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La route du diable
Par potirty
Originales  -  Drame  -  fr
One Shot - Rating : T (13ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     0 Review     Illustration    
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James Stark sortit du bar qui allait fermée et se rendit à sa voiture. Une Opel Corsa Essentia 5d couleur argent. A l’intérieur, après avoir allumé le moteur, il regarda l’heure indiquer au tableau de bord. Il était une heure du matin. Sa femme allait encore râler.

Il se mit en route. La route qu’il devait prendre passait dans une grande forêt et il n’y avait jamais beaucoup de circulation quel que soit l’heure de la journée. Son trajet devait lui prendre environ dix minutes.

Après une minute, il sentit ses yeux se fermée et la voiture partir sous lui. James se reprit et sût garder la voiture sur la route.

Il respectait la limite de vitesse, septante kilomètre/heure, et arriva derrière une autre voiture, une Mini Cooper S D Clubman couleur or d’après ce qu’il voyait grâce à ses phares. Il n’y avait pas d’autre éclairage sur la route.

La Mini ne roulait qu’à quarante kilomètre/heure.

James se rapprocha de la voiture pour venir la suivre dangereusement près.

« - Tu vas avancer saleté de caisse ! » hurla-t-il pour lui seul.

James alluma ses feux de route et mit un peu de distance entre son Opel et la Mini.

Celle-ci ne tarda pas à allumer ses feux de détresse.

« - Quoi, tu me cherche en plus ! » hurla James hors de lui.

Il coupa ses feux de route et doubla la Mini.

Une fois devant elle, il ralentit à dix kilomètre/heure et alluma à son tour ses feux de détresse.

« - Alors, qu’est-ce-que tu en dis ! »

Le klaxon de la Mini retentit.

« - Quoi, tu me cherche encore ! »

James repassa sur la bande de gauche, celle pour venir en sens inverse, ralentit pour laisser passer la Mini et vint se repositionné derrière elle.

Il coupa tous ses phares et suivit la Mini à bonne distance.

Celle-ci ne tarda pas à mettre son clignotant, manifestant son intention de tourner à gauche. James connaissait bien les routes du coin puisqu’il y roulait tous les jours. Il s’avait donc exactement ou la Mini allait tourner.

Lorsque la Mini ralentit pour tourner, James passa sur la bande de gauche, alluma ses feux de route et accéléra pour passer avant que la Mini ne tourne.

Il réussit et vit, dans son rétroviseur droit, les phares de la Mini tourner légèrement sur la droite, vers le décor.

« - Là, tu dis plus rien, hein ?  Ici c’est la route du Diable, et le diable s’est moi !»

Une minute plus tard, il arriva chez lui.

La petite altercation l’avait empêché de s’endormir.

Il gara son Opel et coupa le moteur. Lorsqu’il sortit, il glissa et s’étala sur le sol.

Il se releva et ferma la portière en la claquant de colère le plus fort qu’il pouvait.

Il marcha jusqu’à sa porte d’entrée et l’ouvrit en faisant le moins de bruit possible. Une fois à l’intérieur, il referma la porte, toujours sans trop de bruits, et se retourna pour s’engager dans le hall d’entrée.

Il préféra ne pas allumer la lumière et de se faite, il ne vit rien.

Mauvaise idée.

Il ne fit même pas trois pas qu’il se heurta à une petite armoire et un vase en porcelaine vint se fracasser par terre.

A peine quelque seconde plus tard, la lumière s’alluma. Natalie Stark, sa femme, se tenait de l’autre côté du couloir.

« - Tu es encore plain ! » ce n’était pas une question, mais une affirmation.

« - Ecoute… »

« - Non, je ne t’écouterai plus. Demain, je te quitte ! »

James fut pris de grosse migraine et décida de ne pas répliquer.

«- Ce soir, tu dors sur le canapé ! » lui cria-t-elle encore.

Il se dirigea vers le salon et tomba endormit sur le fauteuil.

 

James se réveilla le lendemain à quatorze heures.

Il était allongé par terre au pied du fauteuil, sans doute qu’il était tombé pendant son sommeil. Il se leva et tomba assis sur le canapé. Sa tête lui tournait monstrueusement. Il essaya de se redresser et quand il y parvint enfin, il eut envie de vomir. Il courut jusqu’à la toilette et y arriva in extrémis.

Il ne lâcha pas la toilette pendant une heure. Et quand enfin il alla mieux, il se rendit au lavabo pour se rafraîchir le visage.

Sur le miroir au-dessus de l’évier se trouvait un mot manuscrit attacher avec du papier collant.

James le décrocha et le lit :

« Je suis rentrée chez mes parent. Va te souler tant que tu veux, ce n’est plus mon problème. La prochaine fois que nous nous révérons, se sera avec des avocats. Ta future ex-femme. »

 

Après avoir lu le mot de sa femme, James était allez s’acheter six pack de canette de bière puis, il était allé boire plain d’alcool différent au bar jusqu’à ce qu’on le mette dehors. Une fois sa voiture regagner, il avait entreprit de vider toute la bière acheté plus tôt.

Ainsi, il passa toute la nuit à boire et lorsqu’il décida de rentré, le soleil se levait déjà.

Il roula à la vitesse autorisé et une voiture, une Citroën C1 1.0i 12v couleur noir, le doubla en klaxonnant.

« - Quoi, tu me cherche ! »

Il accéléra passant au-dessus de la vitesse autorisé et doubla la Citroën. Il passa devant elle, ralentit à cinquante kilomètre/heure et lui fit un geste injuriant. En regardant dans son rétroviseur, il vit que s’était une femme au volant et il crut discerner des mouvements à l’arrière. La femme mima de lui tirer dessus avec un révolver.

James s’énerva encore plus et continua à ralentir.

La conductrice de la Citroën Klaxonna mais ne ralentit pas et vint heurter l’Opel de James.

« - Salope ! » hurla-t-il.

La femme entreprit de le doublé et une fois à sa hauteur, elle prit l’allure à la quelle allait James. Elle le dévisagea puis vint mettre son coffre à hauteur de James. Les vitres arrière étaient teintées.

James qui n’avait encore jamais été confronté à sa commençait sacrément à paniquer.

La conductrice ralentit et vint mettre cette fois-ci son capot au niveau du coffre de James. Le devant de la Citroën heurta le coté de l’arrière de l’Opel. James réussi tant bien que mal à garder le contrôle de sa voiture.

La conductrice le dépassa, se mit devant lui et ralentit.

C’est à ce moment-là que sa vue se brouilla.

« - Non, pas maintenant ! » se cria James et comme si son organisme l’avait entendu, sa vue redevint normal.

« -Je suis le diable et c’est ma route, je peux faire ce que je veux. » s’encouragea-t-il.

Il passa sur la bande de gauche et vint se mettre à la même hauteur que la Citroën. Il fit cogner le côté droit de son Opel contre le côté gauche de la Citroën. Les rétroviseurs explosèrent avec le choc.

Mais la conductrice gardait le contrôle de son véhicule.

« - Tu vas sortir de ma route ! » cria James.

Il recogna la Citroën à trois reprise.

A la dernière, la voiture sortit enfin de la route. James était fou de joie, il ralentit et regarda l’accident avoir lieu.

La voiture sortit donc de la route et alla heurter un gros arbre.

Là, la joie de James se changea en détresse, une petite personne passa au-travers de la vitre de la Citroën.

Un enfant.

James prit de panique appuya sur l’accélérateur. Un gros coup de klaxon, d’une sonorité extrême, le fit regarder à nouveau la route.

En effet, il n’avait plus regardé sa route depuis que la Citroën avait volé dans le décor.

Il était resté sur la bande de gauche et un grand camion arrivait droit sur lui. Il n’eut le temps de rien faire si ce n’est de sentir l’impact.

 

Les secours furent rapidement sur les lieux. Ils furent appelés par le camionneur qui s’en était sorti sans trop de blessure.

La femme de la Citroën s’appelait Denise Harper. Elle fut transportée d’urgence à l’hôpital. Elle s’en sortit vivante mais paralyser à vie des membres inférieur du corps.

Son fils de quatre ans, Thomas Harper, fut retrouvé mort. Il était à l’arrière de la voiture et ne portait pas de ceinture de sécurité.

Lors de l’impact, il fut projeté par le pare-brise et se pris l’arbre de plein fouet. Il ne restait pas grand-chose de son petit corps.

Denise venait de perdre son travail la veille au soir et commençait une dépression. Le matin de l’accident, elle conduisait son fils à l’école.

Quand à James Stark, les secours ont extrait son corps sans vie de l’épave de son Opel.

FIN

 
     
     
 
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