-Tienes miedo ?
-Non non je n'ai pas peur de toi.
-Entonces queda aqui. ( alors reste ici)
mes lèvres frôle son cou doux et sa mâchoire. J'ai des frissons je ne sais pas pourquoi, mais elle aussi en a. J'adore faire tomber les filles.
-Tienes una novia. ( tu as une petite amie)
Pff voilà comment faire pour m'arrêter net. D'un coup je me rappelle de il y a deux semaine après la cantine ce qu'il s'est passé.
-Sors, s'il te plait.
-ça va ?
-Non sors je te dis !
Elle prit ses affaires et sortit de chez moi. Rien que de repenser a ça, ça me donne la gerbe. Je reçu un message de la part de mon chef,
« Viens vite nous voir on a besoin de toi pour une affaire de gang »
Je sortis de chez moi un pistolet dans mon pantalon, je m'avançais en faisant attention a ce que l'on me suive pas, et partit direction la planque.
-T'es enfin ici viens tu vas conduire la voiture on va aller ce battre avec un clan, ils veulent nous mettre dans la merde. Donc tu va conduire et après on entre dans leur planque et on les terminent ok ?
-Ouais. Répondis-je.
Je pris la voiture et les embarqua dans la planque ennemis. On sortit tous de la voiture, quand une balle frôla mon chef. Je pris mon pistolet qui était dans mon pantalon et visa le mec qui avait visé sur le chef de mon gang, il se situait en hauteur sur un toit. Je lui tira dessus il tomba, ce n'est absolument pas ma faute. J'entrais dans leur habitation, il y avait des femmes ou plutôt « des Putes » et les mecs qu'on doit tuer. Un de mon gang n'hésita pas a tuer certaine femelles pendant que moi j'évitais le moins de mort possible, mon but étaient de les blesser, pour qu'ils deviennent faibles.
Des sirènes ce fit entendre, moi et mon gang partîmes le plus loin possible pour éviter de nous faire repérer.
-Ces bouffons ont appeler la police ! Qu'elle bande de froussard ! S'écria Carlos, un mec de ma bande qui avait reçu une balle dans le bras.
-Tu t'es bien débrouillé pour un débutant. Me dit mon Chef.
-Gracias. Je m'en vais mi mama no està en casa je vais devoir allé m'occuper des gosses.
J'entrai chez moi, d'un cou je revois l'image du cou de la fea , j'aurai voulu tellement plus même si je ne le montrais pas, et puis je ne couche pas avec des moches. Elle n'est pas du tout mon style. Depuis quand maintenant je me met a penser a elle. Pff, je vais me laver.
IRIS
Je partis coucher ma petite sœur et mon petit frère, je commences a avoir l'habitude que Paco ne vienne plus en cour mon exposé je l'ai toujours pas commencé, et ça fait déjà deux jour qui se sont écoulées. Je détacha mes cheveux long ondulé qui m'arrivais au reins et me mit un débardeur et un short de pyjama. Il est dix-neuf heure, un peut trop tôt pour manger je m'installa sur le canapé et alluma mon écran plat, il y a un film brésilien qui passe, ou plutôt une série appelé « Isaura » je suis scotché devant la télé a gueuler.
-Allé cours te laisse pas avoir vite !
-LIVIA !!!!!!!! gueula ma mère de sa chambre.
Je montais a l'étage dans la chambre a ma mère voir ce qu'elle voulait.
-Ma fille, apporte moi une soupe.
-Sim mãe, (oui mère)
Je descendis dans ma cuisine, pour cuisiner une soupe pour ma mère. Et faire mon dîner.
La sonnerie de la maison retentit. Qui ça pourrait bien être a une heure aussi tardive, je ne sais pas du tout, peut être les infirmières, ou le médecin. J’allumai l'interphone et dit.
-Qui est-ce ?
-Devine.
J'entendis une voix d'homme mais qui ça pourrai bien être ?
-Désolé je n'ouvre pas la porte au inconnue alors dites moi qui vous êtes, si non faites demis tours.
Il fait noir je ne peut rien voir dehors.
-Hey la fea ouvre moi la puerta (Hey la moche ouvre moi la porte.)
-Ha c'est toi. Et si j'en avais pas du tout envie, après tout il est vingt heure, et comment tu as su où j'habitais ?
-Bah laisses moi entrer et je te dirais.
-Pas envie. Dis-je fière de moi. Enfin c'est moi qui prend les commendes !
-Allez juste pour ce soir chica.
-Bueno ! Et pourquoi pas demain ?
-Tu t'es bien incrusté chez moi non l'autre jour alors pourquoi pas moi.
-Moi c'était pour les cours !
-Et tu croie que je viens pour quoi moi ? Me déclaré a toi ? Allé deja-me entrar ( laisse moi entrer).
-D'accord, mais seulement parce que tu me fais pitié.
j’appuie sur le bouton de mon interphone ce qui laissa Paco entrer. J'entends ses pas se diriger vers ma porte grâce au pierre qu'il y a sur mon allée. Mierda ! J'ai oublié le manger, je couru jusqu'à la cuisine remuer la soupe et retourner mes viandes.
La porte d'entrer toqua, je me dirigea vers celle ci, puis l'ouvrit. |