Madame, l'autre jour en me promenant j'eus la joie, que dis-je, l'immense boheur, de trouver d'admirer la plus belle fleur que je n'eus jamais vue. Je restai un long moment à me délecter de la vue d'une si charmante créature. Remarquant mon regard la belle leva la tête, m'arrachant à ma comtemplation. Ses yeux d'une beauté remarquable croisèrent les miens et m'envoutèrent. Je me perdis dans tanet de merveilles. Cet instant divin s'acheva lorsque l'innocent se leva, et d'une grâce sans pareille continua son chemin. Le bel oiseau se déroba alors à ma vue. Je restai là, à regarder l'espace vide où l'amoureuse s'était tenu quelques instants plustôt, pour m'assurer qu'une créature aussi aimable, aussi parfaite est pût s'y tenir. Cette rencontre me transporta. Mon coeur conquis m'empressa de chercher l'être magnifique qui le fait souffrir, de dénicher la colombemerveilleuse qui occupe mes pensées et mes désirs. Je sais déjà ce que je demandarai à ma bien-aimée quand j'aurais l'immense chance de la revoir,, je lui demanderai si elle souhaite m'épouser; plus exactement je dirai:"Me feriez vous l'honneur, la joie, le plaisir de devenir ma femme Dame Elvire?" Oui Dame Elvire je vous aime, je vous chéris de toutes mes forces. Madame je vous pris de croire tout l'amour que je vous porte, et de sa sincérité je puis vous assurer. l'amour n'est pas un chose lègère, et l'on ouvre son coeur qu'à une élue. Vous ête mon élue Dame Elvire. Je ne puis plus souffrir de vous savoir lion de moi. Votre sourire m'est des plus délicats des plus beaux et des plus charmants et je me chagrine de le pouvoir revoir. Vous détenez mon coeur, maintenant, à jamais, pour toujours.
Votre dévoué admirateur, Dom Juan. |