N.D.A : Voilà!! Je voulais essayer d’écrire une SongFic… Par la même occasion, j’ai voulu essayer le drame… Donc : La chanson c’est : Évangeline mais j’ai [modifié] un peu les paroles pour qu’elles concordent avec l’histoire. Cette chanson est à l’origine une chanson qui symbolise le courage et la persévérante d’une femme qui habitait la Nouvelle-France : Évangeline, lorsque les Anglais sont arrivés. Les anglais sont bien sur remplacés par Voldemort et les mangemorts, Évangeline est Ginny. Je vous laisse découvrir le reste d l’histoire. N’oubliez pas!!! Ce n’est pas la vraie histoire de ce couple… Bonne Lecture ~¤ Adeluska ¤~ « [Ginny] » « Les étoiles étaient dans le ciel, Toi dans les bras d’ [Harry], Il faisait beau s’était dimanche, Les cloches allaient bientôt sonnées, Et tu allais te marier dans ta première robe blanche » Aujourd’hui, dimanche 24 novembre, Ginny Weasley allait enfin devenir Potter. C’était, selon les deux amoureux, le plus beau jour de leur vie. La jeune femme portait une magnifique robe blanche avec de nombreuses perles de la même couleur. Pour sa part, Harry portait un élégant habit noir, agrémenté d’une cravate verte qui faisait ressortir ses yeux d’émeraude. Les deux amants allaient bientôt prononcer leurs vœux. Ils se passaient de temps à autre des regards éperdument amoureux. La cérémonie se termina et les deux nouveaux époux quittèrent l’église main dans la main. Ils se rendirent en limousine volante jusque dans un grand jardin à ciel ouvert où ils allaient fêter une bonne partie de la nuit. « Et le soir au son du violonLes filles, mais surtout les garçons t’auraient dit que tu étais belle » « [Ginny, Ginny] » Cette soirée d’euphorie était déjà bien avancée et la musique battait son plein. Soudain, cette ambiance se figea et toute l’assemblée fit de même. L’air se refroidit et toutes les personnes regardaient dans tous les sens pour tenter de voir ce qui causait cette interruption à la fête. « Mais les [ténèbres] sont arrivésEt dans [le mutisme] elles ont enfermés [toutes les personnes] de ton [entourage] » Brusquement, une dense fumée verte envahie le jardin. Une ombre, à la silhouette grande, filiforme et gracile, mais qui n’inspirait pas confiance, fit son apparition à travers la vapeur verdâtre. Cette dernière devenait de plus en plus dense et bientôt on n’y vit plus rien du tout. Ginny serrai très fort le bras de son époux contre elle. S’était la panique, tout le monde criait. Soudain plus rien, plus un cri. Seulement un rire diabolique. Le bras d'Harry fut enlevé des bras de la jeune femme. Elle voulu crier mais aucun son de sortit de sa gorge. Tout était plongé dans un mutisme total. Quelques pénibles minutes plus tard, la fumée verte s’estompa. Les gens purent recommencer à parler. Ils se chuchotaient des paroles que Ginny ne put comprendre. Peu à peu, encore en panique, chacun repartaient dans leur demeure pour se sentir en sécurité et bien protéger. « Et toute seule [dans le jardin] tu as essayé de prierMais tu n’avais plus rien à dire » Maintenant seule, Ginny pleurait toute les larmes de son corps. Harry avait été amené dans ce brouillard. Cette journée mémorable de son mariage s’était transformée en une journée de cauchemars. Son époux avait disparu, sa vie avait été détruite. Elle était assise dans le gazon et elle criait son nom, comme si ça pouvait lui rapporter son mari. Ces cris étaient ceux du désespoir. Elle aimait tellement Harry. À la fin de sa cinquième année, il l’avait quitté une première fois. Elle s’en était remis mais après de longs mois seulement. Ce beau brun avait fini par comprendre qu’elle était quand même en danger. Ils avaient donc repris leur relation là où ils l’avaient coupé. Puis, quelques années de pur bonheur et d’amour plus tard, alors qu’elle avait vingt ans, Harry l’a demandé en mariage. Et, vu le déroulement du début de sa journée, elle avait acceptée. « [Ginny,Ginny] » *¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤*¤* « Alors pendant plus de vingt ans tu as recherché ton amantA travers tous [les continents]Dans les plaines et les vallonsChaque vent murmurait son nom comme la plus jolie musique » Ginny parcouru le monde des sorciers à la recherche du mage noir qui lui avait enlevé son amour. Partout, il lui semblait entendre son nom. Elle sentait encore son odeur autour d’elle. Mais nulle part, elle le savait, elle ne reverrait son regard émeraude. Elle revoyait son visage dans tous ses rêves les plus doux. Il lui manquait… manquait tellement… Mais Ginny, même si elle avait quitté Poudlard, gardait dans le fond de son être sa nature de Griffondore : courageuse, persévérante et déterminée. « Même si ton cœur était mort, Ton amour grandissait plus fortDans le souvenir et l’absenceIl était toutes tes pensées et chaque jour il fleurissaitDans le grand jardin du silence » Plus les jours passaient, plus les années passaient, il lui manquait plus qu’énormément. Constamment elle pensait à lui. Elle se rappelait ses baisers, si doux, si langoureux… Son odeur, si enivrante… Ses yeux si profonds, si mystérieux… Son sourire charmeur si accrocheur… Et ce corps… inoubliable… Elle restait seule, elle n’en parlait pas. Elle voulait garder ces souvenirs pour elle seule. Ces souvenirs si précieux… qui lui permettait de vivre jours après jours, mois après mois, années après années. Elle vivait à travers ces souvenirs. « [Ginny, Ginny] » « Tu vécu dans le seul désir de soulager et de guérirCeux qui souffleraient plus que toi-mêmeTu appris qu’au bout des chagrinsOn trouve toujours un chemin vers celui qui nous aime » Ginny entreprit des études et devint médicomage. Elle voyait rentrer des patients gravement malades et elle les voyait ressortir heureux aux cotés de la personne qui les aime. Elle souffrait à l’intérieur, mais elle gardait tout pour elle, pour elle seule. Elle soignait inlassablement des patients. Au bout de trois années de travail, elle apprit que quand une personne vit quelque chose de dur, la personne qu’on aime vient toujours nous soutenir et nous aider à nous en sortir. La jeune femme ne perdit jamais espoir. Elle continua de rechercher et de rester alerte à toute nouvelle concernant Voldemort. Sa devise était et sera toujours : « Je dois rester! Je dois rester pour lui! Je vais le revoir! Courage! » « Ainsi un [ ] matin tu entendis dans le lointain[L’alarme de l’hôpital] » Un matin comme les autres, alors qu’elle entrait à St-Mangouste, elle reçu un message urgent qui demandait à la meilleure médicomage, donc elle, à aller dans la salle d’urgence. « Devant toi était étenduSur un [lit blanc] un inconnuUn vieillard mourant de faiblesseDans la lumière du matin son visage sembl |