Sur une idée -défi- de Soizic! C'est donc pour elle. Te n'aime spaghetti, et j'attend de pied ferme ton illu U_U
Parce que ce sera à tout jamais la soirée de tous les frissons. Je t’aime tu sais. Tout est complètement fou, mais ce soir j’ai ressenti plus d’émotions que jamais auparavant. Je peux sentir l’intérieur de mon ventre frémir, et vouloir exploser de bonheur. La musique, les gens, toi. Débarquer comme ça, sans prévenir, Dieu tout puissant. Happy Valentine’s Sweety. Mon cœur a fait le bon du siècle. Ta beauté est inhumaine, je ne sais pas si tu t’en rends bien compte. Te voir comme ça m’a fait aimer la vie plus que jamais. Ta voix me transperce toujours de part en part, me fissure, me pénètre, en j’en tremble de bonheur. Tu deviens le centre de tout, le centre de moi, je gravite, tu es mon soleil. Tire-moi encore vers la scène et fais valser mon cœur jusqu’à ce que je n’en puisse plus respirer. Et cette chanson, cette chanson, et toi… Je te veux.
Là au milieu de ces ballons rouges amour, rouge sang, rouge passion, tes yeux dans les miens me font perdre toute notion du temps. Le plus beau des cadeaux, je t’offre tout de moi. Je veux te voir encore rire, chanter, danser, aimer. M’aimer moi plus que jamais, ton micro à la main et tes yeux qui pétillent de la vie. Cogne à ma porte et c’est moi qui tremble. Mon sourire niais ne quittera pas mon visage, mes yeux les tiens. Je te veux, ici, maintenant, pour toujours. Les tables roses, les ballons cœur, les baisers aux quatre coins de la pièce et les battements de cœur qui font trembler les murs. C’est la Saint Valentin la plus vraie du monde, et je voudrais que ce moment se fixe pour l’éternité. Prend moi dans tes bras, encore. Allez, allez. Lis dans mes yeux, « Huggin' and a kissin', dancin' and a lovin', wearin' next to nothing. Cause it's hot as an oven ».
Tu pinces tes lèvres et mon cœur s’emballe. Tu souris et je fonds. Ta main se lève et je voudrais mourir. Tu t’approches, caresses du doigt l’arête de mon nez. Souffle doucement sur mes lèvres. Mourir. T’approche un peu plus encore. Fondre. Colle ta bouche contre la mienne. Gémir. Mordiller ma lèvre inférieure et demander l’accès. S’agripper. Te décolle un peu. Retenir. Ris et souffle, tout contre moi, le « je t’aime » le plus sincère du monde. Embrasser avec passion.
Ta main dans mes cheveux me fait perdre la raison et je ne vois pas les regards autour. Parce que toi contre moi me rend fou. Et que je pense que si Rachelle a été dingue de dire oui, maintenant je signerais pour cent ans sans hésitation. Parce que fêter l’amour avec toi est la chose la plus évidente. J’agrippe la manche de ta veste, parce que tu ne dois pas partir, c’est impossible, et peut-être que tout à coup j’ai peur. Tu me serres, si fort, si fort. Tu attrapes ma main, mon annulaire. Le caresse doucement, et pose mes doigts contre ton cœur. Je retiens un sanglot, et ma bouche retrouve la tienne, le seul endroit, la meilleure place, la plus douce, la plus belle, la meilleure, la meilleure, la meilleure. Je frissonne et ton emprise est plus forte. Je mordille et ta main resserre son emprise. Je gémis doucement et ton souffle se fait court. Tu te recules soudainement. Le ballon à côté de toi s’arrache d’une table pleine de sucreries dorées, et tu le mets devant moi. « T’es mon Valentin, hein ? Mon vrai Valentin, le bon, le vrai ? » Je te l’arrache des mains et attrape ton col. « Love baby, that's where it's at ».
Les gens n’existent plus et j’y vois flou. Tu m’entraînes sans quitter mes yeux vers l’arrière. J’irais n’importe où, tant que tu me regardes. Une porte, des objets balancés, un gémissement plus fort que les autres. Tu mets le ballon en évidence, tu me regarde encore. Ma main glisse sur ton torse, encore, encore, encore. « Love Shack Baby ». Je te souffle que ça fait tellement longtemps et tu ris. Et je t’aime. Tes lèvres trouvent mon cou. Ta langue goutte, cherche, trouve. Je tremble et me sens chez moi. Tu arraches tes vêtements, sans prévenir, et je m’étouffe. Me jeter sur toi ferais bête, mais peu importe. Parce que je sais ce que tu penses, et je sais que tu veux, moi, toi, nous, je sais que tu ne diras rien. Alors j’ose, ose, et mes mains parcourent chaque centimètre carré de ta peau pendant que ta tête cogne contre le mur sans que tu t’en aperçoives même. Je mords ton menton, ton cou, ton torse, ton ventre. Tu te tords et tes mains tremblent contre ton pantalon. A mon tour de rire, je t’aime. A mon tour d’aimer, je t’aime. A mon tour de donner, je t‘aime. « Glitter on the Matress ». Mais le mur cogne mon dos et tes mains dans mon pantalon me font revenir à la réalité. Tu me souris, me cherche, je t’aime. Tu me souffle les mots que je veux entendre. Que tu veux me dire. Et si je me retourne, je t’entends déglutir si fort que ça a dû te faire mal. Te colle à moi si doucement que je sens à peine une différence. Butine mon cou et ma main agrippe la tienne. Donne la permission et mon cœur cogne contre ma poitrine, mon cerveau ne pense plus et ton visage est la seule image que j’arrive encore à discerner. Tu me dis que ça sera la plus belle. Et je n’en doute pas une seconde. Tu es mon soleil. Ta main caresse, et je meurs sous tes doigts. Ta main pénètre, encore et encore, et tu m’empêches de tomber. Toi en moi, et un sanglot meurt dans ma gorge. Tes gémissements s’écrasent contre ma gorge et je quémande ta bouche, et je t’embrasse, si fort, et je t’aime encore, et tu m’aimes aussi. Et c’est tout, c’est ça. Le meilleur, le plus, l’amour le plus pur et vrai. L’amour que tout le monde voudrait avoir et qui se trouve là, au creux de moi, au creux de ta main. Encore, encore. Je jouis dans ta bouche, dans ton cœur. Pour toujours et à jamais. A moi, à toi. Tu me retournes, ta bouche contre la mienne, tes pupilles dans les miennes. Et pour le restant des jours ce sera la plus belle des fêtes.
« Love baby, that's where it's at. Huggin' and a kissin', dancin' and a lovin' at the love shack ». |