Disclaimer : Et oui pour mon plus grand malheur je ne possède aucun des termes et encore moins les personnages de cette fic ils appartiennent tous à Miss Rowling et bien sur les phrases et les couplets ne sont pas a moi mais à Mika This is the way you left me, I'm not pretending. No hope, no love, no glory, No Happy Ending. This is the way that we love, Like it's forever. Then live the rest of our life, But not together. Je croyais que tout était possible entre nous, qu’il n’y avait pas des secrets, qu’il n’y avait pas de mensonge. Seulement nos deux corps qui s’épuisaient dans ma chambre, sans autre contre partie que disparaître avant le lever du jour. Mais il y avait quelque chose qui n’allait pas, c’était autre chose, une chose qui allait à l’encontre de nos désirs. Il y avait cette douleur de ne plus sentir ton souffle sur ma peau et le trou que tu faisais dans mon lit. Je ne sais pas pourquoi il me manquait ces deux choses. J’étais celui qui avait instauré les règles, pas de regrets, pas d’attaches, pas de paroles, surtout pas de paroles. Mais simplement un rendez vous que l’on fixait uniquement par écrit, cela faisait aussi partit des règles. Wake up in the morning, stumble on my life Mais un soir je n’ai plus voulut de ces règles, de mes règles, mais je ne voulais pas être celui qui les briseraient, alors au lieu d’envoyer un mot le jour suivant je n’ai rien fais j’ai ignorée tout les mots que tu m’envoyais. Je ne voulais pas être celui qui…, qui serais quoi, je ne le sais pas je ne peux pas le dire. C’est seulement après trois jours d’ignorance totale, de déni pour moi. Mais après ces trois jours tu es arrivé devant ma porte, tu as brisé les règles, tu m’as parlé. Tu m’as demandé ce qu’il ce passé, pourquoi je ne répondais plus à tes mots et alors j’ai pris la décision de briser mon cœur plutôt que de répondre. J’ai dit des choses horribles comme on le fait quand on veut faire mal. Toi, tu ne l’as pas mal pris, tu as compris que les mots que je disais je les pensais, alors qu’il s’agissait de mensonge, en y repensant j’ai brisé les règles avant toi, mais tu ne le savais pas. Tu as donc pensait que les mots qui sortait de ma bouche étaient tous vrais et tu es partit tu ne m’as plus regardé et s’était tant mieux, sinon tu aurais tout découvert et je n’aurais pas pus faire ce que j’ai fais plus tard. Tu es redevenu un ennemi, je suis redevenu le futur mangemort, il n’y avait plus rien entre nous. Je cachais l’oreiller sur lequel tu posais ta tête, il avait ton odeur et je n’arrivais pas à m’en séparer. This is the hardest story that I've ever told No hope, or love, or glory Happy endings gone forever more I feel as if I feel as if I'm wastin' And I'm wastin' everyday Je me rappelle que tu avais oublié une paire de chaussette et qu’un matin je me suis approché de la table où tu avalais ton petit déjeuné et je te l’ai jetée en répliquant, assez fort pour que la grande salle entende, que tu laissais trainer tes affaires partout et que bientôt tu oublierais ta tête dans le vestiaire et j’ai ajouté que cela ne serais pas une grande perte pour nous. Je confortais ainsi tout le monde, même mon père, que je serais l’homme qui aurait l’honneur de s’asseoir à la droite de Voldemort, j’ai eu le temps de remarquer que le mot honneur, que tout le monde aime pour sa signification, était très proche de horreur, j’ai eu le temps d’y penser tant les nuits blanches ce faisaient de plus en plus régulières et longues depuis que tu ne venais plus dans ma chambre. Cette chambre qui pour moi était un peu devenu notre sanctuaire et ou je me plaisais à imaginer t’entendre soupirer, gémir ou crier mon prénom. Can't get no love without sacrifice Les mois avancés et nos camps respectifs se faisaient de plus en plus pressent qu’en à notre prise de position. Je crois que ce soir de mai, j’ai surpris plus de personnes que dans toute mon enfance lorsque je m’amusais à faire de la magie sans aucune autorisation. En réalité, je ne me suis jamais fait marquer comme du bétail. Je suis bien entendu entré dans les rangs noirs, mais je n’y ai pas joué franc jeu, j’y ai joué l’espion, l’intouchable, l’indomptable. En fait j’ai demandé à mon parrain de me permettre d’entrer en contact avec le vieux fou. Une fois que je fus bien implanté en temps que bras droit de Voldemort mais pas seulement, même si j’aurais préféré que cela ne soit pas… Je lui fis ainsi comprendre qu’il avait était découvert et qu’il serait bientôt hors service et qu’il ne pourrait jamais avouer ses sentiments à une personne qui t’était chère. Je nous trouvais bien pathétiques tout deux, aimer des chimères qui ne nous voyaient que comme des simples instruments. Il me mit donc en contact avec Dumbledore et je devenais l’informateur principal de l’Ordre, mais j’avais là aussi imposé mes règles, j’ai toujours aimé les règles. Je refusais que tu sois mis au courant de ma démarche comme tous les autres membres de l’Ordre. Les seules personnes qui connaissaient mon existence en temps qu’espion étaient mon parrain, Dumbledore et une autre personne, mon contact, il ne connaissait pas mon identité, il savait simplement que j’étais une personne assez bien informée pour transmettre les messages les plus secrets du camp adverse. Puis vient le mois de septembre je ne suis pas venu à la cérémonie d’ouverture de Poudelard et bien sûr tout le monde savait pourquoi. Le prince des Serpentard avait enfin pris la place qui lui revenait de droit. Car depuis ma naissance il en était décidé ainsi, je serais le bras droit du maitre et je serais aussi celui qui porterait son héritier. Beaucoup des informations que je transmettais étaient des confidences de l’oreiller. Non, je ne suis pas fier de ces informations, mais nous étions en guerre et je ne pouvais pas faire autrement, c’était mon destin mon père l’avait décidé ainsi, mais il y avait des choses qu’il n’avait pas prévu dans « son plan d’avenir », comme disent les moldus, cette chose c’était mon amour pour toi, bien que je le sache impossible, je n’était pas capable de te rejeter et d’éprouver de la rancœur ou de la haine pour toi, je t’aimais tout simplement mais ce simple fait, qui je pense aurais dut me protéger de tout, me mettais en danger permanent, enfin nous mettais, car je savais que si le Lord noir venais à apprendre que j’éprouvais des sentiments envers celui qui est né pour le tuer, sa haine, déjà virulente, n’aurais fait qu’empirer et cela je ne le voulais pas. Je voulais te protéger comme je le pouvais… Je fis mon apparition à Poudelard au premier cours qui était celui de Severus, potion une des matières que tu adorais à cette époque, tu as bien saisit l’ironie qui teinte ma voix. L’année avais repris, la guerre entre les Griffondor et les Serpentard aussi. Toi, tu es resté le même, moi, de mon coté je me retrouvait seul dans ma chambre, car contrairement à ce que tous pensaient tous les Serpentard n’était pas des Death Eaters, je ne pouvais m’empêcher de penser à ces nuits que nous avions passé et je perdais mon temps à imaginer ce qu’elles auraient pus être si je n’avait pas était celui que tu déteste le plus au monde, je pense que je faisais bonne concurrence au Lord mais je pense que tu ne l’avouera jamais. Tu avais toutes les raisons de me détester. J’était physiquement tout ton contraire, mais il me semblais que les contraires s’attirent, mentalement aussi, lorsque l’on ne réfléchit pas trop, j’ai toujours vécu dans l’opulence et la magie alors que je découvrais peu à peu en discutant avec Dumbledore que ton enfance n’était pas des plus rose et que tu ne savait rien du monde des Sorciers avant ta rentrée dans l’école. Mais lorsque l’on regarde sous la surface, ce que j’eu le temps de faire durant cette dernière année sur les bancs de cette école si particulière, j’ai découvert la personne que je pensais être toi : un garçon qui n’a pas eu le temps de grandir de découvrir les choses de s’émerveiller du monde auquel il appartenait. Cette découverte me fit rire puis pleurer, un Malfoy qui pleure, elle me rappela la première nuit que nous avions passée ensemble. A little bit of heaven, but a little bit of hell Tu étais encore puceau et ce fut la raison de cette première nuit. C’était un jour de mars, il me semble, je m’étais une nouvelle fois moqué de la belette et de toi en disant qu’à jouer les enfants vous ne coucheriez jamais avec personne, ou quelque chose dans ce genre, tu as alors attendu que je fasse ma ronde de préfet pour me pousser dans une des classes vides. Tu as enlevé la cape qui te dissimulais et tu m’as dis, cette phrase : « Malfoy baise moi ! » Ce fut tout et je crois que j’ai répondu : « Va te faire foutre, Potter !» et tu m’as embrassé comme un fou et j’étais tout aussi fou car cette nuit fut peut être la seule nuit où j’ai obéit à un ordre. Je t’ai baisé comme tu me l’avais demandé et de là est né notre accord, on ne faisait que baiser. Pleurer, parce que tu n’étais plus là et que j’en crever. La nuit de cette constatation, je me suis battu comme un enragé lorsque Blaise est entré dans ma chambre alors que je tentais de faire disparaître la souillure du Lord sur ma peau. Il m’a sorti de la douche et m’a bercé comme un enfant avant que j’arrête de vouloir me doucher. Blaise n’était pas un mangemort, mais il était mon meilleur ami et il était au courant de tout. Il était le seul à savoir lire au travers de mes masques. Il savait pour nous, même si je ne lui avais rien dit, il savait aussi que j’étais tombé amoureux de toi, mais ça aussi je ne lui avais pas dis. Je ne sais pas comment il à découvert que j’étais la pute de Voldemort, mais je soupçonne Dumbledore d’être dans le coup. Enfin il savait tout de moi, il lisait dans mes pensées, il brisait toutes les barrières, que j’avais mises en places durant des années et que même le plus grand sorcier ne pouvait défaire, comme s’il s’agissait d’un vulgaire morceau de papier. Puis après cette nuit là, tout c’est accéléré pour moi. Voldemort me rappelait tous les soirs et je couchais avec lui tous les soirs. Je n’en pouvais plus, je ne mangeais plus, je ne dormais jamais plus de deux heures par jour. Toi, tu devenais de plus en plus fort, mais cela au détriment de ta propre santé. Je me rappelle simplement qu’un jour où, une nouvelle fois nous nous affrontions, je t’ai dit que si tu continuais comme ça les Serpents aurais vite fait de gagner la prochaine coupe. C’était la seule manière de signifier à tes amis, plus précisément à Granger, que tu ne mangeais plus et que tu t’entrainais beaucoup trop. Il semblait qu’elle ait compris le message car le lendemain elle avait mis au point un entrainement et un régime pour vous trois. Pour vous préparer à la dernière bataille avait elle dit. A partir de ce jour là, tu mangeais plus et tu fais plus attention à toi. Je fus heureux de remarquer ce changement dans ta manière de te comporter. Puis un soir où j’étais une nouvelle fois dans le lit du Lord, il me dit que cette bataille était proche. Il me raconta son plan, ne se doutant pas que j’irais faire les plans d’attaques dans la nuit dans ma chambre pour les fournir à l’Ordre. Lorsque je rentrais à Poudelard, j’étais mort de fatigue comme tous les autres soirs, mais je savais où la bataille aurais lieu et quel serais les participant. J’avais retenu les plans et je mis au travail pour pouvoir les remettre en temps voulut à mon contact. Je le rencontrais que lorsque je le voulais. La semaine de cours se termina sur un de tes coups de génie en potion, j’ai bien crus que tu ferais exploser le château avant que Voldemort ne le fasse. Je pris donc rendez vous avec mon contact pour le rencontrer en face à face, je m’étais dit qu’il valait mieux qu’il connaisse mon identité avant le dernier combat, lors de la sortie au Prés au lard. Dans la succursale de la boutique des jumeaux Weasley. Le samedi je me rendais donc à mon rendez vous et révélais les plans de Voldemort à mon contact qui, je le savais, n’était autre que ton parrain. Je me rappelle de la tête qu’il a fait lorsqu’il a sut que l’homme qui aidais l’Ordre n’était autre que le bras droit des forces du mal et surtout Draco Malfoy. Il m’a donc questionné sur mes motivations et je lui ai répondu que chacun avait ses raisons même ceux que l’on pense sans cœur. Il a simplement sourit et je crois qu’il a compris de quoi il en retrouvait car plus tard lors du cours de Défense contre les forces du mal, il n’arrêta pas de m’observer. La bataille finale eut lieu un magnifique soir de février. Alors que le soleil déclinais à l’horizon, toi, tu te tenais droit et fier face à ton ennemi de toujours, celui qui t’avais volé ton enfance, l’amour de tes parents. Une nouvelle fois tout nous opposais alors que tu te battais pour tes parents, je me battais contre les miens. En effet, quand j’ai vu que tu étais assez proche du Lord pour entamer le combat qui serais le dernier, je me suis retourné contre mon camp. Tu ne l’as bien sur pas remarqué, j’avais tout fait pour. Les premiers à avoir remarqué mon retour de veste furent mon père et ma mère et ensembles, comme toujours, ils me lancèrent tous les sorts qu’ils purent trouver. Je les combattais depuis une bonne demie heure et je commençais à faiblir, je venais de tuer ma mère quand j’aperçus une vague d’énergie venir de l’endroit où tu étais en train de combattre Voldemort. Je crois que l’hésitation que j’ai ressentit à cet instant a permis à mon père de me lancer un des impardonnables, il me sembla qu’il s’agissait du Sectumsempra, ironique, un sortilège que mon parrain, celui qui était pour moi un père depuis des années qui était mon protecteur, avait créé retourné contre moi et par mon vrai père. Je tombais et j’eu le temps de voir mon père s’effondrer de la même façon, je me surpris à penser que la ligné des Malfoy était fini. Je me réveillais quelques jours plus tard à l’hôpital, enchainé à mon lit. Dumbledore n’était pas là mais ton parrain, oui. Il m’expliqua tout ce qui s’était passé ta victoire sur le Lord Noir, ton coma et mon jugement qui aurait lieu quelques jours plus tard. Il dit aussi que mon père était mort ainsi que ma mère. Il me dit aussi que Severus était dans le même service que toi et je remarquais le changement d’attitude de ton parrain lorsqu’il parlait du mien. Je lui en demandais la raison, il m’expliqua que nous étions des idiots tout les deux. En effet, lors de vos quelques minutes de conscience, Severus réclamait Sirius et ce dernier ne comprenait pas et il m’en demanda la raison. Je ne savais pas si je devais lui répondre, d’un cote si mon parrain se réveillait et que j’avais révélé son plus grand secret, un baiser du détracteur me paraitrait une partie de jambe en l’air et d’un autre si il ne se réveillait pas, je m’en voudrais car pour moi si un malade sent qu’il est attendu, revient plus vite. Je lâchais donc une phrase énigmatique qui aurait fait rougir ou sourire Dumbledore. Je ne lui demandais pas pourquoi tu me réclamais dans ton sommeil car mon jugement me semblait trop proche. Je voulais savoir si je serais une aide ou un poids à ta guérison. Je demandais alors à Sirius des nouvelles de la belette et de Granger, je leur devais cela après ce qu’ils avaient fait pour toi, il me répondit que tout les deux étaient enfin ensemble et qu’ils veillaient sur toi à tour de rôle. C’est sur des nouvelles de Blaise que nous fumes interrompu par un infirmier, qui je pense était plus qu’intéressé par mon corps que par mon état de santé… Deux jours passèrent et mon jugement arrivait à grand pas. A mes cotés il y avait Blaise, Sirius, Dumbledore, Hermione, même Ron était là avec tant d’autre. Toi, tu étais toujours dans la même aile de l’hôpital, avec Severus, vous me manquiez tout les deux. Blaise était celui qui me tenait souvent compagnie tentant, vainement, de me sortir de mon défaitisme. Le jour de mon entrée dans la salle où allait être décidé mon avenir, tout me paraissait triste, j’étais sûr de ne pas sortir de ne pas jouir de ma liberté. Le procès dura des jours et j’eu la surprise lors du dernier jour de te voir apparaître. Tu étais encore faible, mais quand Sirius qui était restait à l’hôpital pour être là si tu te réveillais, t’avais informé, comme il l’avait fais pour moi, que je passais en procès, tu avais voulut venir témoignais et ce jour là fut le plus heureux de ma vie. Car tu ne témoignais pas contre moi mais pour moi et devant tout les jurés et devant les journalistes, lorsque l’avocat de la partie civile avait pris la liberté de te demander pourquoi tu me défendais, tu lui as simplement répondu en quatre mots : parce que je l’aime. A Little bit of love, little bit of love Little bit of love, little bit of love C’est grâce à ces quatre mots qu’aujourd’hui je peux te tenir dans mes bras, que je ne fais pas qu’imaginer tes soupirs, tes gémissements et tes cris dans notre chambre. Qu’aujourd’hui je suis devant cette fichue porte, avec Sirius et Severus qui s’embrassent, à attendre qu’une infirmière, qui accessoirement m’ont mit à la porte, veuille bien me donner de tes nouvelles et de celle de notre fils. Un petit monstre, comme tu aimes l’appelais quand il te torturait, qui nous ressembleras tout les deux. Je crois que, si j’osais, j’embrasserais Severus pour la chance qu’il nous a donné d’avoir un enfant, un petit bout de nous deux. Ca y est la porte s’ouvre et l’infirmière qui m’a mis à la porte, moi, le directeur de cet hôpital, me dis que je peux entrer. L’image que je vois en entrant est une photo parfaite, tu es allongé, en sueur et tu tiens notre enfant. Tu me regarde et tu dis : « Nathanael James Potter-Malfoy je te présente ton deuxième papa, celui qui a rien foutu quoi,-je grogne pour la forme- Draco Lucius-je frémis à ce prénom, ma honte…- Malfoy-Potter » tu m’invites à me rapprocher et tu me mets Nathanael dans les bras, je t’embrasse et je tends le petit aux infirmières qui s’impatientent. Je suis simplement heureux. C’est finalement un happy ending non ? This is the hardest story that I've ever told No hope, or love, or glory But a happy ending |