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Unidentified Member of Family
Par poulpy
Harry Potter  -  Romance/Général  -  fr
2 chapitres - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     Les chapitres     2 Reviews    
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Prologue

Auteur : Poulpy 

Disclamer : l’univers et les personnages d’Harry Potter appartiennent à J.K Rowling, je ne suis pas payé pour écrire ceci et il n’y a que le scénario et la nouvelle perso qui sont de moi ;D 

Mot de l’auteur –de dos et de loin- : Yo ! Où êtes vous tombé malheureux ?? Aviez-vous pleinement conscience de votre acte en cliquant sur le lien menant à cette fiction ?? Si oui, inquiétez vous de votre santé mentale. Si non, eh bien bonne chance pour vous en sortir vivant, car je post très rarement du fait que j’ai mon bac et des concours cette année !

         Prologue                

Une paire de bottes. Voilà la seule chose qui était en noire sur elle. Le reste était d’un blanc éclatant. Presque aussi immaculé que celui des licornes de la Forêt Interdite. Une longue robe blanche, une cape blanche, un chapeau pointu blanc.

  « Cette fille n’avait rien de banal, on pouvait au moins lui accorder ça. Toutefois, ces goûts vestimentaires étaient moyenâgeux », d’après Laura Russo, journaliste à Femme Actuelle.

 Elle reposa le journal qu’elle feuilletait en attendant son train, puis prit sa valise d’une main ferme et la cage où reposé un bel oiseau blanc. Elle posa ces bagages sur son chariot puis siffla doucement, les yeux guettant les alentours. Peu après, un chat noir se dirigea vers elle. Elle le saisi et le mit dans sa cage de transport avant de s’adresser à ces animaux.

-Vous resterez sages durant le trajet jusqu’à Londres d’accord ? Nous serons ensemble dans les trains, certes, mais je ne veux pas de grabuge comme dans l’avion lorsque l’on sera sur le bateau !            

Elle soupira en attachant les cages solidement pour éviter qu’elles ne glissent du chariot. Pour quoi devait-elle user des moyens de locomotion moldu ? Un Portoloin aurait été tout autant efficace si ce n’est plus, moins coûteux et plus rapide. Elle marmonna quelques insultes lorsque son chat tenta de plumer sa corneille blanche, et se ressaisit lorsqu’elle remarqua que le vendeur de journaux la fixait. 

-Quoi ? Il a jamais vu de japonaise lui ou quoi ? Cracha-t-elle en se détournant, dans un anglais parfait.        

Puis, à la façon de la plus digne des anglaise fan du style rococo, elle partit, droite comme un piquet, le nez en l’air, poussant son chariot devant elle, un air digne et aristocratique sur le visage. Certes, pour se mêler à la foule de moldus parisiens elle n’était pas très douée, mais une fois à Londres, tout s’arrangera.  

La voix sans émotion symbolisant la SNCF résonna dans le grand hall de la Gare du Nord, indiquant que le train à destination de Calais entrait en gare. La jeune fille en banc sourit alors, marchant d’un pas plus vif encore, vers le quai numéro 8. Elle monta ses affaires dans son compartiment de première classe, posa sa valise dans un porte-bagages en face d’elle, ses deux cages d’animaux sur le siège à côté d’elle. Il n’y avait que trois autres personnes en plus d’elle dans cette voiture première classe. Des moldus sans intérêt aucun, hormis celui du bénéfice se trouvant au bout du train, dans une usine de pèche de saumon. 

La jeune japonaise soupira d’aisance en s’assoyant sur son siège mou et confortable où elle allait resté assise deux à trois heures, avant d’ensuite se retrouver dans un bateau pour toute une soirée et enfin, reprendre le train pour arriver à Londres et de là, prendre un train, plus spécial. Le quai 9 ¾ à direction de Poudlard, n’attendait qu’elle. Et elle, n’attendait que ça.  

*                        

La jeune fille habillée de blanc posa ses valises dans le Hall d’Entrée du grand château en pierre et enleva son chapeau pointu de paille façon asiatique, qu’elle laissa pendouiller doucement dans son dos, grâce à une fine cordelette blanche. Elle venait d’arriver, enfin, à Poudlard. Un vieux dégarni au regard mauvais, avec un chat en très mauvais état et aux yeux rouges, lui avait proposé de prendre sa valise et ses animaux et de les emporter dans sa chambre. Mais son instinct lui insufflant que même les animaux devait craindre ce vieux bonhomme, elle préféra le congédier et lui demanda juste de montrer le chemin de cette chambre, pour qu’elle puisse le mémoriser.  

           Tout en bougonnant dans sa barbe mal coupé, le squelette dégarni l’avait docilement mené au troisième étage, devant un mur où peu après était apparu une porte. En face de ce mur se trouvait un tableau mettant en scène un homme stupide qui tentait d’enseigner la danse classique à des Trolls. Le concierge ouvrit la porte et tendit la clef à la jeune japonaise. 

-Ceci est la Salle sur Demande, pour l’instant elle ne servira qu’à votre utilité jusqu’à la rentrée scolaire, où ensuite vous serez réparti dans une des Maisons.

-Merci.

-Une fois installé, Monsieur le Directeur aimerait s’entretenir avec vous. C’est l’étage du dessous, derrière la gargouille. Le Mot de Passe est « Tarte aux citrons ». 

Il partit en traînant des pieds et la jeune fille entra, clef à la main. La chambre était vraiment austère. Elle manquait de vert. Mais dans un « pouf », des tapisseries vertes se collèrent instantanément aux murs, le lit simple se changea en lit baldaquin avec des draps « propres », un vase orientale apparut dans un autre « pouf » près de la porte d’entrée, et une fenêtre fit irruption à l’opposé, baignant la chambre de la douce lumière du matin. La jeune fille, tout de blanc vêtue, ouvrit les cages de ses animaux et permit à son chat de partir en ballade, sa corneille blanche se contentant de se poser sur le haut du lit. 

-Envy... ne t’approche pas du chat de ce vieux dégarni d’accord ? Il craint du boudin et je n’ai pas envie que tu tombes malade ! Ok ? 

Le chat répondit d’un petit miaulement puis sortit rapidement. Sa maîtresse posa alors sa valise sur son lit, et son chapeau à côté, puis elle chercha des yeux un miroir et en trouva un après qu’un ultime « pouf » ait résonné. Elle s’approcha et se fixa. 

-Ah non ! Les cheveux rouge ça ne me va pas ! Et puis ne parlons pas des yeux verts !! 

Elle se concentra ensuite, fermant son visage à toute émotion. Progressivement alors, les cheveux prirent une teinte nuit noire et ses yeux devinrent tout aussi noirs. Elle se regarda ensuite puis se sourit. 

-C’est déjà bien mieux ! fit-elle avec un sourire, avant de partir de la chambre en direction du bureau du Directeur, son chapeau traditionnel en paille bien encré sur sa tête.  

 *  

-Vous avez bien tout compris, Mademoiselle ? demanda Dumbledore à la fin de l’entretient.

-Parfaitement, Monsieur le Directeur.

-Allons, désormais appelé moi Dumbledore –ou Dumby si vous voulez, je sais que beaucoup de mes élèves m’appelle comme ça, et cela m’amuse beaucoup ! Ou bien Albus, après tout, désormais vous vous retrou...

-Monsieur.... commença-t-elle, Dumbledore, se reprit-elle après avoir vu la personne âgée et barbue devant elle cligner des yeux avec espoir, je-je n’oserai jamais. Et puis, cela pourrait nuire à... et puis, si un jour les autres élèves l’entendent... Tout tomberait à l’eau. Et puis...  

Mais elle ne termina jamais cette phrase et baissa la tête, se mettant à tripoter son chapeau de paille. Dumbledore se permit alors de la finir. 

-Et puis, il vous manque et vous n’aimeriez pas qu’il pense que vous le remplacez. Mais vous savez, je dois vous avouer quelque chose. Si vous vous êtes retrouver là-bas, c’est parce qu’après avoir user du sortilège Oubliette sur..., il toussa à ce moment là, je ne savais pas quoi faire hormis vous confier à lui. Je n’étais pas apte, pas assez sur de moi, pour m’occuper de quelqu’un d’autre. Mais je savais que lui y arriverai. Les circonstances ont fait que désormais vous revenez une nouvelle fois vers moi, mais sachez que désormais, je ne vous confierai pas à un autre hormis les tuteurs légaux, au moment venu.            

La jeune fille releva son regard vers les yeux bleu de Dumbledore, cessant de tripotait son chapeau de paille. Elle lui sourit et répondit un petit. 

-Le moment venu, oui. 

 
 
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