Disclaimer : n’a moi, sort tout droit de ma tête ! Note de l'auteuse : alors je l’ai commencé à partir d’un petit texte que l’on devait faire en français sur le romantisme, arrivé chez j’ai voulu le continuer mais voilà ce qui en est sorti. Bonne lecture à tous. Si vous désirez m’écrire : leablack1974yahoo.fr 24 Le temps terne et froid d’un mois d’hiver, c’est tout les ans la même chose. Il hère dans les rues, le noir obscur tout autour de lui semble l’engloutir. C’est une saison où la fête et la joie doivent être dans tous les foyers. Mais où la nuit noire et oppressante nous engloutis. Il sort d’une sombre ruelle pour entrer dans une avenue où les couleurs et les lumières sont toutes différentes. La pluie et le vent traînant, Ne voulant laisser place à un autre temps. Et les gens sont là, à se mouiller, à rire et à faire leurs emplettes. Noël approche et ils se pressent tous dans les rayons des différents magasins du centre ville pour compléter leur liste. Il n’est pas de ceux-là, cela fait plusieurs jours que ça dure et qu’il les regarde. Il ne fêtera pas Noël, de toutes façons avec il le fêterait ? Sa famille ? Il ne veut plus la voir. Ses amis ? Tous pris. Une des fête ou il a été convié ? Trop de monde. Lui ? Il ne veut plus le voir. Après ce qu’il a fait c’est normal, il n’aurait jamais du, il le regrette tellement. Il voudrait plus que tout s’excuser mais l’autre s’est montré injoignable depuis la dernière fois. Les jours d’été ont raccourcit et se sont éloignés pour laisser le froid mordant nous envahir… Les heures sont passées et il n’y a pas fait attention, c’est pas grave, personne ne l’attend chez lui pour lui souhaiter un joyeux noël. Alors il n’est pas pressé, il continu à déambuler dans les rues presque vide, il est 21 heures, tous sont chez eux pour ne louper sans aucuns prétextes le repas de noël avec leurs proches. Et nous mener dans une solitude morose d’un nouvel hiver… Il finit par ce diriger vers chez lui, il a faim mais surtout sommeil. Il rêvasse en parcourant le chemin qui le sépare de chez lui. Parvenu à la porte de son appartement, il hésite, il n’est pas sur de vouloir rester seul le 24 décembre. Il fini par entrer doucement le clef dans la serrure avant de la tourner pour l’ouvrir, en prenant tout son temps comme pour retarder l’échéance. Finalement il entre dans le petit hall donnant tout de suite sur un petit salon. Il claque la porte, la ferme à clef, se déchausse avant de jeter sa veste sur le canapé. « Tu rentres tard ce soir ! » Il sursaute à l’entente de cette voix, lève les yeux vers son propriétaire, debout à quelques mètres de lui un sourire aux lèvres. Pas si morose que ça ce 24 décembre. *** Owari Note de l’auteure : Voili-voilou, j’espère que ça vous à plus. Joyeux noël.19/12/04 |