J'espère que je ne le poste pas trop tard pour le concour.
C'est un texte que j'ai écris il y a 4 ans maintenant donc j'espère qu'il n'a pas trop mal vieillit malgrès les quelques remaniements que j'y ai fait.
Je m'excuse d'avance pour les nombreuses fautes qui le sillonne, je n'ai hélas pas eu le temps de me faire corrigée et je me sais peu doué en francais :s
Bonne lectur quand même en espérant que ca vous plaise.
.........................................................................................................................
Bonjour Lucianne, tu vois : je me mets a vos modalités ?
regarde moi, repousse moi si tu veux mais ne m'ignore pas.
Je peux facilement te faire écartelée jusqu’ à ce que mort s'en suive alors ais au moins l’obligeance de me prêter attention !
Voilà, c'est quand même mieux comme ça, pour dialoguer, tu ne trouves pas ?
Ne soit pas irrespectueuse.... tu gaspille ton énergie....
Imagines plutôt : ne serait-ce pas plus agréable pour nous deux si tu employais tes hardeurs a me donner du plaisir ? ta fougue dans mon lit ?
et moi en contrepartie je pourrai t'offrir le plaisir de jouir d'un corps de g-tidé (*homme de grande ligné) je t’enverrai en 7ème ciel et je pourrai t’offrir un mode de vie plus agréable, plus .... vivable.
Assez ! n'oublis pas à qui tu t'adresse ! Oui tu me plais, tu m'attire, mais ne sois pas si arrogante car si je le souhaitai je pourrai faire écorcher vif ton si joli visage, ainsi je ne ressentirai plus aucune envie de toi et tu n'auras plus de raison ni d'être si fière ni de vivre !
comment ? Non ne vois pas les choses sous cette angle... dis-toi plutôt que je suis le future dominant de la ville dont tu es prisonnière et donc aussi sans doute le seul a pouvoir t'en libérer.
Tu sais , pour t'être agréable je me suis renseigné sur ta culture et j'ai lus vos livres de bonne conscience.... écoutes :
" Je te donnerai le pain de ce jour et tu seras le vin qui m'enivrera en retour." Ce n'est pas si loin du texte original je me trompe ?
Allons ! ça fait trois jours que je viens te voir; un jour charmeur et bon prince, un autre autoritaire et injuste et aujourd'hui je te propose pour la troisième et dernière fois de changer ton enfer en notre paradis. Et toi tu fais l'insolente ! Alors écoute moi bien petite traînée, comme je t'apprécie un peu je vais te donner une chance de t'en sortir.
Mais attention, il faut jouer le jeu car je ne supporte pas les mauvais perdant.
Il y a une activité que l'on pratique ici et qui se fait très rare ailleurs, c'est la fierté de notre ville et ça se nomme : La chasse.
Ca pourra peut-être te permettre de regagner ta liberté sans rien me devoir, ça t'intéresse ?
Ah tu deviens raisonnable c'est bien. Tu es si jolie ce serait dommage de te tuer.
Voici les règles du jeu, elles sont très simple alors ne m’ interromps pas, ce serait déplacé et peu convenant.
C'est très simple , tout les coups sont permit, autant pour les gibiers que pour les chasseurs. Par contre on a deux buts complètement différent. Tout d'abord on lâche le gibier dans le bois, écoute bien il s'agit de toi là. Une fois libre tu auras 5mn pour t'enfuir, après ça, moi et mes congénères chercherons a te rattraper.
Si tu gagne : tu es libre de partir mais si je gagne... je fais de toi tout ce qu'il me plaira jusqu'à ce que je m'en lasse.
Qu'en dis-tu ? Marché conclut ? ah ah j'adore ton esprit compétitif !
.................................................................................................................
Nous y voilà Lucianne, allez vas, cours , fuis !
Seigneur, tu es aussi belle sous ta forme féline qu'en femme..... et tellement plus rapide aussi.
Bonne chance..... (murmure)
Un ..... Deux ..... Tr......
J'entends des cris, mes confrères courent déjà après les tiens..... je ne leur laisserai aucune chance de t'avoir, rassure toi, j'arrive.
Je me change en félin a mon tour, mes moustaches sentent l'air frissonner autour de moi. Par là la peur, par là-bas la frénésie.
Tout mes sens sont en éveil et je cours aussi vite que possible, je cours vers toi.... dans un sens ça pourrait paraître amusant c'est une suite logique c'est comme si je te faisais la cour.
Soudain, ton odeur. Mon cœur s'ébranle et mes griffes s'enfoncent dans la terre. Des bruits de feuilles mortes, de branchages dérangé et l'air me transmet ta passion.
Je te veux.
Me voilà fasse à l'un des tiens que je tu sans ménagement.
Je t'aurais.
Je croise deux des miens un sourire pervers aux lèvres et j'ai peur. Tu dois m'attendre, je t'en pris....
Un autre cri, de douleur cette fois, mais ce n'est pas ta voix. Puis ta présence enfin.... si près..... mais où ?
Par là ! j'entre-aperçois ton magnifique gris de ta fourrure de reine, j’accélère.
Merveilleux ! un torrent ! si je me souviens bien tu ne sais pas nager..... c'est d’ailleurs comme ça que l'on t'avait eu la première fois, n'est-ce pas ?
Alors je m’arrête et te regarde avec joie.
"J'ai gagné."
Tu cherches a me contourné mais je suis plus fort que toi, n'oublis pas qui je suis après tout.
Alors tu te jettes a l'eau manquant de te noyer, et je te rattrape avec force et t'immobilise.
"Arrêtes Lucianne. Tu as perdu..... mais je te promets de ...."
Mais je ne peux pas finir ma phrase, pas devant lui. Surtout pas devant LUI.
Il se téléporte entre nous et t'attrape à la gorge.
Hatesh, mon oncle.... celui-là même qui a signer l'autorisation de cette chasse.....
Il me regarde droit dans les yeux et lorsqu'il voit mon air effaré il se fâche et te brise la nuque d'un seul geste.
Je dois rester droit et ne rien dire ou je risque un sort serte moindre mais pas des plus enviable pour autant.
Il s'avance soudain si vite que je n'ai pas le temps de reculer et me frappe si violemment que j'en tombe au sol.
Sans jamais cesser les coups il me fait la leçon : Comment moi ? une personne destinée a régner avec cruauté après mon père, comment puis-je ne serais-ce que songer une seule seconde a sauver ta vie ? à toi simple saloperie du camp adverse.
Je pleur, mon sang se mêle a mes larmes ce qui les caches un peu heureusement.
Je tente de déguiser mon désespoir en simple douleur. Les coups de mon oncle, a défaut de m'apprendre quoi que ce soit, auront au moins l'utilité de masquer mes sentiments.
Je t'aurais laissé partir tu sais....
Si tu avais gagné , je t'aurais même protégé des autres.
J'aurais pu te chérir tu sais ? si tu m'avais suivi, je t'aurais chéri envers et contre tous.
Mais.... Je n'ais pas dû être très clair.... et je le regrette, oui je le regrette tellement.
Si seulement tu avais su..... Si seulement tu avais su que je t'aimais .....
Fin. |