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Parce que c'était lui, parce que c'était moi
Par oniaina
Originales  -  Romance  -  fr
2 chapitres - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
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Chapitre premier

Permettez-moi avant toute chose de vous expliquer sommairement ma situation. Ce texte je l’ai commencé il y a de nombreuses années et je l’ai retrouvé par hasard tout récemment dans les archives d’un ancien ordinateur. Je l’ai relu et je me suis surprise moi-même à ne pas reconnaître cette création, comme si je lisais le texte d’un autre, c’est sans doute le cas peut-être, le moi passé et le moi actuel n’ont à priori plus grand-chose en commun, mais ceci est un autre débat que je ne vous livrerai pas ici.

Pourtant je me suis bien rendue compte de ma maternité sur ce travail, par l’intermédiaire de références qui me sont propres. En le redécouvrant, je me suis dis qu’il fallait que le termine et je ne pourrais le faire que si je m’y oblige et m’y contraint. Pour cela je prends comme prétexte cette publication. C’est mon premier texte et sans doute le dernier, il se fera en plusieurs parties dont pour l’heure j’ignore encore le nombre final. 

Note importante : Ne vous sentez pas obligé de commentaires, je n’en réclamerai aucun, vraiment. En fait je ne le publie après tout que pour mon propre intérêt. Pour savoir si je suis capable de terminer quelque chose que j’ai commencée, même plusieurs années et quelques vies plus tard, Moi la reine de la Procrastination. Ainsi c’est tout égoïstement que je livre ce travail passé et en devenir. Pour me prouver à moi seule quelque chose. 

 

Résumé : Théo et Max semblent être des garçons trop lisses d'apparence, alors grattons la surface et réjouissons-nous de leurs aventures pas si mièvre que ça je l'espère. Oui ils vont s'aimer, oui ils vont douter, mais non ils ne vont pas que tuer des dragons et enfin vivre heureux jusqu'à ce que la mort les sépare. Ils vont avoir des galères qui les mènera à l'age adulte, à faire des choix cruciaux et à se perdre pour se retrouver autrement.

 

Avertissement : Slash en vue, cœur sensible s'abstenir. Pas de Mary ni de Garry Sue en vue contrairement à ce que la première partie de cette histoire pourrait laisser croire. Pas de fluffy non plus.

 

Théo et Max étaient amis depuis leurs plus tendres années.

 

Max au moment où commence l’histoire est à peine plus grand que Théo, a le regard vert forêt, superbe, déconcertant même, le cheveu roux et fougueux, faisant de lui cet être étrange au visage d’enfant avec un beau corps d’homme en devenir. Une beauté magnétique en somme mais un brun coincé. Brillant jeune homme de quinze ans toisant du haut de son mètre quatre vingt cinq, à peine assumé, bon nombre de ses camarades. Ayant une passion pour les langues étrangères, il s'était mis à étudier avec assiduité l’anglais, l’allemand, l'italien et le mandarin dans l'espoir de pouvoir se débrouiller dans son futur pour communiquer avec le plus de personnes possible.

Il se rêvait poète tel son idole, Leonard Cohen. Seulement pour lui cela restait un doux rêve, car il demeurait un jeune homme terre à terre, trop peut-être,c'est pourquoi avec plus d'humilité se destinait-il plutôt à travailler dans l’édition ou dans le journalisme littéraire, le fait qu'il chantait affreusement faux n'était pas la raison principale de ce choix de carrière plus raisonnable non bien évidemment que non, mais je m'égare.

Il était un grand passionné de lecture, c’est pourquoi dès son plus jeune âge, lisait-il tout ce qui lui passait entre les mains, du prospectus, au dictionnaire en passant par les bandes-dessinées. Pourtant il ne faut pas croire qu’il ne soit que du genre à passer son temps calfeutré dans les recoins sombres des bibliothèques pour autant, c'est en partie vraie, mais il était néanmoins tout aussi passionné par l'escrime, sport dans lequel il s'activait deux fois par semaines et dans lequel il se débrouillait, anima sana in corpore sano en somme. Cette discipline régulière avait dessinée sur lui un corps ferme, solide et tonique. S’il avait été plus sûr de lui, nul doute qu’aucunes filles n’auraient pues lui résister et un bourreau des cœurs de plus aurait été lâché dans la faune urbaine. Mais ce n’était pas lui, d’ailleurs à part Sarah avec qui il a été pendant deux ans au collège et dont il a été séparé lorsqu'elle déménagea, il n’en avait connu et aimé aucune ; quand bien même cela aurait été le cas, il n’aurait pas pu consacrer du temps à quelconque romance, en fait la seule personne avec laquelle il partageait ses précieux moments de détente restait et demeurait Théo.

 

Théo, lui c’était le rugby qui avait façonné son corps musculeux et vif. D’Adonis il en avait d’ailleurs l’apparence : un visage mât, des cheveux noir de jais ondulant sur une nuque massive comme bien des piliers. Pas tout à fait un homme, plus tout à fait un enfant, un entre deux qui laissait présager un futur prometteur, deux beaux yeux marrons et des lèvres charnues, ponctue cette description physique.

Pourtant tout comme Max, il avait juste oublié d’être con, ce con! au regard de son parcours scolaire sinistrement exemplaire. Théo était lui en première scientifique, et Max pour sa part en littéraire tout naturellement.

C’est d’ailleurs ce point commun qui les avait réuni dès la petite enfance, ce goût rare chez de si jeunes personnes pour les choses de l'esprit, comme les jeux d'échecs, auxquels ils se consacraient régulièrement.

C’était un peu comme si la nature s’était généreusement acharnée sur eux deux, et s'était appliquée à la tâche fourbue de livrer deux trésors à notre triste monde. En bref, un coup du sort douloureux, pour les humains si ordinaires dont nous faisons pour la plupart parti, quand nous venons à nous comparer à des êtres si solaires et qui du coup pourraient en doucher beaucoup plus encore, tant d'injustices! Mais n'allez pas croire que je vais vous comter qu'une série de belles aventures, sur de si parfaits garçons, c'est mal me connaître car je suis à leur contrario, vile et perverse et moi aussi ils m'énervent un peu avec leur apparente perfection, de surcroit je n'aime ni le fluffy ni le kawai alors je vais me charger de leur concocter de biens belles vacheries, car je suis une humaine si ordinaire palsembleu!

Mais revenons à nos moutons, Théo étaient à peine moins confiant que son ami en ce qui concernaient ses aspirations, il se rêverait joueur professionnel, mais se savait destinait à reprendre le flambeau familiale, pour devenir notaire tout comme sa mère.

 

Mais pour l’heure ils demeuraient des lycéens ordinaires au demeurant. Un point les séparait tout de même, autant Max restait réservé presque en tout et en toute chose, dans le sens de discret et secret, très éloigné de l’effervescence habituel qui animent les jeunes de son âge. 

Autant Théo lui était on ne peut plus populaire , il avait une aura magnétique qui rayonnait véritablement et qui attirait toute personne dans son sillage. Bien des filles d'ailleurs se pâmaient d’amour pour lui, pourtant aucunes n'avaient réussi à l'épingler, leur laissant l'espérance naive des filles candides propre à leur age. A contrario, l’ensemble de ses autres copains crevaient de jalousie, sans pour autant jamais le lui reprocher, tant sa gentillesse et sa bonne humeur était flagrante. Il était bien le genre de personne que tout le monde rêverait d’être ou d'avoir à soi comme un beau trophée à exhiber. Seulement parmi toute cette cour imagée, lui n’accordait son attention qu’à ce si discret Max. Beaucoup d’ailleurs se questionnait sur ce qui pouvait tant les unir.

Leur amitié était plus solide que tout, cimenté par leurs années passées ensemble, enfin le pensaient-ils…

 

 

 
 
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