tu joues avec moi et tu te joues de moi. Je ne sais comment réagir face à tout ça, face à toi. J’espère mais je doute. L’espoir n’est pas toujours salvateur et le mien ne fait que m’enfoncer dans les profondeurs de la détresse. Je désespère. Ce qui est étonnant, c’est que lorsque je pense à toi les mots coulent sur le papier à la vitesse des larmes sur mes joues lorsque tu fais quelque chose qui ne me plait pas. Tu m’inspires et je t’expire. J’essaie tout du moins. J’aimerais pouvoir me réveiller et ne plus penser à ça, ne plus penser à toi. J’aimerais arrêter de pardonner toutes tes actions parce que tu sais si bien te faire pardonner. Tu es la personne la plus merveilleuse et la plus terrible que je connaisse. Tu peux me faire rêver comme tu peux me plomber ma journée, ma soirée. Tu es la personne la plus compliquée qu’il soit, et je t’aime pour ça. Ça fait ma perte mais je ne m’en plains pas. J’ai eu bien des occasions de t’oublier, de t’effacer, de passer outre le passé. Et je suis toujours là. Tu n’as jamais cherché à me retenir. Tu m’as toujours laissé vivre ma vie s’en trop t’en mêler. C’est moi qui m’enfonce moi-même dans les problèmes. Je vais vers toi en sachant très bien ce qu’il adviendra. Je me perds dans des illusions et je m’enfonce dans la désillusion. Je ne sais pas ce que tout cela donnera. Je me plais à espérer une fin positive mais je n’y crois pas. J’ai tendance me dire que tout cela ne finira pas. Pas vraiment. Que cela s’achèvera sur des non dits. Qu’au final j’y penserais toute ma vie. Je suis impuissante. Je t’aime et tu le sais. Je t’aime et tu m’as forcé à te le dire. Je te déteste de m’avoir fait cela et je t’en veux de me faire subir ça. Tu te dis beau seigneur mais tu agis comme le pire des rois. Tu me diriges d’une poigne de fer et je suis certaine que tu en es fier. Ça doit te faire sourire de voir que malgré tout ce que tu peux faire, je suis toujours derrière toi. Je passe sur tous tes coups bas. Je pardonne tous tes éclats. Je suis celle qui t’aime tout bas et que tu gardes à distance respectable de toi. Je me demande si un jour tu me laisseras être à tes côtés. Si je ne fais pas qu’espérer. Si tout cela n’est pas qu’un beau rêve qui ne deviendra jamais réalité. J’ai peur de me dire que tout cela n’est que du temps perdu. Que même si je te plais mon amour est vaincu. Je t’aime mais c’est peut-être qu’une vague impression. Un malheureux besoin d’attention. Une énorme confusion qui déboucherait sur peu d’émotions. Peut-être n’est-ce qu’un doux rêve. Un léger fantasme. Ou bien une envie fugace. J’aimerais y croire. J’aimerais vraiment. Me dire que tout cela n’était qu’un simple cauchemar. Que je vais enfin pouvoir sortir du noir. Que la fin est au détour du couloir. Mais tu restes dans ma tête et les restes de notre histoire s’envolent de mes mains. S’envolent au lointain. Tu me travailles et je façonne de mon esprit un être peu banal. Légèrement animal. Assez anormal. Beaucoup bancal. Sans aucune moral. Au final, cela donne quelque chose qui me reste en tête et m’entête à m’en faire perdre la tête. Tu voles et tourbillonnes dans mon esprit. Il m’est impossible de ne pas y penser. Je ne peux t’occulter. Et même si ça me fait mal d’y songer. Je n’ai pas le choix. Je fais avec. Je vis avec à défaut d’être avec toi. Moi Ps : Cette lettre a un goût d’inachevée. Tout comme notre histoire… OOoOoOoOoOoOo Est-ce à prendre au sérieux ou non ?… Partiellement ou totalement ?… À vous de voir et d’imaginer... |