Disclaimer : Les personnages ne sont pas à moi mais je joue avec… Auteur : La Tortue ou Tsuda Couples : …. Rated : T pour présence de viol mais non détaillé. Note 1 : Cette fiction m’a été inspirée par la fanfiction « pardonne moi », un one shot. Je préviens qu’il y aura de grandes ressemblances mais aussi des différences. Ca n’est pas vraiment du plagiat et j’ai prévenu l’auteur de la fanfiction que j’ai repris son idée. Note 2 : Ben amusez vous bien =] et merci à la bêta lectrice ! Chapitre 1Le drame« Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol » Le jeune homme brun bougea dans son lit, le bruissement des draps froissés résonant dans le dortoir presque aussi fort que les gémissements qui s’échappaient de ses lèvres. Il murmura «Severus hum… » …quelques minutes plus tard. Harry Potter ouvrit brusquement les yeux. L’adolescent de 16 ans passa péniblement une main sur son visage moite et il fit une grimace en sentant quelque chose de gluant, chaud et visqueux dans son caleçon. Il s’était encore lâché, berk. Le survivant se leva avec précaution, le dortoir était toujours silencieux, et s’enferma dans la salle de bain pour effacer toute traces de son « méfait ». Au moins il n’avait pas rêvé de Voldemort. Quelques heures plus tard et ce même brun petit déjeunait tranquillement en compagnie de ses deux meilleurs amis, Ron Weasley et Hermione Granger. Ces deux là sortaient ensemble depuis deux mois et ça roucoulait fort. Pour le moment le roux critiquait, avec une langue s’approchant plus de la vipère que du lion, son horrible professeur de potion Severus Snape. « Mais tu te rends compte ?! Trois parchemins de trente centimètres pour décrire simplement des effets ! Mais il est fou ! » « Tu devrais t’y mettre dès maintenant dans ce cas Ron. Moi je suis au trois quart de mon troisième parchemin. Et toi Harry ? Harry ? Haaarry !? » L’interpellé sursauta et posa ses yeux verts sur le visage de son amie. « hn ? » « Muhaha ! Il est encore dans ses rêves avec une jolie fille. » Harry rougit violemment et fût mal à l’aise. « En parlant de ça, il faut que je vous parle…Mais pas ici. Tout à l’heure ». Le ton grave de leur ami fit le couple échanger un regard. Le brun leur parla pendant la pause du midi. Ils ne se trouvaient pas très loin du saule cogneur qui bougeait paresseusement ses branches au gré du vent. Harry se mit devant ses amis, se tordant les mains en signe de stresse. Mains que Hermione s’empressa d’attraper pour calmer son ami. Celui-ci inspira longuement. « En fait c’est que… ce que je veux vous dire, les yeux de Ron et Hermione l’encouragèrent, bref en quelque mots je pense être gay. Non en fait je ne pense pas, je suis homosexuel. » Les visages des deux adolescents en face de lui se décrispèrent immédiatement. Ron prit la parole. « Ouuf ! Ça n’était que ça ? Mais mon pote on le sait depuis deux ans maintenant ! » « Deux ans ? Mais comment ?! » « Il suffisait de te regarde Harry. Tu n’as jamais été très doué pour cacher tes sentiments. » Hermione souriait gentiment. « Chai pas quand tu t’en es rendu compte mais moi je l’ai compris quand tu as bavé sur le cul de Dean pendant une douche après l’entraînement de quidditch », Ron s’exclama. Les jours d’Harry prirent une jolie teinte oscillant entre le vermeille et le coquelicot. « Euh et hum…Je suis amoureux aussi… » « De Snape. On le sait aussi. Depuis que tu as commencé à soupirer son prénom dans ton sommeil en tous cas. Dès que tu t’endors les gars et moi jetons un sort de silence temporaire histoire de pouvoir dormir. » Ronald Weasley, qui était roux, s’esclaffa bruyamment tandis que sa petite amie, qui était brune, souriait un peu gênée pour son meilleur ami. Meilleur ami qui même dans une pièce sombre et couvert d’un drap aurait pu brillé de milles feux avec tout le sang qu’emmagasinait son visage. « Et…et ça ne vous fait rien ? Le survivant gay ? » Ron balaya d’un geste de la main les propos de son ami. « Chez les moldus vous êtes peut-être mal vu, mais dans le monde des sorciers, les homosexuels sont des êtres normaux. Ils peuvent avoirs des enfants aussi. Mais d’une autre manière je crois. C’est pour ça que j’ai toujours dit qu’il valait mieux être sorcier ! » « Roh ça suffit Ron. Sinon Harry ça va, tu n’as plus rien d’important à nous dire ? » « Non, non c’est bon » « Chouette alors ! Venez les garçons, on va travailler histoire de réussir les examens. C’est quand même notre dernière année à Poudlard ! » Hermione entraîna son petit copain qui faisait d’horrible grimace sous les yeux rieurs d’Harry. Il remerciait le ciel d’avoir mis des gens comme ça sur sa route. Il ferait tout pour les protéger même si il devait devenir un assassin pour ça. Il suivit ses amis dans le château, ne se rendant pas compte qu’il était observé pour quelqu’un. En cour de potion, Harry Potter fût comme d’habitude enseveli sous les sarcasmes de son professeur. Cependant, son professeur semblait plus virulent qu’a l’accoutumé. Ses yeux exprimaient clairement le dégoût que lui inspirait le fils de son défunt pire ennemi. « Ben dis donc il est frustré Snape ou quoi ? », Chuchota Ron. Harry ne dit rien mais au fond il souffrait. Il sourit à Ron sous le regard inquiet d’Hermione. Le lendemain, après entrevue houleuse avec son directeur la veille, Harry Potter prit le train qui l’amènerait à la voix 9 ¾ pour qu’il passe ses vacances de Noël chez les Dursley. Le brun n’arrivait toujours pas à y croire et c’est morose qu’il rentra dans l’imposante voiture de son oncle. Une semaine passa et Harry souhaitait pour la première fois depuis des années que les vacances s’achèvent prématurément. La veille de Noël, il se réveilla sa cicatrice brûlante et douloureuse. Il savait pour Snape. Harry avait encore rêvé que son professeur le prenait encore et encore, l’électrisant sous les caresses puis le rêve rose s’était changé en cauchemar. Une salle sombre et nue avec en son centre une sorte de trône où assit, le seigneur des ténèbres rigolait. « Alors comme ça tu veux te faire prendre ? Je vais réaliser rêve Potter. » Le brun s’était réveiller en sursaut et avait couru dans la salle de bain pour vomir, s’attirant les cris dégoûtés de sa tante. « Tiens prend cet argent et va acheter du détergeant ! », s’exclama sa tante et Harry fût obliger de s’exécuter quelques minutes avant que le soleil ne se couche. Malheureusement pour lui, la protection de sa défunte mère ne s’étendait pas jusqu’à l’épicerie deux pâtés plus loin et Harry se trouva face à deux personnes en robe noir, leur visages recouvert quand il ressorti du magasin. Il recula instinctivement mais il était trop tard. L’une des personnes parla et reconnu l’assassin de son parrain. « Alors petit bébé ? On a peur ? On n’a pas sa baguette ? Mais c’est dangereux le soir pourtant. Ta maman ne te l’a jamais dis ? Doloris ! » Harry s’écroula la bouche résolument fermer, des spasmes de douleurs le faisait gesticuler en tout sens tandis que chaque cellule de son corps le brûlait, le forçant à supplier silencieusement la fin de cette torture. Lestrange rigola mais un « finite incantatum » arrêta le rire. A travers sa douleur Harry distingua la deuxième personne qui parlait à l’autre mangemort celle-ci fit la moue mais ses yeux brillaient d’une lueur malsaine. Le survivant ferma ses yeux quelques instants mais les rouvrit tout de suite, quelqu’un baissait son pantalon. Non. Par tous les saints pas ça. Harry secoua la tête et bougea les bras pour essayer de repousser la personne qui baissait à présent son caleçon. Il gémit en sentant un doigt douloureux s’immiscer en lui. « Hoooo ! Ecoutez moi ça ! Tu commences déjà à crier ? Mais il n’a pas encore commencé ! D’ailleurs c’est vrai ça. Presse toi ! », Ordonna quasiment la femme aux lourdes paupières. Faisant comme ci elle n’avait rien entendu, la personne rentra un deuxième doigt en Harry puis le jugeant assez préparé, pénétra le survivant. Harry cria et se débattit, la sensation d’être écartelé au plus profond de son être le faisait bouger mais on le maintenait fermement sur le sol. C’est avec effroi qu’il vit la capuche de son violeur tomber sous un coup de boutoir violant. L’homme qu’il aimait le violait, Severus Snape. Celui-ci voyant Harry le regarder, éjacula violemment dans le corps du brun. « Pfui ! J’ai failli attendre ! Bon dépêche toi on doit y aller. Au plaisir de te revoir Potty. Je transmettrais les remerciements au maître. » Ricana la femme mangemort. Elle fit un signe à son « collègue » puis dans un « pop » disparut. Severus se releva et remit correctement en place les habits d’Harry, comme voulant effacer son méfait, et fit de même avec les siens puis transplana, laissant le brun dans la ruelle. Le jeune homme gémit en essayant de se relever. Des larmes de désespoir, rage et douleur coulaient le long de ses joues. Il n’arrivait pas à comprendre ce qu’il venait de se passer. A suivre ! Le chapitre 2 sera là la semaine prochaine, j'attend avec impatience vos commentaires ! |