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au 31 Mai 21 :
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Vers en perdition
Par Hellebore
Originales  -  Poésie/Général  -  fr
One Shot - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     1 Review    
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Il faisait beau hier, et voyez aujourd’hui
Cette magnifique grisaille qui m’emplit
L’amour n’a plus besoin d’effort
Plongé dans une pâte amère
Au sein du monde il est mort
Avant d’avoir croisé le fer

Et ces mots sardoniques qui
Chantonnent tout bas
La déception illustre qui
De sa langueur pourrit la foi

Jamais on n’a vu et jamais on ne verra la famille Tortue courir après les rats… ♫

Les mots sont partis.
N’en parlons plus ?
Dans ce monde qui viredingue entre deux digues
Il n’est pas mieux d’être poète qu’au sein d’un asile.

Les mots sont partis.
N’en parlons plus…
L’emphase passée s’est joyeusement desséchée
La poésie n’est plus Mer ni Femme: une momie dépassée.

Les mots sont partis.
N’en parlons plus.
Ère de communication, nous sommes de joyeux larrons.
Entre deux médias, on étouffe nos émois dans des lardons.

Les mots sont partis.
N’en parlons plus !
On crie, on hurle, on débat. Belles pensées bien perdues.
Monde fou sans fêlés mais avec fêlures. Langues bien pendues,
C’est sûr.

Les mots sont partis.
Parlent-t-ils de nous ?

 

Je rêve d’accident de voiture.
Je voudrais t’étrangler, c’est sûr.
Et je rêve d’accidents, de tortures.
Je peux très bien me lasser de toi.

Et sur l’autoroute, c’est mon aventure.
Jamais, je ne r’viendrai, c’est sûr.
Je plonge plus loin dans l’autocensure
Mon esprit peut très bien se lasser de toi.

Je rêve de crever, brasier de luxure.
Je voudrais t’enlacer, c’est sûr.
Et je rêve de tourments, de blessures.
Je peux très bien me lasser de toi.

Et sur la destinée, c’est mon embrasure.
Jamais, je n’y r’plongerai, c’est sûr.
Je tombe plus haut dans l’abandon obscur.
Mon corps peut très bien se lasser de toi.

 

 

 


Vers où
Ton regard s’est-il figé ?
Moi-même
J’aurais voulu l’avaler
Je suis
Bien éloigné du bouffon
Parti loin
Sans prévenir il a fait faux bond
Trop tard ?
Juste une brume de clash épars

 

«  Nous tombons amoureux
Pourvu qu’aucun de nous ne se relèvent. »

 

Il n’y a plus de barrières.
On sacrilège à ciel ouvert.
Ce n’est pas un poème d’amour.
Ce n’est pas des mots de toujours.

Oublie, ce que je n’ai pas.
Entre deux cris, on larmoie.
Oublie, le temps inhumain.
Entre deux morts, on s’éteint.

Ce n’est pas un poème d’amour.
Ce n’est pas des mots de toujours.
On est loin, de l’avenir de demain.
Encore. Un peu plus haut dans le déni.
Des idéaux.

Tout se casse. La gueule. D’amour. Trépasse.
Et les verres. Se brisent. En rythme. Infernal.
Le reste des vitres. S’écroule. Dans l’hymne.
Mortel.

On est loin de l’avenir de demain.
Encore. Un peu plus haut dans le déni.
Des idéaux. Laqués en bonnes lubies.
Nous aimons la passion dans sa destruction.

 

 

 

 


Don’t want to go away.

Pourquoi vouloir ? Alors qu’on sait. Déjà.
Pourquoi savoir ? Alors qu’on déchire. Déjà.

Il y a des gravures de cœur et de corps.
Il existe des fêlures d’âmes et de mort.
Chansons à textes et poèmes de langueur.
Il ne s’agit plus d’amour ou de rancœur.

Quand on ne s’aime plus
Les forces nous oublient parfois
On se délaisse . L’amour pue.
La douleur nous oublie pas.

Comme les pleurs nous manquent déjà.
Comme les cris s’étouffent en toi.
Comme la nuit ne te console pas.
Comme le craquement tout bas.

Et les hurlements reprennent.
En chœur L’abomination qui étreigne.
Et les violons jurent et étrennent
En candeur L’horreur du virtuel.

Tu refuses le nous.
Mourrons en ce soir incandescent.
Les rêves brûlent dans l’enfer de mon espoir.
Où que j’aille, il me reste un seul soir.
Et mes yeux liment la scène des illusions.

Pourquoi vouloir ? Alors qu’on sait déjà.
Pourquoi savoir ? Alors que la folie est là…


« - C’est Toi et Moi qui sont sur un bateau. Moi tombe à l’eau. Qui reste-t-il dans ton cœur ?
- … Toi. »


S’il faut que les tsunamis nous entrainent
Tiens-toi fort à moi.
Je serais ton chevalier servant.

S’il faut que les litanies nous condamnent
Ne me pardonne pas.
Je serai ton bouclier vaillant.

S’il faut que les sauveurs nous détiennent
Hurle tout de toi.
Je serais ton défouloir pensant.

 

You’re bleeding, now.


Tu vas saigner maintenant
Parce que je le désire
Parce que je l’ordonne
Tu vas saigner maintenant
Tu es mon jouet mon objet
Mon diner de ce soir incertain

Le monde à rebours
Le compte s’y trouvera
L’échappatoire meurt
Il ne doit rester que moi
Et toi qui saigne maintenant

 

 


Le monde peut bien se détruire
Par les mains cruelles des Hommes
Les tiennes me pâment et trépignent
Ma récompense la sadique jouissance

Être confus c’est un état
Être dans tes bras c’est un trépas
Mon paysage est assuré
Toi et tes yeux de papier
Moi et mes espoirs fripés

Je rêve de mourir pour te faire subir
Ma frustration d’être oublié
Ne m’aime pas d’accord
Ne sois pas dépendant de moi alors

Les dieux sourds aux larmes
Ne méritent pas les oublies
Tout comme ton orgueil
Devrait se mordre dans l’ironie
Éternelle tendresse qui nous délaisse

Et mes cris sourds aux larmes hurlent
La cacophonie du drame pullule
Je tiens ma dernière arme lors du dernier temps
Comment une rose peut contenir tout notre amant ?

 

 

Je ne sais pas. Comment savoir ?
Je ne vois que des cendres que Cendrillon balaie
Désobligeamment. Arrête ou continue
C’est un si lointain moment.

 

 

 

 

Dans les flammes et les glaces
Je ne te perds pas de vue
Mon regard poursuit sans relâche
Tes impériales bévues
Ne trouve pas l’âme sœur
Taillade encore mes veines

Il suffit De l’espoir pour
Qu’on s’éveille étourdi
Confusion adorable
meurt le triste atour
D’hier et de ses rires pâlis

Ne trouve pas l’âme sœur
Taillade une dernière fois
Ma peine et nos étreintes
Sans souffle Pas de plainte.

Dans
        les
             impériales
                            veines
                                      De l’espoir
                                                      meurt
                                                               une dernière
                                                                                  plainte.

Une fois, il eut un contact.
Simple effleurement d’un
Bonheur qui s’écrase avant
De s’envoler.

Deux fois, il eut l’angoisse
Celle qui étreint sans jamais
Soutenir les tremblements
Du doute.

Trois fois, il eut à perte
Flash d’une descente
En decrescendo final
Au paradis.

 

 

 

 

 

 

.

 

 
     
     
 
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