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au 31 Mai 21 :
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pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
A en Mourrir
Par mitsu-chan
Originales  -  Romance/Erotique  -  fr
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    Chapitre 1     0 Review    
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Note de l'auteur: Ce texte, je l'ai écrit car j'ai été inspiré par les livres de Sylvia Day " Dévoile moi" et de EL James " les cinquantes nuances de Grey". J'ai beaucoup aimé l'écrire et espère qu'il vous plaira. Sur cela je vous laisse à la lecture et espère avoir vos avis! ^^ Et surtout veuillez me pardonnez pour les fautes d'inattentions.

Je suis actuellement en train d'écrire une suite si cela vous intéresse dites le moi dans vos reviews! ^^

 

A en mourir! 
 
Au doux son de mon alarme de téléphone, je me réveille difficilement ,tout en frottant mes yeux je prends mon portable en main et coupe la sonnerie au combien bruyante et irritante. Je m'assis sur mon lit et m'étire tel un chat, puis regarde l'heure 7h02 . Je soupire encore une journée sans le voir, sans que je ne puisse le sentir. Combien de temps encore va t-il me punir ainsi? Je me lève et dépose mon portable sur mon bureau et me dirige vers la salle de bain. Je prend une douche rapide et me brosse les dents.  Entourée d'une serviette, Je me précipite dans ma chambre ouvre le tiroir de ma commode et en ressors un soutif bleu avec de la dentelle autour ainsi que la culotte assortie et les enfile. Je prend dans mon armoire un jeans slim bleu et un débardeur noir ainsi qu'un gilet de la même couleur que mon jeans , les mets tout aussi vite. Je passe devant ma coiffeuse me brosse les cheveux et me fait une queue de cheval haute et laisse retomber sur mon visage quelques mèches noisettes. Je me mets un gloss rose sur mes lèvres et du crayon marron pour mes yeux verts mordorés.

Enfin prête, je prend mon portable, sors de ma chambre , descend les escaliers et pénètre dans ma cuisine et me prépare un rapide petit déjeuner que j'avale très vite.  J'ai besoin de le voir, je sais qu'il ne m'appellera pas, je sais ce qu'il attend de moi et je ne veux pas le faire languir plus. Je sais que je n'aurai pas dû me laisser emporter et le rendre jaloux ainsi, je croyais avoir raison mais j'ai eu tort. Mais je ne pouvais accepter que cette femme plus âgée que moi, une amie à lui puisse le toucher ainsi, le regarder comme une maîtresse regarde son amant. Ils étaient intimes auparavant, ils ont vécut tellement de choses, ils ont tellement en commun que je me suis sentie délaissé et si seule. J'ai laissé ma plus grande peur revenir à la surface, celle de le voir partir avec une autre femme plus raffinée, j'ai peur qu'un jour il se lasse de moi, du fait que je sois encore une novice dans ce domaine.  Ma jeunesse m'a t-il dit lui a fait tomber sous mon charme, mais est ce vraiment cela, je me retrouve dans une situation complexe mais si nouvelle. Je prends mon sac  et mes clés, sors de chez moi.
 
A l'arrêt du bus, je pense à notre première rencontre très banal, il était notre nouveau professeur et moi une simple élève parmi tant d'autres, pourtant dès son entrée , nos regards se sont trouvés et j'ai senti naître en moi une sensation encore inconnue. Je ne suis pas populaire , je suis plus l'amie de tout le monde, celle qui sèche les larmes de ses camarades quand ils vont mal, celle qui cache en elle une haine profonde pour elle. Comment un homme si mature, et remplit de charme peut désirer une fille qui se fond dans le décor.
Aujourd'hui cela fait trois mois qu'il a volé mon innocence, qu'il fait tout ce qu'il veut de moi. Je ne vis plus sans lui, il est mon ancrage, il est mon tout... J'ai peur de ce sentiment de désir, de possessivité quand je le vois. J'ai peur qu'il me laisse et s'en aille à tout jamais avec une femme plus âgée, une femme qu'il considérera comme son égal.
 
Le bus arrive, je monte et montre ma carte au chauffeur puis m'installe sur l'un des sièges vide, je pose mon front sur la vitre et  ne peux m'empêcher de penser à lui en lorgnant du regard le paysage de la ville défilant. Je me rends compte que ce que je fais n'est pas sain, notre relation n'est pas saine. Mais pourtant je...je me sens en vie auprès de lui.
 
Notre besoin de l'un de l'autre est pour l'instant insatiable, ce besoin de se toucher, de s'aimer, de baiser comme des animaux en rut est vital. Je me demande maintenant comment pourrais je un jour m'échapper des chaînes qu'il m'a mise autour de mon corps, mon âme et mon coeur. Je suis prisonnière de ces envies, de ses sourires, de son corps, de lui. J'arrive à mon arrêt, je me lève et descend du bus, je marche lentement profitant de la brise légère, et du paysage qui m'entoure , je m'arrête un moment et admire le port , et ses innombrables bateaux flottant sur la mer calme. Je ferme les yeux et inspire l'air marin, j'ouvre mes yeux et expire doucement, je m'imprègne de cette tranquillité et me remets à marcher.
 
Dix minutes plus tard, je me retrouve devant sa porte, le coeur battant et la nervosité se montre d'un coup. Je sais qu'il ne va pas laisser passer ce que j'ai fait, je sais que je mérite cette punition, je n'aurai pas du jouer à ce jeu dangereux mais je n'ai pu y résister. C'est de sa faute, il est toujours avec cette femme et quand elle est là, ma présence disparaît à ses yeux, je redeviens cette fille banale, cette fille sans but. Alors comme une gamine j'ai voulu attiré son attention et j'ai embrassé un autre. Ce baiser était si différent de ces baisers à lui. Quand j'ai vu qu'il nous regardait, et qu'il nous fixait avec des yeux remplis de colère, je n'ai pas pu m'empêcher de me sentir soulager. Même si je savais que j'allais durement payer cette bêtise, je savais au moins que j'existais à nouveau à ces yeux.
 
Je prend mon courage à deux mains et finit par appuyer sur la sonnerie. A peine quelques secondes, il m'ouvre la porte, et me fixe d'un regard bleuté brillant de colère.
 
- " je croyais que tu allais t'enfuir, ça fait un moment que je sais que tu es derrière cette foutue porte." m'annonce t-il d'un ton calme.
 
Je ne peux m'empêcher de le trouver beau malgré le fait qu'il soit furieux, il est torse nu, les bras croisés, portant un simple jogging, mon regard se perd sur son corps, je suis totalement envoûtée.
 
- " eh bien aurais tu oublié ta langue dans la bouche de cet abrutis Maya!" me sort il d'un ton ironique et en décroisant ces bras. Avant même que je ne puisse dire quoique ce soit il m'attire vers lui, puis me plaque au mur tout en refermant la porte.
 
- " En venant ici, tu sais ce qui t'attends, je n'aurai aucune pitié... Je vais te faire regretter d'avoir osé me défier! Tu es mienne Maya et je ne suis pas prêteur, tu as allumé et joué avec le feu, il va falloir l'éteindre et tu sais comment l'éteindre n'est ce pas?" ajoute t il en collant son corps au mien.
 
Je rougis furieusement et ne peux m'empêcher de gémir à ces paroles tendancieuses, je peux sentir son érection vibrer sur mon ventre. Oui je sais comment m'y prendre pour me faire pardonner, il n'y a qu'avec lui que je veux faire cela, lui est aucun autre. J'aime cette tension électrique, sensuelle qui nous traverse de part en part. Je ferai tout ce qu'il voudra, je lui appartiens, je le veux, mon corps le réclame et rien que d'y penser j'ai mon entrejambe qui s'enflamme.
 
Sans plus un mot, il se décolle de moi, me prend la main et m'emmène vers sa chambre, je me laisse guider . Arrivé dans sa chambre, je me fonds sur lui et l'embrasse avec fougue passant mes mains dans ses cheveux noirs ébènes, je me perds dans l'intensité de ce baiser. Nos langues s'épousent , essayent de se dompter, se suçotent, un vrai baiser à la french. Haletant nous nous séparons à regrets,  son regard me promets tellement de choses, il recule et se dirige vers la porte et la ferme. En la fermant, je ne peux plus m'échapper, mais au fond de moi je n'ai aucune envie de m'échapper.
 
- " Déshabille toi Maya!" m'ordonne t-il d'une voix rauque, doucement je m'exécute, peut importe maintenant mon monde s'est lui, et je ferai tout pour le garder. J'enlève mon débardeur , puis mon soutif, doucement je déboutonne mon jeans, enlève mes chaussures et fait glisser mon pantalon. Je ne le quitte pas des yeux et dans un geste fluide et précis, j'enlève ma culotte trempé par mon envie de lui. Il s'approche de moi, me caresse la joue  ,puis d'un coup sec me tire les cheveux renversant ma tête en arrière.
 
- " Tu es mienne, tu auras beau me supplier je ne te laisserai jamais partir Maya." me chuchote t'il à l'oreille. Sur cette phrase, je suis toute émoustillée, je brûle d'envie de ne faire qu'un avec lui, je me sens soulever , quelques secondes plus tard je suis allongée dans les draps soyeux du lit. Je ferme les yeux et me dit que pour rien au monde, je ne veux être autre part que dans ses bras, je ne veux jamais cesser de voir mon reflet briller dans son regard océan, peut importe que cette relation soit néfaste ou pas, je l'avoue je l'aime à en mourir. Oui, cet homme, mon professeur sadique, mon amour, ma passion, mon obsession est l'unique et le seul à pouvoir me rendre folle. Toute la douleur , le plaisir n'a qu'un seul nom, celui que je prononce au bout de mes lèvres Stephen! 

 
     
     
 
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