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Grrr, un amour sauvage !
Par Psycho-diabolic
Pèle-Mèle  -  Humour/Parodie  -  fr
11 chapitres - Complète - Rating : K+ (10ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 8     Les chapitres     0 Review     Illustration    
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Un plan pour ce soir ?

     8-Un plan pour ce soir ?

Après cette triste tentative de se racheter, j'ai dû déposer mon copain chez lui. Ça m'en a pris du temps ! Et tout ça pour quoi ? Pour le voir ronfler comme un gros porc chez lui ! Non mais franchement, je me demande bien comment je fais pour rester encore avec lui. C'est sûrement le fait que je ressens quelque chose pour lui. Ah... C'est sûrement l'odeur de framboise de son parfum que je sens ! Ou alors, c'est ce truc au cœur , comment on appelle ça déjà ?

Suite à cette petite mésaventure, je me suis laissée plonger dans un sommeil profond que je ne m'étais même pas rendue compte que je m'étais allongée sur le lit de mon chéri. Je devais être tellement éprouvée que je n'ai pas pu m'en empêcher. Hier, je n'ai pas pu observer chaque recoin de sa chambre. Mais c'est seulement une fois mes yeux entièrement ouverts que je remarque ma rancœur vis-à vis de cette pièce.

Je suis abasourdie. Mais d'où il sort celui-là ? Nous n'avons vraiment pas les mêmes valeurs nous deux ! Mais quand je le regarde, dormir comme un gros bébé qu'il est, ça me fendrait le cœur de le repousser pour cela. Mais bon, ce qui est fait, est fait... Je suis dans son lit. Ok, pas de panique, de toute façon rien ne peut être pire que maintenant. Tout d'abord, le lit est un peu... trop grand pour nous... non c'était une blague, ironie démesurée. Je crois que le lit a deux places mais il ne pourrait pas prendre une grosse baleine dedans ! Heureusement que ce n'est juste que moi.

Je le contemple attentivement, avant de m'apercevoir que sa chambre est totalement dévastée, enfin... C'est tout comme ! Juste quelques affaires par-ci par là. L'armoire en désordre, à demi-ouverte où des fringues y sortent de tous les côtés; même des caleçons et des boxers... très colorés ! J'adore ça. Au moins, on sait où trouver ce qu'on veut...

Malgré le fait que mes yeux soient encore un peu dans le vague, je discerne un peu près tout ce qui s'y trouve dans cette... chambre, si on peut encore appeler cela... Une chambre.

Je secoue ensuite Pierre doucement pour éviter de trop le brusquer, surtout après le coup à la tête que je lui ai donné. Mais il ne se lève toujours pas, aucun signe de sa part... Sympa. Je vais devoir employer les grands moyens. C'est alors que je me mets sur les deux genoux, sur son lit, puis commence à le prendre par les deux épaules à l'aide de mes mains. Cette fois : aucune pitié ! Je le secoue violemment en lui hurlant fortement au visage

-Debout gros dormeur !

Bon... Toujours rien. Il veut que j'utilise mes griffes ou quoi ? Bien, s'il veut que je lui fasse sa fête à celui là, il l'aura. Je le secoue une nouvelle fois, pour ensuite le frapper en plein sur ses deux jolies p'tites joues devenues rouges par cette violente frappe. Enfin, il se décide à ouvrir les yeux !

-Non j'ai rien fait ! C'est pas moi !

Hein ? Mauvais rêve sûrement. Je le regarde fixement, et c'est à ce moment là que je distingue un large sourire qui commence à se dessiner sur son visage. Je m'avance ensuite doucettement vers lui, en approchant discrètement mon visage vers le sien aussi pâle qu'un blanc d'œuf. Je commence alors à lui lécher les oreilles sensuellement, puis lui susurre d'une voix très... érotiques :

-Tu peux te racheter maintenant, si tu veux..

-Quoi ? Ici ? Dans ma chambre ?

-Non, parmi les branches d'arbres !

-Ah, mais fait froid dehors, bon attends, je prends ma veste et...

-Oh mais ta gueule, fais moi l'amour, gros débile !

Sans plus ajouter un mot, il fit ce que je lui ai demandé. Et quand j'ai dit "gros débile", je n'ai pas exagéré la chose !

Je lui tâte chaque partie de son corps (toutes les parties, même les plus intimes) lorsque j'entends un bruit, ou plutôt un couinement, je ne sais pas trop. Je me relève brutalement, en le laissant en plan, allongé sur le dos. Puis, je sens quelque chose qui me chatouille le pieds, je gigote mais rien, ça me chatouille toujours autant. Je sens la chose monter le long de ma jambe. C'est une bestiole ? Une bestiole dans le lit ! Je scrute les alentours, soulève la couverture et c'est là que j'aperçois un rat ! Ou une souris, enfin peu importe, ça revient à la même chose : Une bestiole dans le lit ! Cet enfoiré de Pierre a des bestioles dans sa chambre ! Je me lève, je m'égosille la voix. Je crois bien que Pierre fait la même chose.

-Non, mais ça va pas ?! Enlève ça tout de suite de là !

Après les mots sortis de ma bouche, Pierre se hâte d'aller prendre une chaussure qui traine dans le coin, mais rien à faire. Il a beau la viser avec sa chaussure, il n'arrive toujours pas à l'atteindre. Mais je crois bien qu'elle est finalement partie cette affreuse bête ! On peut retourner sur le lit faire des choses cochonnes. Mais quelque chose me gêne, je ne pourrais pas dire exactement ce que c'est... Je sens le lit plonger à p'tit feu à chaque coup de rein que me donne mon copain. J'ai peur qu'il tombe, ce n'est pas une blague... Il va se casser en deux !

-Pierre ! attends, arrête !

Je me lève, m'écarte de mon amant, les yeux exorbités. J'en reviens toujours pas mais c'est pas possible ! Il a vraiment pas de fric au point de s'acheter un lit pareil ? Si j'avais su, on aurait fait ça dans le lit de mes parents ! Ils ont de l'argent eux au moins !

-Qu'est-ce qui va pas ?

-Ton lit, pov' abruti ! Tu l'as trouvé où ? Au marché aux puces ?

-Non, à la brocante.

Je lève les yeux au ciel, il est vraiment exaspérant ce mec. Je l'attrape par le bout de son boxer bleu turquoise. Et nous nous installons confortablement parmi une pile de linges à côté de nous... "confortablement" c'est le moins qu'on puisse dire, enfin, si on peut dire ça ainsi. Nous continuons quand même ce que nous étions en train de faire, peu importe ce qui se passe ensuite, j'avais vraiment besoin de ça en ce moment. Quand, j'entends un grincement de la porte, je me retourne mais je ne vois personne. Pierre, quant à lui, ne se préoccupe peu de ce qui se passa autour de lui, trop concentré à se mêler à mon corps... Il se positionne sur moi dorénavant, mais je le pousse ardemment contre la porte de sa chambre car j'ai une nouvelle fois entendu du bruit. Une autre souris ? Si c'est le cas, je préfère tout de suite m'en aller ! Mais comment peut-il dormir dans une chambre pareille ? C'est incompréhensible, même si je reste ici à me laisser bercer par ces mouvements très délicats et très tendres... Ainsi que ces doux baisers qui traversent le long de mon corps, qui, à présent, frissonne de bonheur... Vous y croyez vous ? Bah.. C'est pas vrai ! Je les sens venir ces coups de reins moi ! Tendre, mon œil, c'est limite s'il m'arrache pas la peau avec ses baisers de vampire !

-STOP !

-Quoi encore ?

Pierre s'arrête net. Je me relève, lève mes bras pour calmer le jeu, puis... Plus rien, plus aucun bruit. Un grand silence pesant s'est installé entre nous. Je regarde mon copain de tout son long... A poil devant moi. Après tout, on était venu ici pour faire une seule chose et on l'a faite, mais maintenant, je me ferais bien Léo... Si seulement, il était d'accord ! Je me rhabille enfin mais Pierre ne semble pas comprendre, toujours nu devant moi. Je le toise une bonne fois pour toute puis l'embrasse sur la bouche. Oh et puis non, je lui roule une pelle, qui le fait chavirer au sol. Le pauvre...

Puis... Je sors en claquant la porte derrière moi une fois entièrement couverte.


 
 
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