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au 31 Mai 21 :
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Let's talk about love
Par Colbie Caprice
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
3 chapitres - Rating : T (13ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 3     Les chapitres     3 Reviews    
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Problèmes de communication

Let’s talk about love

Hello les lapins ! Pour ceux qui n’ont pas vu mes plates excuses pour le retard monstrueux que j’ai accumulé depuis 2 ans, eh bien je les redis right the way now : je suis desoléééééééée ! (Insérer face de chien piteux ici)

On est une universitaire surchargée ou non ! :p

Bref, voici donc la suite de cette fiction. J’espère qu’elle a toujours des fans…

Si vous avez idées, des commentaires ou des questions, composez sans frais le… Euh, écrivez moi une REVIEEEEW hihi !

Plein de bisous assaisonnés aux devoirs barbants d’espagnol y’all –xxx-

CC

 

Chapitre 3 : Problèmes de communication

Lorsque la troupe de séquestrés vit avec consternation celui qui serait leur thérapeute improvisé, toutes baguettes levées, chaises braquées et torche allumée furent immédiatement lâchées au sol pour ne laisser place qu’à un silence abasourdi.

Évidemment, ce ne fut silencieux que quelques secondes : Ron, dont le fait de tenir une chaise à bout de bras rendait les doigts gourds, la laissa retomber au sol. Toutefois, ce n’est pas cela qui causa l’assourdissement hurlant (parce que les chaises, ben ça ne hurle pas. Oui oui, vous l’aurez appris ici !) mais plutôt Pansy qui sentit avec horreur son petit orteil explosé.

-       Aaaaah, hurla la méchante Serpentard en agrippant le bras de son petit-ami, le doux et compréhensif Malefoy.

-       Merde ! Arrête de tirer sur ma manche, elle va se mettre à pendouiller et ça va être à chier, cria-t-il en retirant brusquement son bras.

Pansy s’écrasa lentement au sol, tandis que Ron ne savait plus où se mettre.

-       Bordel, j’ai brisé une chaise, marmonna-t-il en Harry en se passant avec malaise une main derrière la tête. Tu penses qu’Hermione va pouvoir la réparer ?

Mais cette dernière était trop occupée à jouir du moment présent, soit Pansy se roulant par terre en hurlant sa douleur.

Ce fut à ce moment que Rogue le Thérapeute décida d’intervenir :

-       SILENCE !

En fait, c’était déjà silencieux (si on met à part Pansy la mourante et Malefoy qui pestiférait) mais bon, vous connaissez Rogue tout aussi bien que moi, une mouche aurait volé qu’il aurait trouvé le son chiant et insupportable.

C’était d’ailleurs ce que ces adolescents représentaient pour lui : d’énervantes mouches. Et il trouvait déjà leur voix, ou plutôt le grésillement achalant qu’ils émettaient, chiante et insupportable.

Se disant que son intervention avait un peu flanché compte tenu du fait que ce crétin de Londubat avait réduit la moitié de sa cape, désormais fumante, en miettes, il les intima tous à s’asseoir en rond.

-       Asseyez-vous, espèces d’individus stupides !

Ron leva alors la main :

-       Il manque une chaise.

-       Non, Weasley, il ne manque aucune chaise.

-       Eh bien oui, celle-là est brisée, dit-il en pointant la chaise d’un geste éloquent.

C’est à ce moment que Malefoy décida de prendre pour sa copine en plein choc vagal :

-       C’est certain, Weasmoche, que ta putain de chaise est brisée ! Tu l’as écrasé sur l’orteil de ma copine, merde !

-       Tu te fichais de son état, Malefoy, il y a quelques minutes à peine, jugea bon de rappeler Harry alors qu’il éteignait une flamme causée par la baguette de Neville.

-       Toi, Potter, ferme ta…

Naturellement, le Rogue d’Amérique, espèce carnivore redoutée par la faune poudlarienne n’appartenant pas à la classe des reptiles, tolérait très mal le climat apocalyptique de la salle de classe.

Il ne tolérait même pas un climat sain, alors imaginez le contraire !

Les dents serrées, il répara d’un coup de baguette magique la chaise massacrée de Ron et l’orteil de Pansy, qui se détordit dans un crac à donner le haut-le-cœur.

Se rappelant la promesse qu’il avait fait à Dumbledore de ne pas tous les tuer dans le quinze minutes qui suivaient, il se dit avec une satisfaction morbide qu’il n’avait rien promis pour au-delà de 16 minutes de «thérapie».

Alors qu’il se demandait si le Ministère pardonnerait un meurtre en série, les élèves s’installèrent en cercle en ronchonnant. Rogue prit place dans à une extrémité du cercle, l’ennui se peignant déjà sur ses traits tirés d’homme de mauvaise humeur.

-       Tout d’abord, j’aimerais commencer cette heure qui sera évidemment interminable en vous disant que si vous n’agissiez pas comme des hommes des cavernes 24h sur 24, eh bien nous ne serions pas obligés de passer tous nos samedi matins dans cette salle de classe moisie.

-       Quoi ? s’exclama Malefoy en cessant d’examiner ses ongles qu’il avait utilisé pour décrocher Pansy – Merde, il s’en était cassé un ! Vous êtes en train de nous dire qu’on va être prit dans la même salle que ces bouseux de Gryffondor durant tous nos samedis matins ?

-       Voilà le problème, dit le professeur en grimaçant de dégoût. Toutefois, il n’y a pas de durée fixe pour ces… thérapies: il faut tout simplement que le problème soit réglé et ainsi, nous pourrons vaquer à nos occupations personnelles, c’est-à-dire être exaspérant pour vous tous et très occupé pour moi.

C’est qu’il aimait bien aller rendre visite à la jolie serveuse de Givrez-vous le Bec, la crèmerie qui venait tout juste d’ouvrir. Elle avait de ces jambes…

Reprenant ses esprits, il assena :

-       Naturellement, comme vous êtes tous des attardés congénitales, il est clair que nous passerons les huit prochains mois ici !

Il termina sa tirade par un recherché roulement de yeux.

Harry trouvait toutefois cela très énervant : il avait Quidditch lui, le samedi matin !

-       On n’a pas de problème, monsieur ! s’écria-t-il d’un air désespéré.

-       Oui, vous en avez un, Potter ! grinça la chauve-souris… Euh, Rogue.

Apeuré, Neville marmonna prestement à Harry :

-       Oui, t’as un problème, Harry, je t’en supplie, fais ce qu’il te dit !

-       Ouais, t’as un putain de problème, Potter, s’exclama Malefoy tandis que Pansy rigolait bêtement à ses côtés, livide de douleur. T’as une écœurante cicatrice qui te bariole le front !

Un silence accueillit ses propos.

Boudeur, il se cala contre le dossier de son inconfortable chaise de plastique, frustré que son insulte n’est pas fonctionnée. Il devait vraiment renouveler son stock de blagues haineuses douteuses. Il chassa la main décharnée de Pansy de sur son bras d’une habile chiquenaude.

Toutefois, quelque chose clochait dans la situation, et c’est ce que remarqua immédiatement Hermione car, ben oui, c’était ce qu’elle faisait, elle, trouvait les trucs louches et les démystifier.

-       Humm, professeur ? dit-elle d’une voix timide.

Sautant sur l’occasion pour démolir une personne sans raison apparente, Malefoy s’écria :

-       Tiens, du sang grumeleux qui parle !

Ron lui répondit par la bouche de son poing.

-       SUFFIT ! Que je n’en vois plus un faire du tapage car vous aurez une retenue !

-       Y’a un truc qui cloche, s’écria Hermione tandis que Pansy l’imitait, la bouche tordue. Pourquoi vous ne nous enlevez pas de points ?

Un silence stupéfait suivit ces paroles. Parvati la regardait d’un air effaré : cette conne voulait qu’on leur enlève des points ! Elle avait bien fait de se mettre à parler dans son dos deux mois auparavant.

-       Jdhckuihne, marmonna Rogue, - ses dents maintenus probablement trop serrés. Vive l’exaspération !

-       Heu… Quoi ? se pencha Malefoy.

Si c’était une redoutable insulte, il ne voulait pas la manquer.

-       Nous n’avons pas le droit d’enlever des points pour une thérapie, grogna Rogue en soupirant intérieurement.

Son arme de destruction massive de prédilection venait de s’envoler et bien qu’il en aille envie, il doute que Dumbledore accepte qu’un Impardonnable soit utilisé pour faire pénitence.

Malheureusement, car à voir la tête de Weasley, il aurait voulu lui enlever 100 points d’un coup. L’expression béate d’émerveillement du rouquin l’énervait au plus haut point.

-       Quoi ? dit Malefoy qui avait manifestement de graves problèmes d’audition. Comment ça, on ne peut pas leur enlever de points ? ajouta-t-il en oubliant probablement qu’il ne pouvait pas en enlever.

-       C’est comme ça car Dumbledore l’a décidé.

Avec le soupir d’un homme s’apprêtant à faire un saut d’un avion sans parachute, il porta ses mains jointes à ses lèvres et dit :

-       Maintenant, parlez-moi de vos emmerdantes histoires d’amour qu’on puisse enfin quitter cette pièce maudite.

Comme vous pouvez vous en douter, il n’y avait pas foule aux portes pour se lancer le premier.

 

Voilàààà ! Comment avez-vous trouvé ? La suite la semaine prochaine !

Laissez moi une review, ça me fait tellement plaisir 8D

Colbie qui vous envoie tout plein de bisous

 

 

 
 
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