Disclaimers: Non, je ne suis pas blonde, pas anglaise et je ne suis pas l'auteure des célèbrissimes "Harry Potter". Je ne touche pas d'argent sur les histoires que j'écrit et la récompense pour mes efforts immenses pour sortir ce que j'ai dans la tête sur mon ordi est vos reviews qui me font très plaisir. Les personnages que vous connaissez ne m'appartiennent pas. Par contre Lily et Juli si!

P'tits trucs à savoir: présence de relationS homosexuelleS donc homophobes... ciao!

-On va dormir ? Demanda Hermione en voyant Juli dodeliner de la tête.
-Ouais, allons-y, décida Harry qui lui aussi avait vu l’état de la blonde. Ron se leva, le regard absent, prit la main d’Hermione pendant que Juli prenait celle d’Harry. Celui-ci eut d’abord un sursaut mais, voyant que ce n’était qu’un geste d’amitié, se détendit. Ils ne virent pas Parkinson se faufiler derrière eux. Ils arrivèrent dans le hall d’entrée où Blaise et Lily les attendaient.
-Black ! Cria une voix derrière eux. D’instinct, Blaise, Hermione et Harry sortirent leur baguette. Pansy, accompagnée de Crabbe et Goyle, les menaçait de la sienne.
-Qu’est-ce que tu veux, mon p’tit pékinois? Demanda Lily d’une voix lasse en sortant lentement sa baguette.
-Ne te moque plus des Mangemorts !
-Pourquoi ?
-Parce que bientôt, tout sera sous le pouvoir de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-Nom !

-Tu crois ?
Draco sortit de la Grande Salle. Sa curiosité piquée au vif par les cris qu’il entendait dans le Hall, il atterrit soudain juste en face de Potter. Potter qui avait la baguette brandie, un air concentré et accessoirement la sœur de Lily derrière lui. Comme pour la protéger. Protéger quelqu’un. Quelle perte de temps ! Il écouta avec plus d’attention ce que disait la furie de Pansy Parkinson à Lily.
-Je suis sure que tes parents sont des Moldus !
-Erreur. Si je suis une Black, logiquement au moins un de mes parents est un sang pur… tu devrais réviser ton Histoire, mon p’tit pékinois…
-Black ? Il ne reste presque aucun Black en Angleterre ! Cette famille n’est plus aussi pure qu’elle l’était !
Draco sentit son sang bouillir. Elle osait insulter sa famille ! Et les Parkinson alors ? Eux non plus n’étaient pas totalement purs !
-Qu’est-ce que ça peut faire, le sang ? Et regardes qui tu viens d’insulter. Il est derrière toi et vu sa tête il n’est pas très content.
Pansy tourna la tête vers Draco qui avait le visage fermé.
-Oh… Draco. Je-je ne parlai pas de toi, je parlai d’elles et de Nymphadora Tonks, d’Arthur Weasley… de Sirius Black…
-Sirius était un sang pur ! Hurla alors Harry. Pansy se retrouva projetée en arrière.
-Non ! Hurla-t-elle en se relevant, c’était un ignoble traître qui a trahi sa famille ! Comme les Weasley !
Elle se retrouva soudain plaquée au mur par une force colossale.
-Les Weasley sont les gens les plus nobles et gentils que je connaisse ! Tu n’es même pas digne de cirer leurs chaussures ! Alors la ferme!
-Potter, intervint alors Draco, tu devrais te calmer. L’usage de la magie est interdit dans les couloirs… j’enlève dix points à Gryffondor.
Pansy retomba par terre comme une poupée de chiffon. Le préfet en chef de Serpentard n’eut aucun regard pour elle.
-Qu’est-ce que tu fais là, toi ? Siffla Harry.
-Je fais mon travail.
-Etre con ?
-Non. Enlever des points aux débiles qui pensent être au-dessus des lois !
-Je… je ne pense pas être au-dessus des lois.
-Tu t’es reconnu ? Allez-vous coucher, maintenant.
-Je…
Draco avait déjà tourné les talons, emportant pékinois et armoires à glace avec lui.

Harry se tourna pour se retrouver face à Lily. Il lui sembla qu’elle l’observait. Soudain la fatigue le submergea et il s’assit brutalement par terre.
-Harry ? Ca va ? Lui demanda Hermione.
-Je suis… fatigué.
-C’est normal. Tu as usé de magie sans baguette. C’est… impressionnant. Souffla Blaise. Harry leva les yeux vers lui.
-Je suppose que tu vas le dire à ton père qui le dira à Voldemort.
-Je ne suis le serviteur de personne, Potter. Mais j’ai trouvé pour quelle cause je voulais me battre. Et ce n’est pas celle de mon père. Sur ces mots, je vous dis bonne nuit, dormez bien et à demain ! Tu viens Lily ? Ce serait plus prudent que tu restes avec moi.
Juli embrassa sa sœur et lui dit que tout irait bien. Elle regarda Ron faire un câlin à sa petite amie et lui dit qu’ils pouvaient partir. Elle allait s’occuper d’Harry. La jeune fille prit la main du Survivant qui se sentit soudain moins fatigué et entreprit de gravir les escaliers.
-Juli ? Si tu n’es jamais venue ici… comment tu connais le chemin ?
-Je… on a appris par cœur le plan de Poudlard, à Durmstrang.
-Hum… pourquoi ?
-Culture générale. Où je vais dormir ?
-Pour ce soir tu peux dormir avec moi si tu veux. Demain Mione te montrera ta chambre. Ce soir je pense qu’elle sera trop occupée à… avec Ron.
-Et toi ?
-Moi je fais rien avec Ron…
-...non, je voulais dire : Et toi ?
-Si j’ai une petite amie ? Tu es un peu trop jeune pour moi…
Harry éclata de rire en voyant le regard dégoûté que lui jeta Juli.
-Non… je n’ai pas de petite amie madame. Personne ne va faire de crise de jalousie demain matin!

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De retour après une looongue abscence, désolééééée......

En espérant que ça vous ait plu. 

£njoy!