FRED
R
Ron, notre plus jeune frère, fut pour George et moi notre premier cobaye, involontaire à nos farces les plus diverses Il fut la première victime de nos blagues douteuses mais que nous lui infligions en toute gentillesse.
C’était quelque part, la marque de notre affection pour lui. Je ne lui avouerais jamais mais il a réussi parfois à m’impressionner, non par son humour, il n’en a aucun mais par la bravoure dont il fit preuve pour aider Harry dans sa lutte contre Voldemort
Ron, je ne te le dirai jamais mais tu es le plus génial des petits frères. |