manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Quand l'Amour s'appelle Malefoy
Par 0o-Gizmo-o0
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
1 chapitre - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     5 Reviews    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Réveil matin, pas bien!

============================================================================

____________________________________________________________________________________ ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Cela commençait toujours ainsi. Un peu de poudre de cheminette, quelques flammes vertes, un corps séduisant totalement nu sortant de l’âtre et un baiser passionné. La suite, tout le monde la connaît.

 

Un sourire coquin à la vue d’un si bel homme, une langue mutine qui explore ce territoire excitant pourtant déjà bien connu, des mains impatientes qui déshabille l’hôte et qui se font bien vite baladeuses.

 

On bute sur un coin de la pièce par l’empressement qui nous tient à cœur, on le repousse à la va-vite et on atteint bientôt le but fixé : tout meuble capable de tenir toujours debout après quelques ébats très passionnés.

 

Cela se passe ensuite plus ou moins vite. On se caresse, trouvant de nouvelles zones sensibles ou retraçant des doigts celles que l’on connaît et qui sont si savoureuses, on embrasse de nouveau chaque parcelle de peau, et on entame enfin les choses sérieuses en n’oubliant pas quelques mots doux au passage ou bien alors, pour les jours plus aventureux, des phrases coquines ou tout simplement très perverses dont les conséquences rappliquent très rapidement.

 

L’acte est profond, chaud et humide par la sueur des deux âmes qui se réunissent. Le souffle coupé par le plaisir, les mains qui s’accrochent par le désir et les baisers volants par l’envie.

 

Puis vient la fusion…

 ____________________________________________________________________________________

 

Un coup, puis deux… Une sonnette qui se fait martyrisée par un sadique pressé. Pourtant, rien ne pourrait réveiller les deux endormis du canapé situé au 12, square Grimmaurd. Enfin, rien mis à part peut-être…

 

 - Harry !!! Je sais que tu es là, mon vieux ! Il serait peut-être temps de te réveiller ! Maman va me le faire payer sinon ! Allez ! Dépêche-toi !

 

Une tête paniquée fait surface, ne se rendant pas bien compte de ce qu’il se passe mais sachant très bien que ce sera une très mauvaise journée et pour cause…

 

 - Bon, Harry, t’es chiant à la fin ! Je sais bien que Maman te fera rien, bien entendu, vu que tu es son petit protégé mais pense un peu à ton meilleur ami, bon sang ! Oh ! Et puis, j’en ai marre de parler à une porte !

 

Un cliquetis apporta plus d’informations à Harry Potter ce jour-là que n’importe quelles élucubrations de son meilleur ami, Ron Weasley. Oh oui, c’était vraiment une journée merdique qui s’annonçait.

 

 - Oh putain…

 

Affolé, il regarda très vite autour de lui pour chercher vainement quelque chose à faire mais avec la tête pas vraiment du matin qu’il possédait, il paraissait plutôt dans un piteux état. Heureusement - ou malheureusement, selon le point de vu - sa brusquerie ne manqua pas bien vite de réveiller son compagnon de canapé.

 

Les cheveux ébouriffés comme jamais il ne les avaient eus, Drago Malefoy n’était pas sous son meilleur jour non plus. Pourtant, il comprit bien plus vite que son amant ce que signifiaient les bruits créés par un trousseau de clés – car oui, c’en était bien un – et ce que cela entraînerait bien vite.

 

 - Oh merde…

 

Harry et lui se regardèrent droit dans les yeux pendant des secondes qui leur semblaient être des heures (à moins que ce ne fusse l’inverse ?) avant que leur globe oculaire n’atteigne un certain diamètre plutôt incroyable.

 

 - Malefoy, bon sang, dépêche-toi ! s’écria alors Harry, pris d’un brusque sursaut de conscience.

 

Il lui jeta alors pêle-mêle ces vêtements dans ses bras cotonneux, le fit se lever et l’emmena directement dans sa chambre. Drago, complètement déconcerté, se laissa faire jusqu’à ce qu’il arrive près de la fenêtre.

 

 - Hé ! Potty ! Tu vas quand même pas me faire passer par là ! Je ne suis même pas habillé !

 - Tu as tes habits dans les mains ! Tu n’auras qu’à trouver un buisson, ça ne doit pas manquer dans les environs !

 - Mais…

 

Avant qu’il n’ait pu finir sa phrase, Harry était déjà en train de repartir vers le salon en criant à Ron, toujours derrière la porte, qu’il était bientôt prêt et qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter mais cela n’eut pas l’effet escompté.

 

 - Oui, Oui, c’est ça ! Tu veux ma mort ou quoi, Harry ? Ouvre-moi cette porte tout de suite avant que ce ne soit Molly Weasley qui le fasse ! Allez dépêche ! Si je me ramène à la maison sans toi à moins de cinq mètres, tu devras enterrer ton propre frère !

 - Bah, dis donc, il joue dans le mélodrame Weasley. Tu ne lui as jamais donné l’adresse de ton psy, Potter ? Tu devrais, pourtant ! Avec les magnifiques progrès que tu as fait – Après tout, tu reconnais maintenant que les fesses des hommes sont plus appétissantes que celles des femmes, tu n’es donc plus un dégé…

 

Et Drago Malefoy dut se frotter la joue pendant au moins une minute avant de pouvoir enfin supporter la douleur que lui infligeait la baffe monumentale que lui avait assénée Harry Potter.

 

 - Mais…

 - Si tu redis une seule connerie de ce genre, Malefoy, tes fesses appétissantes, tu peux te les foutre où je pense pour qu’elles soient comblées !

 - Oui mais comment veux-tu me les foutre où je pense puisque, anatomiquement parlant…

 - Tu veux vraiment que je te montre comment je peux faire un tel exploit ?

 

Oui, vraiment, ce n’était pas un bon jour ni pour l’un ni pour l’autre. Harry continua alors à ranger au plus vite le désordre dû à une nuit de débauche pure après s’être habillé dans la chambre d’une manière décente tandis que Drago ronchonnait sur un coin du lit en continuant de tâter sa joue.

 

 - Tu sais, tu n’as qu’à le prévenir, on n’aurait plus ce genre de désagréments, commença-t-il.

 - Oh oui ! Bien sûr ! Quelle bonne idée ! Non, mais vraiment, Drago, tu me vois lui sortir, tout sourire, que je me fais culbuter par le serpent venimeux à poils blonds qui nous a fait chier pendant sept ans à Poudlard en traitant sa femme de Sang-de-Bourbe et lui-même de Weasel ? répliqua directement Harry d’un ton exaspéré.

 - Merci pour le « serpent venimeux », grommela l’ancien Serpentard avec véhémence.

 

Harry arrêta toutes activités pour se stopper devant le blond boudeur et le fit relever la tête. Puis, avec un sourire mutin, il lui dit :

 

 - Je n’ai jamais dit que je n’aimais pas me faire culbuter par le dit serpent venimeux à poils blonds…

 

Il agrémenta sa réplique d’un long baiser langoureux qui finit par taire Drago. Ce dernier tenta d’ailleurs de pousser son amant sur la couette dans une position plus confortable mais la sonnette retentit une fois encore mettant fin à toute tentative d’ébats passionnés.

 

L’ancien Serpentard poussa un soupir et grogna mais Harry l’embrassa avant qu’il ne mette ces menaces silencieuses à exécution. Il se leva ensuite et avant de sortir, lança :

 

 - On en reparlera ce soir, si tu veux bien. Il y a de quoi manger dans le réfrigérateur et de l’eau fraîche dans la cave de la cuisine, fais comme chez toi !

 

Et il disparut de la vue de Drago. Après quelques pas sur le parquet et une porte qu’on ouvre et qu’on referme après un bref « Salut Ron ! Comment ça va ? » hypocrite, il sut que Harry était parti pour une longue journée.

 

Et comme d’habitude, comme chaque dimanche à vrai dire, il se retrouvait seul dans cette grande maison lugubre avec pour seul ami, un frigo à moitié vide et une sorte de cube noir immonde d’où sortait des images et des sons plus débiles les uns que les autres. Hé oui, Harry Potter avait fait de la sainte demeure de ses ancêtres, une abominable maison parfaite pour les moldus !

 

 - L’ingrat… grommela-t-il une dernière fois avant de plonger dans le lit pour un ultime roupillon.

 ____________________________________________________________________________________

 

Etant donné le fait que cela faisait la cinquième fois - au moins – qu’il lui faisait ce coup-là, Harry aurait dû se douter que Ron ne serait pas dupe. Pourtant, il lui parla comme si de rien n’était. Après tout, c’est pas comme s’il lui cachait quelque chose de terrible, si ?

 

 - Et là, tu me croiras jamais Ron ! Mais Dean a foutu un coup de poing dans le menton de ce con de Singerfield ! Il faut dire qu’il l’avait mérité, hein ? Bon, bien sûr, je ne dirais pas que c’est ce qu’il fallait faire mais…

 - Harry ! le coupa Ron. Laisse ton bon jugement niais et dégoulinant de bonne volonté pour Hermione ! Tu sais très bien que je suis d’accord avec toi : ce gars l’a bien mérité ! Et ce n’est pas parce que tu es auror maintenant qu’il faut que tu deviennes un justicier parfait.

 

Ron lui lança un clin d’œil et Harry lui répondit par un sourire moqueur. Depuis que Ronald Weasley sortait avec Hermione Granger, il ne fallait presque jamais mentionner le mot « livre » et « bonne manière » dans une conversation sous peine de nombreux reproches de sa part. Il en faisait une affaire d’Etat mais, contrairement aux autres, Harry ne lui en voulait absolument pas.

 

Il savait que fréquenter Hermione tous les jours ne devait pas être toujours facile – même s’il adorait sa meilleure amie, bien entendu. Et puis de toute façon, comment reprocher à Ron de sortir avec une femme magnifique même si elle était un peu maniaque sur les bords alors que lui-même sortait avec… Enfin bon, sujet clos.

 

 - Au fait, mon vieux, tu vas enfin me le dire, oui ou non ? s’exclama soudain Ron d’un air calculateur.

 

Harry qui, alors qu’il réfléchissait, regardait ses pieds depuis quelques minutes, tourna la tête vers son meilleur ami tout en relevant un sourcil. En voyant cela, Ron ne put s’empêcher de soupirer.

 

 - Oh non ! Tu ne vas pas me redire qu’il n’y a absolument personne dans ta vie ! Ca fait je ne sais pas combien de fois que tu me fais ce coup là ! Je ne peux même plus entrer chez toi, tu te lèves de plus en plus tard le week-end et tu as toujours ce sourire niais sur le visage. Alors soit tu prends une drogue qui te fait voir la vie d’un rose dégoulinant soit tu as une copine ! Dans les deux cas, raconte-moi tout !

 

Harry ne put s’empêcher de laisser une grimace franchir ses lèvres à l’entente de ces mots mais, en même temps, il s’en doutait un peu que cela n’allait pas passer inaperçu. Mais de là à dire qu’un sourire débile lui entamait la moitié du visage, c’était un peu fort ! Drago et lui étaient ensembles, certes, mais pas depuis assez longtemps pour que… Enfin, voilà quoi ! N’est-ce pas ?

 

Et ce fut bientôt un visage paniqué qui remplaça la tête de Harry mais qui se transforma bien vite et entra en terrain neutre.

 

 - Ron, ne dis pas n’importe quoi. Je t’ai déjà expliqué que, oui, en effet, comme tout homme je recherche une copine, mais que, du coup, je sortais le week-end pour en trouver une et donc, je me retrouve fatigué chaque dimanche avec un bordel pas possible dans ma maison. CQFD !

 

Mais cette excuse ne marchait très bien que les deux premières fois et Ronald Weasley n’était pas né de la dernière pluie.

 

 - Et ton sourire niais ?

 - Les coups d’un soir tu connais ? répliqua Harry dont la peur montait en crescendo.

 - Je connais, en effet, mais des BONS coups d’un soir TOUS les dimanches ?

 

Bon ok, il allait devoir jouer serré là.

 

 - Hé ! Ron ! Je suis le héros du monde sorcier et un tout nouvel auror prêt à défendre la veuve et l’orphelin ! Alors, oui, y a des filles qui veulent m’avoir dans leur lit, c’est normal, non ?

 - Et depuis quand tu te vantes d’être l’Elu ? lui demanda Ron en le fixant dangereusement.

 

Aïe… La conversation dérivait sur un sujet pointu.

 

 - Bah heu…

 - Et depuis quand les filles d’un soir t’emmènent dans leur lit alors que tu te réveilles chaque matin dans le tien ?

 - Eh bien, je rentre à chaque fois chez…

 - Et depuis quand tu trouves des excuses minables pour ne pas montrer à ton meilleur ami la bombe qui est entrée dans ton cœur ?

 

Etonné, Harry se retourna si vite vers son meilleur ami qu’il s’en tordit le cou alors que celui-ci lui faisait un grand sourire moqueur.

 

 - Bon sang, Hermione sort du corps de ton fiancé ! s’écria Harry en faisant une tête digne d’un dramaturge.

 

Et les deux amis éclatèrent de rire ensemble alors qu’ils transplanaient devant la porte des Weasley.

 

 - Il n’empêche que tu as intérêt à tout me dire bientôt, Harry… Sinon, je te jure que j’utiliserai le nouveau véritasérum que moi et Gorges avons mis au point.

 

Après une déglutition, Harry fit semblant de rire à la menace de Ron mais il savait bien que celui-ci ne plaisantait pas tant que ça. Depuis qu’il avait remplacé Fred dans les affaires du magasin Weasley, celui-ci commençait à lui ressembler drôlement quand il s’agissait d’épier et de faire des farces aux gens alors il valait mieux s’en méfier.

 

Mais, heureusement pour Harry, la porte s’ouvrant lui permit de mettre fin à la conversation dangereuse qu’il entretenait avec Ron et bientôt une chevelure encore bien rousse pour son âge l’étouffa presque.

 

 - Oh ! Harry ! Il était temps, nous allions justement passer à table ! s’exclama Molly Weasley avec un grand sourire.

 - Oui, désolé Mme Weasley, le réveil a pourtant sonné mais je dois couver quelque chose car je ne l’ai pas…

 

Ron lui donna alors un grand coup de coude dans les côtes qui lui coupa la respiration.

 

 - Je veux bien que tu me mentes mais ne fais pas la même chose à ma mère, Harry ! lui glissa-t-il dans l’oreille.

 

Après un raclement de gorge, il tenta de remettre ses idées en place et de créer de toute pièce une autre histoire abracadabrante malgré les pseudo-menaces de son presque frère quand Molly mit fin à tout ça :

 

 - Voyons, Harry ! Depuis le temps que je te dis de m’appeler Molly ! Et c’est la même chose pour le vouvoiement, je te connais depuis tellement longtemps que j’ai l’impression de t’avoir changé les couches quand tu étais petit, alors oublie les formalités d’usage.

 - Bien sûr, Mme… Heu, je veux dire Molly, se rattrapa in extremis Harry.

 

Entendant un ricanement, Harry se retourna vers Ron pour le regarder se tordre de rire. Il fronça les sourcils et lui demanda ce qui pouvait bien le faire rire.

 

 - Oh rien, pendant un instant, j’ai imaginé ma mère te changeant ta couche et j’avoue que c’est…

 - … Désopilant ? proposa une voix provenant de la maison.

 - Hermione ! s’écria Harry en la prenant dans ces bras.

 

La jeune femme le réceptionna tant bien que mal et rit devant tant d’empressements.

 

 - Harry, tu sais qu’on s’est vu il y a deux jours ?

 - Et alors, je n’ai pas le droit d’être content de voir ma meilleure amie tous les deux jours ? demanda-t-il avec un sourire coquin.

 - Toi, c’est sûr, tu me caches quelque chose, en traduisit Hermione.

 

Harry poussa un soupir alors que Ron lui lançait un regard qui voulait sûrement dire « Qu’est-ce que je te disais ? ». Puis, reprenant sa bonne humeur malgré un réveil plutôt difficile, il se dirigea vers le jardin où les autres Weasley l’attendait.

 

 - Harry ! Comment ça va ? salua le jeune homme aux cheveux roux qui lui faisait face.

 

Remis bien vite de sa surprise, Harry s’exclama :

 

 - Oh ! Charly ! Tu es revenu de Roumanie ?

 - Oui, je suis en vacances pendant deux semaines alors je me suis dit : et pourquoi pas revenir dans mon pays natal au milieu d’une forêt de roux pour me fondre dans le paysage quelque temps ?

 - Et pas de bol ! Y a pas que des roux ! continua une autre voix que Harry connaissait tout aussi bien.

 

Il se retourna très vite même s’il savait déjà à qui elle appartenait. Blaise Zabini se tenait, comme tout bon ancien Serpentard, aussi droit qu’il le pouvait juste à côté de lui. Il n’avait pas changé depuis ces dernières années. Et, malheureusement pour Harry, il était toujours aussi grand, aussi musclé et aussi séduisant que dans ses souvenirs.

 

Le brun maugréa d’autant plus que Ginny Weasley se tenait accroché à son bras avec un sourire tendre mais il n’y laissa bientôt plus rien paraître. Après tout, cela faisait assez de temps qu’il n’était plus avec Ginny pour être toujours jaloux.

 

 - Tiens, Zabini ! lança Harry en tentant d’avoir une attitude normale – ou du moins une attitude qui paraissait normale. Cela faisait longtemps que je n’avais plus vu de verts et argent, dis moi.

 - Vraiment ? laissa insinuer le dit Zabini.

 

Et là, une idée totalement incongrue traversa l’esprit de Harry. Et si, contrairement à lui, Drago avait mentionné le fait qu’il aimait se faire culbuter par un gentil gryffon à ses amis les serpents ?

 

A la vue du regard angoissé de Harry, Blaise sut qu’il avait bien eu raison en supposant que Harry n’avait rien dit aux Weasley qu’en à son aventure serpentardesque et qu’il allait bien en profiter. Un sourire sadique franchit ses lèvres alors que Harry déglutissait assez bruyamment, lançait un bonjour à Ginny et s’enfuyait à toutes jambes rejoindre le seul Weasley qui pouvait un temps soit peu le comprendre et le défendre dans une telle situation, c’est-à-dire le seul Weasley un minimum gay : Charly.

 

 - Un problème, Harry ? demanda ce dernier alors qu’il voyait l’ancien Gryffondor rappliqué au pas de course

 - Hein, moi ? Nan, nan, aucun. T’inquiètes pas ! lança Harry avec un faux air décontracté.

 

Charly lança un regard suspect à son nouveau futur beau-frère qui lui rendit un sourire pervers en retour. Si celui-là n’était pas Serpentard, c’était que Serpentard n’était plus.

____________________________________________________________________________________

============================================================================

Et voilà une toute nouvelle fic! Ah! Si vous saviez combien ça fait du bien d'écrire de nouveau après un an sans rien! Je vous jure, les études supérieures, ça embrouille l'esprit! Donc voilà, j'ai pondu ça. Je sais pas ce que ça donne, donc, à vos plumes numériques!

Bisous

Gizmo, le retour

 

 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>