Auteur : Thedreamspectral Bêta-correcteur : Moi-même Disclamer : Cette histoire est totalement fictive, tous m’appartient.Genre : Je classerai bien ce OS dans la fantaisie, mystère.Sous-genre : One Shot, participation à un concours. Rating : K ou G Pairing : aucun Résumé : Ce OS est une réponse à un concours créer par le Ministère. Voici la page du concours : http://www.mels.gouv.qc.ca/sections/concoursEcriture/index.asp?page=reglementNote de l’auteur : Cet OS a été assez difficile à faire. De plus je ne devais me faire aider pas personne.Mise en garde : Déconnectez-vous de la réalité et lisez. Bonne Lecture _______________ Le vieux matelas s’affaissa sous le poids d’une petite fille. Dés que la tête de celle-ci toucha l’oreiller elle sombra dans le sommeil. Sa respiration résonnait dans sa petite chambre, sa forme se reflétait sur les murs en une ombre. Et, de là où elle était, la Lune guetta la fillette de son regard maternelle. Comme elle le faisait avec tous les autres enfants du monde. N’étant pas seulement la muse des artistes et le cobaye des scientifiques, elle devait aussi s’assurer que chaque enfant dorme, que chaque enfant prenne le train vers le pays des rêves. Qu’ils quittent seulement pour le temps d’une nuit, la réalité de leur monde, et qu’ils planent sur les nombreux nuages du pays des rêves. Car le rêve n’est pas seulement une phase scientifique du sommeil. Il est aussi le moment où notre subconscient se libère, se détache de notre conscience, pour nous faire vivre les plus belles aventures ou les plus horribles cauchemars. Car même si rêver est l’une des plus belles choses, il y a tout de même des côtés obscurs. Par une affreuse malchance on pouvait tout aussi bien se retrouver du mauvais côté du Pays des Rêves, affrontant d’horribles créatures où des situations effrayantes. Car malgré ce que l’on pense, rêver n’est pas une activité de tous repos. Mais peu importe, les enfants aiment tout de même se plonger dans ce monde qu’ils ne revoient que tous les soirs. Alors, tout doucement leur subconscient se détacha de leur corps en une volute de fumée. Celle-ci flotta et s’échappa par les interstices des fenêtres et des portes. On pouvait alors voir, à une heure avancée de la nuit, des nuages flotter dans le ciel. S’enfuyant dans les cieux, vers la Lune, vers un pays de rêves digne d’un conte de fée. Et ce fut un de ces enfants qui avait perdu l’espoir de bien vivre, qui fut témoin de cet étrange spectacle. Ecarquillant les yeux et pointant son doigt vers la Lune pour pouvoir la rejoindre. Mais il sombra à son tour, doucement, dans le sommeil. Son corps, se couchant sur ses habits sales et ses cartons déchirés. Son subconscient rejoignit bientôt les autres. Car même les plus malheureux avaient le droit de rêver. |