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au 31 Mai 21 :
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Je viens avec toi
Par petit-pois
Originales  -  Romance  -  fr
1 chapitre - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     1 Review    
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ça sentait bon l'Espagne

 

      Quand Ali ouvrit les yeux, il faisait noir. Il étira ses bras, bercé par les tremblements de la remorque, secoué par les imperfections de cette route de terre sinueuse sur laquelle il roulait depuis bientôt deux heures. D'un claquement de doigt, il remonta son chapeau qui lui tombait sur les yeux et la lumière l'éblouit . Il se redressa et mit avec assurance un brin de paille dans sa bouche. Le soleil de ce matin d'août vint délicieusement se heurter à sa peau mate et sale. Après avoir observé autour de lui, il afficha un sourire satisfait et se recoucha serein, les mains derrière sa tête. Il devait être deja loin maintenant de Masmullar. Allongé dans la paille, les jambes étendues, les pieds croisés sur le rebord de la camionnette, le jeune homme profitait de son voyage clandestin.

Une heure plus tard, Ali sentit la camionnette ralentir et entendit une voix puissante et roque résonner dans la cabine :

- Descend de là voyou ! Ali regarda derrière lui, et vu dans le rétroviseur la figure rouge et transpirante du chauffeur qui agitait ses poings serrés dans tous les sens, vociférant :
- Tu m'entends ?! Descend de là tout de suite !!! Ali rassembla ses affaires, tandis que l'homme prenait une vieille carabine sur la place passager et commença à descendre du véhicule. Ali pris son sac, et sauta de la camionnette. L'homme, furieux, tenta de viser le jeune garçon qui s'éloignait de plus en plus vite dans les cultures de maïs tout en s'égosillant :

- Vaurien ! Je n'oublie jamais un visage tu m'entends ?!

Une fois en sécurité dans un champ verdoyant loin des route, Ali s'écroula dans l'herbe, essoufflée. Il étendit ses bras et ses jambes comme pour faire une étoile et se mit à rire comme un enfant tout en regardant le ciel, un rire nerveux qui résonna dans toute la plaine. Après quoi, il se leva, replaça d'une main son chapeau sur ses cheveu frisés, prit ses affaires, regarda un instant en arrière, puis continua sa route, direction... Séville.

La nuit commencée à tomber et Ali marchait déjà depuis bientôt 3h. Arriver a l'entré de Caballes un petit village a quelques kilomètres de Antequera, il devait impérativement chercher un endroit ou dormir . A la lisière de la foret, un peu a l'écart de la route, Ali entendit du bruit, puis aperçu de la lumière. Il décida d'aller voir tout en restant vigilant. Au fur et a mesure qu'il s'avançait ses oreilles étaient subtilement bercer par une musique entrainante qui lui fit abandonné toute méfiance. Ali senti cette musique raisonner en lui comme si chaque note transpercé unes a unes la nuit, le ciel, pour redescendre profond sous la terre , finir dans ses pied et remonter jusque dans sa poitrine , il compris peu après que ses airs qui avait tant attisé sa curiosité provenait d'un groupement de caravanes disposer en forteresse à l' écart du village, avec pour muraille du linge étendu sur des cordes tout autour, au milieu desquelles les femmes et les enfants dansaient au rythme de musique andalouse. Il y avait une scène et les lampions lumineux accrochaient aux auvents éclairés toute la piste. Tandis qu'il regardé cette réjouissante animation il senti une force le tiré ver le bas, il baissa les yeux et vu un petit garçon agripper a son pantalon qui le regardé de ses yeux rond et innocent, il lui prit la main comme pour lui demandé de le suivre, et l'amena aux cœurs de la fête en criant d'une voie fluette :

-¡ Mama, un étranger ! Regarde son chapeau mama !

- Roberto, laisse le tranquille !

Tandis qu'il se rapprocher, les enfants sautaient autour de lui , l'observer de haut en bas , les yeux empli de curiosité .Certain s'accrocher a ses pieds et se laissé trainer par terre, d'autre le chatouiller lui grimper dessus, fouiller son sac, il s'étonnait de la vitesse a laquelle cette marmaille avait surgit de nul part mais se réjouissait d'un tel accueil. Il n'eut aucun mâle a intégrer cette petite tribu et eu besoin de peu de temps pour se lier d'amitié avec chacune de ses famille tzigane .Il fut impressionné par leur hospitalité, les enfants lui avait noué des foulards dans les cheveux et il se sentait bien aux milieux de ses hommes et de ses femmes qui ne se préoccupent du lendemain, pas plus que du monde autour. Il les regardait rire chantait, subjugué par temps de passion et de vie ,tout en se demandant ou est ce qu'ils seront dans 1 semaine, dans 1 mois, dans 1 ans. Les danseuses agitaient leurs jupons et les hommes frappaient dans leurs mains, ça sentait bon l'Espagne et sa terre chaleureuse, il n'eut pas besoin de demandé le gite et le couver, il était le bienvenu, même sans un mots, ses hôte le lui avait fait comprendre .

Soudain le silence se fit et tout le monde vint s'assoir autour de la scène, un homme entama une mélodie entrainante, tout le monde attendait, Ali faisait de même ne sachant pas se qu'il se passait . Quand soudain ses yeux se figèrent sur la créature qui venait de montait sur scènes. De long cheveu brun, des yeux noirs, une peau mate et une silhouette parfaitement dessiné dans une robe rouge feu. La musique l'entraine, elle monte ses mains aux dessus de sa tête, fait trois pas en tapant sur le bois et pousse un cri violent, animal. Les guitares commencent à jouer et la danseuse mange la scène entière. Jamais Ali n'avais vu plus belle femme sur terre, et ne se lasse pas de la regardé danser, de faire volé ses jupon, chacun de ses mouvement s étaient rempli a la foi de force et de sensualité, de ses dois délicats a ses hanches provocantes, tout en elle n'était que désir et chaleurs. Ali ne bougeait plus le temps s'était arrêter, il ne sentait ni les hommes ivre qui le bousculait, ni les enfants qui lui grimpaient dessus, rien ne pouvait détaché son regard de la danseuse.

Un vieillard murmura dans l'oreille du jeune homme en admiration :

-Une fille comme ça, on n'en croise pas deux dans la vie mon garçon , il rapprocha sa tète d'Ali , et crois moi elle vaut bien tout les piments d'Espagne.

-quel est son nom ?

- harf...crois moi, moins tu en saura mieux tu te portera,il se leva et ajouta, c'est pas le genre de fille a qui on s'attache, et il disparu dans la foule...

après quoi le spectacle se termina, la foule se dissipa; Les gens se levèrent et retournèrent a leurs occupations , sauf lui , il était là, complètement immobile assis par terre , la fête continué maisle jeune homme ne pouvait détache son regard de la danseuse qui s'était retiré derrière la scène, tout en elle n' était que sensualité, la façon qu'elle avait de basculer d'une main sa longue chevelure noir de droite a gauche , sa façon de rire, de parler, il l'observer de loin, il n'entendait pas se qu'elle disait mais était subjugué par le mouvement de ses lèvres rouge et généreuse . son corps entier était un instrument de musique tant elle avait de bracelet. elle se détaché de toutes les autre par sa beauté et sa prestance. Ali l'observait, il sentait une douce chaleur émané de son torse qui grandissait , grandissait, pour venir se logé lentement sous sa ceinture. il était tellement hypnotisé par ses forme aguichante qu'il ne remarqua pas toute suite que la jeune fille l'observé déjà, quand il sens aperçu il ne pu s'empêcher de rougir, elle sourit, et d'un battement de cil lui demanda de la suivre. Usant de sa plus belle démarche elle se dirigeait ver une tante a l'écart, passa lentement sa main dans ses cheveux et se faufila a l'intérieure, sans quitté Ali du regard. Attiré comme un papillon ver la flamme, Ali se décida a la suivre et s'avança d'un pas maladroit ver la tante , et entra. Elle était debout, magnifique , les lumière des bougies dansaient sur son corps tandis quelle s'approchait du jeune homme tel une chatte, une panthère . elle vint coller sont torse au sien, logea ses doit fin dans la nuque du jeune homme et fit glissé lentement sa bouche contre sa joue mal rasée pour finir près de son oreille et lui chuchota:

-c'est donc toi l'étranger dont tout le monde parle...

Elle prit la main d'Ali et la posa sur son sein ,il ne put s'empêcher de laisser s'échapper un déglutissement de panique avant de se laisser allé. Le regard de la danseuse était ampli de désir ,elle posa ses lèvres sur les sienne. Debout au milieu de la tente, il s'embrassait langoureusement leur vêtement fur vite enlever, le jeune musicien aimer les femme et n'était pas a ça première aventure et pourtant, il se sentait comme un enfant, un élève, apprenant vigoureusement sa leçon découvrant de nouvelles choses, Ali tenait en ses main un piment, une braise, un volcan. L'heure n'étais pas à la tendresse, ils savaient tous les deux que l'unique raison de leur présence était le plaisir. Très vite, ils furent tous les deux nus, leurs mains se baladant sur leur peau sans aucune pudeur.. Ali allongea la jeune danseuse sur le matelas recouvert de coussins et se délecta de la vision érotique de ce corps plein de mystère . Il caressa chacune de ses courbes et posa de sensuels baiser dans son cou avant de descendresur ses seins rebondit. Il sentait ses doigts passer lentement dans son dos et un frisson le parcouru. Ali leva la tête et l'embrassa de nouveau tandis qu'elle écartait les jambes en une demande muette. Alors il la prit délicatement et se régala du gémissement qui parcourue ses lèvres pleines. Son corps se mouvait sur celui de la jeune andalouse qui passait ses longs doigts dans ses cheveux frisés, s'accrochait aux draps, cambrait son dos et laissait le plaisir monté , sous le spectacle festif des ombre chinoise se reflétant sur la toile de la tante . Il baladé ses main sur tout son corps en sueur tandis qu'elle lui susurré des mot dans un dialecte qu'il ne comprenait pas. la fête bat encore son plein et le son mélodieux des guitares et des chants espagnoles recouvrent le bruit des soupirs d'extases de ces deux corps qui s'entrechoquent dans une danse vieille comme le monde. jamais il n'avait connu tant d'ardeur, de passion et jouissait de se plaisir éphémère qui demain ne sera qu'un souvenir au quelle il repenserai surement, avant de passer a autre chose. ils firent l'amour passionnément, après quoi Il se retira lentement et se laissa tomber à côté d'elle, s'enfonçant dans les coussins moelleux. Il ferma les yeux, savourant ce moment si particulier de détente intense et sombra finalement dans un sommeil profond alors qu'un corps chaud se pressa contre le sien...

Le lendemain matin alors que la peau d'Ali se faisait doucement réchauffer par la chaleur du soleil se répercutant sur la toile, il fut réveillé par les chuchotements et les rires des enfants qui curieux, se bousculés devant la tante, passant leurs têtes dans la fente de l'entrée. Ali grogna, tout en tâtant maladroitement a coté de lui la place vide qu'avait laissé la jeune femme, il se redressa lentement, peina a ouvrir les yeux puis regarda tout autour de lui, une main dans les cheveux, un sourire béa suspendu au visage, tentant de se remémoré sa courte nuit, comme avec satisfaction.

Ali ne traina pas a rassembler ses affaire et se remit en route, sans se douter une seconde que chaque pas le rapproché d'avantage de la rencontre qui allé certainement bouleverser sont voyage...



 
     
     
 
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