Ce soir je fais le grand saut... Je vais révéler "au monde" l'un de mes gribouillis (le seul qui paraît plus ou moins achevé). C'est ma première fois et j'aila trouille lol

L'inspiration m'est venue un jour alors que je m'ennuyais ferme au boulot (han! pas bien!) et je l'ai tapé d'une traite, en quasiment 15mn. Bien entendu, pour ne pas vous blesser les mirettes, je l'ai tout de même un peu corrigé.

Quoi qu'il en soit, critiques (constructives) et/ou conseils, je suis preneuse (pas folle la guêpe, je suis tout à fait consciente d'avoir d'énormes lacunes niveau écriture!). Bref j'arrête mon blabla et vous souhaite une bonne lecture!

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Il est comme moi, mais il est lui. Il est mon double et ma moitié. Chacun s’affirme en tant qu’être libre, mais on s’appartient irrémédiablement. Il n’est pas vital à ma survie pourtant, sans lui, je ne suis plus. Sans réellement penser à lui, il hante mon esprit en permanence. Il est en moi, il est moi, je suis lui. Nous sommes une paire, nous sommes un tout. Un lien surnaturel et indéfectible nous lie. Deux esprits qui vibrent en harmonie, deux cœurs qui battent à l’unisson. 

Chaque être à besoin de témoignages d’affection venant de ceux qu’il aime, pour savoir qu’il est aimé. Pour nous ces preuves d’amour sont superficielles. Je l’aime et il m’aime, je le sais, il le sait. Son amour n’a d’égal que le mien. Pas de mots, je le ressens en moi car il le ressent en lui. Ce lien si fort, est presque palpable… littéralement charnel. A la fois irréel et tangible. 

Au commencement, nous n’étions qu’un, puis nous nous sommes séparé, comme pour mieux nous retrouver. Nous avons vécut nos premiers temps de vie seuls, mais à deux. Nous isolés de tous, dans cet endroit minuscule où il était mon monde et moi le sien. Si proches que son souffle était mien et ma chaleur était sienne. Tout autre son, toute autre chaleur ou toute autre sensation étaient comme d’une autre dimension, ne pouvant atteindre la bulle de notre monde. Nous sommes frères et bien plus encore. 

Aujourd’hui aucun souvenir ne reste de nos premiers instants, pourtant ils sont gravés en nous, comme marqués au fer rouge. Nous évoluons dans la vie avec ce souvenir lointain, ce rêve oublié du passé, dont seul subsiste une impression dévorante. Aucun être en ce monde n’est plus identique et plus complémentaire que lui pour moi ou moi pour lui. Les gens se cherchent et se trouvent, ou ne se trouvent pas. Avant même de chercher, nous nous étions trouvé, j’ai été crée pour lui, il a été crée pour moi. 

Toujours proches, même dans l’éloignement. Il est en moi, je suis en lui, il est moi, je suis lui. Sa vie n’est rien sans moi. Il le ressent si fort que cette pensée résonne en moi et diffuse la chaleur de son affection à travers mon corps. Et parce que tout mon être crie que je ne suis rien sans lui, l’écho de ma pensée se propage en son sein comme une onde qui répand mon amour pour lui. Les mots sont si faibles et si vides de sens comparés à nos sentiments si forts, si absolus… si achevés. Nous sommes complets. 

Ces mots pour tenter de décrire la face visible de notre iceberg. Je suis Gred, il est Forges, ou l’inverse, comme les deux. Voilà tout ce que nous sommes. Plus fort que tout, comme une évidence, gravé dans chaque parcelle de nos corps et de nos âmes. Chacun à son rôle, mais aucun n’a de sens sans l’autre et ensemble nous formons un tout cohérent. Nous sommes les deux moitiés d’un même cœur… Comme le mien que j’entends battre au même rythme frénétique que le sien, alors que je me blotti tout contre lui. Je ferme les yeux et je nous écoute, c’est notre chanson. Cet air envoûtant chante que mon cœur ne bat que pour lui et que le sien ne battra jamais que pour moi. Si tu savais. Je t’aime tellement, tu es... 

- "Tu es tout pour moi."

 Cette phrase qui répond à mes pensées et qui furent sûrement aussi les siennes. Ces bras qui me serrent plus fort comme pour ne jamais me laisser partir, comme si je pouvais vraiment vouloir partir. Cette plénitude si forte, on ne la partage pas, on la garde jalousement comme un trésor, c’est le souffle de nos vies… de notre vie à deux. Le monde extérieur ne comprendra jamais. Et qu’importe. Qu’importe le reste du monde puisque je l’ai lui. Il est mon monde et je suis le sien. Nous sommes Fred et Georges, nous sommes les jumeaux Weasley.

 FIN

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Pas taper merci! Celui qui abime mon corps de Déesse devra en répondre devant Merlin... ou au moins devant ma mère... et ma mère elle blague pas! Na!

Bon j'arrêtes mes conneries et je vais faire ce que font les honnêtes gens à cette-ci: Ronfler!