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Mon premier HPDM =D *fière* Rien de méchant, quelque petits sous entendus de relations homosexuelles donc si cela vous offense, vous dégoute etc... petite croix rouge en haut à droite bla bla bla. Disclaming : (Toujours rêvé de remplir ça =D ) J'aurais bien voulu, sincèrement...mais non.. tout est à Elle... Si on y réfléchi, j'ai pas inventé grand chose avec cette fic' puisque même les paroles de la chanson ne sont pas de moi mais de My Chemical Romance -_-" Rating : K+ A cause des sous entendus jviens de vous dire =D Genre : Humour Paring : HP/DM Quand un dragon qui chante équivaut à un lion qui cherche. « Harry ? Tu as regardé sous la… -Ron, ta gueule. » Mon meilleur ami, la bouche encore ouverte, le doigt tendu vers un lieu de ma chambre que j’ignore, ravale sa réplique cinglante et se contente d’un vague « Démerdes- toi » avant de quitter la pièce en claquant la porte. Le sol en est encore a tremblé que j’ai déjà repris l’exploration… enfin… la mise à sac, de l’endroit. Où est ce que j’ai bien pu le mettre…. ?! Je sors ma baguette de ma poche, marmonne un Lumos et, d’un mouvement agile, me retrouve à plat ventre sous le lit, pour la troisième fois depuis une heure. On ne sait jamais, il s’est peut être caché derrière un tas de poussière. Sauf que non… parce que j’ai épousé la personne la plus maniaque de notre monde, donc il n’y a absolument RIEN sous le lit… Mais qu’est ce que j’en ai fait… ?! Brusquement, je me relève, jette ma baguette sur un fauteuil et me précipite vers la commode que je commence à vider sans un remord. Les chaussettes et caleçons forment déjà un tas conséquent quand je me permets mon deuxième « Fais chier ! » de l’heure. Suivit d’un énorme soupir et de mon corps qui s’effondre le long du mur, le nez dans mes genoux. Réfléchis ‘Ryry, réfléchis… la dernière fois que tu l’avais dans la main… Hier soir… en me déshabillant ! D’un bond, me voilà debout et d’un autre, dans la salle de bain, face à notre pile de linge sale. Une chance, l’homme de ma vie n’a pas eu le temps de s’en occuper avant d’aller travailler. Homme de ma vie que j’imagine déjà parfaitement, tandis que je vide les poches de mes affaires de la veille, affalé noblement dans l’un de nos fauteuil, un verre de Gin – Explosif à la main et me disant, sans retenir un superbe sourire sadique : « Je t’avais prévenu que tu risquais de le perdre. Une fabrication moldue, et de cette taille qui plus est… sa disparition n’était qu’une question de temps. » D’un geste rageur, j’envoie mon jean retrouver le sol, récupère ma baguette et sort par le même chemin que Ron. Deux portes plus loin, ma colère n’a pas diminué et c’est avec une délicatesse comparable à celle de Graup que je rentre dans la chambre d’ami, actuellement occupée par les futurs époux Weasley. Un Lumos, un tête à tête avec le sol et un juron plus tard, je suis de nouveau face à une commode qui frémit déjà de peur à l’idée de se faire éventrer de son contenu. Heureusement pour elle, ma conscience est encore en état de marche et le fait qu’elle vient de me hurler que je n’avais aucun droit de fouiller dans les affaires de mes amis, m’a remis les idées en place. « Sauf que ça ne me dit pas où il est ! » Soufflant comme un piètre marathonien, je sors de la pièce, claque la porte et descend les escaliers d’un pas lourd. Je tape des talons, c’est puéril, ça ne sert à rien mais ça a l’avantage de me calmer… un peu. Je ne jette même plus un regard à mon bureau, puisque je l’ai déjà fouillé quatre fois, et me dirige directement vers les canapés. Les cousins rejoignent le sol, mes mains glissent entre les dossiers mais j’ai de plus en plus envie de m’écraser la tête contre le parquet massif. « Merde ! Merde ! Et merde ! » Après cette sympathique démonstration de mon illustre délicatesse, je me dresse sur mes jambes et me dirige vers ma nouvelle cible : la cuisine. Mais je suis arrêté dans ma progression par le grincement de la grille de notre jardin. Grincement qui efface la plupart des brides de colère de mon visage et vient les remplacer par un éclatant sourire niais : il est là. En quelques enjambés, je suis accoudé à notre balcon et je me délecte de la vue de ce jeune homme blond qui remonte lentement notre allée en fredonnant une chanson. Toujours sans un bruit, je tend l’oreille et reconnais presque immédiatement ce refrain qui lui va si bien. « Well, I think I'm gonna burn in hell, everybody burn the house right now !” Apparemment, il ne s’est pas encore rendu compte que je l’observai puisqu’il vient de s’arrêter en plein milieu du chemin et commence gentiment à se déhancher avec presque autant de passion que le créateur de cette chanson. « And say, ha ! What I wanna say !” Pire… il devient possédé… « Tell me I’m an angel, take this to my grave ! » Oh oui tu es un ange. Mon ange. Mais si tu continus ta transe, je ne te promet rien de très catholique. Mais… minute… depuis quand mon dragon écoute t’il de la musique en revenant du travail ? « Tell me I’m a bad man, kick me like a stray ! » Depuis quand il a un iPod aussi petit et introuvable que le mien ?! « Tell me I’m an angel…” Oh le… “DRACO LUCIUS POTTER-MALFOY !!! - Take this to my gra… oh oh… Bonjour… mon cœur… je…. Non attends ! Je peux tout expliquer ! » The Endeuh ! Meeerci d'avoir lu ! =D |
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