"Petite histoire d'une soirée calme dans la froideur de Janvier.
Y a comme un arrière goût de larmes quand je parle de toi, c'est comme un appel aux armes, une légère envie de foutoir. Comme un désir de foutre en l'air chacune des soirées que je passe. Tu me tortures, je t'ai dans la chaire. Je veux te toucher, je veux t'atteindre. La crainte que je ressens chaque jour où tu n'es pas là. Toi, ton être, ton âme, ta voix de miel, vous me manquaiez. Je sais que tu me regardes hier je t'ai vu dans le ciel. Ton pellage et ta présence qui étaient mes armures dans ce monde, je les ai perdu donc que la vie est terne sans toi... Que s'éteignent toutes les lumières car depuis toi je suis aveugle.
Alors malgré le temps qui passe, l'amour, les amis qui sont là moi dans ma tête y en a que pour toi. Quoi que je fasse...
A l'heure qu'il est je me demande si tu vas bien, si tu es bien là haut. Tu me connaissais mieux que personne tu étais mon doudou.
Je n'ai pas changé. J'ai juste repris la route celle qui m'éloigne de nous celle qui me tue à coup de doutes. Aurais-je dû m'écouter et te garder ou ai-je pris la bonne décision de te laisser partir sans souffrance? Mais tout ça est si délicat aurais-je supporter d'être cellui qui te cause tes douleurs? Que s'éteigne le temps je ne peux pas vivre en ces termes
En cette froide soirée d'hiver j'ai ton coeur dans le mien. Je pense à toi hier, je pense à toi demain alors j'écris ce qu'il me reste: des souvenirs et des chaînes car je suis liée à ton être et je le chanterai sur scène. Que s'éteigne la lumière, que le public soit avec moi. Si je t'aime à en crever c'est qu'on me l'a permis. J'suis en contrat avec des regrets, que tu le veuilles ou non depuis toi je vis en retrait tout seul dans ce monde depuis toi je me sens beau, dans tes yeux je me sentais légèr petit roi sans toi je règne mais le château est désert qu'on éteigne la musique, je ferais comme si t'étais là."
Tu me manques juste. Tu étais le seul qui me comprennais. Quand j'étais pas bien, tu venais me voir. Maintenant, je suis seul, et je pleure chaques nuits en pensant à toi parce que ton départ fait un énorme vide en moi. Je ne sais pas si tu entends quand je te parle depuis ce lundi d'octobre mais chaque jour je te demande si tu vas bien en espérant entendre un murmure de ta part, juste quelque chose venant du ciel. Tu me manques. Personne ne pourra jamais te remplacer, je le sais. Je n'aimerai jamais personne comme j'ai pu t'aimer. Tu me manques. Les caresses que je te faisais me manquent...
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