Disclamer : Les personnages et les lieux appartiennent à l'anglaise bien connu : Elizabeth II, de son vrai nom J.K Rowling, et le texte original au chanteur français bien connu : Pompidou, de son vrai nom J.J Goldman (un vrai mec en or je vous le dit !) mais tout ce qui est rajout et remasterisation est de moi ! :D Ainsi que l'idée ! Mais bien sur, on va pas me payer pour ça, hormi si vous comptez les reviews comme un salaire...

Ndla : Héhéhé, un petit OS qui m'a été pondu par mon poste de musique, alors qu'il machouiller mon CD de J.J Goldman "Chansons pour les pieds" pendant que je dansais toute nue dans ma salle de bain en me coiffant. Situation type de création d'histoire foireuse ! Mais lisez quand même, des fois que ça vous plaise ce genre de trucs... puis une ptite review pour me dire ce que vous en pensez, ça tue pas je suppose. (Le seul truc qui pourrait vous tuez c'est de me voir en situation de création d'histoire foireuse.)

[Texte amélioré]

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Harry Potter était bien connu à Poudlard. Le brun à lunette ronde et à cicatrice électrisante était l'auto-proclamé Sauveur de l'Humanité grâce à un vote truqué de Dumbledore. Du moins, Draco Malfoy, le blond péroxydé à belle gueule mais caractère de cochon et pourtant Q.I développé, tentait de se persuader de cette façon. Oui, il n'y avait pas de raison que ce soit l'orphelin le héros ! D'habitude c'était toujours les bo-goss riche et intelligent qui avait ce rôle !

Aussi, et parce que Potter avait refusé de lui serrer la main sept ans auparavent -les Malfoys sont des ténieux rancuniers-, Draco avait décidé d'en faire son puching-ball préféré, aidé dans sa mission par son professeur de Potions, Sir Rogue, qui avait lui aussi décidé de faire de Potter sa tête de turc.

Et comme tout les vendredi, et les autres jours de la semaines aussi, lorsque Draco croisait Potter, et que Harry croisait Malfoy, des disputes du plus haut niveau en guise de sarcasme blessants étaient lancées. Le but étant de blesser un maximum l'ennemi en parlant de sa vie privé par des questions de rhétoriques.

Jamais Potter ne l'avait battu. Jamais Harry ne gagnait. Mais le héros se rattrapait au Quidditch, alors le brun s'en remettait, contrairement au blond.

Et en ce Vendredi 13 Novembre, une fois ne fut pas coutume, Malfoy et Potter se croisèrent au niveau deux du château, près de la salle des Sortilège, à deux pas de l'Infirmerie.

Le blond stoppa sa marche, regardant de haut et dédaigneusement Potter, comme s'il eut été un cafard particulièrement répulsant, au point où le blond se demandait comment horreur avait pu être engendré par la Nature !

Le brun fit de même, se demandant comment le blond avait fait pour garder plus de deux neurones vivant dans sa boîte crânienne, tant sa couleur de cheveux était clair. Alors, plus par habitude et parce qu'il savait qu'il allait perdre, il commença le duel. Ses amis Ronald Weasley et Hermione Granger se postèrent de chaque côté du brun, deux pas derrière lui, comme pour que les mots de Malfoy n'atteignent qu'Harry. Les amis de Draco firent de même. Un sourire naquit alors sur les èvres du brun, tandis que les mots sortaient d'eux-même.

-Combien de coups, crois tu, avant que tu dénonces ?

La haute et intelligible référence à l'état de fils battu par son père, fit l'effet d'un moustique agaçant à l'oreille de Malfoy qui lui répondit.

-Combien de peurs avant de supplier ?

Ayant eu pitié du bas niveau de son adversaire, celui-ci avait évoqué tous les morts qu'avait vu Potter, tous ces morts que Voldemort avait éxécuté face à lui, avait de toujours tourné sa baguette vers le brun, sans jamais réussir à le tuer. Le brun en question serra les poings et se décida à jouer la carte du "je vais t'impressionner".

-Combien de jours de faim, as tu la réponse ?

Alors que Malfoy commençait sa phrase, Harry l'avait ensuite de nouveau couper dans son élan, pris d'un sursaut de fureur.

-Avant de te battre, avant de ramper...

-Combien de pouvoir avant d'en abuser ?

Un sourire s'étira sur les lèvres pâle du blond qui rétorqua.

-De désillusions avant de quitter ?

Harry sentit une vague froide l'assailir. Se suicider. Certes, il y avait souvent songer, mais jamais il n'aurait cru que Malfoy y aurait pensé. Il décida de frapper là où ça faisait mal.

-Combien d'alcool pour tenir à la mine ?

-De chantage avant que tu ne t'inclines ? s'écria Malfoy en le tuant de ses yeux.

C'était un goût sur leurs lêvres, juste après s'être énervé, celle d'une amertume à peine devinée.

Rien qu'un goût sur leurs lèvres:

-Qui es-tu ? N'es tu pas ?

-Peut-être plus ou bien moins que tu crois.

Harry repartit à la charge, sachant qu'il ne faisait que l'attaquer sur ce terrain familliale déjà épuisé depuis longtemps. Mais il ne savait rien d'autre de lui, et ce peu de savoir l'empècher de pouvoir lui faire plus de mal que lui lui en faisait.

-Conbien d'années pour élever un enfant ?

La réponse de Draco était prête depuis si longtemps, à chaque fois que cette question revenait il répondait toujours de la même façon, le regardant de haut en bas avant de lui répondre froidement :

-Mais pour l'égorger c'est juste un instant.

Voyant rouge, Harry retenta sa technique de l'impression.

-Combien de rêves en route abandonnés ?

Et Draco lui répondit, toujours dédaigneusement, comme si, ça n'était rien de bien difficile et de passionnant.

-D' "automensonges" pour se contenter ?

-Combien de verres pour que tombe ton masque ? rétorqua Harry en souriant méchament.

Et Draco s'énerva, le laissant tomber, son masque.

-Combien de faux adieux, de come-back ?

Le ton montait, montait entre eux. L'on les entendait depuis les cachos jusqu'au septième étage.

-Combien d'échecs pour que l'on comprenne ? sortit Harry en tapant là où l'ego de Malfoy n'aimait pas.

-Et d'auto brûlées pour voter FN ? cingla le blond en virant au rouge tant ce petit péteux de brun l'émoustillait.

C'était un goût sur leurs lèvres, juste après s'être énervé, une amertume à peine devinée. Rien qu'un goût sur leurs lèvres, une infime méfiance.

-Qui se cache sous les apparences ?

Un goût sur les lèvres, rien qu'un goût sur leurs lèvres.

C'est un goût sur leurs lèvres.

-Combien de temps pour la routine en amour ? reprit Harry encore plus fort que Draco qui avait scandé un idiotie moldu.

Le thème des amours libertins du blond était le niveau de base de l'insulte. Ou bien celui de lorsqu'on atteignait le "qu'est-ce que je peux dire d'autre ?". Et Draco répondit, avec un sourire sadique sur les lèvres.

-Aux hôpitaux pour ne plus dire bonjour ?

C'était pourtant bien connu, Potter passait sa vie aux hôpitaux et pour se faire soigné physiquement, mais surtout mentalement. Oui, une balafre en forme d'éclair sur le front et qui fait faire des rêves bizarres, qui sert de signal d'alarme, c'est que forcément, elle a atteinds les connexions neuronales du brun !

-Combien d'images, pour être concerné ? siffla Harry en faisant référence aux articles nécrologiques un peu plus épais chaque jour dans la Gazette.

-Quel quota de balafré pour s'intégrer ?

-Combien de pressions pour lâcher tes principes ?

-Et de désir pour tromper et mentir ? répliqua Draco en parlant des pauvres jeunes filles qui s'étaient laissées embirficoter avant d'être mise sur le côté, après être passé sur le banc de touche car les obligations d'héros n'avaient rien de simples, et que ces filles étaient moins importantes.

-Combien de solitude sans appel au secours ?

-De "tout le monde fait" pour faire à son tour ? frappa Draco comme un cobra frappe là où c'est sensible, là où Potter est le plus faible. Là où son coeur bat, pour les garçons, et non pas pour les filles sur le banc de touche.

-Combien d'argent, de succès pour changer ?

-Combien de cons pour un seul à lyncher ? s'énerva Draco en frappant l'air de son bras droit. Le geste fit siffler l'air autour de lui et Harry eut brusquement l'impression que son oreille sifflait.

-Combien de mots pour blesser ou guérir ? demanda Harry en baissant le ton, ses yeux toujours brillant.

-Combien d'espoir avant un bidonville ? Termina Draco en reprenant son air impassible, en gagnant de nouveau la partie.

Il ne devait pas être troublé par les yeux brillants de Potter. Ils brillaient toujours lors de ces combats vocaux. Pourquoi brillaient-ils plus à la fin ? Alors que le brun perdait ? Draco ne devait pas s'inquiéter des tournures des quesions finales. Il ne devait pas prendre en compte les sous-entendus entre eux. Entre-eux, c'était clair, conçis et précis : ils se haïssaient. Point. Rien d'autre. Mais, Harry, se sachant encore une fois perdant, entreprit d'essayer de savoir.

-Combien ?

Et alors que Draco reprenait sa marche en direction de l'escalier qui menait au troisièmes étage, ses amis le suivant, il répondit.

-A ton avis ? Combien ?

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Et voilà ! Cet OS foireux est fini !

Yes ! Vous pouvez enfin vous rassurer et souffler un bon coup ! Quel dure épreuve non ? Mais le plus dur reste à venir :

Qu'allez vous donc écrire dans votre review ???

*tadaaam question banco à 10 000€ !!*

Bisoux les gens, j'ai été ravie de m'éclater en écrivant cet OS xD !

Ps: j'espère que vous voyez aussi bien que moi les sous-entendus :D