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        |  |  | Chapitre 2 |  |  | Les chapitres |  |  | 4 Reviews |  |  |  | 
  
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	  A Toi.	 |  
	| J'ai encore donné mon petit coeurIl doit plus ressembler à grand chose
 Surtout à un vieux jeans, j'en ai peur
 Mais c'est tellement plus beau que des roses
 
 Il en est passé par de douces mains
 Mais il est trop fragile, il se brise
 Je dois je rafistoler, en vain
 Car chaque fleur qui passe y trouve une prise
 
 C'est ainsi qu'il voyage mon coeur
 Perpignan, Bruxelles et Helsinki
 Il voyage beaucoup trop, j'en ai peur
 C'est agréable mais j'ai des soucis
 
 Les filles ne sont pas toujours des tendres
 Elles le caressent un peu et le jettent
 Et il me reviens tout triste en cendres
 Alors, en pleurs, il me dit qu'il regrette
 
 C'est ainsi qu'il aime mon pauvre coeur
 Sarah, Blandine, Natalia et Toi
 Il aime beaucoup trop, j'en ai peur
 Car il a foi en ces trop belles lois
 
 Celles qui disent qu'on va la rencontrer
 Un beau jour sans vraiment s'y attendre
 Que ce soit en octobre ou janvier
 Que d'un simple regard on va s'éprendre
 
 Mon gros coeur, il est tout abîmé
 Il se jette trop vite dans les mystères
 Mais c'est comme ça qu'il aime, je le sais
 Je t'aime encore, je ne peux me taire.
   (15 juillet 2008) |  
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	      | Par  Luona le 16 Sept.. 08 - 20:26 : 
				  Chapitre 6						 |  
	      | Après avoir lus ses chefs d'oeuvres, tous plus beau les un que les autres, tous plus vrai et plus expressifs. Des mots qui vienne du coeur et de certaine erreurs. Je ne puis que t'applaudir. Pour se si grand plaisir que tu ma donner à lire. OH comme j'ai l'impression de te comprendre quelques fois... Et surtout continue bien comme ça! |  
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	      | La plume amatrice |  
	      | Par  EllayaDorienval le 08 Sept.. 08 - 12:26 : 
				  Chapitre 1						 |  
	      | Je pensais avoir déjà reviewé cette partie, je m'aperçois que ce n'était qu'llusion de mon esprit embrumé. 
 Je vais essayer d'être brève même si, tu commences à le savoir, ce n'est pas mon grand fort... La Fin d'une époque, le début d'une autre... Très subjectif de quelque manière que ce soit et comme je te l'ai déjà expliqué, cette illusion de commentaire le sera aussi...
 Une chose, si l'émoton se fait trop forte, certains orages paressent à mes cieux et je ne peux les faire fuir que grâce à des vents d'autres émotions. Tu manies habilement ces vents.
 
 L'ami Vian disait ceci: "Les lambeaux du temps jadis se pressaient autour de lui, tantôtdoux comme des souris grises, furtifs et mobiles, tantôt fulgurants pleins de vie et de soleil-d'autres coulaient tendre et lents, fluides sans mollesse et légers, pareils à la mousse des vagues."
 
 Simplement ceci, le temps et le passé peuvent parfos nous engloutir, nous noyer mais ils sont aussi souvent les moteurs de la progression si l'on sait comment les utiliser.
 
 Here's to you, Master of the Sacred Winds...
 
 (Et c'est loupé pour la longueur...)
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	      | Par  Elwyn le 30 Août. 08 - 10:48 :
		 ... 
				  Chapitre 1						 |  
	      | Pastiche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 
 
 Un pastiche (de l'italien pasticcio, pâté) est une imitation du style d'un auteur ou d'un artiste, qui ne vise ni le plagiat ni la parodie. On peut en découvrir dans tous les domaines littéraires et artistiques.
 
 Pastiche littéraire [modifier]
 
 Le pastiche est aussi vieux que la littérature. C’est l’imitation minutieuse du style d’un écrivain, reproduisant les formes et les contours de ses phrases, comme la pâte d’un moule reproduit un modèle
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 Plagiat
 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
 
 Le plagiat consiste à s'inspirer d'un modèle QUE L'ON OMET DÉLIBÉRÉMENT DE DESIGNER. Le plagiaire est celui qui s'approprie frauduleusement le style, les idées, ou les faits.
 
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 Voilà pour toi, tu te coucheras moins con.
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	      | Par  Platonange le 08 Août. 08 - 18:46 : 
				  Chapitre 3						 |  
	      | Tu n'aurais pas dû résumer, enfin bon... J'aime tes textes, ils sont beaux, directs. Ce dont je suis incapable, je m'encombre de trop de fioritures.
 
 Continue d'écrire, je continuerai de te lire.
 
 Mais ne promets pas d'intervenir.
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