Bonjouuur! Ben voilà, je sais que je viens à peine de poster un chapitre de ma première fic, mais vu que je suis en pleine écriture de celle-ci je me suis dit que j'aurais besoin de votre avis et de vos conseils pour la continuer, et non attendre la fin de l'autre pour la publier! En gros, je publierai les deux en même temps (les lundis, si on va par là :D) Donc, ceci est une mini (très mini!) intro, j'attends de voir si elle vous plait ou pas. J'y rajoute aussi le premier chapitre car l'intro est vraiment insignifiante :p! Allez-y sincèrement surtout, n'hésitez pas sur les commentaires! J'attends vos reviews avec impatiente! :D Bisouu et merci d'avance!, Mackk. (ce premier chapitre est du point de vue d'Hermione! Ce sera le seul) _________________________________________________________________ 1. Lorsque Dumbledore s’en mêle… Ça y est. Puis-je mourir ? Non je ne blague pas ! Mais… ? Roh et puis zut ! Pourquoi sous prétexte d’être une « grande sorcière » on ne peut même plus attenter à sa vie ?!... Bon, je stoppe là ma litanie. Je suppose que vous voulez des explications pour essayer de suivre ma pensée de torture ? Je me trouve en cet instant même dans une sorte de citrouille géante (Dumbledore, vieux farceur…) en direction de l’Amérique Latine. Pourquoi l’Amérique Latine, direz-vous ? Je ne sais pas, encore un coup de Dumbledore, mais ce n’est pas exactement ce qui me préoccupe… Je me trouve ici, dans cette… belle citrouille… avec Ron. Mon petit ami. Qui essaye tant bien que mal de me faire rester calme, parce qu’en face de nous se trouvent Malefoy, Parkinson, Crabbe et Goyle. Quelle est cette sale blague, me direz-vous alors (à juste titre !) ? Parce qu’il est évident que ce n’est pas une bonne blague. Il se trouve que notre charmant directeur (et oui, je l’apprécie nettement moins depuis ce sale coup… il l’a cherché en même temps !) à pensé qu’il serait judicieux de nous faire un petit parcours de mise en épreuve avant les aspics. Et oui, vous lisez bien, pas la peine de courir chez l’ophtalmo. Il a fait ça pour tous les élèves, encore heureux ! Mais nous, il a jugé utile de nous unir. Surement qu’il est assez fou pour croire qu’on peut s’entendre ?! Allez savoir. Il se trouve que je suis dans cette ignoble citrouille avec les pires gens que je connaisse. Et j’ai la haine (non, vrai ?). A priori, Harry aurait du être avec nous, mais évidemment, il a demandé à Dumbledore de rester avec lui pour s’entrainer plutôt à vaincre Voldemort, et le vieux sadique a gentiment accepté. Nous par contre, il a dit qu’on devrait participer. Parvati nous accompagne, nous étions sensés être quatre Griffondors et quatre Serpentards, mais sans Harry, en plus, nous sommes en position de faiblesse ! Voilà qui risque d’être réjouissant. Il nous a fait sa tête de chien battu avant de nous dire au revoir, en plus. Comme si ça pouvait nous consoler ! Il nous a lâchés ! Mais bon, il est vrai qu’il va bosser dur. Sans Malefoy, toutefois ! Qu’est-ce que Rogue contre Malefoy ? Un apéritif, voilà tout. Comme vous pouvez le remarquer, je n’arrive en aucun cas à faire baisser la pression qui se situe sous ma boite crânienne. Dans deux secondes j’explose, vous serez prévenus ! Ron me serre fort contre lui, essayant de me bercer pour me calmer. Le pauvre, il fait ça de tout cœur, mais comment peut-il douter de la capacité que ça a à m’oppresser encore plus ?! Les mecs j’vous jure… Je ne vais tout de même pas l’engueuler lui, il me soutient. Par contre, depuis le début du voyage, les Serpentards nous regardent tous avec des regards goguenards, et Malefoy a un sourire méprisant au visage, tout en me fixant. Il sait bien que je ne vais pas tenir longtemps, et il n’attend que ça, le salaud ! Parvati me regarde désolée avec une main légère mais compatissante sur ma main, ce qui, oui, a le don de m’apaiser un peu. Nous venons de lire une lettre de Dumbledore (le cachotier l’avait planquée dans le frigo du monstre citrouille…) qui dit que ce voyage durera approximativement trois mois. TROIS MOIS ! J’avais failli faire une crise cardiaque, ou vomir, ce qui aurait été moins classe, mais bon… Et ce n’était pas tout. Je crois qu’il avait décidé de voir jusqu’où allaient nos capacités de survie vis-à-vis d’évènements plus que suicidaires, quitte à nous tuer… juste pour voir… Par Merlin ! Bref, on se calme, tout beigne, je continue à vous raconter la lettre. Oui oui, je suis zen. Donc. Dans cette (foutue) merveilleuse lettre, en plus de notre annonce de mort, il y avait une sorte de petit livre dans lequel on devrait trouver des indices et s’inspirer, en règle général. Il y avait une carte, un parcours à suivre pour pouvoir revenir à Poudlard uniquement lorsque nous aurions fini toutes les activités (à la bonne heure…). Il y avait quelques sorts à apprendre, des pages volantes donc. Il était précisé qu’il comptait sur notre ruse et notre esprit d’équipe. MAIS OUAIS ! Mytho ! En fait il voulait juste vider un peu l’école parce qu’elle était trop peuplée, j’en suis sure, c’est pas possible autrement ! Le jour où on aura ne serait-ce qu’un semblant d’esprit d’équipe, il sera clair qu’un de nous se sera décidé à utiliser l’Impérium (autant l’envoyer se noyer sans utiliser l’horrible Avada Kedavra !... pour nous en tout cas, je suis sure que les Serpentards ne se gêneraient pas). Heureusement, grâce à l’Armée de Dumbledore, Ron, Parvati et moi savons déjà utiliser à la perfection les sorts de Stupéfixion, de Patronum et de Désarmement. Ça nous est déjà d’une grande aide ! Et puis, ça va nous permet de nous moquer de ces serpents… Haha ! En fait, si on arrive à être toujours en position de force, on peut peut-être passer de bons moments ? Les humilier serait tellement… je fus interrompue dans ma rêverie par la très désagréable voix de Malefoy. - « Le problème, ce n’est pas le problème. Le problème, c’est votre façon de réagir face à ce problème. Compris ? », récita-t-il, un sourire narquois aux lèvres. Ce vieux fou devrait se jeter sous un hippogriffes moi je vous le dit ! - Malefoy, ferme là. Cette lettre est évidemment destinée à quelqu’un qui a un QI nettement plus grand que le tien. Il veut dire par là que ça dépend de nous si on veut que cette « merveilleuse » expérience se transforme en cauchemar, lançais-je acide. Je ne voulais en aucun cas le laisser gagner aujourd’hui. Ni demain, ni après demain, ni le reste d’ailleurs. Mais c’est du déjà vu ! A ce moment de pensées plus noires les unes que les autres (non, je n’ai pourtant pas de penchant gothique…Merlin est surement contre moi aujourd’hui) je me mis à réfléchir à notre situation. Au fur et à mesure, il serait inévitable qu’il y ait des accidents. Dans ce cas, il fallait jeter un sort (qu’il fallait d’ailleurs apprendre le plus vite possible, je m’y mettrai dès que j’aurai fini de broyer du noir !) et le dit corps disparaîtrait et réapparaîtrait directement à l’infirmerie de Pomfresh. Ça veut dire qu’on ne finira jamais tous. Je suis hésitante, sur ce point. Je n’ai en aucun cas envie de rester plus de deux minutes là-bas. Mais vous me connaissez aussi, je ne me laisserai jamais battre ! Encore moins par Malefoy ! Sauf que si je me bats, je me retrouverai surement seule avec lui à la fin, vu que ce qui lui sert d’ « amis » (je n’ai jamais comprit les relations des Serpentards?) est d’une nullité quasi révoltante et qu’ils vont vite partir. Ron est plus fort qu’eux, mais très maladroit et impulsif, et Parvati n’est pas prête. Je ne veux pas me retrouver seule avec Malefoy. Mais le laisserais-je gagner ? Oserais-je seulement… ? Non. C’est décidé, je reste ici, et par ma propre initiative cette fois. Je vais défendre mon honneur et celui de notre beau trio. Je vais le ratatiner, nous venger. Je vais lui montre ce qu’une née moldue peut faire ! |