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Chapitre 1
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Coucou, alors voilà ,c'est ma première histoire donc et bien j'essaye de faire du mieux que je peux ... J'ai eu l'idée de cette histoire en lisant Fascination ( qui est un très bon livres soit dit en passant ) donc et bien je vous l'écrit en espérant que cela vous plaise, il y a surement des fautes d'orthographes même si j'ai tenté d'en faire le moins possible, cependant j'éspère que ce début d'histoire va vous plaire ...
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Une porte claqua …
Je la haie, vraiment elle m’énerve.
Elle c’est ma mère, elle vient d’avoir la merveilleuse idée de déménager et en plus vers le nord !Déjà qu’en vivant en Grande-Bretagne le temps est rarement au beau fixe, elle veut en plus que l’on s’enterre .Actuellement, nous vivons tous les deux à Plymouth, une ville en bord de mer, où il fait plutôt agréable à vivre, l’air marin empêche qu’il y fasse trop froid et même en hiver les température ne sont pas si basse qu’elle peuvent l’être en plein milieux des terres, je dit tout les deux car mon père est parti quand je n’avais qu’un an, d’après se qu’on ma dit mes cris l’aurait fait fuir, bah ce n’est pas plus mal de toute façon maman et moi on s’en sort très bien.
Mais maintenant à cause de son boulot, elle travail pour une grande entreprise de cosmétique, je crois qu’elle est quelque chose du genre directrice d’un service ou quelque chose comme cela, de ce fait nous allons vivre à Hamilton ,c'est-à-dire à je ne sais combien de kilomètre de Glasgow.
Je viens de m’allonger sur mon lit et même allonger la nouvelle à du mal à passer. Comment a-t-elle pu me faire ça ? A cause d’elle je vais perdre tout mes amis, pas que j’en ai tant que ça mais bon, et en plus je venais de reprendre mes cours de violon et je n’étais pas vraiment sur qu’à Hamilton il y aurai aussi un conservatoire, en tout cas je n’y retrouverais sûrement pas un aussi bon professeur que mon professeur actuel.
Enfin bon, la vie est ainsi faite et m’en lamenter ni changera rien. Le départ était prévu dans 2 semaines, le départ était précipité mais connaissant ma mère elle aurait pu me prévenir seulement la veille.
Le jeune garçon soupira, se retourna et ferma les yeux, faisant mentalement la liste des choses qu’il devait faire avant de partir …
Je dois faire les cartons, prévenir mes amis que je part et que je ne reviendrais peut être jamais, cette pensé lui arracha un léger sanglot, prévenir son proviseur pour qu’il fasse le nécessaire avec son dossier scolaire, qui soit dit en passant était plus ou moins irréprochable, et prévenir Ethon, son prof de violon qu’il partait et que donc il ne poursuivrait pas ses leçon de violon …
Un nouveau soupir s’échappa des lèvres du jeune homme et il se leva pour gagner la salle de bain afin de se changer les idées sous une bonne douche bien chaude et agréable.
Il se déshabilla lentement et comme toujours se détailla dans le miroir, il avait eu 16 ans il y avait déjà 4 mois et ses cheveux qu’il avait laissé pousser depuis cette date et qui maintenant atteignait son menton étaient noir, un noir aussi profond que la nuit sans lune, son visage avait depuis maintenant quelque mois abandonné les traits ronds des enfants pour adopter des traits plus dur, plus masculin, même si son visage était toujours fin , il était rasé de près car il avait horreur de piquer et de plus il détestait les poils, ces derniers lui faisait horreur , ses yeux était exceptionnellement clair pour quelqu’un dont les cheveux étaient si foncés, en effet ils étaient d’un bleu très clair, un mélange d’un peu de bleu et de beaucoup de blanc, d’ailleurs à cause de leurs clarté lorsqu’il faisait très moche leurs couleurs changeaient pour adopter la même que celle du ciel. Son torse était fin, imberbe et peu musclé mais sans graisse, ni bourlets, ses jambes n’étaient pas ni trop longues, ni trop courtes d’ailleurs, même si il ne dépassait pas les 1m73. Il était plutôt mignon, non adorable plutôt car il émanait de lui une fragilité qui faisait penser à un ours en peluche dont on a envie de prendre soin et de garder près de soi, d’ailleurs cette apparence adorable lui valait de nombreuse considération des filles et un peu de jalousie par les garçons qui pensaient qu’il en profitait cependant encore personne ne savait à par lui-même qu’il était gay et que donc ces considération gênait plus qu’il ne lui faisait un quelconque effet.
Après toutes ses auscultations, il entra enfin dans la douche et fit couler l’eau chaude sur son corps tendu, l’eau eu rapidement l’effet voulu et Andrew se détendit avec une plus grande facilité, sous l’eau, l’idée de déménager ne lui était plus aussi effrayante et même si perdre ses amis lui faisait mal, aucun n’avait de véritable place particulière dans son cœur et de plus justement, personne n’occupait son cœur.
C’est sur cette pensée mélancolique qu’il sortit de la douche, se sécha lentement dans une grosse serviette bien douce et bien chaude, il mit un tee-shirt et un boxer, et repartis dans sa chambre. En passant dans le couloirs il entendit sa mère en train de chanter, faux soit dit en passant, et qui semblait en train de faire du rangement, les cartons devaient être fait rapidement après tout ils partaient dans environ deux semaines donc il ne fallait pas trop tarder .
Après être revenu dans sa chambre l’adolescent fit un peu de rangement histoire de classé ses affaires et de les rangés plus tard dans les cartons, il s’occupa de cette manière jusqu’à se que la fatigue se fasse sentir et, enfin vers 23h30 décida qu’il était temps de se coucher …
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-Non, ce n’est pas possible tu ne peux pas partir comme ça !
-Et pourtant, c’est ce qui va se passer …
Cela faisait déjà 3h qu’il était à son lycée et il avait attendu la pause de midi pour annoncer à ses amis qu’il allait partir, et ces derniers étaient plutôt mécontent se qui dans un sens réconfortait Andrew, car après tout il éprouvait quand même un léger pincement au cœur en les quittant.
-Mais, Andrew, ta mère ne peut pas décider ça comme ça, enfin je veux dire, il faut du temps pour cela et elle te balance que vous partez dans 2 semaines ?
-Ecoutez, je suis tout aussi mécontent que vous mais que pouvons nous y faire ? Ma mère va travailler là-bas et je ne suis pas majeur ni financièrement indépendant donc je la suis …
-Mais c'est dégueullasse !
La jeune fille qui venait de dire cela partit dans de grandes enjambées et était déjà rentrée dans le lycée. Andrew soupira, chose qui lui arrivait assez souvent en ce moment nota-t-il …
-Et toi, John tu m’en veux ? demanda Andrew en se retournant vers son second camarade qui avait été muet le temps de l’échange entre la jeune fille et le futur déserteur.
-Et bien, je ne t’en veux pas après tout cela n’est pas de ta faute mais je suis triste que tu doive partir, mais bon maintenant nous avons Internet et nos portables, on pourra se rappeler, non ?
-Bien sur !
La journée se passa assez rapidement et vers la fin de journée Elodie, la jeune fille, était venu s’excuser de son comportement auprès d’Andrew et avait décidé de passer les 2 prochaines semaines avec son ami plutôt que seule à lui faire la tête, c’est d’ailleurs en parlant de leurs projet pour les 2 semaines à venir qu’ils raccompagnèrent Andrew à sa maison et qu’il l’y laissèrent.
Je suis rentré maman !
Ah tant mieux, lui répondit une voix provenant du salon, tu peux m’aider s’il te plait à faire des cartons ?
Bien sur, je vais déposer mes affaires dans mon sac et je viens t’aider.
Le temps passa ainsi, pendant son temps libre il sortait avec ses amis profitant simplement de leurs présence qu’il connaissait et appréciait, se rendant compte au fil du temps qu’ils comptaient plus qu’il ne le pensait, ensuite lors de son temps à la maison , il aidait sa mère à faire les cartons de la cuisine,la salle de bain et du salon en plus de s’occuper de ses propres cartons , en outre il lui arrivait de se déplacer avec sa mère pour choisir de nouveaux meuble pour leurs nouvelle maison, maison dont il n’avait aucune idée de ce à quoi elle ressemblait , mais sa mère lui certifiait qu’elle lui plairait, alors il profitait et se faisait plaisir en choisissant tout ce qu’il voulait car étant donné qu’ils déménageaient à cause de son travail, les patrons de sa mère payaient eux même l’ameublement de la maison donc seule la maison en elle-même leurs avait coûté quelque chose, et puis de toute façon sa mère avait un assez bon train de vie pour pouvoir se permettre ,même sans l’aide de son travail, n’importe qu’elle folie .
Andrew malgré son amusement à choisir ses meubles était quand même relativement anxieux de découvrir la ville où il allait vivre pour encore quelque temps et d’après Internet si Plymouth avait un relativement bon climat grâce à la présence de la mer, Hamilton qui était au centre des terres était très frappés par les intempéries et rares étaient les jours ou ni nuages ni brouillard ne venait assaillir la ville , cependant l’attrait de la nouveauté lui avait fait rapidement fait oublier ce côté des choses et il préférait rêver de ce qu’il allait découvrir fantasmant littéralement en imaginant un lycée remplit exclusivement de garçons tous plus beau les uns que les autres , car après tout Andrew était gay et venait d’avoir 16 ans il était donc normal que ses hormones s’insinuent dans tous ces raisonnement, y compris dans ses rêves d’une nouvelle ville.
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Les jours passaient vite, ce qui dans un sens n’était pas plus mal vu l’état d’excitation du jeune homme qui avait du mal à refréné ses fantasmes et à penser à autre chose que la potentielle équipe de football de son futur lycée, surtout si la dite équipe est coutumière des douches collectives. Et très rapidement, la veille du grand départ arriva, ce qui provoqua l’apothéose de la détérioration de l’état mental d’Andrew qui passa finalement la journée à jouer du violon afin de ne penser à rien d’autre et de laisser le temps passer à son rythme.
La nuit fut très courte car sa mère et lui devait d’abord prendre le train jusqu’à Londres avant d’y prendre l’avion pour Glasgow et enfin y retrouver la voiture que sa mère avait acheté et qui normalement les attendait dans l’un des parkings de l’aéroport.
Ils durent donc se lever à 3h du matin sachant qu’en vérité aucun des deux n’avait véritablement dormi durant la nuit, de plus après être enfin arriver à Londres vers 8h du matin, ils apprirent que leur avion avait été retardé et qu’ils devaient patienté jusqu’à 14j afin qu’ils puissent prendre un autre avion qui n’était pas encore arrivé à Londres, cette attente leur permit de visiter rapidement la ville et Andrew alla même jusqu’à faire du shopping ce qui grâce à la vigilance de sa mère ne c’était pas éterniser car Andrew dans une boutique était une reproduction miniature de l’ouragan Katrina. Finalement l’heure du départ arriva plus vite que prévu, et ils purent enfin embarquer après avoir dit au revoir à la ville.
Le vol dura à peine une heure et l’avion se posa à Glasgow à exactement même temps que l’avion en provenance d’Irlande, d’ailleurs ils durent partager les couloirs avec les passagers de cet autre avion, et Andrew dont les yeux vagabondait regarda longuement les garçons qui passèrent devant lui chacun avec plus ou moins d’insistance,un seul en vérité attira complètement son attention, il ne le vit que de profil et pourtant il eut du mal à en détacher les yeux, il s’agissait d’un grand brun, dans les 1m80 sûrement, très pâles, et habillé très classe pour quelqu’un qui ne semblait pas avoir plus de 16 ans. Cependant un groupe de danseur folklorique irlandais passa devant lui et quand ils furent enfin parti le jeune homme qu’il observait s’était littéralement évaporé, il haussa les épaules d’un air résigné, soupira un bon coup puis rejoignit sa mère qui l’appelait depuis déjà plusieurs secondes.
Comme prévu la voiture était sur le parking, attendant patiemment que ses propriétaires arrivent et en prennent possession, après avoir enfin mit les bagages dans la voiture, et ils étaient nombreux, ils purent enfin partir vers Hamilton et vers leurs nouvelle vie. En sortant de Glasgow, ils tombèrent pratiquement immédiatement dans un paysage de forêt et durant presque tout le trajet les arbres les accompagnèrent cachant à leurs yeux la vue du ciel gris, le trajet dura environ 2h, et cela grâce à leurs fréquents arrêt pour demander au peu de gens qu’ils croisèrent si ils étaient toujours sur la bonne route pour atteindre Hamilton.
Andrew était fébrile, l’impatience le rongeait et il regardait toute les maisons qu’il voyait à travers sa vitre en se demandant si c’était la sienne ou si elles appartenaient à de futur amis qu’il avait décidé de se faire . Ce fut finalement après être entré depuis déjà quelque minute que sa mère tourna dans un petit sentier et continua sa route, il put remarquer au début du sentier une boîte aux lettres rouges où était écrit en grosse lettres noir Jefferson, son nom de famille.
Des frissons coururent le long de sa colonne vertébrale et son impatience devint si palpable que sa mère lui jeta de fréquent coup d’œil en souriant.
Soudain, ils débouchèrent en dehors du sentier et il la vit, sa maison, son nouveau foyer, sa bouche s’ouvrit sous le choc et il la détailla immédiatement. Le to |
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Par Lusaka le 09 Févr.. 09 - 16:49 :
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Bonjour Kchalot ! J'aurais aimé lire ce début de fic, mais je pense que ta présentation est à revoir. Essaye de sauter des lignes entre certains pargraphes et ce sera plus facile à lire peut-être. ;-) Bon courage bious !
Lusaka. |
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L'ultime alexandrin sera le coup de grâce, assénant sans merci douze pieds dans ta face ! |
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