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au 31 Mai 21 :
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Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme
Par Tak
X men  -  Action/Aventure/S-F  -  fr
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    Chapitre 2     Les chapitres     3 Reviews     Illustration    
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Tu es moi…Tuez moi…Tu hais moi…

Depuis combiens de temps déambules-tu dans cette ruelle sordide ? Une heure ? 1 journée ? Tu n’aurais sut le dire.. 

 

Aurais-tu seulement été capable d’articuler ton nom ?

 

Tu as une tête affreuse tu sais ? Le visage creusé, les yeux plus cernés encore qu’à l’ordinaire, et le teint blafard..maladif.. Tu empestes la maladie et la mort. La mort. Dis.. pourquoi y a-t-il du rouge sur ta chemises de tissus ? Oui, tu as toujours cette chemise d’hôpital, cet unique morceau de tissus engorgé d’un rouge sombre qui commence seulement à sécher, dernière parcelle de tissus qui recouvre un corps trop maigre, trop pâle, nu.  Allons ne fait pas cette tête.. ce n’est pas comme si tu ignorais la raison de cet engorgement…

 

Non, rassures toi, ce sang, ce n’est pas le tiens.

 

#BLACK OUT #

 

Tssss.. Petite nature…

¤-----¤

 

Tes mains sont agitées de soubresauts, ta mâchoire te ferrais mal d’être trop serrée depuis trop longtemps s’il il n’y avait pas eut ça. Ca, le manque. Ton réveil. Tu te redresse misérablement, appuyant ton crâne douloureux contre la pierre froide de tu ne sais trop quel porche miteux.

Morphine, somnifères, drogues.. dures. 

Mais pour ça, il faut te lever. Pour ça seulement, tu trouve la force de pousser sur tes jambes, tes mains, et tout ce qui pourrait te hisser vers le haut, toi qui n’a de cesse de sombrer toujours plus bas. Tu te refuses à ouvrir les yeux. Pourtant la lumière n’a rien à voir avec la migraine qui te fracasse le crâne : tu n’as pas besoin de les voir pour savoir, tu n’as pas besoin de toucher pour les sentir.

Elles sont partout, elles sont tout et tout est un. Et dire que tu aimais la chimie ! Savoir que tout ce que tu voyais, tout ce que tu étais, ton monde comme ta personne n’était qu’un assemblage de molécules. La vie comme la non vie était constitué des mêmes atomes.. les même fondements..

Tu trouvais cela merveilleux, tu avais même parfois du mal à y croire.. Et maintenant que tu les vois, c’est plus clair ? Maintenant que tu ressens chacune de ces réactions qui te fascinaient, les trouves tu toujours aussi merveilleuses ? Va tu continuer à te plonger dans chaque assemblage de papier pour peu qu’on y face allusion ? Vendras tu encore tes nuits à quelques revues scientifiques virtuelle sur ton écran minable pour en savoir juste un peu plus, t’assurer d’un détail, faire l’hypothèse d’un autre ?

 

Cesse de hurler, personne ne t’entends.

 

Mais de quoi te plains-tu ?! Tu voulais tout savoir ! Tu n’étais jamais rassasié ! Il t’en fallait toujours plus.. Les professeurs même ne savaient plus répondre à tes questions ! Les plus grands savants te paraissaient gauches et stupides, engoncés dans leurs certitudes absurdes !

Maintenant tu vois tout, la réalité dans son plus simple appareil.. L’Existence dans toute sa macabre splendeur..

 

 Alors… Heureux ?

 

#BLACK OUT#

 

¤-------------------------------------------------------¤

 

Ca y est tu te réveilles ? Pas trop tôt. Tu trembles. Encore. Le manque, je sais. Ou la folie…

Lequel des deux te pousse à tirer frénétiquement sur ta chemise ensanglantée ? Tu sais, il te suffirait de défaire le nœud.. tu t’étrangles là..

Soit ! Fait comme tu veux ! Comme ça en plus d’être nu, sale, et malade tu porteras à ton cou des marques récentes de strangulations.. Les médecins avaient raisons, tu es fou..complètement fou et dangereux avec ça..

 

Assassin !!

 

Meurtrier …

 

Tu as aimé cela dis moi ? Entendre leurs cris d’agonies.. les supplications des femmes… La surprise des ainés..

 

Leurs cris.. Insupportables, et toutes leurs machines !! Cette énergie qui pulsait de partout, et ces mouvements incessant, ces gens qui hurlaient, couraient… ils fuyaient comme si leurs vies en dépendaient !! C’est de leur faute !! Entièrement de leur faute !!

 

Chuuut… Tu n’as fait que te défendre, je le sais.. Calme toi maintenant.. tu es épuisé..

 

¤-------------------------------------------------------¤

 

Le regard dans le vide, présent sans l’être tout à fait, le jeune homme continua à tirer sur le morceau de papier plastifié  jusqu’à ce que le nœud finisse par céder, le projetant fesse contre bitume dans un grognement de douleur et de satisfaction mêlée de ne plus porter cette chose brunâtre, poisseuse et nauséabonde. A la vue de cette dernière, le visage inexpressif se tordit en un rictus d’effroi.

Tu refuses de la toucher une fois de plus, comme si le mal, c'était elle. 

Il s'en éloignes presque avec terreur, refusant d'ouvrir les yeux, rampant à moitié, faute d’avoir la force de se relever d’un bond pour courir. 

Tu es faible.

D’un geste tremblant le jeune homme ramènes ses mains éraflées contre son torse maigre, comme pour les empecher de trembler mais c'est tout son corps qui se met à frémir.

Le froid, le manque, la peur.

Il va te valoir régler ça, et dans cet ordre de préférence..

Tu inspires profondément. Tu es nu mais l'odeur du sang est tenace et secouer la tête n'y changera rien.

Nu...

Des fringues, il te fallait des fringues..Ou un drap, n’importe quoi plutôt que ce truc qui te rappelait ces choses que tu avais fait mais auxquelles tu ne croyais pas.

Un frisson lui parcouru l'échine au seul souvenir de la fureur qui l'avait alors envahit, dévastatrice et vengeresse, chaude et si intense qu'elle avait un instant semblé s'être concentré dans son ventre pour lui brûler presque les paumes.. Ce qui s'en était suivit alors restait flou, comme si son esprit refusait de s'en souvenir.

Doucement, comme avec prudence, le voici qui entrouvre un œil, le referme avant même d’avoir put distinguer quoi que ce soit, attendant avec appréhension la vague de douleur qui s’en suivait inévitablement. Mais rien, ou si peu..

*rires*

Et bien voilà...

A croire qu'il commençait vraiment à t’y faire.. Encouragé, il les ouvres doucement, et observe son environnement.

Le ciel est gris, menaçant, il va pleuvoir. Tout semble vide, sinistre..

Mais pas pour toi.Toi tu es au dessus de ça, des couleurs comme de tout le reste.

REDRESSES TOI !

Le gris n’avait plus sa place dans son monde, pas plus que les couleurs.. tout n’était que réarrangement d’atomes, réorganisation de liaisons, énergie et chaleur.. grouillements incessants, épuisant..

Le jeune homme vacille un instant alors qu’il enjoint ses jambes à avancer.. un pas devant l’autre, et le suivant. Qui n’a jamais eut a se concentrer pour faire ce mouvement reflexe et trivial ne peut imaginer la concentration nécessaire au maintient de son équilibre alors précaire, la force que nécessite le simple fait de supporter son propre poids, de le déplacer d’un pied sur l’autre, lutter contre la graviter pour trainer sa jambe 50 centimètres plus loin.. et recommencer..

De ces yeux entrouverts, il balaye les alentours, semblant chercher quelque chose avant de finir par se diriger d’un pas un peu plus assuré vers un amoncellement de cartons, et autres meubles fracassés étrangement ordonnés : les poubelles du voisinage.

Avec ce draps là, qui pendouillait lamentablement, coincé entre une large poubelle et un vieux frigo, on aurait presque dit une  cabane..


Tu t’approches et rie de ta propre bêtise. C’est nerveux. Une cabane ? Et puis quoi encore.. Mais au cas où tu ne trouverais rien de plus intéressant ce serait toujours ça de pris pour cacher ta nudité.. heureusement qu’il n’y à personne à cette heure là..

 

D’ailleurs quelle heure est-il ? Quel jour  sommes nous ? Tu ne saurais le dire.. Et rien que tu aperçoives d’ici ne te permettrais de le savoir.

Le soleil même, cet astre toujours en mouvement, toujours trop plein d’énergie, semble s’être tiré.. Entre la nuit et le jour peut être, tu ne ressens pas encore l’astre lunaire, oui c’est surement cela : le crépuscule, la frontière..

 

Un grommellement agacé s’élève des lèvres fines alors qu’une main vient fouillasser dans une tignasse trop sale pour juger de la couleur de cette dernière sans risque d’erreur..un rouquin peut être.. allez  savoir. Une  légère claque qu’il s’inflige, comme pour s’exhorter à cesser de divaguer ainsi pour ne plus se concentrer que sur l’essentiel : fouiller, trouver, avoir l’air plus ou moins présentable et ..

[FLASH :  l’image d’une substance insidieuse  et terrible, salvatrice et bienfaitrice]

..et..

[FLASH : tout oublier.. le noir, dormir..repos absolu.]

et.. on avisera. Agrippant d’une main incertaine le rebord le plus proche, le jeune homme inspire un grand coup, comme pour essayer d’y voir plus clair, comme pour cesser de divaguer..Mais en vain.

 

Ca empeste.

 

 On pourrait croire que la douleur lancinante qui menace de répandre le contenue de ta boite crânienne à même le sol serait assez forte pour annihiler tout autres sensations quelles qu’elles soient. Mais ce n’est pas le cas. Peut être même y es tu plus réceptif encore.. Pourtant les odeurs sont intangibles…Alors à défaut de ne pas pouvoir les sentir, tu pourrais au moins ne pas les ressentir.. Ho… les dérivés, les rejets de toutes ces réactions tu dis ? C’est donc ça.. Ainsi les odeurs ne seraient qu’un assemblage savant d’atomes, un ordre éphémère de molécules…

 

Kukuku elles sont à l’origine de tout n’est ce pas ? Elles sont tout.. Et tout y reviens toujours. Irrémédiablement.

 

Un concentré d’énergie plus important que les autres. Derrière toi. Il s’avance et t’approches mais déjà tu ne réfléchis plus. Tu t’es brusquement retourné, une main sur la tempe alors que ta mâchoire serrée retient un énième gémissement.

 

°° Dissoudre °°

 

Un mot d’ordre, l’obsession du moment : anéantir ce mouvement d’énergie, annihiler ce concentré de chaleur..détruire pour ne plus souffrir. Ou un peu moins.

 

Et cette sensation, la même que la veille –ou l’avant-veille ? tu ne savais plus, c’était flou, sombre, douloureux et rouge.. trop rouge…- : un grand froid, et cette énergie qui semblait de quitter, ton fluide vital, la tête qui tourne, le monde qui vacille..

 

Tu t’écrases contre le bitume, grimaçant tout juste alors que tu t’écorches mains et genoux contre celui-ci. Un maigre gémissement t’échappe, coupé par une nouvelle quinte de toux et de nouveau ce rouge.. le tiens cette fois, sur le sol. Et ce gout métallique, dans ta bouche. Tes bras vacilles, tu tentes de t’asseoir précautionneusement mais deux mains t’agrippent violemment, ou plutôt agrippent la veste –ou du moins ce que tu as présupposé être une veste- que tu avais déniché dans ces poubelles.

 

Ca secoue, ça t’écrases et ça grogne des insultes dont tu ne saisies pas le sens..

 

Par les enfers tu va vomir..

 

Des grommellements furieux s’élèvent de la bouche du clochard qui posa un pied sur la jambe du jeune voleur pour finir de lui arracher la veste. SA veste, que ce petit voyou avait volé dans SES poubelles ! Que croyait-il ce guignol ?  Que parce qu’il n’avait pas de jolie haie avec grillage et portillon tout le monde pouvait ce servir librement dans ses affaires ?!

 

Tu tentes de te débattre mais n’en as plus la force et ta tête viens cogner contre ta main, l’écrasant impitoyablement contre le bitume. Parfait, il n’a qu’à tout  te reprendre.. Qu’importe. . c’était peut être bien les siens après tout.. vrai que tu avais trouvé trop beau le fait de dénicher un ensemble presque potable dans une poubelle vide d’ordures.. son placard ? va savoir.. de toute façon tu t’en fou.. tu n’en peux plus.. Qu’il te les arrache, qu’il te les reprenne, sa veste, son fut..Tout ! Et s’il pouvait emporter rien qu’un bout de cette douleur qui te martèle les tempes.. Non ? bah.. qui en voudrait ? toi-même tu te demandes bien pourquoi tu t’acharnes, pourquoi tu continues..

 

Mais lorsque deux mains bourrues t’agrippent le bassin pour te dévêtir de ce vieux jean nauséabond, tu trouves la force de sursauter, un de tes pieds part et rencontre le tibia de l’autre.  Etonnamment tu sembles avoir lancé ce dernier avec assez de force pour faire vaciller le vieux. En grommelant, ce dernier se rattrape à la veste que tu retiens toujours de ton bras passé dans la manche droite. Tu profites de son geste qui te fait te redresser un peu pour te relever tout à fait, lui jetant la veste au visage pour te trainer plus loin, dans une tentative pitoyable de course boiteuse.

 

Il va te rattraper c’est sur.

 

Tu accélères le pas, hésites à prendre le risque de t’élancer vraiment de peur de chuter pour n’en plus te relever.

 

Alors tu te traines rapidement, t’aidant de tes mains sur les bâtiments, les barrières les cabines, les poubelles.

 

Alors tu clopines, sautillant dans l’espoir vain de faire de plus grandes foulées.

 

Mais le vieux ne te poursuit pas.

 

Tu t’adosses à une cabine téléphonique en interdisant à tes jambes de flancher. Pas maintenant. Tu maudis le tremblement de tes mains contre la vitre froide et fissurée, alors que tu ne sais plus si tu dois te laisser aller à rire ou à pleurer. Alors tu ne fais rien, tu te contentes d’attendre. Mais quoi ?

 

Ne me dit pas que tu espères encore en l’avenir ?! Regardes toi ! Tu empestes la pauvreté, la misère et la peur !

 

 °° va chier…°°

 

A deux rue de là, une jeune femme avance d’un pas vif, la tête rentrée dans les épaules, les mains fermement crispé sur un sac orange vif, comme si elle voulait, paradoxalement, passé inaperçu…

 

Les prunelles lasses du jeune homme passent sur la silhouette sans véritablement lui accorder un quelconque intérêt. Elle n’est pour lui qu’une  source d’énergie supplémentaire dans un monde qui n’en possède que trop. Soudain il se redresse et vacille un instant sur ses jambes, pressant fermement sa tempe comme pour interdire à sa tête de déverser le contenu de son crâne à même le sol. Une fois la première vague de douleur passée, le voilà qui fait mine de se diriger vers la jeune femme. Il n’a pas fait trois pas vers elle que déjà, elle accélère...

 

Il accélère à sa suite, voudrait lui dire de s’arrêter, qu’elle n’a rien à craindre, qu’il.. Mais sa bouche ne s’ouvre qu’avec difficulté, pâteuse ne n’avoir plus prononcé un son intelligible depuis bien longtemps, cassé d’avoir hurlé… En désespoir de cause, il lève une main tremblante, et tente une ultime accélération dans un pas de plus grande amplitude, presque un bond..

 

Lui couper le passage…

 

-          Que.. qu’est ce que vous me voulez !!?

-          B

-          …

-          Bo..

-          Mon Dieu ! Vous êtes malade ? Vous. . vous tremblez..

-          B..Bon..

-          N’approchez pas ! Restez ou vous êtes !

-          ….

 

Un instant de silence, un vide. Un doute.

 

-           Vous n’arrivez pas à parler ?

 

Elle se mit alors à le détailler de plus près.. pour tout vêtement, un simple jean trouvé et deux fois trop grand pour lui qui lui tombait allégrement sur les hanches, seulement retenue par sa main droite. Il semblait essoufflé et suait abondamment, la respiration rauque, les pupilles dilatées et les traits douloureux. Manifestement il souffrait. Mais plus elle le regardait, plus elle se disait que s’il souffrait ce n’était peut être que de l’absence de son dealer.. Bien qu’à la réflexion, elle doutait qu’il puisse se payer quoi que se soit.. Ce qui pourrait expliquer son état avancé de tremblement : il faisait une crise, tout simplement.

 

Cette simple constatation lui glaça les sangs, il était bien connu qu’un junky en manque était violent, dangereux, imprévisible et près à tout..bref à éviter..

 

Pendant ce temps le jeune homme avait tenté plusieurs gargouillis infestes, craché plusieurs fois au sol, et s’était éclaircit la voix –ou ce qu’il en restait- trois ou quatre fois. Tousser lui était trop douloureux.

 

-          BOnjoU..

 

Il s’interrompit de lui-même, comme étonné et quelque peu effrayé de sa propre voix, avant de grimacer, s’appuyant de sa main qui ne tenait pas son unique vêtement contre le mur. Il laissa ainsi passer quelques secondes de tension palpable avant de sembler prendre son courage à deux main pour relever les yeux sur la jeune femme et déclamer aussi distinctement qu’il le pouvait :

 

-          N’ayez .. p..pAs peUR, je..

 

-          Je vous préviens tout de suite je sais me défendre et mon frère m’attends juste la rue à coté avec toute sa bande et m’entendrais fort bien si je hurle !

-          Je..

-          et je jure que je hurle si vous faites un pas de plus vers moi !!!!

-          Chut.. jE..

-          Reculez !!

-          Fermez là !!! Putain.. arrêter de crier.. juste ça.. ma te…

-          Laissez-moi !! Au secours !!  AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

-          Ta gueule !!

 

De nouveau cette force étrange, ce tourbillon de chaleur qui part du ventre, enflammant tout son système nerveux pour aller se concentrer sur tes paumes.. Encore une fois, cette douleur quasi-insupportable, comme si tu te disloquais de l’intérieur..

 

Vas- y !! C’est sa faute !! Entièrement de sa faute..

 

°° Non….°°

 

Un gémissement inaudible, une terreur sourde.. parce que cette fois, tu savais.

 

Et puis plus rien. Le noir absolu. L’inconscience…

 

Les filles sont des garces traumatisées qui pensent toujours que tous les mecs en ont après leur cul. Des harpies dont le coffre démesuré est capable de monter dans les aigues de façon insupportable.

 

Mais elle ne méritait pas ça. Pas celle-là.

 
 
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