| Kokoro in flamaerin 
 
 Je m'appelle Ran Urameshi.
 J'ai 16  ans, et je suis une fille tout à fait ordinaire.
 Mes parents ne sont  pas pauvres , mais j'ai decidé de partir à l'âge de dix ans vivre dans  mon appartement seule et je n'est jamais regretté cette descision.
 Je  ne les vois que une fois dans l'année, pour le nouvel an.
 Avant,  Tama, la femme de maison de mes parents, venait me rendre visite  régulièrement et vérifiait que je ne manquais de rien.
 Puis quand  j'ai vu que sa santé se dégradait, je lui ai dit de ne plus s'inquiété  pour moi car je n'avait besoin de rien et  qu'elle ferait mieux de  veiller sur sa santé.
 Je vais dans l'école de Flama que mes parents  ont financé.
 Ils étaient d'accord que je vive ma propre vie à la  seule condition que j'aille dans cette école.
 Ils ne me donnent aucun  autre sous car il savent que je n'accepterai pas cet argent.
 Mon  père dirige une société dans l'immobilier et ma mère vit grâce à  l'argent de mon père.
 J'ai encore un grand frère qui s'appelle Yuki  et une petite soeur qui se nomme Erin.
 Mais ils ne font pas vraiment  partis de ma famille à mes yeux.
 Puisque j'ai été adoptée.
 Mes  parents biologiques sont des criminels, ils vivent en prison et je ne  les ai jamais vu.
 Aujourd'hui, j'ai reçu une lettre de mes parents  disant qu'ils voulaient que j'aille dans une nouvelle école, très  réputée et qui me permettrait de faire de bonnes études.
 C'est donc à  contre coeur que j'ai débarqué à Eïtoku.
 Et là, tous mes ennuits  commencèrent.
 
 7h45, j'entre dans l'école.
 - Tu es surment  Urameshi ; me dit une fille lorsque je suis entrée. Voici ton casier  avec tes affaires de cours et tes chaussons. Bienvenue à Eïtoku !
 -  Merci.
 - Pousse toi, tu bouches le passage !
 Un garçon me  bouscula.
 - Et la nouvelle ! On ne t'a pas appris à t'exuser quand tu  bouscules quelqun ?!
 Un garçon (gigantesque ! ) plutôt grand, les  cheveux lisses, bruns suivit de deux autres garçons ( un habillé en  costar, les cheveux noirs et l'autre habillé chic avec les cheveux  blond) me regardait l'air menacant.
 - Je... désolée...
 - Ben  alors, tu ne sais pas parler correctement ? Mocheté !
 Il continua son  chemin suivit des autres garçons.
 - Ce sont le "trio Prince" qu'on  appelle le P3. Le grand c'est Shaoran Arima, c'est le chef. Le blond  c'est Soichiro Saotome et le beau goss en costar c'est Takamichi Kubo.  Ce sont les chefs du collège, je te conseille de ne pas trop leur  chercher de problèmes si tu vois se que je veux dire...
 - D'accord,  merci. Et toi, comment tu t'appelles ?
 - Je m'appelle Misora Ookôchi.  Mais tu peux m'appeller Misora ! Je suis en classe 3A, et toi ?
 - Je  suis en 3C ; ai je dit en regardant sur ma feuille.
 - Ah ! C'est la  classe D'Arima !
 _ Ding Dong ! _
 - Ravie de t'avoir rencontrée ! A  plus tard ! ; dit Misora en courrant dans sa classe.
 Je suis allée  dans la 3C et je me suis avancée vers le proffesseur.
 Je me suis  présentée et il m'a attribuée la place dans le fond de la classe.
 C'était  une table double.
 L'autre élève n'était pas là, il était sans doute  malade .
 J'ai regardé un peu tout le monde dans la classe : Arima  n'était pas là.
 Tans mieux pour moi !
 C'est alors que j'ai réalisé  ou j'était assise.
 << Pourvu que je ne sois pas ... ! >>
 C'est  à la dernière minute que mon cauchemard se confirma : Arima rentra dans  la classe et s'est assis à coté de moi !
 
 - Qu'est ce que tu fous  à ma table ? Dégage, va ailleurs !
 - Arima, je suis navré ; dit le  professeur paniqué ; mais c'est la dernière table. Toutefois, je peux la  changé de classe si sa vous dérange ...
 Arima me regarda et dit :
 -  Non, pas la peine. Il faut bien que quelqun lui explique comment  fonctionne cette école. Je me chargerais d'elle, je lui expliquerai  tout, Monsieur.
 - Vous êtes trop bon Arima, je vous remercie.
 Le  professeur retourna derrière son bureau.
 - Et, mocheté, à la pause,  viens avec moi, je te ferai faire le tour du collège ! ; chuchota Arima.
 -  Arrête de m'appeller mocheté,  et tu n'es pas obligé de faire le joli  coeur devant le prof pour faire bonne impression. Je ne vois pas  pourquoi tu te donnerai la peine de m'aider alors que tu t'es mal  comporté devant les casiers...
 - Est ce que tu sais à qui tu parles ?  ; demanda t'il d'un air narquoi.
 - Je me fiche que tu sois le chef  du collège, je ne me laisserai pas marché sur les pieds !
 Il ricana.
 -  Très bien, puisque tu insiste, débrouille toi toute seule, mais tu vas  le regretter, je ne te ferai pas de traitement de faveur, je vais te  traiter comme tout les autres élèves voir pire jusqu'à ce que tu vienne à  mes pieds me supplier d'arrêter...
 - Tu ne me fais pas peur Arima !
 -  Peut-être mais ce n'est qu'une question de temps...
 La cloche sonna.
 Nous  sommes tous sortit de la salle de classe.
 Je suis allée posé mes  affaires dans mon casier et c'est la que j'ai trouvé une carte avec un  triangle jaune à l'interieur.
 - Regarder, Urameshi à reçu un carton  jaune !
 - La poisse ! Elle a interet à faire gaffe !
 Tout le  monde murmurais dans mon dos.
 - Et c'est encore trop gentil pour toi,  tu as de la chance que je ne sois pas de mauvaise humeur... ; dit une  voix derrière moi.
 C'était Arima.
 - Tout le monde va t'éviter et  personne ne te parlera, tu sera mise à l'écart... mais je peux changer  d'avis... met toi à genou et exuse toi.
 Je rageais.
 Comment mes  parents ont ils pu m'envoyer dans une telle école ?
 - Je ne  flancherai pas. Il en faut bien plus que sa pour m'anéhentir Arima, tu  ne sais pas qui je suis... Tu essaies de faire le fier mais à ce jeu, je  ne perd jamais... Je n'ai pas peur de toi...
 - Moi non plus je ne  perd jamais, on voit bien que tu ne sais pas qui je suis ! Et si tu n'as  pas peur, pourquoi tu ne me regarde pas en face quand tu parles de la  sorte ? Avoue, tu es morte de trouille !
 Je me suis mise à ricaner.
 -  Tu ne merite pas que je te regarde dans les yeux, tu es petit et  insinifiant... Tu n'es pas à ma hauteur !
 Je me suis éloignée.
 -  Grr... Elle m'énerve ! Tu vas voir Ran Urameshi, tu vas regretter ses  paroles !
 << C'est ce qu'on verra >>
 
 Je suis  rentrée chez moi après cette première journée d'école.
 J'ai sortit  mon sinthétiseur et j'ai commencé par quelques accord.
 Parce que j'ai  une passion : la musique.
 J'écris et compose des chansons pour un  groupe peu connu : Gesang.
 Ils font quelques concerts de temps à  autres pour des associations d'enfants défavorisés et m'aide à arrondir  mes fins de mois.
 Kokoroyomi, pianiste des Gesang, m'a découvert un  jour alors que je répetais dehors dans un parc la nuit.
 Il passait  par là et voilà comment j'ai commencé à écrire pour eux.
 Il m'a dit  qu'ils savaient bien joué mais qu'ils avaient que des chansons qui  existaient déjà et qu'ils cherchaient quelqun comme moi pour les aidés.
 Gaara,  le chanteur du groupe, vient de temps en temps me voir et c'est devenu  un ami proche.
 Il y a deux bassistes : Jin et Ranma et un qui joue de  la guitare électrique : Kyo .
 Le batteur s'appelle Sôsuke Aizen et  c'est lui qui a monté le groupe.
 Avant, il était  danseur et il a  gagné de nombreux concours car il sais tout dansé : salsa, tango,  afro-cubaine , RNB, etc...
 Mon objectif du jour était de composé une  chanson pour les enfants.
 Ma source d'inspiration que j'avais choisie  était : le petit chaperon rouge.
 Parce que tout les enfants  connaissent le petit chaperon rouge.
 - Toc toc toc !
 << Qui  sa peut bien être ? Je n'attend personne ! >>
 Je suis allée  ouvrir la porte.
 - Kubo ?
 Un des membres des P3 (celui en costar)  se tenai chez moi.
 - Est ce que je peux entré un instant s'il te  plaît ?
 - Oui bien sur...
 Je l'invitais à entré et à s'asseoir sur  le canapé.
 - Alors, comment tu as su que j'habitais ici ?
 - Je  sais tout... ; répondit il ; je ne vais pas tourné autour du pot :  arrête de défier Shaoran !
 - Hein ?
 - Shaoran est dangereux.  Eïtoku n'est pas n'importe quel collège, c'est le plus réputé et en  grande partie accause de Shaoran. Sitôt que quelqun l'embête il n'hésite  pas à le lui faire payer en le ridiculisant ou même en le massacrant.
 -  Si tu essaie de me faire peur, c'est raté.
 - Je viens simplement te  prévenir. Il est l'héritier de la plus grande société du Japon sur  l'économie. Il est multimilliardaire. Il y a un mois encore, il a  tabassé un mec et il est encore dans le comas, mais son père a étouffé  l'affaire avec de l'argent.
 << Dans le coma ?! >>
 -  Enfin, je suis juste là pour te mettre en garde car il a décidé de te  mettre la carte rouge la prochaine fois ou tu lui répond ou tu l'énerve.  Tu ferais mieux de quitter cette école vite fait si tu tiens à  t'ensortir en un seul morceau... ou à faire tout ce qu'il te dis.
 -  Je ne vais pas partir parce qu'on me le demande. Je me fiche de cette  carte rouge, je me fiche de lui, qu'il est milliardaire ! Il ne sais pas  à qui il a affaire !
 - Urameshi, c'est toi qui ne sais pas à qui tu  a affaire !
 - Oh, mais si ! A un gros naze qui se prend pour mister  univers !
 - ... Bon, et bien, je t'aurais prévenu. Je vais te  laisser. Au fait, ne dis pas à Shaoran que je t'ai mise en garde.
 Ce  n'est pas mon genre, mais alors pas du tout !
 Il se leva et je le  raccompagna à la porte.
 - A demain Kubo.
 - Au revoir.
 
 Pff,  mais pour qui il se prend ?
 Je me suis remise devant mon sinthé.
 Plus  d'inspiration.
 J'appellai Gaara.
 - Allo Gaara ? C'est Ran !
 - "  Salut Ran ! Ca va ? "
 - Mouais, je suis juste crevée. Y'a un mec à  l'école qui m'énerve !
 - " Il t'a pas fait de mal au moins ?! "
 -  Mais non, t'inquiète. En fait, je t'appelle juste pour te dire que je ne  peux pas faire la chanson aujourd'hui, je suis trop crevée.
 - " Ok,  pas de problème. Alors repose toi bien ! Bye ! "
 - Bye !
 - Clic.
 J'ai  raccroché le combiné et je suis allée me coucher.
 << Même pas  peur de Shaoran, même pas peur... >>
 
 - Ding dong !
 Je  suis allée en classe.
 - Alors, tu as eu le courage de revenir à  l'école ? ; dit Arima.
 - Je ne vois pas pourquoi, il n'y a pas  meilleur endroit que l'école pour une étudiante !
 Il me regarda avec  un air interrogateur puis s'asseya à coté de moi.
 - Tu vas te mettre à  broyer du noir. C'est l'histoire de Ran qui broie du noir ! ; me  chuchota t'il.
 <>
 Je  me suis mise à écrire ses quelques phrases sur mon cahier de brouillon.
 -  Qu'est ce que tu fais ? ; me demanda t'il.
 - Rien. Merci Arima.
 -  Merci ?
 - Ding Dong !
 La pause de midi.
 Je me suis dépéchée de  sortir de l'école et j'ai courru pour aller voir Gaara.
 Les Gesang  s'entrainent généralement dans un ancien temple .
 - Les gars, z'êtes  là ?!
 - Mais regardez qui voilà, c'est la petite Ran ! ; s'écria  Kokoroyomi. Sa faisait un bail, dis moi !
 - Ouais c'est sur. Dîtes,  Gaara est là ?
 - Oh Gaara ! La petiote est là !
 Gaara sortit de  derrière un rideau.
 - Ah, Ran ! Que viens tu faire dans le coin ? Tu  n'as pas école ?
 - Si mais c'est la pause de midi. J'ai un début mais  je veux savoir si sa te vas. C'est une chanson pour gosses. "  Aujourd'hui je vais vous racontez l'histoire, d'un loup qui broyait du  noir, à ses 16 ans il s'est fait chassé par les trois petits cochons qui  étaient sont diner. A ses 16 ans il s'est fait chassé, par les trois  petits cochons qui était sont diner. "
 - Ouais sa le fait. T'a déjà  foutu des notes dessus ?
 - Non pas encore.
 - Loup loup loup  loulouloup pauvre loup ! Loup loup loup loulouloup pauvre loup ! ;  chantona Kokoroyomi.
 - Loup maladroit mon gros loup : rentre chez toi  ! ; crièrent Jin et Ranma en même temps.
 - Yeah, sa le fait les gars  ! ; cria Gaara tout heureux !
 - Bon ben je vous laisse ; leur ai je  dit. Répétez déjà sa, je bosse la suite et je viens vous la passer un de  ses quatres.
 - Ok ! ; dirent les garçons en choeur .
 Je courru à  l'école.
 La pause finissait : je m'en fiche, je n'avais pas faim.
 -  Psst  ! Pourquoi t'était pas au refectoire comme tout le monde ? ; me  souffla Arima.
 - Parce que moi j'ai des choses plus importante à  faire, je bosse à plein temps !
 - Tu insinue peut-être que je ne  bosse pas moi ?
 - Pour l'instant, je ne t'es pas vu faire grand  chose. Et puis, tu fais se que tu veux, je m'en fiche !
 
 - Sa  suffit maintenant !!! ; hurla Arima en plein cours en frappant sur la  table.
 Il me pris par le col et me souleva.
 - J'en ai marre, pour  qui tu te prend ?! C'est moi qui décide ici alors arrête de prendre tes  grands aires !!!
 - Et qu'est ce que tu vas faire maintenant Arima ?!  Tu vas me ... frapper ? C'est minable... minable !
 Il me poussa  contre le mur.
 - Tu vas regretter d'être née Ran Urameshi, espèce de  sale pauvre !
 Il sortit de la classe.
 Je suis sortie à mon tour.
 Le  prof m'arrêta.
 - Retournez immédiatement à votre place jeune fille !
 -  Si à lui vous ne lui dîtes rien, je ne vois pas pourquoi je ne pourrai  pas faire pareille !
 J'ai claqué la porte, j'ai pris mes affaires  dans mon casiers.
 - Eh , tu fous quoi ?! Tu as cours !
 Arima,  Kubo, et Saotome me regardèrent de haut.
 - Je fais comme vous, je  prend mes grands airs et je me casse ! J'ai mieux à faire que d'aller à  l'école et de me faire traiter comme de la merde par le plus con des  mecs qui existent sur la terre !
 Arima grinça des dents.
 Il me  poussa et ouvrit mon casier.
 - Mal élevé, je ne t'ai pas autorisé de  touché à mes affaires !
 Il déposa dans mon casier une carte avec un  triangle rouge, pile au moment ou les élèves sortirent de la classe.
 -  Regardez, elle a la carte rouge !
 Arima me regarda l'air satisfait.
 -  Si tu arrive à tenir une semaine dans cette école, je te tire mon  chapeau, car désormais, tu es une fille morte !
 Un garçon me lança un  oeuf en pleine figure.
 - Dégage, tu pollue l'air, sale pauvre !
 -  Ouais , fiche le camps !
 - Abat la mocheté ! Abat la mocheté !
 Tous  les élèves me huait de la sorte.
 Même Misora.
 - Arima...
 Il  avait l'air satisfait.
 - Alors ? Tu abandonnes ? Si tu en as marre,  met toi à genou et dit "pardon maître Arima, je suis qu'une idiote, ayez  pitier" !
 - Hin, tu crois peut-être que je vais me laisser faire ?  Tu peux toujours crever !
 - Hé, vous ! Laissez la tranquille !
 Toute  la foule s'écarta pour laisser passer un garçon qui me rappelait  vaguement quelqun.
 Il vint vers moi.
 - Sa va Ran ? ; me dit Kyo,  le basseur des Gesang.
 Seul différence : il portait des lunettes.
 -Bande  de cons, elle ne vous à rien fait ! Si elle à un problème avec Arima,  elle doit le regler elle, pas besoin de tous vous mettre contre elle,  c'est clair ?!
 - Pour qui tu te prend, moucheron ?! ; lança Arima  intrigué.
 - Juste pour quelqun de suffisament juste pour ne pas  laisser une fille se faire martiriser !
 Il me pris par la main et  m'entraina dehors.
 - Bon sang ! Qu'est ce que tu lui as fait pour  qu'il t'en veuille comme sa ?
 - T'inquiète, sa ne m'embete pas ! Tu  n'as pas besoin d'être melé à tout ça.
 - Non ! Tu crois peut-être que  je vais te laisser te faire anéhantir par ce mec ?!
 - Qui parle  d'anéhentisement ? T'inquiète, je ne risque rien du tout ! Je vais  mettre tous mes talents à l'épreuve et je vais l'adoucir, je ne m'en  fais pas pour ça !
 - Mais tu es folle ?!
 - Merci pour le  compliment ! Je pense que dans le fond, c'est quelqun de bien... Alors  laisse moi faire ! ; ai je dit en me levant.
 - Tu y retourne ?! Mais  les cours sont finis !
 Je me suis retournée et j'ai donné pour  réponses :
 - C'est le but ! Je te passe la chanson du loup demain à  l'école, Bye !
 
 Je suis retournée en classe.
 J'avais laisser  mes affaires.
 - Shaoran, tu ne crois pas que tu y vas un peu fort  avec elle ? Tu sais, c'est le genre de fille qui agis si tu lui parles  gentillement ! ; dit Kubo.
 - Oui c'est vrai ! En plus elle est  vachement jolie, pourquoi tu n'essaierais pas de te rapproché plus  d'elle plutôt que de la martiriser ? ; demanda Saotome.
 - Au cas ou  je suis là ; ai je dit .
 - MAis elle nous espionne celle-là ! ;  s'écria Arima en se levant.
 - Mais pas du tout, je vais simplement  ranger mes affaires, prendre mon sac et rentrer chez moi. Si j'avais  voulu vous espionnez, j'aurai rien dit et vous ne vous seriez même pas  apperçu de ma présence.
 J'ouvris mon casier et je suis tombée pile  en face de la carte rouge.
 J'ai sortit un stylo de mon sac et pris la  carte.
 - Tiens ! ; ai je dit en tendant le carton et le stylo à  Arima.
 - Qu'est ce que tu veux que je fasse ?!
 - Signe ! " A  l'intension de Ran Urameshi de Arima ". Comme ça tout le monde sera que  c'est toi qui à mis la carte et pas un imposteur !
 - Tu te fiches de  moi, là ?!
 - Mais pas du tout ! Allez ! Après, je la repose dans mon  casier et je rentre chez moi. Sa te va ?
 Il prit la carte et marqua :  Pour Ran Urameshi de Arima.
 Je repris la carte.
 - Merci. Tu peux  garder le stylo en remerciement.
 - En remerciement ? ; dirent les P3  en choeur.
 - Oui. Tu as signé sa veux dire que au moins une fois tu  m'as écouté et tu as fait ce que je t'ai demandé sans te prendre pour un  être superieur. C'est un chouette cadeau qui annonce qu'il y a encore  une chance que tu sois normal !
 - Quoi ?!!! Tu te fous de moi  ?!!!!!!!!
 J'ai refermé le casier après avoir posé la carte à  l'interieur.
 Puis, je me suis accroupie en face de Arima.
 -  Peut-être que tu me déteste mais s'est pas grave ! Dans le fond on a  tous une partie plus jolie, même si elle est bien cachée. Tu fais le  gros dur mais je suis sure qu'il existe en toi quelque chose de bien et  c'est ce que je veux découvrir. C'est pour ça que je ne vais pas  flancher tout de suite face à tes menaces, ce serait dommage que je  n'arrive pas à te connaître, non ?
 - Grrr
 - Shaoran, calme toi ! ;  dit Saotome en retenant son ami.
 - En revanche ; dis je en me  relevant ; je ne veux pas que tu croies que je suis quelqun de bien !  Mon seul but dans la vie est d'énervé les crétins et avec toi, sa marche  ! Allez, a demain les P3 !
 Je pris mon sac et je suis sortie de  l'école.
 A 3 mètres après être sortie, j'entendis un :
 - ELLE VA  ME LE PAYER !!!! JE LA DETESTE !!!!!!!!!
 Je me suis mise à rire :  décidement, Arima était vraiment trop drôle.
 - A ses 20 ans, vous  connaissez l'histoire : du chaperon rouge qui s'est fait bouffé. C'est  un mensonge car l'a grand mère l'avait mis en esclavage forcé. C'est un  mensonge car la grand-mère l'avait mis en esclavage forcé. Loup loup  loup loulouloup pauvre loup. Loup loup loup loulouloup pauvre loup. Loup  maladroit pauvre loup : rentre chez toi !
 
 - C'est à cette heure  que tu rentres ?
 - Yuki ! Que fais tu là ?
 - Je viens voir si  tout va bien. Comment sa se passe dans ta nouvelle école ?
 -Sa peux  aller. Et toi, le travail ?
 - Oui sa va, là je suis en vacances. Tu  es au courrant pour Erin ?
 - Erin ? Non qu'est ce qui se passe ?
 -  Erin c'est fait raqueter plusieurs fois durant le mois.
 - HEIN ?!  C'est pas vrai ! Comment elle va ? On a trouver le raqueteur ?!
 - Non  pas encore. Je viens juste te prévenir, fais attention à toi. Notre  cousine Miki à aussi été raquetée et d'après la description qu'elle a  donné, c'est le même mec que pour Erin. La dernière fois, elle n'avait  pas d'argent et il l'a frappée !
 - La pauvre ! Elle va comment ?
 -  Elle est traumatisée... elle m'a demandé de venir te voir car maman ne  veux pas qu'elle te voie. Elle est enfermée, et elle n'a plus le droit  de sortir.
 - Je peux venir la voir ?
 - Non, pas pour l'instant. En  tout cas, fait attention ! Je te laisse maintenant, tu dois avoir des  compositions à faire, n'est ce pas ?
 - Oui. Merci de m'avoir  prévenue. Embrasse Erin de ma part !
 - Je n'y manquerais pas. A  bientôt !
 - Ciao !
 <>
 Je me suis mise face  à mon sinthé :
 - Aujourd'hui je vais vous raconter l'histoire : d'un  loup qui broyait du noir
 A ses 16 ans il s'est fait chassé, par  les trois petits cochons qui étaient son diner
 A ses 16 ans il  s'est fait chassé, par les trois petits cochons qui étaient son diner
 Loup loup loup loulouloup pauvre loup !
 Loup loup loup loulouloup  pauvre loup !
 Loup maladroit mon gros loup : rentre chez toi !
 A  ses 20 ans vous connaissez l'histoire : du chaperon rouge qui s'est  fait bouffé !
 C'est un mensonge car la grand-mère, l'avais mis en  esclavage forcé
 C'est un mensonge car la grand-mère, l'avais mis en  esclavage forcé
 Loup loup loup loulouloup pauvre loup !
 Loup  loup loup loulouloup pauvre loup !
 Loup maladroit mon gros loup :  rentre chez toi !
 Aujourd'hui je vous ai raconté l'histoire : d'un  loup qui broyait du noir
 Sa vie a été catastrophique : alors il a  pris des vacances en Antartique
 Sa vie a été catastrophique : alors  il a pris des vacances en Antartique
 Loup loup loup loulouloup  pauvre loup !
 Loup loup loup loulouloup pauvre loup !
 Loup  maladroit mon gros loup : rentre chez toi !
 
 C'était pas mal, plus  qu'à voir avec les Gesang si sa leur plaît.
 J'ai pris un gros bol de  nouille instantanée et je l'ai engloutit avant d'aller me coucher.
 
 Tatatatam  ! Ecole !
 - Ding Dong !
 Je suis entrée en classe.
 Sur le  tableau, c'était écrit : Urameshi est une trainée : elle a accouché et a  dû changer de collège pour que personne ne le sâche !
 Je me suis  avancée vers le tableau, j'ai pris la craie et ai écrit :
 " Celui ou  celle qui a écrit sa à beaucoup d'imagination, c'est une belle qualité  qui s'accorde avec la débilité de ses paroles... Je me fiche de se que  dises les autres ce que je suis et ce que je fais c'est ma vie, et vous,  vous n'en faîtes pas partit !
 Tout le monde murmurai des " elle se  prend pour qui ? elle est pas interessante ! "
 Je me suis assise à ma  place.
 - C'est vrai que t'as déjà accouché ? ; me demanda Shaoran.
 -  Je pense que tu connais déjà la réponse, non ? Je ne suis pas le genre  de fille accèsible, il est donc évident que je ne suis pas mère.
 - Je  me disait que tu était conne mais pas suffisement pour gacher la vie  d'un gosse.
 - Quoi ?
 - Tu ne mettrais pas un enfant au monde dans  ta situation car sa le ferai souffrir. Tu aurais avorté !
 - Je me  serais tuée plutôt que d'enlever la vie a un enfant.
 Il sourit puis  commenca à travailler, et je fis de même.
 Puis tout le restant de la  journée, je me suis fait traité de tout les noms.
 A la fin de la  journée, j'ai du nettoyer la classe.
 << Pff, enfin fini !  >>
 Il faisait déjà nuit dehors.
 JE suis sortie et j'ai vu  une petite fille entrain de se faire frapper.
 - Erin !!!!
 L'attaquant  se retourna et se lança sur moi me plaquant à terre.
 - Erin ! Sauve  toi !!!!
 Erin alla se cacher derrière des buissons, ne voulant pas me  laisser seule.
 Depuis petite, elle avait cette réaction à mon égard.
 L'homme  était masqué.
 Il souleva mon T-shirt .
 - Non ! Lachez moi !!!!! ;  criai je en essayant de me débattre.
 Il sortit un foulard et me  banda la bouche.
 Puis il enleva ma jupe.
 - Gnnnnn !!!!
 - Lache  la ! Lache la ou je te bute !!!
 Arima arriva avec un couteau dans la  main et l'agresseur s'enfui en courrant.
 - Sa va ? ; me demanda t'il  en me détachant la bouche.
 - Sa va ... Ou est Erin ... ?
 Erin  sortit de derrière un buisson.
 - Je suis désolée grande soeur, je ne  voulait pas que tu sois mélée à tout sa ! ; pleurait ma petite soeur.
 -  Ne t'inquiète pas. Ne dis rien à personne, d'accord ? Demain j'irai à  la police et je porterais plainte. Si on te demande pourquoi tu rentres  si tard, dis que tu t'es fait attaqué mais qu'un garçon t'a secourue et  t'a ramenée. File maintenant !
 La petite me fit un bisou sur la main  et dis à l'intension d'Arima :
 - Merci Monsieur ! Que la lampe  magique veille sur vous et vous bénisse tel le génie à béni Aladin !
 Puis  elle partit en courrant.
 - Merci Arima... Tu as sauvé ma soeur...
 -  Je t'ai surtout sauvée toi !
 - Ma vie vaut pas un clou comparé à  celle de ceux qui me sont chers. Si il m'avait tué ou violé , il serait  retourné vers Erin pour lui faire du mal...
 - JE vais t'emmener chez  moi et je vais te soigner ! Accroche toi à moi ! ; dit il en me  soulevant.
 - Héhé... Ca a quand même du bon cette mésaventure...
 -  Pourquoi tu dis sa ?
 - Parce que maintenant je le vois bien, le bon  coté qui est en toi ... il brille comme une perle...
 
 Je me suis  reveillée dans une grande chambre, dans un grand lit.
 - Tu es  reveillée, Ran ... ; dit Arima.
 - Quel heure est il ?
 - 23h00.  J'ai cherché dans tes affaires et il n'y avait pas le numéro de tes  parents... Tu veux bien me le donner pour qu'on puisse les prévenir ? Il  ne faudrais pas les inquiété.
 - Je ne vis pas avec eux, je vis seule  dans mon appartement.
 - Toute seule ?! Mais pourquoi ?
 - Je ne me  suis jamais sentie chez moi dans ma famille alors a 10 ans je suis  partie et depuis je vis seule, comme une grande.
 - Tu ne te sens pas  trop seule ?
 - Non, j'ai des amis qui viennent me voir parfois. Si je  suis seule, je peux aller dans l'entrepot ou ils sont généralement pour  leur rendre visite.
 - Je vois...
 Un silence pesant vient  s'installer.
 - ... Dit Arima, tu te rappelles de se qu'à dit ma soeur  avant de partir ?
 - Elle parlait de génie, je crois...
 - Elle  faisait référence à la lampe d'Aladin et sa m'a donné une idée : pour te  remercier, je vais t'accordé trois souhaits que je réaliserais dans la  mesure de mes possibilités. Si tu demandes un souhait continuel, il  s'épuisera au bout d'une semaine. Sa marche ?
 - Trois souhaits ... ce  que je veux ?
 - Ce que tu veux !
 - Alors c'est d'accord. Mon  premier souhait est que pendant une semaine tu réalises tout mes  souhaits !
 - Ehhhhh ! Mais c'est de la triche !
 - C'est le jeu. Tu  as dit n'importe quoi alors c'est n'importe quoi !
 - Pfff. Bon sa  marche.
 Il sourit.
 - Bien. Mon souhait est que tu arrêtes de te  moquer de moi pendant les cours.
 - Ah, parce que je me moque de toi ?
 -  Ne fais pas l'innocente. Tu ne fais que sa !
 - Je ne me moque pas de  toi, je t'éduque. Je fais sa pour que tu arrête de traiter les autres  comme des moins que rien. Et puis, si je ne m'abuse, sa ne t'embête pas  tans que ça puisque tu m'aime bien !
 - Quoi ?!
 - Ben oui sinon tu  ne m'aurais pas secourue et même si tu l'avais fait, tu aurais ordonné  dans tes voeux que je quitte le collège ou quelque chose comme sa. Donc  tu m'aimes bien.
 - Et si c'était le cas, que ferais tu ?
 - Je  serais contente ! Parce que même si ma manière de me comporter avec toi  n'est pas très adroite, moi je t'aime bien, tu es gentil dans le fond,  il faut juste essayer de te connaître !
 - Pff, tu es vraiment trop  naïve. Si je t'ai sauvée, c'est simplement parce que j'aurais été  complice de ton agresseur si je n'avais rien fait. Si j'ai demandé que  tu réalises tout mes souhaits, c'est pour que je puisse profiter de toi !  Tu es en position de faiblesse !
 - Ah ouais ? Bon ben je rentre chez  moi alors.
 - Je souhaite que tu restes dormir chez moi ! Je ne tiens  pas à ce que tu retombe sur ce type !
 J'ai sourit.
 - Ben tu  m'aimes bien si tu t'inquiètes pour moi !
 - Je ne t'aime pas "bien"  alors arrête ! Couche toi maintenant, il est tard !
 - C'est pas  grave, demain il n'y a pas école. C'est congé parce que les profs sont  en réunion.
 - Je souhaite que tu te couche !
 - Pff...
 Je me  suis couchée dans le lit et j'allais m'endormir quand je vit qu'il se  glissa sous la couverture.
 - Et ! Qu'est ce que tu fais, là !?
 -  Je me couche ; répond il innocement.
 - Pas question que je dorme dans  le même lit que toi ! Je dors parterre !
 - Je souhaite que tu restes  dans ce lit !
 - Mais c'est de l'abus, ça !!!!
 - Je ne vais rien  faire, juste dormir. Alors arrête de t'énerver comme sa et dors !
 Je  me suis recouchée sur le coté ( de sorte à ne pas être en face de lui)  quand je sentit des bras m'entourer.
 -Eh ! Qu'est ce que tu fais ?!!
 -  Rien, dors !
 - Arrête ! Lâche moi !
 - Pourquoi ? ;demanda t'il  d'un air amusé.
 - Parce que ! Sa me... sa me ...
 - Sa te quoi ?
 -  ... gène... lâche moi s'il te plait...
 - Pourquoi sa te gène ? Je ne  te fais rien !
 - Peut-être mais... je...
 Je ne savais plus quoi  dire.
 Je ne savais plus quoi faire.
 -... C'est bon, sa va ; dit il  en me lachant. Dors maintenant.
 J'était paniquée.
 Et si il en  profitait pendant que je dormais ?!
 Je me suis endormie comme une  masse.
 Et par chance, rien ne se produisit cette nuit .
 
 Je me  suis reveillée.
 Il dormait encore.
 C'était l'occasion de s'enfuir !
 Je  me suis levée, j'ai pris mon sac qui était au bord du lit et je me suis  approchée de la fenêtre : un étage, quelle chance !
 - Bonjour la  fugueuse matinale ! Mais qu'est ce que tu fiches encore ?!
 - Rien du  tout, tu es en train de rever, rendors toi, rendors toi !
 - J'exige  que tu reviennes ici et que tu fermes cette fenêtre immédiatement !
 A  contre coeur, j'ai fermé la fenêtre .
 - Ce n'est que 6h00 tu peux au  moins rester jusqu'au déjeuner !
 - Non, j'ai du boulot ! Hier soir  je devais aller voir des amis pour leur donner quelquechose à  l'entrepot.
 - Qu'est ce que c'est ?
 - Rien de spécial. C'est juste  une chanson à eux que je leur avait empruntée. Mais ils y tiennent  alors... et puis je dois aller déposer plainte contre l'agresseur d'Erin  !
 Il me regarda bizarement.
 - T'es pas normal toi, t'a soeur  s'est juste fait raquetée et toi tu as failli te faire violer ! C' est  pour toi que tu devrais déposer plainte ! C'est TON agresseur !
 -  C'est pas important pour moi.
 - Bon. Je ne vais pas m'énever dès le  matin avec toi pour ça. Ou il est l'entrepot avec tes potes ? Moi je  dois aller quelquepart aussi. Alors je peux t'accompagner un bout.
 -  Sa va aller. Je peux y aller toute seule.
 - Je souhaiterais t'y  accompagner alors arrête maintenant de faire des caprices.
 - Ok. Je  sais pas dire ou s'est exactement, c'est pas loin de l'école.
 - Bon  et bien tu vas me montrer ou s'est ! Et on peut sortir par la porte  d'entrée, je crois que c'est plus pratique que par la fenêtre !
 Nous  sommes sortis de la chambre et une dame vint nous accoster.
 - Jeune  monsieur ! Mademoiselle ! Comment allez vous ce matin ?
 - Tout va  bien Kora. Nous allons faire un tour. Si Meiko rentre, dîtes lui que je  suis sorti et que je rentrerai probablement pas avant ce soir.
 -  Très bien jeune monsieur. Passez une bonne journée !
 - Merci Kora ;  dis Arima en me tirant par le bras.
 Il me traina jusqu'à la sortie.
 -  Elle va probablement aller voir sa soeur. Elle travaille pour une  famille dont mon père est très attachée. Ils ont d'ailleur une fille  là-bas avec qui ils m'ont fiancé.
 - Vraiment ? Et tu la connais ?
 -  Non, je m'en contre fiche ! Je n'écouterai jamais ce que mon père peut  décider.
 - Arima...
 Nous avons marché sans rien dire pendant un  moment.
 - Bon, il est encore loin ton entrepot ?
 - Non, c'est  celui là ! Tu veux voir a l'interieur ?
 - Ouais. Y'a personne ?
 -  Je sais pas, y'a peut être Ranma à cet heure ci . On va voir !
 J'ai  ouvert la porte .
 - C'est moi !
 Ranma , Jin, Kyo et Kokoroyomi   étaient déjà là.
 - Ah Ran ! Tu n'es pas passée hier soir, il s'est  passé quelquechose ? Gaara est partit  te chercher, il était très  inquiet ! Tu n'étais pas chez toi !
 - J'ai dormis avec des amis. Je  vous présente Arima. Arima, voici Kyo, Kokoroyomi , Ranma et Jin. Les  gars, vous pouvez appellé Gaara, qu'il vienne ?
 - J'm'en occupe !;  dit Ranma en prenant son portable.
 - Ran, qu'est ce que tu fais avec  Arima ? ; me chuchota Kyo.
 - Je t'expliquerai...
 - J'espère bien.
 -  Il arrive ! ; dit Ranma.
 - Ok les mecs. Sortez déjà les instrument  et répetez sa ; dit je en tendant la chanson du loup.
 - Yeah, t'as eu  le temps de la finir ! ; lança Jin . Au boulot les gars !
 Tous se  mirent derrière leur instrument.
 Kyo gratait sa guitarre comme un  malade, Jin et Ranma était à fond aussi.
 Kokoroyomi accordait son  piano.
 - Mais ou est Sôsuke ? ; demandai je en regardant de tout les  cotés.
 - Il a pris congé, il avait rendez vous avec une fille ; dit  Jin.
 - Ok.
 - Yo, Ran ! ; dit Gaara en me prenant dans ses bras ;  bon sang, t'était ou ? J'ai cru que tu avais eu un accident !
 - Sa va  Gaara. Je te présente Arima. Arima, voici Gaara, le chanteur du groupe.  Gaara, va voir avec les autres la chanson et dit moi si j'ai des modifs  à faire !
 - Sa roule !
 - Alors comme ça, ton groupe, c'est des  musiciens. Et toi tu es leur public ?
 - Plutot leur manageur. Je leur  écrit des chansons et on fait des concerts pour des enfants  défavorisés. Et sitôt que je n'ai pas assez de sous, ils m'aident à  payer le loyer.
 - Ran ! ; m'apppella Kyo; il faudrait que tu  apprennes à danser... tu te rappelles de se que je t'avais dit pour les  concours ? Parce que avec les chansons, on gagne pas assez pour le  matos, alors vu que je ne vais pas danser avec Kokoroyomi, il n'y a que  toi qui puisse être danseuse !
 - Je t'ai déjà dit que je dansais  comme un pied ! Pourquoi tu ne demande pas à ta copine ? Elle danse, non  ?
 - Oui mais elle est trop genée en public.
 - Ma soeur aime  danser ; dit Arima.
 - Je sais; dit Kyo ; puisque ta soeur, c'est ma  copine. Mais jamais Meiko ne dansera en public, on a déjà essayer, c'est  peine perdue ! En revanche, elle pourrait peut-être t'apprendre, non ?
 -  Tu sors avec ma soeur ? Toi ?
 - Oui. Et alors ?
 - Rien ; dit  Arima ; je pensais pas qu'elle était tombée aussi bas !
 - Je me  fiches de se que tu pense, là on a un problème, alors on parlera de ça  plus tard ! Ran, alors, est ce que tu acceptes ?
 J'ai reflechis un  instant et dis.
 - Tu seras mon cavalier ?
 - Non. Je suis blessé à  la jambe depuis une année alors je ne peux plus faire de danse. Mais je  serais ton professeur et on te trouvera un cavalier qui te plaira, on ne  te forceras pas de danser avec quelqun que tu n'aime pas. Ok ?
 - Sa  marche. Alors, Gaara, cette chanson ?
 - Tip Top ! Ou a tu trouver  cette inspiration ?
 - Disons que à l'école, il y a suffisement  d'action pour penser à ce genre de choses. Bossez la chanson,  j'essaierai d'en refaire une bientôt.
 - Ran. Tu sais que Kléano  s'est finalement marier ?
 - Ah ? C'est bien. Mais pourquoi tu me  parle que sa ?
 - Parce qu'il veut que tu tiennes le flambeau de  Silnöa. Il veut que tu deviennes chanteuse des Gesang.
 - Si c'est une  blague, c'est pas drôle ! Je refuse ! PAs question !
 - Lis au moin  la chanson ! ; dit Kokoroyomi. Il a confiance en toi et il ne peut pas  confier le rôle à une autre !
 - Je ne veux pas !
 Kyo pris la  chanson de Kléano et me l'a mise dans ma poche.
 - Lis la au moins et  si tu ne veux vraiment pas, on trouvera une autre chanteuse. Mais s'il  te plaît, lis la et reflechis y.
 - Franchement, le seul défaut qu'il y  a avec vous, c'est que...vous êtes tétus comme des mules !
 Je suis  sortie de l'entrepot en courrant.
 Je ne voulais pas chanter une  chanson de Kléano, je ne pouvais pas !
 
 Je me suis arretée dans un  parc.
 - Tu cours vite ! ; dit Arima essouflé.
 - Pourquoi tu m'as  suivie ?
 - Parce que je souhaiterais rester avec toi. Pourquoi tu ne  veux pas chanter cette chanson, qu'est ce qu'y se passe ?
 - Il y a  rien... C'est juste que je n'aimerais pas chanter cette chanson, c'est  tout !
 Arima vint s'asseoir à coté de moi.
 - Non. Si c'était une  chanson comme une autre, tu n'y verrais pas d'objection. Pourquoi tu es  si méfiante ? Pourquoi tu ne me dis pas se qui se passe, je pourrais  peut-être t'aider ?
 Je l'ai regardé dans les yeux.
 - Et toi ?  Pourquoi tu es méchant avec moi à l'école et maintenant tu essaies de  jouer les psys ?
 - C'est mon petit secret ! Fais moi voir cette  chanson.
 - Pourquoi ?
 - Je veux la lire, c'est tout. Passe la moi.
 Je  sortit le bout de papier de ma poche et je le lui tendis.
 - Je veux  vivre plus fort ,Comme personne n'a jamas vécu, Je veux t'aimer bien  mieux , Comme personne ne saura jamais, Je veux aller plus loin , Là ou  personne n'a jamais pu , Je veux monter plus haut , Là où personne  n'osera jamais , Avoir les pieds sur terre ,Et la tête dans les nuages ,   Les pensées hors de l'atmosphère , Et ma voix qui voyage ,Dans les  étoiles , je tisse ma toile.
 Je me suis mise à pleurer.
 <<  Kléano, pourquoi je ne peux pas t'oublier ?!>>
 - C'est beau ;  dit Arima. C'est toi qui a écrit ce morceau ?
 - Non. C'est Kéano.
 -  Tu l'aimais ?
 Je me suis retournée d'un coup et j'ai regardé Arima  dans les yeux.
 - Qu'est ce qui te fait dire ça ? C'est absurde !
 -  Alors dis moi, pourquoi est ce que tu pleures ?
 Je n'ai pas  répondu.
 J'ai pris mes genous dans mes bras, j'ai baisser la tête et  j'ai continué de pleurer.
 Je suis restée de longues minutes ainsi.
 -  Ca va, je vais le faire.
 Je me suis levée.
 - Je vais chanté une  chanson de Kléano au prochain concert mais pas celle là. Il y en a une  meilleure que je suis la seule à connaître et c'est celle là que je  chanterai. Ca va comme sa ?
 Arima se leva à son tour.
 - Je suppose  que oui, j'en sais rien, je ne fais pas partie du groupe. Bon, que veux  tu faire maintenant ?
 - Je veux rentrer chez moi. Je veux mettre la  musique à fond les balais et chanté comme une malade toutes les chansons  que j'ai chantées.
 - Très bien je viens avec toi.
 - Non. Je ne  pourrais pas me donner si tu es là.
 - Si. Ne t'inquiète pas. JE  souhaite venir donc je viens. NE sois pas antisociale !
 Je lui  sourit.
 - Alors je me banderai les yeux, comme ça je ne te verrai pas  !
 - Ok. Allons y !
 
 Nous sommes allés chez moi.
 - Installe  toi ; lui ai je dit.
 - Tu vas chanter une de tes compo ?
 - Non, à  part pauvre loup qui est moyenne, mes essais sont pas encore top. Je  vais chanter... Demandez à mon cheval de Pagny.
 - C'est qui ce mec ?
 -  Un chanteur. Bon, je te préviens, j'ai pas l'habitude de chanter quand  il y a quelqun chez moi donc je ne pense pas être au top du top.
 -  C'est pas grave. Chante comme tu veux, je veux juste t'écouter.
 J'ai  sourit puis je me suis mise devant mon sinthétiseur.
 J'ai appuyer sur  le bouton ENRG et j'ai appuyé sur Jericho.
 La chanson se mis en  marche.
 - Jericho ne sait pas par coeur toutes mes chansons, Jericho  ne sais pas le prox de ma maison, Jericho ne sais pas la marque de ma  moto, Ni combien de cheveaux se cachent sous mon capot, Jerciho ne sais  pas ma place au box office, Jericho ne sais pas ni la vertue ni le vice,  Jericho ne sais pas si je suis resté rebelle, Ou simplement fidèle à  mes idéaux... Mais que sais Jericho ? Qu'est ce que sais Jericho ? tout  le reste, tout le reste... Et si sa vous interesse, si sa vous  interesse, cherchez pas dans le journal, non, cherchez pas ! Demandez à  mon cheval ! Jericho ne sais pas arriver en retard, Jericho ne sait pas  combien vaut un dollard, Jericho ne sais pas les damnés de la terre, La  reine d'angletterre ses robes et ses chapeaux, Jericho ne sait pas ni le  feu, ni la cendre, Jericho ne sais même pas où c'est le 11 septembre,  Jericho ne connait pas ni Adam ni Eve, La convention de Genève et les  accord d'Oslo. Mais que sais Jericho ? Qu'est ce qu'il sait Jericho ?  Tout le reste, tout le reste... Et si sa vous interesse, si sa vous  interesse, Cherchez pas dans le journal, non cherchez pas ! Demandez à  mon... cheval. Demandez à mon cheval, demandez à mon cheval ! Jericho  sais très bien se méfier des humains quand leur sourire est faux,  Jericho sait très bien lire les lignes de la main, avec son souffle  chaud, Jericho sait très bien qu'on peut aller très loin, lui et moi sur  son dos... Mais que sait Jericho ? Qu'est qu'il sait Jericho ? Cherchez  pas dans le journal, non cherchez pas ! Demandez à mon cheval !!!
 La  musique s'est arrêtée.
 - Bravo ; dit Arima en tapant dans ses mains.
 -  Pff, c'était médiocre. Ca m'énerve, sa se voit que je suis pas bien...  si je chante sa sur scène, c'est de la brave merde...
 Il arriva par  derrière et me pris dans ses bras.
 - A... Arima ! Qu'est ce que tu...
 -  Rien. Je ne fais rien. Oublie moi. Oublie que je suis là. Et laisse toi  aller...
 - Mais qu'est ce que tu racontes ?!
 Avec sa main il me  cacha les yeux et avec l'autre, il me fit me retourner.
 Et après, le  temps s'est arrêter.
 
 Ses lèvres si chaudes sur les miennes.
 Il  enleva sa main de mes yeux et me serra fort contre lui.
 - Je t'aime  pas "bien"... je t'aime tout court...Je t'aime Ran.
 - Quoi ? Mais  qu'est ce que tu racontes ?
 Il plongea ses yeux dans les miens.
 -  Sortons ensemble. Je veux être tout le temps avec toi. JE veux encore  t'écouter chanter. Je veux encore te serrez dans mes bras. Tu es  d'accord ?
 J'étais bouche-bée.
 - Ran ? Sa va ?
 - Attend... deux  minutes, tu viens de dire quoi, il y a juste un instant ?
 - Que je  voulais que l'on sorte ensemble...pourquoi, tu ne veux pas ?
 - Alors  ce n'était pas un rêve, j'ai bien entendu... Ecoute Arima...
 -  Shaoran. Arrête de m'appeler Arima, je m'appelle Shaoran.
 - D'accord.  Shaoran, tu es très simpa, mais sa ne fais qu'une semaine que l'on se  connait, je suis une fille capricieuse, provocante, emmerdeuse et pas  facile à vivre, tu en es bien consient ?!
 - Oui, totalement. Mais je  ne m'en fais pas. Même si tu ne m'aimes pas maintenant, j'arriverais à  faire en sorte que tu m'aimes. Faisons un test : trois mois. Sa te va ?  Si après tu ne veux plus de moi, ok, je te laisse tranquille. Mais  laisse moi une chance, d'accord ?
 J'ai sourit.
 - Tu es tenace. Ok,  à une condition.
 - Laquelle ?
 - Je vais en parler avec le groupe  et si ils sont d'accord je veux que tu chantes avec le groupe. Et que tu  sois mon cavalier en danse aussi. Sa te vas ?
 - Pas de problème, dès  que vous m'aurez entendu chanté comme une caserolle, se sera vite réglé  !
 - oh tu sais, même si tu chante mal, je te mettrai sur scène. Tu  voudra rompre avant les trois mois, je peux te l'assurer !
 Il rigola  puis s'avança vers moi et m'embrassa.
 - Hum, arrête...
 - Pourquoi ?
 -  Tu profite trop là... j'ai pas l'habitude... !
 Il recula.
 -  Qu'est ce que tu veux dire ?
 - Et bien... toi tu es riche et beau  alors que moi non... il est évident que tu as eu plein de copines mais  moi...
 - Quoi, tu n'as jamais eu de petit copain ?
 - Ba non.
 Il  éclata de rire.
 - J'y crois pas ! Qui de nos jours n'a pas eu de  copain à 16 ans !
 - Arrête !
 - Non, je rigole, je te taquine.
 Son  téléphone sonna.
 - allo ? Ah, Takamichi ! Qu'est ce qu'il y a ? Un  tour en ville ? Là je peux pas... Je suis avec une fille. Ma nouvelle  copine. Quoi ? Ok, à quelle heure ?  Soichiro viendra aussi ? Ok, sa  roule. Ouais elle est super. En plus elle est trop belle, enfin tu  verras. Je te laisse. A plus !
 - C'était Saotome ?
 - Oui. Viens on  a rendez-vous dans dix minutes au parc.
 - Pourquoi ? Non, je ne veux  pas qu'on sache que je suis ta copine !
 - Ne fais pas ta timide,  t'inquiète pas ! En plus, Takamichi et Soichiro ont toujours pris ta  défense quand je te narguais à l'école. Allez viens !
 - Mais alors tu  ne leur dit rien pour le groupe et sur le fais que j'écris ou que je  chante.
 - Pas de problème.
 
 Arrivé au parc, ils étaient déjà  là.
 - Salut Shaoran ! Ta copine n'est pas là ? ; demanda Saotome.
 -  Si ; dit Shaoran en souriant. Takamichi, Soichiro, voici Ran, ma petite  amie.
 - Tu l'as payée combien pour qu'elle accepte d'être ta copine ?  Je croyais que tu la détestais ? Tu ne lui as rien fait j'espère ! ;  dit Kubo.
 - Non, enfait, je lui ai dit que je l'aimais et on fait un  test pendant trois mois. Si après elle me veux plus, elle me jette !
 -  C'est vrai Urameshi ? ; demanda Kubo.
 - Oui, c'est vrai. Vous pouvez  m'appellez Ran, vous savez.
 - Alors Ran, comment as tu fait pour que  notre petit Shaoran tombe amoureux de toi ? ; demanda Saotome d'un air  malicieux.
 - JE ne sais pas moi, demandez le à lui ! J'ai rien fait  du tout !
 - Oh mais si ; dit Shaoran ; Il se trouve que Ran a un  caractère fort, elle ne se laisse pas faire et sa m'a plus. Même que je  lui ai mis la carte rouge, elle m'a tenu tête. En plus elle est super  jolie, elle a de magnifique cheveux et elle a quelque chose d'extrêment  rare pour nous les japonnais.
 - Quoi donc ? ; demanda Saotome très  interessé.
 - Elle à les yeux verts.
 - Quoi ?! ; dit Saotome en  s'approchant de moi; mais t'es aveugle, elle a les yeux brun !
 - Non,  elle a les yeux verts mais sa ne se voit que quand elle est à  l'interieur. C'est vert foncé mais vert quand même et c'est très joli.  En plus elle a une jolie voix je trouve.
 - Arrête Shaoran, s'il te  plait...
 - Elle a un seul défaut : elle est vachement timide !
 -  C'est pas possible ! ; s'écrièrent Kubo et Saotome. Parce que toi tu  trouve que s'opposer à toi, c'est un geste timide ?!
 - Je ne parle  pas de sa. Mais quand on est tout les deux, ou quand je la complimente,  elle se gène pour un rien !
 J'ai baissé la tête.
 - Mais elle est  terriblement mignonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnne ! ; dit il en me prenant  dans ses bras et en me faisant un bisou sur la joue.
 - Eh bien,  Shaoran, sa fait plaisir de te voir comme sa ! ; lança Kubo. C'est rare  que tu tombe amoureux d'une fille, sa n'est même jamais arrivé ! Mais,  dis moi, ton père ne t'avais pas fiancé avec une fille ?
 - Je me  fiche bien de se que mon père peut faire, c'est moi qui décide de la  manière dont je dois gérer ma vie ! Celle avec qui je vais me marier,  c'est avec Ran, c'est décidé !
 Je me suis sentie rougir.
 - Attend,  tu te présipite un peu là... Tu ne crois pas qu'il faut attendre les  trois mois avant de dire ça ? Peut être que elle n'a pas envie de se  marier, elle. Tu décide un peu tout là.
 - Peut-être mais c'est que  pour l'instant. Après tu verras, ce sera l'amour fou !
 - Tu ferais  mieux de faire attention quand tu dis sa, parce que Ran se transforme en  tomate, là ! ; lança Saotome.
 - Ran, t'en pense quoi de tout sa ? ;  demanda Kubo.
 - Je... Je n'en sais rien du tout, c'est tout nouveau  pour moi, alors je n'ai pas l'habitude...
 - Mais tu aime Shaoran ?
 -  Je... Je ne sais pas.
 - Bande d'idiot !
 En haut d'une petite  colline, à 5 mètre de nous environs, les Gesang dévalèrent la montagne  d'herbe et s'approchèrent de nous.
 - Vous la connaissez pas encore  bien, la petiote ; dit Gaara ; elle ne dira jamais qu'elle est amoureuse  même pour tout l'or du monde.
 - C'est vrai; dit Kyo ; sa se voit sur  son visage et avec ses réactions.
 - Par exemple ; dit Kokoroyomi ;  quand elle agis maladroitement en pleine action, sa veux dire qu'elle à  peur.
 - Si elle baisse la tête c'est qu'elle est triste ou intimidée ;  dit Ranma.
 - Quand elle tape et hurle ; dit Jin ; sa veux dire  qu'elle est pas d'accord.
 - Quand elle parle toute seule ; dit Sôsuke  ; sa veux dire qu'elle doute.
 - Et si elle embrasse un garçon d'elle  même ; finit Gaara ; c'est sois qu'elle est déséspèrée, sois qu'elle  est bourrée !
 Je les regardait comme si j'était victime d'une  mauvaise blague.
 Mais en y réfléchissant, ils n'avait pas tord.
 -  Les gars, vous allez quand même pas écrire un livre sur moi !
 - J'y  ai pensé ; dit Sôsuke ; mais je pense que si tu l'avais su, tu m'aurais  tué.
 - Super, les gars, vous êtes vachements solidaires !
 - On  sait ! ; dirent les Gesang d'une seul et même voix.
 - Au fait, Ran,  dans un mois on a un concert, tout est réservé, vas falloir trimer !
 -  Un mois ?!
 - C'est quoi cette histoire de concert ? ; demanda  Saotome.
 - Tu ne le sais pas ? Ran est notre productrice , elle  trouve, écrit, chante, améliore les chansons de notre groupe.
 - Je ne  voulais pas que sa se sache, Kokoroyomi.
 - Ben pourquoi ?
 - Pour  rien. Gaara, j'ai une demande. Est ce que on pourrais acceuillir un  nouveau chanteur pour le concert ?
 - Qui donc ?
 - Shaoran. On a  fait un petit marché. Je trouve les chansons pour lui, tu t'occupe du  matos.
 - Ok. Voilà ce que je te propose : une chanson pour Arima, une  chanson pour toi, une chanson pour moi, un duo toi et moi, un duo  Shaoran et toi et il y aura encore une chanson et un duo mais c'est moi  qui choisirais, ne t'occupe pas de sa.
 - Ok. Sa roule. Bon, ben je  vais rentrer, je vous laisse les gars. On se voit demain Shaoran ! Bye !
 -  Je vous laisse aussi ; dit Shaoran. Je vais la rejoindre. Si elle croit  se débarasser de moi si facilement, elle rêve !
 - Ok, à demain  Shaoran !
 Kyo bloqua Shaoran.
 - Ne fais rien sans son accord. Je  ne tolèrerai pas que tu lui fasse du mal, en plus de ce que tu as fais à  l'école, pigé ?!
 - Ne t'inquiète pas.
 Shaoran partit en courrant  sur la trace de Ran.
 Pas difficile de savoir ou elle allait : chez  elle.
 
 - Ran, attend moi !
 Je me suis arrêtée et je me suis  retournée.
 - Mais pourquoi tu n'es pas resté avec eux ?
 - Mais  c'est avec toi que je veux être.
 - Oui mais je veux me reposer. On se  voit demain à l'école, ok ?
 - Non. Je reste avec toi. J'exige rester  avec toi jusqu'au soir. Il reste donc deux bonnes heures. Tu te  reposera après.
 - Mais pourquoi j'écouterai les exigences d'un garçon  qui me cours après ?
 - Parce que tu dois réaliser tout mes souhaits.
 Il  était déterminé.
 - Sa va, tu peux venir. Je vais chercher ta chanson  et tu pourra déjà la travailler chez toi, sa te va ?
 - Oui, très  bien, même.
 Nous sommes entrés chez moi.
 << Tiens, un  message ; pensai je en regardant mon répondeur. >>
 - " Ran,  c'est Yuki. Nos parents ont décidé de déménager et ils ont dit que tu  viendrais aussi.Je crois que tu restera dans ton école, mais si tu  pouvais appellé papa vers les 21h00 parce que il y a personne autrement.  Bisou"
 - C'était qui ?
 - Mon frère... J'espère qu'il se trompe,  se n'est pas son genre de blague.
 - Pas la peine de t'affoler, tu  pourras paniquer après en avoir parler à ton père.
 - Mais...et si je  devais vraiment partir ? Mon père est très strict sur mes relations avec  les garçons ! Je ne pourrais sans doute plus te voir !
 Il me pris  dans ses bras.
 - NE t'inquiète pas, si tu venais à partir, je te  retrouverai et je t'enleverai...tu ne te débarassera pas de moi si  facilement...
 Il releva mon visage et m'embrassa.
 - Tu es rassurée  ?
 - ... Oui
 Il me lâcha.
 J'ai pris mon carnet à chanson.
 -  Tiens, tiens... tu aimes le ridicules j'espère ?
 - Pourquoi ?
 -  Parce que j'aimerai que tu chante sa. Tu repetera chez toi. Et la, il y a  la musique avec les paroles pour que tu puisses t'entrainer ; lui  expliquai je tout en tendant une partition et une cassette.
 -...  Comme des connards ? C'est quoi ce truc ?
 - Ta chanson.
 - Et le  duo que je chanterais avec toi, ce sera quoi ?
 - J'hésite encore .  Je vais réflechir, en attendant bosse celle ci !
 - Dringdringdrong !
 Le  téléphone !
 Je jeta un coup d'oeil sur le numéro : Kléano ?!
 - Tu  ne répond pas ? ; demanda Shaoran.
 - Non, ce n'est pas important.
 -  Ran...est ce que...
 - Oui ?
 - Est ce que tu veux bien m'embrasser  ?
 - Quoi ?
 - Tu as très bien entendu...
 << l'embrasser  ?!! >>
 - Euh... tu crois que je ferais mieux de chanter du  Pagny ou du Ségara pour le concert ?
 - Ne change pas de sujet.  Pourquoi tu ne réponds pas ?
 - Parce que... Pourquoi tu veux que je  t'embrasse d'abord ?
 - Je SOUHAITE que tu m'embrasses. Maintenant.
 -  Mais, Shaoran !
 - Si tu ne le fais pas... C'est moi qui le ferai.  Avec les interêts !
 - Qu'est ce que tu raccontes...?
 Il s'avança  et moi je reculai.
 JE suis tombée sur le canapé et il se mis sur moi.
 -  Ran, pourquoi tu recule ? Pourquoi tu ne m'embrasse pas ?! Je te  dégoute à ce point ?!
 - Shaoran... Enlève toi, s'il te plait !
 -  Pourquoi ?
 - Mais enfin ! Tu es sur moi !!!
 - Et alors ? ; me dit  il en m'embrassant ; ou est...le problème ?
 - Sha...oran...!
 Il me  sera dans ses bras.
 - Shaoran ! Arrette !
 - Je t'aime Ran ! Et  toi ? est ce que tu m'aimes ? Est ce que notre essaie sera vain ?  Pourquoi n'essaie tu pas un peu de faire des efforts !
 -Shaoran... Je  ne suis pas prête... Je t'aime mais... j'ai peur. Je n'ai pas confiance  en moi, j'ai l'impression que t'aimer c'est mal...C'est pas ta faute,  c'est moi ! Je met trop de temps à grandir... je suis plus lente que les  autres pour ça... mais ne bouscule rien, je t'en prie, tu serais trop  deçu !
 Il se releva.
 - Pardon. Pardon, je n'aurais pas du, je n'ai  pensé qu'a moi...Pardonne moi Ran...
 Il se tenait dos à moi, la main  sur son visage.
 - Mais quel con... Je savais pourtant qu'il fallait  que je sois patient avec toi et j'ai... je m'en veux...
 Je me suis  levée et l'ai pris dans mes bras.
 -Tu n'y est pour rien... Arrête de  dire que c'est ta faute... Sa me fait mal de te voir culpabiliser...
 -  Ran... J'espère que tu m'en veux pas trop...
 Je lui ai pris le bras  et je l'ai forcé à se retourner.
 - Ran... ?
 Je l'ai tendrement  embrassé.
 - Voilà on est quitte ! ; ai je dit en me reculant.
 Il  sourit puis me caressa la joue.
 - Ma perle... Ma princesse...mon  trésors...
 - Il commence à faire nuit ; ai je dit en regardant le  ciel ; tu ferais mieux de rentrer. On se voit demain à l'école !
 -  Oui. A demain !
 - Bye !
 J'ai fermé la porte.
 << Je n'y  crois pas , je l'ai embrassé>>
 - Dringdringdrong !
 Re le  téléphone.
 - Allo Papa ?
 <<- Ran. Prépare tes affaires,  demain soir, tu déménages. Ne t'en fais pas, se n'est pas très loin de  ton école, tu pourra continuer à fréquenter tes amis.>>
 - Mais  Papa ! Je veux rester ici !
 <<- Non. Mon meilleur ami, Raito, à  un fils, avec qui nous avons décidé de te fiancé depuis ta plus tendre  enfance. >>
 - Quoi ? Un fiancer ? Mais je n'étais pas au  courant ! Je ne suis pas d'accord !!!
 << - Sa suffit, la  discution est close ! JE viens demain et je t'embarque et si tu n'as pas  préparé tes affaires, tans pis pour toi ! A demain ma puce ! >>
 <<  Un fiancé ? Un autre que Shaoran ?! Non ! >>
 <<...>>
 <<  C'est impossible ! >>
 
 J'ai démonté mon sinthétiseur et  pris un gros sac ou je le rangea.
 Je pris mes vêtements, de toute  façon j'en ai pas beaucoups.
 Je pris aussi mon argent, des affaires  de toilettes et je partis.
 Il faisait nuit.
 - Hé toi ! Qu'est ce  que tu fais ici ?!
 Un garçon que je ne voyais pas bien parce qu'il  m'éclairait avec une lampe de poche vint m'accoster.
 - MAis... C'est  toi Ran ?
 - Qui êtes vous ?
 Il éclaira son visage.
 - ... Toi !  Qu'est ce que tu fais ici... Kléano ?!
 - Je me promene. Et toi, tu  déménage ?
 - Je n'ai rien à te dire. Salut !
 Je me suis retournée.
 -  Si tu vas à l'entrepos, il n'y a personne. Ils sont tous chez eux.  Alors au lieu de fuir, dis moi plutôt comment tu vas et pourquoi tu es  avec ce gros sac.
 - Kléano, vas t'en. Je ne veux plus te voir !
 -  Pourquoi ? A cause de moi et Sil ?
 - Je me fiche de toi et de Silnöa !  Je me fiche de vous ! Je ne veux plus jamais vous revoir !
 - Et,  calme toi ! On ne t'as rien fait !
 - Silnöa ne m'a rien fait... Mais  toi... Tu sais très bien ! Je t'ai rayé de ma vie ! Alors laisse moi  tranquille !!!
 Je me suis mise à courrir mais il me rattrapa et me  tira le bras.
 - Le fait est que tu n'as nul par ou aller, alors viens  avec moi !  Je t'ai déjà dit que j'était désolé de t'avoir fais espèrer  et après d'être partit avec Silnöa... Alors pourquoi ne pas faire table  rase sur le passé et redevenir amis ?
 - Lache moi ! Va t'en ! Je ne  veux plus jamais te voir !!!!
 Je l'ai poussé et je suis partie.
 Je  suis arrivée devant chez Shaoran.
 Je sortit mon portable de ma  poche.
 - Allo...Shaoran ?
 <<- Ran ! sa me fait plaisir que  tu m'appelles ! Sa va ? >>
 - Désolée de t'appellé en pleine  nuit mais... est ce que je peux passé chez toi, là ?
 <<- Oui  bien sur ! Attend, je passe te chercher ! >>
 - Pas la  peine...Je suis juste en bas de chez toi...
 -Devant chez moi ?!  Attend!
 La porte s'ouvrit.
 - Ran. Pourquoi tu ne pas appellé  avant, je serais venu te chercher ! Et c'est quoi ce sac ?
 -  Shaoran... Mon père vient me chercher demain, il m'a fiancée et je serai  forcée de vivre dans la maison de mon fiancé avec sa famille et la  mienne... mais... je ne veux pas ! Je ne veux pas être avec un autre que  toi ! S'il te plait, est ce que je peux rester ce soir ? Après, j'irai à  l'entrepot, il me trouvera pas.
 - Bien sur, entre ! Attend, je te  prend ton sac ; dit il en me prenant mon bagage.
 - Shaoran ? Qui est  cette fille ? ; demanda une jolie fille, en haut de l'escalier.
 -  Ran, je te présente Meiko. Meiko, voici ma petite amie, Ran. Elle a eu  quelques problèmes, et elle va passé la nuit chez nous. Mei, tu pourrais  demander à Kora de préparer du thé ?
 - Bien sur.
 - Meiko est ma  soeur ; m'expliqua t'il. Elle n'est pas souvent ici parce qu'elle est  danseuse mais c'est ma seule famille qui vive avec moi. Tu verra, tu vas  l'apprecier.
 Nous montâmes les escaliers et nous allâmes dans sa  chambre.
 - Tu vas déménager ou ?
 - Je ne sais pas. Je sais que  vais pouvoir continuer a aller à l'école mais en partant vivre avec eux  je perd ma liberté.
 - Oui, je comprend. Ce garçon... tu le connais ?
 -  Non, je ne savais même pas être fiancée. Je ne sais pas quoi faire,  Shaoran...
 - Voilà vos thés ; dit Meiko en entrant.
 - Merci Mei.
 -  Qu'est ce qui t'arrive Ran ? ;demanda t'elle; est ce que nous pouvons  t'aider ?
 - Non, malheureusement. Mon père a décidé de m'emmené vivre  dès demain dans la maison de mon fiancé, que je ne connais même et que  je n'est pas envie de connaitre !
 - Oui je vois. Shaoran m'a expliqué  que vous étiez en couple. Tu sais lui aussi est fiancé, mais c'est toi  qu'il aime, alors si tu l'aimes, et bien sa ira.
 - Tu as sans doute  raison. Merci Meiko.
 Elle sourit.
 - Sa me fait plaisir que mon  frère aie une copine ! Toutes les copines qu'ils a eus, s'étaient ses  amis qui les choisissaient alors évidement, sa ne durait même pas trois  jours !
 - Ferme la, Mei.
 Je me suis mise à rire.
 - En plus, tu  as totalement transformé mon frère ! Avant, il ne parlait jamais, il  était toujours dans sa chambre, je ne le voyais presque jamais.  Maintenant, il vient tout le temps me dire : "eh, Mei, faut trop que je  te présente Ran ! Si tu savais comme elle est mignone et intelligente !  en plus elle chante trop bien" etc. Il s'est même mi à chanter dans sa  chambre, c'est te dire !
 - Mei !!!
 - Quoi ? C'est vrai !
 -  C'est bien Shaoran, tu repètes ! Tu sais Meiko, je vais le faire monter  sur scène, parce que j'ai un groupe et lors de notre prochain concert,  Et bien Shaoran sera sous les projecteurs !
 - Oui il m'a dit ! Je  viendrais vous voir, sa a l'air trop bien ! En plus, la chanson " comme  des connards" est trop drôle ! Et toi tu vas chanter quoi finalement ?
 -  Je trace. Mon pote Gaara va chanter Antisociale, et avec Shaoran on va  chanter "je te promet" et avec Gaara requiem pour un fou. Je pense qu'il  va y avoir un invité surprise car Gaara a prévu un duo et un solo mais  je ne sais pas pour qui. On verra bien ! Et toi Meiko ? Sa te dirai de  chanter ?
 - Moi ?
 - Oui, tu as une joli voix. Et si Gaara est  d'accord, sa me ferait plaisir de chanter aux cotés d'une fille, il n'y a  que des garçons dans les Gesang ! Ils cherchent du monde de toute  façon, alors si sa te dis, j'en parle à Gaara et on te passe à l'essaie !
 -  Ouais, cool !
 Nous avons rigolés un moment encore, puis Meiko est  partie se couché.
 - On doit aussi dormir, il y a école demain ; dit  je à Shaoran.
 - D'accord.
 - Ou est la salle de bain ? Je dois me  changer...
 - Tu peux le faire ici.
 J'ai regardé Shaoran, ne  sachant quoi lui répondre.
 - Je plaisante Ran.
 - Ah...
 -Elle  est juste là ; dit il en me montrant une porte.
 - Tu as une salle de  bain dans ta chambre ?
 - Oui. Moi, je vais me changer ici. A tout de  suite.
 Je suis allée dans la salle de bain.
 Shaoran était  déconcertant.
 Je ne savais vraiment pas comment réagir.
 JE me suis  changée puis j'ai entrouvert la porte.
 - C'est bon, je ne suis pas à  poil ! ; me lança t'il.
 Je suis sortie de la salle de bain et je me  suis assise sur le lit.
 - Je dois bien t'avouer que sa me gène tout  ça ; commencais je ; sa fait quand même deux fois que je dors chez  toi...
 - Et alors ? Ce n'est pas grave ! Si ?
 - Non mais... je  n'ai pas l'habitude... et je suis genée de tout ça...
 - Ran... Tu es  vraiment trop timide. C'est sa le problème !
 - Peut-être... Mais est  ce que sortir avec une fille comme moi te conviendra ? Tu arrivera à  attendre ?
 - Attendre pour quoi ? A quoi tu pense ? ; dit Shaoran  d'un ton malicieux.
 - Tu sais très bien ! Je parle de ça !
 - Et  c'est quoi ça ?
 - Arh... laisse tomber ; ai je dis en me couchant  sous la couverture. Demain il y a école. Bonne nuit !
 - Pourquoi tu  ne le dis pas ?
 - Bonne nuit j'ai dit !
 - Comment veux tu que je  comprenne si tu ne t'exprime pas clairement ?
 - Tu as très bien  compris de quoi je parlais ! Arrête de jouer avec moi comme sa ! ; ai je  dit en m'asseyant d'un coup, énervée.
 Il me prit les mains et  m'embrassa.
 - Non...arrête...!
 - Ne t'inquiète pas, je ne vais  rien te faire... Je veux juste profiter qu'on soit tout les deux.
 -  Tu ne vas pas me faire quoi ? ; ai je dit entrant dans son petit jeu.
 -  N'essaie pas de faire la maligne avec moi, car moi, je n'hesiterai pas à  te montrer de quoi je parle...
 - Glups... sa va, j'ai compris. Bon,  faut faire dodo !
 - Ouais, bonne nuit ! ; dit Shaoran en se levant.
 -  Mais tu fais quoi encore ?
 Il sourit malicieusement
 - Tu m'as  exité alors je vais dormir dans une autre chambre... sauf si tu acceptes  un très léger dérapage bien sur !
 - Euh...
 - T'inquiète, je te  taquine. bonne nuit !
 Et il sortit de la chambre.
 << Ouais,  ben si il pouvait arreté de me taquiner, ce serais une bonne idée !  >>
 
 - Ran, Debout, c'est l'heure !
 Meiko vint me  reveiller.
 - Tu as bien dormis ? ; me demanda t'elle
 - Oui comme  un loir. Et toi ?
 - Oui. Je vais reveiller Shaoran, tu peux te  préparer pour l'école en attendant. A tout de suite !
 Elle sortit de  la pièce.
 << J'espère que mon père ne vas pas venir me chercher  à l'école...>>
 Je me suis habillée et j'ai préparé mon sac  d'école.
 - Salut ! ; dit Shaoran en entrant dans la chambre ; tu as  bien dormis ?
 - Ouais et toi ?
 - Sa va. Tu veux manger quoi pour  le ptit déj' ?
 - Je n'ai pas faim. Mais va manger, toi.
 - Tu  plaisantes j'espère ! Tu es maigre comme un clou ! Viens manger !
 Il  me tira par le bras et m'entraina dans la cuisine.
 - Choisis ! ; dit  il en me montrant une table couverte de nourriture.
 - Vous mangez  tout ça le matin ?!
 - Non, on garde pour les enfants du tiers monde  et envoie les restes. Alors, tu veux manger quoi ?
 - Rien, rien, je  t'assure. J'arrive pas à manger le matin, sa me donne des nausées.
 -  Pff, les filles.
 - Shaoran, ne la force pas. Et dépechez vous, vous  allez être en retard !
 Shaoran emporta un croissant et nous sortîmes  pour aller à l'école.
 _ Ding Dong ! _
 Nous entrâmes dans l'école.
 -  Bonjour P2 et P3 ! ; ai je dit en allant directement dans ma classe.
 -  Shaoran, elle a quoi, Ran ?
 - J'en sais rien.
 Shaoran se dirigea  vers les casiers et repris sa carte rouge, la remplaçant par une carte  verte.
 Puis il alla en classe.
 - T'étais où ? ; lui soufflai je.
 -  Nul part ; répondit il.
 Nous suivîmes le cours sans parler.
 A la  fin du cours, une bande de fille entra dans la classe, et Misora qui  était parmis elles demanda :
 - Arima ! Arima ! C'est vrai que tu as  enlevé la carte rouge d'Urameshi ?!
 - Oui, pourquoi ? ; demanda  Shaoran en souriant.
 - Mais pourquoi as tu fait sa ?! Elle n'a pas  arrêté de t'ennuyer et tu la laisse s'en tiré alors qu'elle t'a même  insulté !
 - Oui, et alors ? Ce n'est pas votre problème que je sache !  A moins que vous vouliez une carte rouge ?
 Misora palit à vue  d'oeil.
 - Euh, non, ce n'est pas se que je voullais dire...
 Shaoran  se leva.
 - Alors la discution est close, retournez dans vos classes  immédiatement !
 Le groupe s'en alla en murmurant des " il est trop  bon", " je n'aurais pas enlever  la punition si tôt".
 - Tu as  vraiment enlever la carte rouge, Arima ? ; demandai je perplexe.
 -  Pourquoi tu m'appelles Arima ? Je t'ai déjà dit que tu pouvais  m'appeller Shaoran !
 - Mais on est en classe ! Pas ici ! Tu te rend  compte du carnage que sa ferai ?!
 - Non pas vraiment. Mais je m'en  fiche des carnages. Appelle moi Shaoran.
 - Non.
 - Je SOUHAITERAI  que tu m'appelles Shaoran, c'est compris ?
 Decidemment, il est trop  fort à ce jeu là.
 - Ok, Shaoran. Bon, je sors à la récréation. A plus  !
 Je suis sortie dans la cours et tout le monde me regarda.
 Puis  Misora vint vers moi.
 - Comment as tu fait pour enlever ta carte  rouge ?
 - Je n'ai rien fait. Laisse moi tranquille.
 - Il a sans  doute eu pitier de toi parce que tu as déjà avorter ! ; lança t'elle  assez fort pour que tout le monde entende.
 - Oôkochi, tu es  répugnante ! ; lança Kubo dans son dos.
 Elle se retourna et vit le P3  au grand complet ( même si 3 c'est pas beaucoup)
 - Je vous demande  pardon ! ; dit elle en se penchant.
 - Ecoutez moi tous ! ; cria  Shaoran ; je vous interdit d'encrasser Ran, c'est bien clair ? Celui qui  lui fait le moindre commentaire pour dit du mal d'elle dans son dos se  retrouvera avec une carte rouge, c'est clair ?
 Tout le monde regarda  Shaoran.
 - Bien ; dit il satisfait.
 La récréation finit et nous  retournâmes en cours.
 Et arrivée dans la classe, mon pire cauchemard  se réalisa.
 - Pa... Papa ?!
 
 - Ran, ma chérie ! Comment vas tu ?  Depuis le temps ! Comme tu as grandit !
 Tout le monde pouffa.
 -  Papa, qu'est ce que tu fais à l'école ?
 - J'ai demandé à ton sensei  de te ramener maintenant, je lui ai expliqué que tu démenage et il est  d'accord, alors prend ton sac et dit au revoir à tes amis !
 - Mais...  Pourquoi tu décide de tout à ma place ? Je ne vais pas partir, pas  question !
 - Sa suffit, arrête tes caprices ! C'est moi qui commande !  Alors va chercher tes affaires, immédiatement !!!
 Shaoran se leva.
 -  Je crois que vous n'avez pas bien compris Monsieur Urameshi, elle ne  veut pas partir avec vous, alors laissez là.
 - Je ne vous ai rien  demandez !
 Il me prit par le bras.
 - Tans pis pour tes affaires !  Elle viendra demain en cours, Au revoir monsieur le proffesseur d'école  pour enfants mal élevé comme ma fille !!!
 Il me tira hors de l'école.
 -  Papa ! Je veux rester !
 - Sa suffit, je vous que je t'ai laissé trop  de liberté !
 Il me fit entrer dans une voiture et il me banda les  yeux.
 - A la maison !
 La voiture démarra.
 
 Il me fit sortir   de la voiture au bout de 5 minutes et me fit entrer dans une maison .
 -  Ran ! ; s'écria Erin ; mais pourquoi tu as les yeux bandés ?
 - Plus  tard Erin ! ; dit mon père.
 Il m'entraina dans une pièce.
 Tu vas  rester jusqu'à nouvel ordre dans cette chambre, et je vais rester pour  êtr sur que tu n'enlève pas ton bandeau !
 - Mais papa ! Maintenant  que je suis ici, je peux bien enlever !
 - PAs question. On va  attandre que ton fiancé rentre et je vous présenterais avant. Et  n'espère pas t'enfuir. Ah ! Je sens que c'est un tout nouveau départ  pour nous ! Ils sont très riches. Il y a un garçon, une fille et une  dame qui vivent ici. Le père et la mère sont à l'étranger et ils ne les  voient presque jamais. Mais pour nous, c'est une occasion en or : non  seulement du va pouvoir faire de bonne étude et aller dans une bonne  université mais en plus, tu es assurée d'avoir un avenir ! Ce garçon va  beaucoup te plaire, je te l'assure.
 - Le problème n'est pas le garçon  papa, c'est que tu décide de tout à ma place ! Je ne suis pas d'accord !
 -  Sotise ! A, je l'entend arriver, la dame lui met le bandeau. Viens, on y  va !
 Il me traina et quand je suis arrivée (ou?) me dit :
 - Ma  chérie, Jeune homme, j'espère que vous allez bien vous entendre ! A 3  madame ! 1, 2, 3 !
 Il enleva mon bandeau et pourtant je ne voyais pas  la réalité.
 Sa ne pouvait pas être la réalité.
 - R...Ran ?
 -...  Shaoran ?! C'est bien toi ?
 
 - Ran ! Alors sa, pour une surprise !  Alors, c'est toi ma fiancée ?
 - Ta...fiancée ?
 - Je suis bien  content que vous vous connaissiez déjà, sa va facilité le temps  d'adaptation.
 - Oulala... En plus d'être folle, je me met à rever les  yeux ouverts... J'espère ne pas m'être endormie à l'école.
 - Ran ! ;  cria mon père.
 - Non, y a que dans la réalité que mon père gueule  comme sa...
 - RAN !!!!!!!!!!!
 Erin sauta dans mes bras.
 - Ran,  je suis trop contente de te revoir !!!!
 - Erin !
 - Et ben dis  donc, tu as l'air de bonne humeur Ran ; dit Yuki en reprenant Erin.
 -  Yuyu !
 Il grimaca : il detesta que je l'appelle Yuyu !
 - Oh, mais  c'est le garçon de la dernière fois ! ; cria soudainement Erin. C'est  monsieur Arima !
 - Oui. Mais tu peux m'appeller Shaoran ! ; répondit  il
 - D'accord Shaoran. Vu que la dernière fois, vous m'avez sauvée et  que vous avez secourue Ran, je suis prête à t'accorder trois voeux !
 -  Ce n'est pas la peine ; dit il ; Ran s'est déjà chargée de ça. On est  quitte !
 Erin semblait ravie.
 En revanche Yuki semblait septique :  était il contre le fait que son père fiance sa soeur à un riche ?
 -  Ran, ou sont tes affaires ? Il n'y avait rien dans ton appartement ou  presque !
 - NE vous en fait pas ; répondit Shaoran ; toutes ses  affaires ont été amenée en avance.
 - Bien. Il ne manque donc plus  qu'une personne et tout sera reglé...
 La porte s'ouvrit et Tama  entra.
 - Ran, ma petite, comme tu as grandit !
 - Tama ! ;  s'exclama Kora, la femme de maison des Arima ; Par mes lunettes, c'est  bien toi ?!
 - Kora ! Par mes cannes ! Ma soeur !
 Les deux mamies  se prirent dans les bras.
 - Elles sont drôles ; me souffla Shaoran.
 -  Bien tout le monde est là. Je vais donc pouvoir tout vous expliquez.  Ran est fiancée à Shaoran Arima. Tout les deux vont déménager pour  habiter dans un des hotêls à Raito Urameshi, le père de Shaoran. On vous  a pris un garçon pour vous servir dans les taches ménagères et autres,  vous pouvez en faire tout ce que vous en voulez !
 - Papa ! ; criai je  ; on a que 16 ans, on ne vas quand même pas aller vivre dans un hotêl !
 -  Ma chérie, fais ce que papa te dit. Tama, Kora, veuillez préparer leur  affaire s'il vous plait.
 Les vieilles dames montèrent.
 Yuki me  tira par le bras en disant :
 - Je reviens, je vous l'emprunte deux  minutes.
 Et nous sortîmes.
 - Ecoute, je n'ai rien le droit de te  dire, alors fait comme si tu ne savait rien. Shaoran n'est pas ton  véritable fiancé. C'est un autre garçon. Mais notre mère voulait  absolument que tu sorte avec ton vrai fiancé alors que nous le savons  tous : il ne te conviendrais pas du tout. J' ai dit à papa que tu étais  tombée amoureuse de Shaoran pour que tes fiancailles soient annulée,  mais tout ne s'est pas passé comme prévu.
 - Mais qu'est ce que c'est  que ses histoires !
 - C'est pas fini, la mère de Shaoran est contre  vos "nouvelles" fiancailles. Et papa et maman ont enfin divorcé, mais  maman va sans doute faire un scandale, donc fais attention a toi,  compris ? Et n'oublie pas, je ne t'ai rien dit !
 Yuki est partit.
 Je  ne comprenais rien à rien.
 - Ran !
 Saotome et Kubo venaient.
 -  Félicitation ! Shaoran nous a tout dit !
 - Euh... merci...
 - Ran  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
 Gaara arriva en courrant, tout paniqué.
 -  Ran, c'est affreux !
 - Quoi ? Qu'est ce qu'il y a ?!
 - C'est  Kléano, il a bloqué toutes nos tournées ! On fait faillite !
 
 -  Quoi ?!
 - Il est revenu et quand il a vu ce qu'on répetait, il a dit  qu'on était minable et il a arrêter de nous produire ! Qu'est ce qu'on  va faire, on aura plus une tune !!!
 Kléano... Qu'est ce qu'il  m'énervait celui-là !
 Il sera toujours là pour m'embêter !
 -  Gaara, fait comme si de rien était, continue à répéter avec le groupe.  Je m'occuperai de ça.
 Je me suis retournée et je suis partie en  courrant.
 Je suis rentrée chez "moi".
 - Mademoiselle, que vous  arrive t'il ? ; demanda Tama, devant ma précipitation.
 - Rien du  tout. Ou est Shaoran ?
 - Il est dans sa chambre.
 Et ou est ce que  je me suis précipitée ?
 - Toc, toc. Shaoran, tu es là ? Ouvre, c'est  Ran !
 - Entre.
 Bon, et bien, qu'ai je fait ensuite ?
 J'ai  ouvert la porte.
 - Qu'est ce que tu veux ? ; demanda Shaoran dans son  lit.
 - Et toi, que fais tu couché à une heure pareille ? Tu es  malade ?
 - Je suis crevé. Ta soeur m'a épuisé avec tout ses jeux.
 -  Hi, hi ! Tu vas prendre l'habitude.
 - Bon, tu voulais quoi ?
 - Je  viens juste t'avertir que quelqun a annulé toutes nos tournées et c'est  arrangé avec notre producteur national pour que l'on ne puisse plus  chanté.
 - C'est quoi cette blague ?! ; cria Shaoran en s'asseyant  d'un coup.
 - Si se n'était qu'une blague... Ecoute, l'ancien chanteur  du groupe, Kléano, est derrière tout ça. Alors, tu peux faire une pause  en attendant que j'aille lui régler son compte, ok ?
 J'allais sortir  quand il me dit:
 - Et ou vas tu maintenant ?
 Je m'arrêta net :  c'est vrai, je ne pouvais rien faire tans que je ne savais pas ou était  Kléano.
 - J'en sais rien... Dehors, faire un tour.
 - Tu ne veux  pas rester un moment avec moi ?
 Je me suis retournée.
 Il me  regardait droit dans les yeux.
 - Alors ?
 - Je supose que tu va me  demander de me coucher dans ton lit, c'est sa ?
 - Pas forcément.
 -  Tu en est sur ?
 - Si tu veux vraiment pas, je vais me montrer  passient. Alors tu veux bien rester ?
 J'ai hoché la tête et je me  suis assise sur le lit.
 Il s'est aussi assis.
 - Et maintenant ? ;  risquai je.
 - Quoi maintenant ?
 - Que veux tu faire ?
 - PAs  forcément ce que toi tu as envie de faire ; dit il avec une once de  regret.
 J'avais très bien compris ou il voulait en venir.
 - Tu  sais qu'il ne te reste que deux jours avant que les souhaits s'annulent ?
 -  Oui, malheureusement. Je ne pourrais plus te taquiner.
 - Tu vas le  regretter ?
 - Oui et non.
 - Pourquoi oui et pourquoi non ?
 -  Oui parce que je ne pourrais plus exiger que tu m'embrasse par exemple.  Non, parce que j'ai espoir que tu le fasse spontanement. Je n'aime pas  te forcer.
 On frappa à la porte.
 - Oui ?
 Meiko entra.
 - Vous  êtes prêts les tourteraux ? Vous devez y aller !
 
 Meiko nous  traina jusqu'à la limousine.
 - Papa vous a pris un petit hôtel, comme  sa, il sera vide à votre arrivée. Vous avez le droit de tout utiliser,  tout est gratuit. Amusez vous bien, on viendra vous rendre visite aavec  Erin et Yuki !
 - Ouais ; me forcait je à sourir.
 Je suis entrée  dans la limousine, suivie d'Arima.
 - Prête ? ; me demanda t'il en me  serrant la main.
 - Je n'ai pas le choix ; ai je murmuré en souriant.
 Il  se pencha pour m'embrasser.
 - Shaoran, tu sais quoi ? ; lui dis je  pour le stopper.
 - Quoi ?
 Je lui souris.
 - Je ne suis pas  desespérée.
 - Pourquoi tu dis sa ? ; s'étonna t'il .
 - Parce que  je t'aime.
 Il sourit.
 Il m'a embrassée.
 Et cette fois, je n'ai  rien fais pour l'en empêcher.
 
 - C'est pas vrai... ; ai je  murmuré.
 - Bienvenue dans notre hôtel ! ; s'exclama Shaoran.
 -  C'est un palas ! Comment tu veux que je dorme ici ?!
 - Ne t'en fais  pas pour sa. Si tu n'arrive pas à dormir, je te chanterai une berceuse !
 -  Mademoiselle, Monsieur, Bienvenue dans votre hôtel. Si vous voullez  bien me suivre, je vous menerai à votre chambre ; dit une voix dans mon  dos.
 Je me suis retournée.
 Dans un costume (de pinguoin), mon rêve  venait de se transformer en cauchemard.
 - Kléano ?! Qu'est ce que tu  fais là ?!!!
 Il sourit.
 - Bonjour mademoiselle Urameshi. Bonjour  Monsieur Arima. Je serais votre serveur pendant votre séjour ici. Toutes  vos affaires sont déjà montées. Si vous voullez bien me suivre, je vais  vous montrer votre chambre.
 J'ai lancé un regard désespérer à  Shaoran.
 Vu sa manière de se tenir, il avait comprit.
 - Très bien  Kléano. Tu viens Ran ?
 Il me tendit le bras.
 JE le pris et nous  suivimes Kléano.
 
 - Elle est superbe cette chambre ! ; lança ravit  Shaoran.
 Après nous avoir accompagner, Kléano nous a fausser  compagnie.
 Ce qui me soulageait !
 - C'est vrai. Shaoran... On va  faire quoi ?
 - C'est à dire ?
 - Je veux parler de Kléano. Il va  rester ici, hein ?
 - Je vais m'arranger avec Raito. Ne t'inquiète pas  !
 Il sourit.
 - En attendant, je vais bien en profiter ! Il se  chargera de combler le moindre de nos petits désires : si tu veux plus  le voir, tu as le droit de lui demander de sauter par la fenêtre, Ran !
 Il  s'éclaffa.
 J'ai sourit.
 Il avait raison : on s'en fiche de Kléano  !
 - Profitons d'être ici rien que tout les deux. Sans ton père, sans  ton frère et sans nos soeurs... Rien que toi et moi.
 Il s'est avancé  et m'a prise dans ses bras.
 Je me sentais bête.
 Je ne pouvais  plus me passer de lui.
 Je me droguais à lui.
 - Je t'aime Ran...
 Il  m'a embrassée.
 Etonnement, ce baiser était différent des autres.
 Il  était...plus profond.
 Nous sommes tombés sur le lit.
 Nous  continuions à nous embrasser.
 Sa main s'est glissée sous mon T-shirt.
 Soudain  je compris.
 Je compris se qui allait se passer.
 Avec ma main,  j'ai stoppé la sienne.
 Il s'est redressé, étonné.
 - Pas  maintenant, Shaoran...
 - Mais...
 J'ai posé mon index sur ces  lèvres.
 - Pas maintenant. S'il te plait... Je ne suis pas encore  prête.
 Il s'est tourné dans le lit et alla de l'autre coté.
 Loin  de moi.
 Je me suis approchée.
 - Pardon Shaoran...
 - Ce n'est  pas ta faute.
 - Mais tu es faché...
 - Pas contre toi. Contre moi.  Je me laisse trop aller, ces derniers temps. Je ne pense qu'à moi. Je  pense... je pense qu'il faudrai que toi et moi nous nous séparions  pendant quelques temps... je ne suis pas sur que j'arriverai à me tenir  correctement.
 J'était choquée.
 Il voulais qu'on se sépare.
 Je  l'ai pris dans mes bras.
 Je me suis mise à pleurer.
 - Tu pleures  ?! Ran ! Pardon, ce n'est pas contre toi !
 - JE pleure pas, j'ai bu  trop d'eau, faut bien que sa sorte quelque part ! ; couinai je.
 Mes  larmes (mais non, c'est de l'eau) continuèrent de couler.
 
 - Ran,  ne pleure plus ! S'il te plait !
 - Promet moi de ne pas partir.
 -  Ran...
 - S'il te plait ! Je ne veux pas que tu partes ! Reste ! Je  t'en prie, Reste avec moi !!!
 J'avais l'air d'une gamine.
 Tout  doucement, Shaoran s'est retourné.
 Avec son doigt, il essuya le filet  d'eau qui coulait de mes yeux.
 - Je te promet de rester Ran. Alors  ne pleure plus...
 Il me serra contre lui, attendant que je me calme.
 -  Toc toc.
 - Revenez plus tard ! ; cria Shaoran.
 La porte s'ouvrit  malgré tout.
 - Oh non ! ; sanglotai je ; je ne veux pas voir ta sale  face de rat maintenant, alors, fou le camp !
 Kléano referma la porte  après être entrer et s'appuya dessus.
 - Qu'est ce qu'il t'arrive Ran ?  Pourquoi tu pleures ?
 - Si tu ne sors pas d'ici immédiatement ;  menaça Shaoran ; je te fais la tête au carreau !
 - Oh, sa va toi ! JE  t'ai pas sonné !
 - Kléano, fiche le camps ! ; aboyai je.
 - Non.  Pas avant que tu me dise ce qu'il se passe. Il t'a fait du mal ?
 -  Non ! Je pleure parce que je suis fatiguée, c'est tout ! Va t'en !
 -  Bon, très bien. Mais tu sais, Ran...
 - Quoi !?
 - Je ne t'ai pas  oubliée...
 Kléan sortit de la pièce.
 Shaoran, n'étant pas sourd,  rageait.
 - Il a voulu dire quoi par là ?!!
 - J'en sais rien...
 -  Ran ! Tu m'as bien dit que tu n'étais sortie avec aucun garçon ?
 -  Euh... oui pourquoi ?
 - Il y avait quoi entre Kléano et toi ?
 J'ai  baissé la tête.
 - Aucune importance.
 - Ran !
 - Le passé c'est  le passé ! Je ne veux plus me souvenir de cette période ! Tout ce qui  compte à présent, c'est nous. Je me fiches de Kléano.
 - Ran. Répond  moi.
 Je croisa son regard.
 - S'il te plait... !
 Il me suppliait  presque.
 - Si ce que tu veux savoir, c'est si je suis sortie avec  Kléano, ce n'est pas le cas. Il a juste tenté de jouer sur deux  tableaux. C'est tout.
 - C'est la vérité ?
 Je réfléchi. Ma relation  avec Kléano était assez floue en faite.
 - Oui ; répondis je,  néanmoins.
 - Alors qui était ton précédent mec ?
 Je souris.
 -  Ca t'interesse ?
 - Bien sur.
 - Pourquoi ?
 - Parce que je  t'aime.
 Je piquai un fard monumental, le faisant sourire.
 - Qu'y a  t'il ?
 - Rien, rien.
 - Va tu te décider à répondre ?
 - Tu ne  me croirais pas.
 - Qui ?
 - Gaara.
 Il me regarda, interloqué, me  faisant pouffé.
 - Tu te fiches de moi ?
 - Non. On est sortit  ensemble pendant un mois.
 - Toi et... ce fou ?
 - Oui ^^.
 - Et qu'est ce qu'il s'est passé ?  Pourquoi vous êtes vous quitter ?
 - Il est tombé amoureux d'une  fille. Et à cette époque, j'étais amoureuse d'un garçon. On est sortit  ensemble dans le but de me le faire oublier. En vain. Il a essayé.  Echoué.
 Je haussais les épaules.
 - C'est le passé.
 - Je vois.  Et sa a été jusqu'ou, avec Gaara ?
 Je fronçais les sourcils. Pas  besoins qu'il le sâche.
 - Il t'a embrassé ? Plus ?
 - Non ! ;  m'indignais je.
 - Tans mieux . ; sourit il.
 - Et toi, Shaoran.  C'était qui ?
 - Moi ? Britney.
 - Britney ?
 - Britney Spears.
 Je  le regardais, choquée, puis remarqua qu'il se retenait de rire.
 -  Crétin ! ; lui dit je en lui lançant en coussin dessus.
 - Hahahaha !
 -  Ca t'amuse de te moquer de moi ?
 - Mais non, Ran. Je t'aime, c'est  tout.
 Je sourit.
 - Moi aussi, Shaoran.
 
 "- Bonjour, vous  êtes bien sur le répondeur de Ran Urameshi, je suis injoignable mais  laisser moi votre message et je vous rapelerais ! BIIIIP !
 - Bonjour,  c'est je suis le Dr Carambar de l'hôpital Heaven. Nous venons  d'admettre une jeune fille et nous supposons que son nom soit Erin  Urameshi, nous voudrions que vous veniez vérifier si c'est elle.  Rappeler moi. BIIIP ! Fin du message. "
 
 
 
 PS : les  personnages m'appartiennent entièrement, mais les noms et les prenoms  sont connus et ne m'appartiennent pas
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