- Je t’aime… Je sentis ses lèvres contre mon cou… oh la pute ! - Espèce de biatch ! - Je sais, mais j’adore procurer ce genre de torture à ton entre jambes darling… me rétorqua-t-elle, en me regardant d’un air aguicheur. - Tu vas te la manger dans le cul oui… - Désolée, but dicks don’t enjoy me. - Malheureusement… lui répondis-je d’un air déçu. - Oh viens là puceau des bas fonds ! me lança-t-elle en prenant à son tour dans ses bras. - T'es pas finie beauté... lui susurrais-je à l’oreille, d’une voix sensuelle. - Raaaaaa ! Je te hais ! me souffla-t-elle en rougissant violemment. - J’aime te faire mouiller ma belle. Ahem, oui c’est spécial, mais j’adore la faire mouiller, et me foutre au garde-à-vous est sa passion… - Avoir envie de coucher dès 8 heure du mat’ c’est abusé… - On a une heure de perm avant manger, Lena sera ravie de lécher ta moule baveuse. - Raffiné…mais non, elle ressemble à un ours, baaaaaaaaa ! - Et Sam qui est malade, deviens hétéro tu y gagneras. - Du côté des mecs c’est pas mieux Raymonde, 15 baisables sur tout le bahut, c’est la misère. - Hannnnnn ! Sale biiiiii ! - Vas y étouffe toi ! Je me ferais une joie de te laisser crever. - Tu chies dans la colle sérieux ! - Lesbo à tendance Henkkaophile ça te plait ? me dit-elle d’un air amusé. - Si tu me prends par les sentiments. - Je préfère te prendre tout court si tu n'y vois pas d'inconvénient. - Han la porcasse ! lui dis-je d'un air choqué. - Pas sûre que tu le fasses longtemps ton air de Sainte Nitouche... - Oh ! C'est l'autre, avec son air de fosse septique qui me dit ça ! - On t'a bercé trop près du mur toi... Je lui pinça son "admirable fessier" (dixit madame...). - Oh toi tu vas avoir des problèmes ! Oh purée j'aimerai pas être à ta place ! - Cruchote... - Dis Raymonde, on va à Mcdo ce midi ? (Sans transition la météo !) Y a langue de boeuf à la cantine ce midi. - Langue de boeuf toi-même NAMEHO ! m'insurgeais-je. - On va éviter. Je lèche je ratisse pas ! Et on partit dans un fou rire démentiel, en imaginant Lena se faisant labourer par ma petite femme. Oui nous sommes condamnés à être con jusqu'à la mort... triste non ? [ Désolée pour le language, mais faut pas oublier qui sont les deux énergumènes, ça serait trop étrange si ils se mettaient à parler trop bien... ] |