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La contamination
Par Flora
The Walking Dead  -  Action/Aventure/Horreur  -  fr
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    Chapitre 1     0 Review    
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La contamination

Chapitre 1 : la contamination

 

 Lundi matin, il est 7 heures, on prend notre petit déjeuner, ensemble en écoutent les informations. Nous sommes deux françaises, qui avons tout quitté il y a quatre ans pour venir s'installer à Buckhead dans la zone de Peachtree road au nord Atlanta. Les débuts on été dur, mais avec la persévérance, détermination et toutes nos économies nous avons pu monter notre petite entreprise. Une petite boulangerie / pâtisserie française. On a trois employés ce sont des amis. On forme une sorte de grande famille. Le lundi, est notre jour de repos où l'on en profite pour faire nos courses... Le premier café de la journée et le plus important, tant qu'on ne l'a pas prie , vaut mieux pas nous parler. Juste une question de survie. Les informations, toujours la même chose : accidents, meurtres, politiques, maladies... Encore, ce matin on parle d'un virus, sans doute la grippe, plusieurs morts dans des États différents. Chaque année, beaucoup en meurt ce n'est pas nouveau. Laura brise le silence :


• C'est à quelles heures que tu vas à l'auto-école?
• À 15h45 dis-je à moitié endormi.
• Bon on se prépare, les courses ne vont pas se faire toutes seules.
• Oui faut pas oublier de passer au pressing, chercher nos vêtements que l'on a déposés la semaine dernière.


 Une fois prête, ont part en bus en direction du centre commercial. On arriva en quinze minutes. Pour un mois de mai, le temps est froid et maussade.


• Tu m'étonnes que la grippe fasse rage en ce moment, ont se croient en février.
• Notre seul jour de congé et le temps et pourri, vive la déprime.


 On entre dans mall, il y a pas mal de monde pour un lundi matin. On fait au plus vite, on déteste faire les courses et faire la queue à la caisse. Peu importe la file que l'on choisit, c'est toujours la file d'à côté, qui avance le plus vite. On ressemble à deux petites vieilles avec nos sacs roulants, mais bien pratique quand on n'a pas de véhicule. On sort du super marché, et un peu plus loin dans la galerie on se dirige au pressing. On prend nos vêtements et on part prendre un café croissant (oui-oui un deuxième petit-déjeuner). Des petits moments sympathiques de détente, où on parle de tout et de rien. Soudainement, des hurlements et sirènes de police retentirent. On se retourne naturellement pour voir d'où vient tous ce ramdam.


• Encore un ivrogne ou un fou qui se croit tout permis, commente Laura.


 D'autres sirènes retentirent. Cette fois-ci, celle d'une ambulance, puis le bruit d'un coup de feu tout prêt. J'en renverse mon café sur la table et Laura rentre sa tête dans les épaules, comme une tortue qui a peur.


• Punaise ! ils sont cons, j'ai eu peur j'en ai mis partout du café .Chérie, tu peux me refaire le coup de la tortue qui a peur ?
• Ho ça va ! c'était quoi ce coup...


 Laura n'a pas le temps de finir sa phrase que deux autres coups de feu retentirent. Cela crée une vague de panique, les gens courent dans tous les sens, certains sont curieux et d'autres fuient. On paye, et prend la direction de la sortie. La police nous cris de ne pas sortir de ce côté-là, de prendre les autres sorties.


• C'est que ça doit être sérieux !
• Encore un détraqué je suppose. Fleur tu viens?
• Une minute, je veux voir moi aussi.
• Tu vois quoi ?
• Pas grand-chose, juste des policiers qui font barrage pour pas que l'on passe. Bref allons-y.


 Une fois sortie par une autre porte, rentrée à la maison, fait le ménage, cuisine, on passa à table. Nous ne sommes pas retournées en France depuis que l'on sait installer ici, ni même prit des vacances que nous programmons pour la fin du mois. Soudain, le portable à Laura sonne, c'est Liam un de nos employés.

• Oui, Liam ça va. Très bien merci .Non pourquoi ? ... on y était ce matin, on a juste entendu des coups de feu et les policiers qui nous disaient de quitter les lieux, par une notre porte de sortie...attent deux secondes, Fleur allume la télé, la chaine CNN.
• Pourquoi il se passe quoi ?


" Nous ne savons pas vraiment ce qui se passe à l'heure actuelle. Ce que je peux vous dire, c'est que des témoins m'ont raconté, qu’ils étaient sur le parking, qu’ils ont vuent une femme s'attaquer à un passant et l'aurait mordu. Des personnes seraient alors intervenues pour l'aider, mais la femme aurait à priori, mordue et griffée certains d'entre eux .D'après une autre personne, la femme n’était pas dans son état normal, elle bavait sans cesse et marchait bizarrement. Ce serait donc, sans doute un cas de rage. La police a dû intervenir pour canaliser la femme. Après plusieurs tentatives toutes vouées à l’échec, car elle s'attaquait aussi à la police, elle a réussie à en mordu un quand il essayait de la menotter, il dû abattre la femme contaminée. Nous en savons pas plus pour le moment .


le présentateur TV et sa collègue posent plusieurs questions.


• Pouvez-vous nous dire, combien de personnes en tout ont été mordus Jennifer?
• Il semble qu'il y est au moins six personnes de mordu pour le moment. Nous ne pouvons pas le confirmer encore.
• D'après les informations fournies peut-il s'agit de la rage?
• Écoutez à l'heure actuelle je ne peux rien vous confirmer, il semble en effet que ce soit la rage, cela fait longtemps que l'on n'a pas eu un cas de rage ici en Géorgie ou même en Amérique. En tout cas, de cas recensé.
Les personnes mordues, ont été amenées au piémont Atlanta Hôpital de Peachtree, où ils vont être pris en charge. Il y a de bons vaccins, prit à temps dans les vingt-quatre heures après morsure, la personne guérit totalement, aucun risque qu'elle contracte la rage. Les personnes griffées, sont soignées sur place et repartent chez eux ...


• Oui Liam, je suis là. Heureusement, on n'était pas dehors à ce moment-là. Okay à demain bye. Je ne savais pas que c'était comme ça la rage, que l'on mordait d'autres personnes, on se croirait dans "Résident Evil".
• La grippe, la rage, ça va être quoi après? Ebola à Atlanta?!


 L'après-midi passe vite, je reviens de l'auto-école, Laura comme à son habitude se moque de moi avec ses fameuses questions. Combien de piétons as-tu tués cette fois-ci? ou combien de fois as-tu callé ? J'adore quand elle me charrie, c'est un jeu entre nous. C'est ma meilleure amie, on fait tout ensemble, on ne peut vivre séparé, sinon on déprime. Faut dire que l'on a toujours été ensemble. Le soir, on dîne tôt, on se couche tôt car demain, on se lève tôt. Notre journée commence à trois heures. La journée s'enchaine comme à son habitude et on ne traine pas. Une de nos employées, Ellen qui est à la caisse, nous raconte que tout le monde parle de ce qui s'est passé hier. Un nouveau cas est apparu et a encore attaqué trois autres personnes. Il a été abattu aussi. Les gens sortent faire leurs courses, pour plusieurs jours pour ne pas avoir à sortirent par sécurité.

 Ce jeudi, vers midi, un nouveau cas. Cette fois-ci à deux pas de notre boutique. La police est là avec une l'ambulance et aussi une patrouille militaire avec eux. Avec Laura, on décide de fermer la boutique et de prendre nos vacances maintenant. Espérons que dans quinze jours tout soit fini. Nos employés firent de même, vers 16 heures, on ferme, on se souhaite à toutes de bonnes vacances. On rentre à la maison qui est à deux minutes d'ici, prirent nos passeports et part à l'agence de voyages la plus proche. Nous avons pris deux allers retours pour la France. Départ demain soir 22h35 à l'aéroport international d'Atlanta Hartsfield-Jackson, on fait une escale à New York puis Paris. Nous arriverons en fin d'après-midi. Quand nous ressortons de l'agence, plusieurs jeunes vandalisent les boutiques, chahutent, certains cassent les vitres des voitures. Les gérants des magasins ferment à tour de rôle, mettent les grillages. Les agents de sécurités, polices, CRS arrivent peu de temps après. Une fois à la maison on s'enferme à clefs, nous regroupons nos affaires dans les valises tout justes le nécessaire pour quinze jours. On passe la soirée à regarder la télé, où nous, nous endormons devant. Laura, me réveille vers 7heures et me dit de regarder les infos. Un peu partout en Géorgie et d'autres états, il eut des manifestations, vandalisme. Les manifestants criaient que le gouvernement nous mentait et ne nous disait pas la vérité. Plusieurs villes du pays, avaient des problèmes de réseaux et d'électricité. On coupe les infos, range l'appartement et le nettoie, puis à midi on déjeune.


• Laura, on part à 15h à l'aéroport par sécurité, je ne veux pas que l'on se retrouve bloqués ici avec ses petits cons qui cassent tout.
• Oui, j'y pensais aussi, on prend taxi ou le train?
• C'est mieux le train, moins d'encombrement sur la route. En trente-cinq minutes, on y sera, plus le temps d'aller à la gare, je dirais quarante-cinq minutes de trajet de la maison à l'aéroport, si tout va bien et si l'on a un train de suite.


 Quinze heures, on quitte notre appart en direction de la gare. Les stigmates d'hier, sont toujours visibles sur les vitrines, vitre de voitures cassée, les bouts de verre longent le sol. Des personnes qui s'occupent de nettoyer la ville, ne sont pas passées par sécurité, je suppose. En allant jusqu'à la gare, beaucoup de voyous sont comme des hyènes , ils ramassent ce qui n'a pas encore été volé. On attend le bus, un vent doux mais frais caresse nos joues. On colle nos valises près de nous, comme si on s'attend à nous les faire voler, pas de sac à main, mais un sac à dos. Le bus arrive, on monte. Le trajet et long, toutes les routes sont bouchés.

 À Atlanta, tout le monde préfère avoir sa voiture, plutôt qu'utiliser les transports en commun, ce qui engendre pollutions et trafics difficiles. Enfin, on est à la gare, les tableaux d'affichage des trains montrent que le prochain pour l'aéroport est dans six minutes.


• Vite, on a plus que six minutes, Fleur dépêche-toi faut que l'on prenne nos billets et que l'on court jusqu'au quai.

 Laura pousse les gens pour arriver au guichet. Allez, poussez-vous bandes de larves, il y en a qui sont pressés ici !


• Chérie du calme, pas la peine de t'énerver, on va l'avoir notre train.
• Deux allers pour l'aéroport.
• je crois que l'on appelle celà, l'aérogare.
•C'est pareil, Tin, elle ne peut pas aller plus vite celle-là! Tu es née molle? Ou tu es devenue molle?
• Ça va aller, arrête de angoisser, tu me stresses aussi !
La musique de la gare, qui prévient les trains qui arrivent et ceux qui vont partirent, retenti dans toute la gare.
• C'est notre train qui va entrer en gare, vite donne nous nos tickets et la monnaie, enclenche la seconde, on ne va pas dormir ici! Laura prend, les tickets en lui arrachent des mains tant pis pour la monnaie, on a plu le temps d'attendre.


 On court avec nos valises jusqu'au quai numéro 2.


• Laura attend moi!
• Roooooo court aller met toi une fusée aux fesses!


 Quand je cours, je ressemble un peu à dingo, les fesses ne suivent pas, elle part en avant et de toute façon je n'ai jamais aimé courir, à moins que celà ne soit urgent comme là. Enfin dans le train, on souffle, le train est rempli, on dirait que beaucoup font comme nous, les gens parlent des évènements. D'autres lisent le journal qui parle aussi de celà. Le train fait plusieurs arrêts, on est serré comme des sardines. Laura me dit que les personnes derrière elle, ont entendus dire que Los Angeles est touchée aussi. Qu'il y a de plus en plus de cas de rage. Sans doute une expérience, du virus de la rage mélangée à un autre virus. Une autre, assure autres choses. Tout le monde donne son avis sans vraiment savoir ce que sait.

 On arrive à l'aérogare, une fois au départ aucune place pour s'assoir tellement que c'est bombé de gens. On guetta les places qui se libèrent. Personne veut céder sa place même pas pour aller au petit coin. Soudain, une place se libère, on court avec Laura, première arrivée première assise. Laura est devant moi de peu, je cours en rigolant, elle aussi et la BOOM je trébuche et emmène Laura dans ma chute.


• p'tainnnnn ! je vais te tuer !


 Je pars dans un fou rire ce qui l'a fait rire aussi, mais m'en veut quand même. On est toute les deux à plat ventre par terre dans l'aéroport, la honte totale. Un homme demande ce que l'on fait par terre. Laura et son aimabilité légendaire ...


• On nage sa se voit pas.


 Vers dix-huit, dix-neuf heures on enregistre nos bagages, puis on part s'assoir à un petit bar-restaurant, on commande deux sandwich, deux cocas et une bouteille d’eau. Le temps devient long, un couple de retraités français s'assoit à côté de nous ils parlent de plusieurs vols retardés. Laura va se renseigner sur notre vol, une fois de retour elle me dit que le nôtre aussi est retardé. Quelle poisse ! Il est retardé de deux heures on reprend des boissons et on discute, mais la fatigue se fait sentir. À vingt-deux heures, on décide d'aller voir où sa en est, on demande à une hôtesse d'accueil, elle nous dit que l'avion n'est toujours pas arrivé donc retardé encore, au moins de deux heures. L'énervement est à son comble. Les militaires sont présents dans l'aéroport et surveillent tout le monde. On retourne au bar se met à une petite table et commande deux café extra fort.


• On s'en souviendra de ce départ dis-je dans un bâillement.
• Ça me gonfle, je te jure faut pas que ça dure, ça va me mettre de mauvais...


 Des hurlements résonnent dans l'aéroport, les militaires courent en direction de l’aérogare, des coups de feu se mirent à retentir, tout le monde se regardent et se lèvent de leurs chaises, leurs regards inquiets, on entend les militaires crier. Les voyageurs commencent à reprendre leurs affaires et à reculer comme des bêtes apeurés. Malgré les crient vers l'aérogare, ici c'est d'un silence comme si il n'y avait personnes. Les serveurs et caissiers son figés, on dirait que l'on joue à 1, 2,3 soleil. J'ai parlé trop vite les crient de certains voyageurs arrivent jusqu'ici, avec ma colombe, on se regarde limite pâle de peur, on ne parle pas mais se comprend, il y a au moins une personne infecté de la soit disent rage ici. Les coups se rapprochent, les personnes commence à courir dans tous les sens, le serveur à côté de nous renverse son plateau et fuit aussi. Une femme hurle et court devant nous le cou en sang, elle crée le vent de panique. Tout le monde se lèvent, hurlent et fuient on ne sait plus qui est qui, si ils sont parmi nous les infectés ou pas. On met nos sacs sur nos dos et commence à sortir du bar, mais on ne sait même pas où aller, les militaires sont parmi nous certains tirent en l'aire ils crient aux autres tuer les !! TUER QUI ??? Laura m'attrape par le sac à dos et me dit de me baisser me mettre sous les tables.


• C'est quoi ce bordel, qu'est ce qui ce passe ??
• Il a dit tuer les ! Tuer qui? C'est quoi tout ça?! Et cette femme à le cou en sang.
• Faut que l'on reste baisser, jusqu'à ce que cela se calme, sinon on risque de prendre une balle, ou de se faire mordre par une personne contaminé.

 Nous restons accroupis sous les tables, on guette que personne ne s’approche de nous, ni les militaires, ni les soit disant contaminées. Une fumée stagne dans les aires, les coups de feu ne s'arrêtent pas, les cries non plus et les lumières vacillent. J'entends le battement de mon cœur, résonner dans ma tête, les minutes et les secondes paraissent interminables. Soudain une silhouette rampe par terre en gémissant, nous courrons vers elle pour lui venir en aide. C'est une femme d'une trentaine d’année, elle s’est fait tirer sur la hanche, elle nous supplie de l'aider et de partir d’ici.


• Qu'est ce qui se passe là-bas ? Pourquoi les militaires nous tirent dessus ? demanda Laura
• J'étais en bas à l'aérogare et il y a eu des hurlements, quand je me suis retournée, deux personnes contaminés en mangeait une autre, la scène était très sanglante. (Elle souffre de douleurs, les larmes coulent sur son visage.) Il y avait une personne, surement contaminée qui marchait bizarrement, elle avait du sang partout sur elle. Dans le train cette personne s'est écrouler contre le sol, elle est sans doute morte. Les militaires sont arrivés, une partie est montée dans le train et les autres sur ceux qui mangeaient la personne. Ils les ont abattues. Mais d'autres personnes avec des traces de sangs et qui marchaient bizarrement sont arrivés. Et les coups de feu partaient dans tous les sens. Plusieurs personnes se sont fait mordre, moi aussi !! Nous dit-elle tout en montrant sont mollet.
• Faut que tu ailles te faire soigner à l’hôpital, lui répondis-je.
• Emmener moi s'il vous plaît.
• Non ! répond Laura instantanément.
• On ne peut pas la laisser comme ça, dans son état !
• Tu veux l'emmener comment ?! On se fait tous tirer dessus et on a aucun véhicule et elle est contaminée, imagine elle devient comme eux ...?
• On doit partir de toute façon, ta vue ce qui ce passe, la maladie est sur elle, il faut l'emmener ! Dis-je sans lui laisser le choix, Laura me fixe et secoue la tête de bas en haut d'un air vaincue.
• Je te préviens, si jamais on meurt, je te tues.


 Nous partons, en se baissant au maximum en aidant la femme pour qu'elle prenne appuie sur nous, elle gémit à chaque mouvement. L'électricité se coupe, on reste figée sur place, elle revient au bout de quelques seconde. Un voile de fumé s'échappe du restaurant ou l'on était plutôt dans la soirée, soudain une explosion retentis ce qui propulse plusieurs personnes au sol. Cette explosion, a engendrée l'explosion des fenêtres, le sol a tremblé. Nous sommes désorientées. Nous arrivons devant une porte ou est inscrit " escalier de secours ", c'est notre seul chance de sortir d'ici vivantes. Nous prenons donc l’escalier le plus vite possible, le personnel des magasins et les voyageurs fuient également par ici. Nous suivons les personnes, nous ne savons plus aller. Nous sortons par une porte qui rejoint un parking souterrain, quand soudain, un mauvais pressentiment me parcours. Pourquoi il n'y a pas des policiers, et des militaires ? La femme continue à crier de douleur, elle en est devenue pâle et brûlante de de fièvre. Elle ne va pas bien faut que l'on fasse vite pour trouver une voiture. On regarde dans toute les voitures mais aucune n'est ouverte après de nombreuses recherches, notre persévérance paye. Nous trouvons enfin une voiture ouverte. On installe, la femme sur la banquette arrière et on se regarde avec Laura.


• Ne me regarde pas comme ça ! je ce n’est pas conduire me dit Laura.
• Moi non plus.
• Tu vas à l'auto-école oui ou non?! C'est promis je ne dis rien si tu cale.
• Ta gueule, en voiture Simone.
• Fleur ?
• Humm…
• Regarde le mec devant, il nous regarde, ça se trouve c'est le propriétaire de la voiture ?
• Qui va à la chasse, perd sa place. Ferme ta porte. Lhomme se dirige vers nous, avec un regard méchant en déambulant. Je crie à Laura de fermer les portières
• Je vous jure ce n'est pas moi, je ne voulais pas, elle m'a forcée.
• Connasse va ! Lhomme tape avec son poing sur la voiture et bave énormément.
• Démarre!!!


 Je démarre en panique et commence à avancer. Je cale, je redémarre et commence à avancer de deux mètre et recale. L'homme nous suit, je redémarre une troisièmes fois. je panique, j’appuie fort sur l'accélérateur et provoque un nuage de fumer et la voiture démarre d’un coup, je recale une énièmes fois.


• Quand tu auras fini de t'amuser, tu me feras signe, en attendant on a toujours le mec au cul, il est de plus en plus agressif alors démarre et ne cale plus!
• Tu veux conduire ???
• Tais-toi et avance!


Enfin on réussit à démarrer sans caler, nous sortons du parking mais l'extérieur fait peine à voir, des dizaines de militaires et policiers tirent sur des gens. Des voitures et des poubelles en flammes. Les gens fuient à pied avec difficultés. Nous arrivons enfin à sortir de l’aéroport, nous croisons des convois de militaires, les autoroutes sont remplis de voiture pour rentrer dans Atlanta, alors que nous, nous essayons d'en sortir.nous, nous dirigeons vers l'hôpital le plus proche, quand soudain on entend plus la femme gémir.


• Je crois qu’elle et morte.
• Quoi ? En regardent dans le rétroviseur, j'aperçois la femme, cheveux sur le visage et qui ne bouge plus.
• Bouge là! réveille là!
• Hé ho, debout, réveille toi. Mais rien, Laura essaye mais en vain, on ne l'entend plus respirer. Arrête-toi !!
• OKay, voilà un endroit désert, car un vol de voiture, plus déposé un cadavre, on a aucune chance qu'ils nous croient si on se fait choper.

 Je continue un peu, quand soudain, on entend gémir,un son qui nous fait sursauter. Laura se met à hurler d'arrêter la voiture mais je confonds, la pédale de frein avec celle de l'accélérateur. La voiture se met à faire des zigzag. Je prends mon courage à deux main et je freine d'un coup. La femme que l'on croyait morte, c'est encastré dans le pare-brise. Quand nous reprenons nos esprits, la femme gémit encore, on enleve nos ceintures et on sort aussi vite que possible de la voiture. On prend du recule, on la regarde, elle grogne et bouge sa main en notre direction, comme si elle voulait nous attraper .


• La vache, c'est quoi ça ??
• Euh... je ne sais même pas quoi te répondre.
• Elle était morte, j'en suis sûr, putain mais c'est quoi ce merdier, c'est un cauchemar!


 Je prends mon téléphone pour essayer de contacter Liam avec un peu de chance il n'est pas encore parti, mais la ligne sonne occupée. Nous prenons nos sac à dos et nous commençons à marchés. On entend soudains, les sirènes des ambulances retentirent, dans ce quartier désert où l'on ne vis presque pas de voitures ni de gens, sauf un chien errent qui traverse la rue juste devant nous. J'essaye, en vint d'appeler mais la ligne sonne toujours occupée. Nous apercevons une voiture, on lui a fait signe de s'arrêter. C’est une famille avec un coffre chargé de valises.


• Que faites-vous encore dehors ? Vous devez fuirent Atlanta
• Que se passe-t-il? Demande Laura.
•Quoi vous n’êtes pas au courant? Le gouvernement a établie un couvre-feu. C’est le feu dans le centre-ville, les hôpitaux sont hors service et à ce qu'il parait l'aéroport est une tuerie.
• On le sait on y était. mais on comprend rien.,
• C'est soit disent cette maladie la rage, les gens deviennent fou. Aloors un conseil, prennez une voiture et fuyez.


 On se comprend automatiquement avec ma colombe, faut qu'on trouve une nouvelle voiture à voler. Après avoir marché un long moment, on en trouve une, mais je me demande comment la faire démarrer ? À part avoir vue ca dans les films, je ne vois pas comment. une fois de plus Laura a lue dans mes pensés. 


• Je sais peut être pas conduire, mais je pense pouvoir la faire démarrer, mon frère ma montré.


 Je fais le guai, le temps qu'elle bidouille les files, après avoir entendu le jolie son de la voiture démarrer, on reprend la route pour quitter Atlanta sans trop de problèmes. Nous prenons les petites routes, pour éviter d'être coincé, on entend des bruits d'hélicoptères, juste au dessus de nos tête. On essaye de trouver un lieu boisé pour se reposer. Car même si on ne peut pas fermer l'œil, l'angoisse et la peur sont là et nous envahissent l'esprit. Le jour se lève enfin, nous sortons de la voiture pour se dégourdir les jambes.


• Chérie tu vas où ?
• Pisser !
• Quelle classe ! Fait entre deux portières, il n'y a aucun risque d'apercevoir une personne.
• N'en sa ira, la dernière fois que j'ai fait sa tu as refermé la porte quand tu es montée et tout le monde a vu mon cul !!
• Un cul, c’est un cul, d'accord, va t’amuser à renifler un petit coin, pour lever la papate. J’éclate de rire en entendant Laura râler tout en rentrant dans le bois.


 En attendant que madame est finit, je m'appuie contre la voiture en me remémorant, tout ce qu'on vient de vivre, quand soudain Laura se mit à crier démarreeeeee!!!! Elle arrive en courant, le pantalon à moitié remonté. Elle saute la tête la première dans la voiture, en me disant qu'ils sont plusieurs, je me dépêche aussi pour monter et démarrer. mais là impossible de faire démarrer la voiture et c'est la panique totale, je ressaye mais sans succès. Les voyant arriver, Laura me dit, on a plus le temps, on reprend nos sac à dos et nous voilà parti en pleine forêt avec la peur au ventre. Nous courrons depuis vingt minutes, quand je dis à Laura de faire une pause parce que je n’en peut plus. On s'arrête dans une petite côte, je me tiens à un arbre, je reprend doucement mon souffle . Laura dit qu'on doit se dépêcher, que cette endroit n'est pas sûr. Un bruit surgit derrière nous, on se remet à courir, dans ma course je me prends le pied dans une racine et la chute est inévitable, j'entraîne Laura dans mon roulé boulé. Ma chérie jure comme une charretière, la chute prie fin en bas de la pente, je ressens des douleurs sur mon genou et mon dos, mais je n'ai aucune trace de Laura. Quand tout à coup j’entends un bruit de grognements, c'est elle bien-sûr, elle est coincée dans les ronces.


• haoutchhhh...
• Oupssss ! J'ai glissé chef...
Je commence à m'approcher et à lui tendre la main, pour l'aider à se relever. Mais là, elle me donne une claque.
• Dégage! M'approche pas, laisse moi.
Des son horribles s'approchent de nous.
• Revient me laisse pas, à l’aideeeee !!!!!
On repart aussi vite que l'on et descendu, à la vitesse agecanenonix. On a mal partout et on s’engueule en courant.
• Attend moi, pas si vite Laura !!!
• toi, mais ce n’est pas possible et tombe pas !!!


Les contaminés ne sont pas loin derrière et ils nous entendent nous déplacer.

Fin du premier chapitre. Je m'excuse pour les fautes. Que pensez-vous de ce premier chapitre?

 
     
     
 
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