Je marchais dans les couloirs vides de Poudlard à vive allure, tremblotante.

On étais le 4 Octobre et l'hiver pointer le bout de son nez.

En sortant de mon dortoire, j'avais complètement oublier ma cape, mes gans et mon écharpe.

Malgré le fait qu'il faisait trés froid, je ne trembler pas pour celà.

Je trembler à cause de quelque chose de plus térrifiant.

Depuis au moins 20 minutes, j'enttendais des pas derrière moi, de plus en plus rapides.

Je tournais à une intersection quand une main attrapa mon bras.

Je poussais un petit cris de surprise qui fût vite étouffer par une grande main glacée.

"- Alors, petite Serpentard, tu croyais quoi ? Que moi, Préfét en Chef de Serdaigle, j'allais te laisser te ballader dans les couloirs comme si c'étais ton manoir ?"

Il avais crachais le dernier mots d'une voix aussi dur que les murs de ce château.

Je tremblais comme une feuille et je n'arrivais pas à bouger.

La peur me paralysais, ainsi que sa main sur mes poignée, qui avais été coinsés, je ne sais comment, derrière mon dos.

"- Tu ne te débat pas, ma belle ?"

Il eu un rire horrible qui résonna dans le couloir vide.

Je n'arrivais pas à comprendre.

Que me voulais-t-il ?

"- Je t'ai observé pendant quelques temps pendant mes rondes de nuits et je doit dire que te voir dans tes jolis vêtements est beaucoup plus amusant que de pourchassé des élèves idiots!"

Alors qu'il terminais sa phrase, il me plaqua contre le mur et me lança un sort de silence.

Il déscendit alors sa main, qui se trouvais sur ma bouche quelques instants plutôt, vers mon pantalon.

C'est à ce moment là que je réagis.

J'avais beau essayais de me dégagé de sa prise, rien ni fesais.

Si il étais Préfét en Chef, il était certainement en 7ème année, alors que moi je venais à peine de rentrée en 5ème année.

Il avais déjà réussis à défaire mon pantalon quand tout d'un coup, son poid fût enlever de mon dos.

Je me retournais pour le voir, à mes pieds, face contre terre.

J'entendit du bruit vers ma gauche et mes yeux se perdirent dans une mer chocolaté.

" Est-ce que ça va ?"

J'ouvris la bouche et la referma plusieurs fois avant de comprendre que ce garçon, car oui, c'étais un garçon, venais d'assomé mon agresseur et donc de me sauvé.

"- Heu.....Je crois....., répondit-je un peu maladroitement."

Ce fût à se moment là que je vis la chose la plus belle de ma vie : son sourire.

Je rougit en me rappellant que mon pantanlon étais encore ouvert.

Je le refermais alors à la vitesse de l'éclair avans de faire un petit sourire timide à mon sauveur.

"- Au fait, je m'appelle James Potter, je suis à Griffondor en 7ème année, et toi ?

- Je me nomme Narcissa Black, Serpentard, 5ème année."

Il me regarda de haut en bas avans de revenir vers mon visage.

"- Tu ne serais pas la cousine de Sirius Black par hasard ?

- Oui, pourquoi ?

- Non non, comme ça! Je me disais simplement que les Black son d'une grande beauté!"

Mon visage vira tellement au rouge que j'avais l'impression que bientôt, de la fumée sortirais de mes oreilles.

James éclata alors d'un rire clair.

Je le suivit timidement.

"- Bon, c'est pas que mais, il va falloir que je te laisse, si on se fait attrapés, on est mal!

- Oui, je comprend."

Il me regarda droit dans les yeux avans de poursuivre :

"- Mais bon, je vais peut-être te racompagné, on ne sais jamais, aprés ce qu'il s'est passer, je n'ai pas trés envie de te laisser seule!"

Il me fit un doux sourire et, d'un mouvement de tête, je l'inviter à me suivre dans les dédalles de couloirs.

Pendant le chemin, nous discutions de tout et de rien.

J'appris qu'il étais l'un des meilleures amis de mon cousin, qu'il étais d'un famille de Sang Pur et que toute sa famille étais passer par Griffondor.

"- Par contre, me dit-il à un moment, je n'aime pas trop les Serpentards....

- Alors pourquoi es-tu si gentil avec moi ?

- Ce n'est pas pareil....

- Bien sûr que si, m'exclamais-je.

- Si tu veux, souffla-t-il, avec tout de même un sourire."

Nous nous tûmes pendant quelques secondes avans qu'il ne reprenne :

"- Par contre, maintenant, les Serdaigle sont déscendu dans mon estime.....

- Oh......Tu sais, il ne sont pas tous comme lui.

- Je m'en doute bien, mais je n'arrive pas à croire qu'un gars de 7ème année puisse s'en prendre à une jeune fille de 5ème année, ça ne ce fait pas....."

Il baissa la tête pour la remonter juste aprés avec un grand sourire.

"- Mais bon, comme tu le dit, il ne sont pas tous comme ça! Il ne faut pas faire une généralité!

- Bien, alors, pareil pour les Serpentards, il ne sont pas tous dans la magie noir!"

Il tourna la tête vers moi, le visage serieux.

"- Et toi ?

- Moi quoi ?

- Tu baigne dans la magie noir ?

- Et bien, comme tu connais Sirius, tu sais trés bien que les Black aime beaucoup la magie noir, mais pour ma part, si je pouvais évité de l'utilisé, ça m'irais!"

Je lui fit un petit sourire qu'il me rendit.

Finalement, nous finîmes par arrivais devans le portrait de la Salle Commune des Serpentards.

"- Bien, dis-je, merci pour tous James Potter!

- Mais de rien Narcissa Black, ce fût un plaisir de discuter avec vous!"

Nous nous sourîmes.

Fatalement, il me fit un geste de la main et partit dans une direction opposée de la Salle Commune des Serpentards.

Je prononçais le mot de passe et entra dans la salle.

Je sursautais quand je sentis deux bras m'enlaçais par derrière.

"- Tu est enfin là, murmura une voix à mon oreille.

- Oui, désolé d'avoir étais aussi longue, je n'avais pas fait attention à l'heure, répondis-je en me retournant."

Je me retrouvais alors en face de Lucius Malefoy, mon fiancé depuis ma 1ère année à Poudlard.

Il avais beau être beau, intelligent et attentioner, l'amour n'était apparus.

Pourtant je savais que Lucius faisait son possible pour me rendre heureuse.

Finalement, je ne parla plus jamais avec James Potter, et lui ne chercha pas à parlais avec moi.

Je finis mes études à Poudlard et me maria avec Lucius Malefoy.

Je mis au monde la plus belle des créatures : mon fils, Drago.

Je n'aima jamais Lucius, enfin, pas comme il l'espérais.

Par contre, j'aima mon fils de tous mon coeur et de toute mon âmes.

James Potter fût le seul homme que j'aima de toute mon existence.

C'est ainsi que fini ma vie : un mari en prison, un fils heureux mais malheureux de perdre sa mère et un regret énorme.

Je n'ai jamais dit à James que le premier sourire qu'il m'avait fait étais la plus belle chose au monde à mes yeux.