Petite ode, ou mieux encore Duode. Cette ode est pour Cloé, Notre grande-duchesse, Cette ode est pour Lockless, Déesse aux doigts de fée. En ce beau jour de mai, Humblement je m’adresse A la belle Cloé, A l’étrange Lockless, Pour être pardonnée, Suprême maladresse, De n’avoir pas chanté Sa prose enchanteresse. Envie de poétesse, Je vais lire Lockless, Ou besoin de rêver, Je passe voir Cloé. Cependant par faiblesse, Nonobstant mon ivresse, Moi, pauvre évaporée, J’oublie de reviewer. Pour un Roi adoré, Paris vaut une messe. L’Obsession déjantée Qu’on lit et qui nous laisse Surpris et envoûtés Mérite la promesse Qu’à l’auteur surdouée On avoue sa tendresse. Plus Cloé que Lockless, Plus que Divinité, Tu as bien mérité Cette ode d’allégresse. Plus Lockless que Cloé Plus grande que duchesse, Tes mots sont la richesse Qu’ici je viens chercher. Grand merci d’exister. Pyanfar. 3 mai 2008 |