De la musique à la con + de la lecture HPDM + le clavier qui me démange = Neige qui écrit vraiment n'importe quoi...

Disclamer : Pour l'instant, ce n'est pas encore Noël, donc je n'ai pas demandé Harry et Drago (surtout Drago) au Papa Noël, donc ils ne m'appartiennent pas (encore heureux, vu la poisse que ces deux-là se tapent, je voudrais vraiment pas en avoir la garde...).

Pairing : HPDM, parce que comme Loréal, qui ne m'appartient pas non plus, ils le valent bien !

~~HPDM~~

- Et moi je te dis que non !
- Et moi je te dis que si !
- Et moi je te dis que non !
- Et moi je te dis que si !
- Et moi je te dis que non !
- ...
- ...
- Prouve-le.

Je me levai et jaugeai mon meilleur ami.

- Cent gallions que je lui roule la pelle du siècle.
- Tenu. Vingt de plus s'il en redemande.

On ne défie pas un Malfoy, Blaise...

Je repoussais les livres poussiéreux (auxquels je n'avais de toutes façons pas touché, chemise en soie à quatre cents gallions oblige) et traversai la bibliothèque.

Je savais exactement à quel endroit Granger les traînait chaque semaine, afin de les forcer à étudier. But absolument pas atteint pour l'instant, mais qui servait tout à fait mes projets actuels.

Je les repérai, au fond de la bibliothèque. Tandis que Granger tentait désespérément de leur enseigner les propriétés de la pierre de lune, Potter et Weaslaid faisaient un concours de bâillements.

On avait vu plus distingué...

- Malfoy ?
- Potter.

- Zabini ?
- Weasley.

Je sentis le regard de Blaise sur moi.

J'allais lui faire ravaler son air goguenard (et rafler cent vingt gallions, au passage).

J'envoyai valser les livres posés sur la table (ne jamais, jamais couper la route à un Malfoy), arrachant un couinement d'indignation à Granger.

Et...

Je soulevai Potter de terre et posai mes lèvres sur les siennes.
 
Puis redessinai ses lèvres de ma langue.

Puis mordillai sa lèvre inférieure.

Puis sentis une autre langue rejoindre la mienne.

Puis les laissai danser ensemble un ballet des plus enflammés.

Puis il passa sa main dans mes (merveilleux) cheveux.

Puis je descendis ma main tout en bas de son dos.

Puis il fit de même.

Puis je séparai doucement nos lèvres.

Puis je posai mon front contre le sien.

Puis je détournai les yeux de son visage...

... Pour les poser sur les trois personnes ayant assisté à notre échange buccal.

...

Trois mâchoires gisaient pitoyablement au sol.

- Mes gallions, Zabini ? demandais-je d'un air moqueur.

Il me les tendit, non sans avoir prononcé sans articuler le moins du monde une malédiction sur mes dix prochaines générations.

Harry m'enlaça par derrière, enfouissant son visage dans ma nuque.

- On avait dit qu'on partageait, non ?
- Absolument, mon amour. Répondis-je en souriant.
- C'est toujours un plaisir de faire affaire avec toi, mon cœur.